lilicrpe2010 Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Certains jury sont vraiment là pour casser des candidats et n'ont plus une once d'humanité. Petite pensée pour Boogie44. J'ai eu le même jury que toi en français et il a été clairement ignoble. Le problème ne vient vraiment pas de toi...
cococacao Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Certains jury sont vraiment là pour casser des candidats et n'ont plus une once d'humanité. Petite pensée pour Boogie44. J'ai eu le même jury que toi en français et il a été clairement ignoble. Le problème ne vient vraiment pas de toi... donc c'était leur stratégie de notation et leur jeu de rôle d'être ignoble...super, pas mieux trouvé pour dégouter de futurs enseignants...
lilicrpe2010 Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Ca c'est sûr. En tout cas, avec moi, ce jury a gagné dans sa quête de dégoûter le candidat.
Boogie44 Posté(e) 9 juin 2011 Auteur Posté(e) 9 juin 2011 en "agir en fonctionnaire de l'Etat..." je suis tombé sur le PPRE. Une partie de la question était : citer d'autres dispositifs d'aide aux élèves en difficulté. Entre l'AP, le RASED, etc., j'ai parlé des AVS. Le jury m'a demandé si la scolarisation des enfants handicapés et les élèves en difficulté était vraiment le même sujet (avec l'air quand même de me reprendre genre "tu te rends compte que tu dis des grosses bêtises"). Mais j'ai répondu qu'en spatialisant les populations concernées par ces deux "thèmes", sous forme de deux cercles par exemple, on aurait quand même un chevauchement : en effet la loi de 2005 introduit pour la première fois une définition du "handicap" qui a fait rentrer dans son territoire tous les "dys", comme les dyslexiques, les dyspraxiques, les dysphasiques, etc., Les troubles "dys" sont donc aujourd'hui reconnus comme un handicap... donc ceux qui en sont porteurs, qui sont presque inévitablement des enfants en difficulté scolaire (mais qui sont aussi des élèves maintenant reconnus comme "en situation de handicap" par la loi) peuvent être "l'objet" d'un PPS, et éventuellement bénéficier de l'accompagnement d'un AVS Réactions outrées du jury que je maintienne ma position, qui est la suivante : oui, séparer aussi artificiellement situation de handicap et difficulté scolaire ne correspond pas à la réalité puisque si tous les élèves handicapés ne sont pas en difficulté scolaire, certains dont les "dys" le sont quand même. Les AVS servent donc aussi (et je le sais bien pour avoir fait ce travail 5 ans) comme dispositif pour faire face à la difficulté scolaire Erreur de ma part : ne pas avoir réaliser qu'il faut penser et présenter sa pensée comme l'institution, à savoir : > élèves handicapés > élèves en difficultés ne sont pas les mêmes, la "preuve" si j'ose dire ces deux thèmes sont traités juridiquement de façon séparés. Il est impropre de dire que certains élèves handicapés sont en difficulté scolaire, ou en tout cas impropre de sous entendre que le dispositif AVS est un dispositif qui se retrouve aussi dans certaines situations de scolarisation face à la difficulté scolaire. Penser cloisonné, voilà le secret. Surtout, ne pas penser par soi-même ou à tout le moins ne rien dire qui soit susceptible de heurter la présentation d'elle-même que fait l'institution. Rien qui ne soit à côté de l'histoire officielle qu'elle se donne, qui soit en décalage avec l'image qu'elle veut donner d'elle même. Et qu'importe si ça nuit à la vérité, et si ça va à contre-courant de ce qui se passe dans la réalité. Je vous assure pourtant que j'ai conduit mes exposés et répondu aux questions sans laisser poindre le moindre bout de poil de dispositions réfractaire. Mais je tombe de haut de constater que ce que j'ai produit est noté de cette façon. Je comprends mal, ou trop bien, ce que signifie le fait de noter comme ça un oral qui n'a rien d'une grosse plantade non plus.
cococacao Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Ca c'est sûr. En tout cas, avec moi, ce jury a gagné dans sa quête de dégoûter le candidat. tu as eu le concours lili?
Boogie44 Posté(e) 9 juin 2011 Auteur Posté(e) 9 juin 2011 "le bonheur n'a jamais été le lot de ceux qui s'acharnent." Jean Giraudoux
Boogie44 Posté(e) 9 juin 2011 Auteur Posté(e) 9 juin 2011 La vie comme elle est La vie, c'est juste l'intervalle de temps qui s'écoule entre le moment de sa naissance et celui de sa mort. La question fondamentale est de savoir comment occuper le temps dont nous disposons. Autrement dit, tout est dans les choix. Ceux que nous faisons ou ceux que nous laissons d'autres faire à notre place, en sachant que ces derniers sont généralement bien moins satisfaisants que les nôtres et qu'ils sont lourds des regrets que l'on ne manquera pas d'avoir au bout du compte. Le problème, c'est que choisir, c'est renoncer. C'est forcément oublier certains rêves et certaines espérances, juste parce que nous n'avons qu'une seule vie à dépenser et qu'il n'est pas possible de tout y faire. [...]
cococacao Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Et non. Tant pis. et oui comme tu dis: tant pis... "le bonheur n'a jamais été le lot de ceux qui s'acharnent." Jean Giraudoux et pourquoi ceux (certains ) qui s'acharnent n'auraient pas le droit au bonheur de réussir? Il faut alors abandonner pour être heureux??
Boogie44 Posté(e) 9 juin 2011 Auteur Posté(e) 9 juin 2011 "se méfier des penseurs qui pensent avec des citations" Cioran bien sûr, tu as raison Cococacao
cococacao Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 "se méfier des penseurs qui pensent avec des citations" Cioran bien sûr, tu as raison Cococacao il s'est jamais acharné Giraudoux! Bon je filoche, bon am!
AubergineFelee Posté(e) 9 juin 2011 Posté(e) 9 juin 2011 Des pensées pour vous :wub: Je vais partie des acharnées ...
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