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J'ai enfin terminé Un monde sans fin de Ken Follett. J'ai mis presque 2 mois à lire ce pavé de plus de 1300 pages et j'ai ADORE !... tout autant que Les piliers de la Terre.

J'ai d'ailleurs commencé à regarder le DVD des Piliers de la Terre et pour le moment, je ne suis pas du tout déçue de l'adaptation qui a été faite du livre.

Ce soir, je commence un autre livre d'un tout autre genre : Les visages de Jesse Kellerman.

Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l'obsession. C'est le début d'une spirale infernale à l'intensité dramatique et au coup de théâtre final dignes des plus grands thrillers. Bien loin des polars calibrés habituels, Jesse Kellerman, styliste hors pair, nous offre ici un roman d'une indéniable qualité littéraire qui, doublée d'une intrigue machiavélique, place d'emblée le livre au niveau des plus grandes réussites du genre, tels Mystic River, de Dennis Lehane, ou L'Analyste, de John Katzenbach.

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Mon utopie d'Albert Jacquard

" J'atteins l'âge où proposer une utopie est un devoir; l'âge où les époques à venir semblent toutes également éloignées : qu'elles appartiennent à des siècles lointains ou à de prochaines décennies, elles sont toutes tapies dans un domaine temporel que je ne parcourrai pas. " A une époque où tout le monde ne parle que de " réalisme " pour en fait imposer la dictature de l'argent, Albert Jacquard prend ici du recul. Recul par rapport à sa propre trajectoire dont il retrace le fil ; recul par rapport à l'actualité et ses contraintes en imaginant ce que pourrait être une "Cité où tout serait école ", où le travail aliénant serait réduit au minimum, où personne ne se soucierait du déficit de la Sécurité sociale parce que les soins seraient considérés comme un droit imprescriptible, où la lutte pour la compétition serait abolie, où l'accumulation des richesses céderait le pas à l'organisation des rencontres... Utopie que tout cela ? Bien sûr, mais raisonnable. Le cours des choses n'a-t-il pas déjà commencé à donner raison à Albert Jacquard ? Et puis, qu'y a-t-il de plus sensé que de chercher une nouvelle voie quand nous savons les autres irrémédiablement bouchées ? "

Je n'avais encore rien lu de lui, je le pensais difficile d'accès... et bien pas du tout... et il nous fait réfléchir! J'aime bien!

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J'ai commencé hier Amours et autres enchantements de Sarah A. Allen

Dans la lignée du Chocolat ou de Beignets de tomates vertes, un roman délicat, émouvant, saupoudré de petites touches de fantaisie, sur deux soeurs blessées par la vie. Dans la petite ville de Bascom, en Caroline du Nord, tout le monde connaît la famille Waverley. Il y a Evanelle, fantasque vieille dame qui passe son temps à offrir des objets en apparence incongrus, et Claire, cuisinière de génie, qui trompe sa solitude en mitonnant philtres d'amour au géranium, cakes aux pétales de rose et autres tartes à la fleur de ciboulette. Et puis il y a Sydney, la cadette, celle qui a quitté la demeure familiale voilà déjà six ans. Sydney qui est aujourd'hui de retour, avec sa petite fille et son lourd secret... Entre les deux soeurs, des années de non-dits, l'incompréhension et de rancoeur. Sydney parviendra-t-elle à offrir à sa fille la stabilité dont elle a tant besoin ? Claire acceptera-t-elle de laisser entrer dans sa vie cette famille sur laquelle elle avait tiré un trait ? Seul le vieux pommier le sait qui veille depuis longtemps sur leur destinée...
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"Jude l'obscur " de Thomas Hardy. Beau et peu ordinaire pour son époque (XIXème en Angleterre).

Jude, jeune homme simple, veut se cultiver et devenir quelqu'un, mais quoi qu'il fasse ses espoirs sont déçus. Autour de lui évoluent une jeune-fille simple et peu farouche, Annabella, et Sue sa cousine qui veut elle aussi "grandir" dans la société et a une vision assez compliquée de l'amour. Toutes les deux se perdront.

Faut vraiment que je trouve des livres un peu plus optimistes à lire :cry::D

MissTiq, je suis allée faire un tour sur ton blog... sympa!

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"Jude l'obscur " de Thomas Hardy. Beau et peu ordinaire pour son époque (XIXème en Angleterre).

Jude, jeune homme simple, veut se cultiver et devenir quelqu'un, mais quoi qu'il fasse ses espoirs sont déçus. Autour de lui évoluent une jeune-fille simple et peu farouche, Annabella, et Sue sa cousine qui veut elle aussi "grandir" dans la société et a une vision assez compliquée de l'amour. Toutes les deux se perdront.

Faut vraiment que je trouve des livres un peu plus optimistes à lire :cry::D

MissTiq, je suis allée faire un tour sur ton blog... sympa!

C'est clair, il n'est pas bien gai ce livre...mais qu'est-ce qu'il est beau!! Je l'avais lu ado et j'avais adoré. Tu m'as donné envie de me replonger dedans!

Du même auteur, il y a aussi Tess d'Urberville dont Polanski a fait un film avec Nastassia Kinski: très beau aussi.

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"Jude l'obscur " de Thomas Hardy. Beau et peu ordinaire pour son époque (XIXème en Angleterre).

