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les loosers


Boogie44

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je trouve aussi qu'on ne peut pas tout juger à l'emporte-pièce !

la reproduction sociale est un fait , mais c'est aussi dû au milieu fréquenté

Nous sommes 15 dans la famille, et je suis la seule à avoir fait des études. c'est aussi une question d'exemple, mes cousins et cousines ont suivi les traces de leurs parents, n'aiment pas lire mais n'avaient pas de livre à la maison, etc ... Ils n'ont pas été rejeté par un système , ils ne voulaient pas du système. D'ailleurs, ils ont tous fort bien réussi sans être pour autant cadre sup

De mon côté, j'ai réussi dans le privé et mon arrivée dans l'EN était voulue, mais représentait aussi un sacrifice. j'ai gagné en 15 ans ce qu'un PE ne gagne pas en 40 ans de carrière ! Je ne me suis pas sentie inférieure, je considère la possibilité de changer de vie comme une chance, et aussi une chance de pouvoir enseigner.

Quant à "vendre son âme au diable" pour paraître une bonne collègue, j'aspire à être une collègue à l'écoute et étant force proposition avant toute autre chose. Je ne critique pas le système, j'essaie de trouver des idées pour le faire fonctionner au mieux !

je ne sais pas si j'ai été claire, levée depuis 4h ce matin, je n'ai plus les idées claires

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(...) Si je continue du côté de mes renonciations j'ai passé le concours en "candidat libre" avec des cours chez forprof, d'où les guillemets. Je ne m'y suis pas résolu facilement, et je me suis trouvé de bonnes raisons de le faire. Je crois qu'il est difficile d'avoir le concours maintenant sans ces reniements, en tout cas j'ai une profonde admiration pour ceux et celles qui osent garder la tête droite en toute occasion. J'espère me racheter en proposant aux enfants une pédagogie assez éloignée du formatage auquel je me suis plié.

Très sincèrement, j'aurais aimé pouvoir faire comme toi, Ttam-ttam. Seulement, il me semble que si tout n'était qu'une question de stratégie consciente, ça se saurait. Il y a des choses qu'on peut analyser, mais qui s'imposent quand même à nous. On peut s'approcher d'une compréhension de notre propre fonctionnement sans forcément pouvoir le changer. (parfois si, hein, heureusement).

Il n'y a à mon sens aucune histoire de "vendre son âme au diable", incidemment. S'il n'y a pas vraiment choix (ce que je crois), il n'y a pas non plus de supériorité morale quelconque. Chacun fait ce qu'il et elle peut - comme les élèves... Je ne voudrais pas être taxé de déterministe, je voudrais situer l'échange au-delà de l'opposition 'liberté/déterminisme'. Sur le plan politique, en fait, donc collectif : les choix (censés être) collectifs devant (normalement) déterminer le cadre de nos vies (dont celui de notre emploi). C'est ce cadre, qui est le résultat en grande partie de choix politiques, qui surdétermine la façon dont le recrutement social de la profession se réalise. Je ne souhaite pas que mes propos soient réduits à une adresse individuelle : ça n'est pas mon propos.

Cémoi85, en effet, j'évoque dans les messages précédents le fait que le recrutement dans le métier d'enseignant est socialement marqué, et caractérisé par un important taux de reproduction sociale, c'est tout un simplement un fait statistique. De fait tu te situes dans une marge statistique, ce qui n'invalide pas du tout le constat quant à la situation d'ensemble.

Cela va de soi que quand on est une exception statistique, on a du mal à réaliser que justement on est une exception, et donc que les phénomènes dominants relèvent d'autres logiques que celles qu'on a soi même connues. Mais pourtant...

Je ne vais pas te répondre par rapport à la façon que tu as de psychologiser mes propos : certes, je suis frustré, je ne m'en cache pas, mais je ne procède pas à une externalisation totale des causes de mon échec (je sais que j'ai certainement la plus grande part de responsabilité).

Et quoi qu'il soit, cette façon que tu as de réduire des propos à de basses et viles motivations (rager sur mon échec en l'imputant aux autres) n'obère en rien le contenu des mes propos. Dit autrement, on peut dire des choses vraies pour de mauvaises raisons, et ça n'est pas parce que les raisons sont mauvaises que ce qui est dit doit être disqualifié. (important à comprendre quand on est enseignant me semble t-il).

On psychologise tout de nos jours, et surtout la critique et la contestation. Ceux et celles qui l'ouvrent sont bien souvent décrits comme des frustré.es ou des instables, voire des personnes avec des pathologies. Moi j'ai tendance à penser, et ça n'est peut-être pas plus fin, que c'est plutôt l'inverse.

Les médias psychologisent les problèmes sociaux, les instits psychologisent les élèves, les ministres psychologisent les réfractaires, et toute parole discordante est psychologisée. C'est pratique : on se reporte sur le locuteur en oubliant la locution. Comme ça on a pas à s'en occuper, c'est pépère.

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et si au lieu de te gargariser d'effets de langue, tu te regardais honêtement, et si tu acceptais l'échec pour repartir sur de bonnes bases, et si tu avais une attitude altruiste et un début de professionnalisme, en ne dévalorisant pas la réussite de tes "collègues"?

Je pense que si tu ne peux pas te remettre en question, si tu n'arrives pas à tirer leçon de tes échecs, que vas-tu enseigner à tes élèves eux aussi en échec?

Je te souhaite de réessayer, de réussir, car je penses que tu as d'énormes qualités, trouve ce petit supplément d'âme qui est caché au fond de toi, n'aie pas peur de le montrer, que dis-je de le brandir au nez du jury l'an prochain!

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et si au lieu de te gargariser d'effets de langue, tu te regardais honêtement, et si tu acceptais l'échec pour repartir sur de bonnes bases (...)

c'est rude, mais il y a du vrai.

Cependant... non rien.

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Je t'envoie une pensée positive, et je te souhaite une bonne journée

Ta prose m'a touchée, surtout ne reste pas muet, tu as tant à dire, et si élégament, ne nous en prive pas!

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Assez d'accord avec poil de carotte loupiotte13,

Oui le concours est injuste mais est il vraiment possible de faire autrement ?

J'ai eu des très bonnes notes pas complètement méritées et pourtant sans prétention je ne pense pas avoir démérité ce concours,

Ne pas dire complètement ce qu'on pense et montrer qu'on prendra conseils auprès de collègues plus expérimenté et que l'on n'est pas blasé avant de commencer, c'est vrai dans n'importe quel entretien pro.

Accepter l'échec c'est long,

Accepter de se remettre en question c'est dur,

et pourtant il le faut,

Tu as du talent c'est évident tu pourras le mettre en valeur, ici (à l'EN) ou ailleurs;

Et dans quelques mois ou quelques années, cet echec ne sera qu'un mauvais souvenir, tu ne garderas qu'une petite bosse et c'est grasse aux petites bosses que la vie prend toute son importance

Courage

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  • 2 semaines plus tard...

Je fais remonter le sujet, non par simple masochisme égocentrique mais parce que je me demande si certain(e)s, comme moi, se retrouvent (ce matin) au fond du trou après un échec de trop.

Ce n'est "que" la deuxième fois que je passais le CRPE. Etant plutôt médiocre en mathématiques, mon premier échec l'an dernier m'avait semblé tout à fait normal : j'avais eu finalement peu de temps pour combler un retard qui datait du lycée (il y a un bail). Pas d'oral (mais tout de même 9.75/20 avec un 3 et quelque en maths) mais finalement des notes qui reflétaient totalement mon investissement et mes compétences. Je repartai donc serein et motivé. Après un été à faire des annales CRPE et un stage Forprof (+ écrits blancs) j'étais admissible. Content d'avoir vaincu le signe indien des mathématiques et conscient d'avoir plutôt bien réussi le reste j'étais finalement assez confiant.