Jude, jeune homme simple, veut se cultiver et devenir quelqu'un, mais quoi qu'il fasse ses espoirs sont déçus. Autour de lui évoluent une jeune-fille simple et peu farouche, Annabella, et Sue sa cousine qui veut elle aussi "grandir" dans la société et a une vision assez compliquée de l'amour. Toutes les deux se perdront.

Faut vraiment que je trouve des livres un peu plus optimistes à lire :cry::D

MissTiq, je suis allée faire un tour sur ton blog... sympa!

Merci :)

Et pour les livres peu optimistes :D Je les garde pour quand j'ai un moral au top ;)

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J'ai lu "assez parlé d'amour" de Hervé le Tellier

''La planète connut cette année-là son automne le plus chaud depuis cinq siècles. Mais de la clémence providentielle du climat qui joua peut-être son rôle, il ne sera plus question. Ce récit couvre l'espace de trois mois et même un peu plus. Que celle - ou celui - qui ne veut pas - ou plus - entendre parler d'amour repose ce livre.''

Ainsi commence Assez parlé d'amour. Anna et Louise pourraient être soeurs, mais ne se connaissent pas. Elles sont mariées, mères, heureuses. Presque le même jour, Anna la psychiatre va croiser la route de Yves, l'écrivain, Louise l'avocate croise celle de l'analyste d'Anna, Thomas. A quarante ans, à ce tournant d'une vie qui ne comporte pourtant que cela, la foudre est encore permise, mais quand on a cru - à tort - que le destin était à jamais écrit, le désir et la liberté se payent cher et comptant.

Hervé Le Tellier, en horloger délicat, trace la parabole de leurs trajectoires. Amoureux de ses personnages, il dessine une galerie de portraits tendres et sans pitié de femmes, d'amants et de maris.

Je le conseille. Je l'ai dévoré...

L'écriture est très agréable, les personnages sont sympathiques et leurs sentiments tellement bien décrits qu'on les ressentirait presque...

Un livre délicieux...

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"Jude l'obscur " de Thomas Hardy. Beau et peu ordinaire pour son époque (XIXème en Angleterre).

Jude, jeune homme simple, veut se cultiver et devenir quelqu'un, mais quoi qu'il fasse ses espoirs sont déçus. Autour de lui évoluent une jeune-fille simple et peu farouche, Annabella, et Sue sa cousine qui veut elle aussi "grandir" dans la société et a une vision assez compliquée de l'amour. Toutes les deux se perdront.

Faut vraiment que je trouve des livres un peu plus optimistes à lire :cry::D

MissTiq, je suis allée faire un tour sur ton blog... sympa!

C'est clair, il n'est pas bien gai ce livre...mais qu'est-ce qu'il est beau!! Je l'avais lu ado et j'avais adoré. Tu m'as donné envie de me replonger dedans!

Du même auteur, il y a aussi Tess d'Urberville dont Polanski a fait un film avec Nastassia Kinski: très beau aussi.

Il y a eu aussi un film d'après le roman Jude l'obscur :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14762.html

Je n'ai pas lu le livre mais vu le film.

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Amsterdam de Ian McEwan.

De lui, j'avais déjà lu "Sur la plage de Chesil" qui ne m'avait pas convaincu. Celui-là est parfait de cynisme et d'humour, et ya un air "de ne pas y toucher" qui m'a beaucoup séduit. Bref, je me suis régalée! Je pense continuer à lire cet auteur.

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Amsterdam de Ian McEwan.

De lui, j'avais déjà lu "Sur la plage de Chesil" qui ne m'avait pas convaincu. Celui-là est parfait de cynisme et d'humour, et ya un air "de ne pas y toucher" qui m'a beaucoup séduit. Bref, je me suis régalée! Je pense continuer à lire cet auteur.

Lis "Expiation", son meilleur. Il est génial :wink:

Merci; c'est le genre de "tuyau" que je cherche ici :smile: . C'est noté!

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Le vieux qui lisait des romans d'amour de Luis Sepulveda.

El Idilio est un petit village aux portes de la forêt amazonienne. Un enfer vert peuplé de chercheurs d'or, d'aventuriers de tout poil en quête d'un Eldorado imaginaire, d'Indiens Jivaros rejetés par leur peuple. La découverte par les Indiens Shuars d'un cadavre d'homme blond atrocement mutilé met le feu au village. Malgré les accusations hâtives du maire qui désigne les Indiens, Antonio José Bolivar diagnostique dans cette mort non pas la main de l'homme mais la griffe d'un fauve... Le vieil homme, aguerri aux mystères de la forêt et grand lecteur de romans sentimentaux se voit bientôt contraint de se lancer dans une chasse de tous les dangers... Roman écologique s'il en est, l'histoire que tisse Luis Sepúlveda se gorge d'une imagination éclatante et recèle cette part de magie issue des contes.

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Un petit livre pour enfants (je le mets quand même), sur la phobie scolaire et l'écriture comme antidote :

juste-en-fermant-les-yeux-22672114.gif

Extrait :

"A mon réveil, je sens tout de suite que je ne suis pas malade, même ça, je ne l'ai pas réussi. Je vais à l'école.(...)

Je sais maintenant que je vais devoir réciter la poésie devant la classe. J'aimerais mieux mourir, ou alors me casser une jambe, mais je n'ai plus le temps de m'organiser un accident."

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