De nouveau Forprof, un passage rapide en IUFM (bien trop axé à mon gôut sur des mémoires et des rapports de stages), un stage, quelques suppléances et un travail quotidien assez régulier me poussait à penser que je parviendrai à mes fins. Car déjà titulaire d'un Master depuis quelques années, j'avais passé des dizaines d'entretiens en tout genre (pour intégrer des formations post bac +2, pour des stages, pour des jobs à l'étranger, professionnels...) tous ou presque soldés par des résultats convaincants. Mes différentes activités depuis 10 ans ont toujours été de parler à des publics (guide touristique, accompagnateur, responsable de sorties culturelles...). Mes stages dans l'EN se sont toujours soldés par des encouragements à poursuivre dans cette voie. Mes suppléances se sont toujours bien passées malgré des conditions parfois très délicates (remplacement d'une suppléante en double niveau Cp/Ce1 pour débuter). Bref, sans nombrilisme ni prétention, je pensais que l'oral ne constituait pas une barrière insurmontable pour moi. Et puis Forprof à Rennes, c'est quand même du solide.

Les oraux donc. Stressé malgré tout (c'est à dire que j'avais besoin de ce concours avant le grand plongeon vers le RSA) mais finalement relativement serein : Soyons "vrai", avenant et motivés. Mes oraux blancs avaient plutôt été corrects, donc...Je précise que j'avais accepté la présence d'un autre stagiaire FP, non admissible (mais ayant suivi la formation "oral") en tant qu'auditeur.

Première épreuve : Maths/Arts Visuels.

Bon la didactique des maths, c'est ce que j'avais bossé le plus. D'une part par soucis de connaissance et d'autre part pour comprendre ce qui peut bloquer (j'en sais quelque chose) et les remédiations possibles. Arts Visuels : J'attendais avec impatience cette épreuve. Passioné d'arts depuis pas mal de temps (avec une grande part laissée à l'Histoire de l'art dans mon cursus) j'ai presenté un assemblage personnel,en en parlant avec interêt sans bien sûr omettre d'évoquer des pistes péda, des prolongements etc... En maths mon exposé plutôt classique me semblait correspondre aux attentes du sujet (constuire un cercle avec un compas). J'ai profité du jury d'AV pour faire des liens avec des artistes du XXème siècle à partir desquels on pouvait travailler sur le cercle (Stella, Delaunay, Vasarely notamment pour ceux qui connaissent) en travaillant le geste, le rapport au carré (de manière perceptive) avec des cercles inscrits et circonscrits, des cercles concentriques... Ma prestation d'emsemble m'a paru correcte, une connivence avec la prof d'arts plastiques avec laquelle on a finalement beaucoup échangé me laissait pensait que sans être extraordinaire, mon oral était réussi. (19mn50 d'exposé en maths et 10mn30 en AV)

Seconde épreuve : Français/AFE.

Bon le sujet de français ne m'a guère emballé certes (homophones grammaticaux en CM2) mais j'ai essayé là encore de rester classique afin d'éviter de me disperser. L'exposé m'a semblé maîtrisé sans être exceptionnel. En revanche j'ai trouvé mon entretien plutôt bon, sachant répondre aux questionset justifier mes choix. J'ai trouvé les questions assez générales et rien ne laissait présager que mon exposé était pétri de carences. En AFE, le rôle du PE et de l'ATSEM. Bon après 2 stages en maternelle, je commençais à connaître le fonctionnement d'une ATSEM. Après un rapide distingo sur leur statut j'ai évoqué les conditions d'un partenariat efficace entre les 2 protagonistes (2ème partie de la question). Encore à l'heure actuelle, je ne vois pas comment être plus précis/exhaustif/concis...

A l'issue de ces oraux les discussions avec mon auditeur/collègue me confortaient. Bon si je rate le concours, c'est que mon écrit est trop juste et que je ne serai pas parvenu à rattraper un retard trop important. On attend donc.

Et hier le verdict tombe : 12 (6.5 en maths et 5.5 en AV) et 11 (5 en français et 6 en AFE). J'étais dans la zone d'admis (13.08/20) à l'issue de l'écrit. Bilan : recalé pour 0.4 points (soit 2 points...). Je dois être le premier (ou pas loin) non inscrit sur LC. Et un sentiment d'incompréhension.

Visiblement la méthode Forprof était la bonne (je suis le seul du groupe sur 8 ou 9 à ne pas être admis), visiblement mon groupe de travail était efficace (toutes 2 dans les 15 premières dont une sur le podium) mais quelque chose n'a pas fonctionné. Alors certes, 11 et 12 restent des notes convenables, mais clairement pas suffisantes à Rennes pour passer. Et cette question, lancinante... Mais où ai-je pêché ?

Alors, après le choc vient la "haine", puis la tristesse puis... plus rien... Pour 2 malheureux petits points les prochains mois vont être pour moi un enfer : Plus de chômage, loin de mes amis et de mes proches dans l'obligation de gérer mon couple (qui a souffert depuis des mois) et surtout cette question vais-je le repasser ?

Toutes les "emmerdes" ressurgissent : les factures laissées en stand-by, les CV à ressortir (et à actualiser... vaste tâche), les bouquins de révisions à vendre ou à ranger...

Que faire ? Repasser le concours ? Pourtant quelque chose me dit que ces notes ne doivent pas êtres anodines. Peut être n'est ce que pure spéculation, qu'un détail technique dans mon exposé a ennuyé le jury ? Une réponse mal assurée ? Mais je ne sais pas, je comprends pas. Peut être ma (relative) sérénité passe t'elle pour de la nonchalence ? Peut être mon coté sudiste (avec l'accent qui va avec) ne passe t'il pas (trop impulsif, trop taquin trop.... je ne sais pas) dans une académie rude déjà bien pourvue en étudiants de qualité. En tous les cas le doute persiste... Et je ne saurai m'empêcher de penser que si c'est bien l'une des causes de ma non sélection (ou si je continue de le croire) je pourrai passer le concours 100 fois que je ne correspondrai toujours pas aux attentes du jury. Parce qui si la méthode employée, vaut 18 à d'autres et 11 à moi, c'est bien que ce n'est pas la méthode qui est sanctionée mais la manière de s'exprimer ou la personnalité.

Quoi qu'il en soit, je ne sombrerai pas dans une critique stérile de mes pairs aussi improductive qu'injuste. Ceux qui sont reçus le méritent sans aucun doute et si, moi, je ne lui suis pas c'est que quelque chose n'a pas fonctionné. C'est juste que je me demande aujourd'hui comment je vais rebondir après des mois et des mois à ne faire que ça à injecter toutes mes économies et mon énergie... Continuer les suppléances et le passer dans le privé ? Mouais... Cela veut dire encore une année (au moins) de galères à serrer la ceinture et çà travailler comme un malade pour juste survivre... Changer de cap ? Là encore faudra l'expliquer à des recruteurs (et dans mon secteur, ici, les offres ne courent pas les rues, tout est souterrain et par réseaux... Or étant "nouveau" ici...).

Bref, plus dure est la chute mais là l'atterrissage est violent... Je suis K.O. Je me relèverai. Mais à plus de trente piges, je me dis que j'ai peut être déjà foiré ma vie professionnelle.

Désolé de me répandre ainsi sur un forum, je ne suis pas coutumier du fait. Mais ce genre d'échec ne peut être partagé qu'avec ceux qui passent par là, qui savent ce que représente une telle désillusion.

Félicitaions aux admis et courage aux autres.

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Je suis très émue par ton témoignage Benoi13... J'ai passé hier mon dernier oral et je n'ai pas encore les résultats mais je me reconnais dans tes descriptions : j'ai l'impression d'avoir donné le meilleur de moi-même mais j'ai l'impression que ce meilleur n'est peut-être pas suffisant et que je tirerai un peu les mêmes conclusions que toi en cas d'échec.

En tout cas, merci d'avoir témoigné et vraiment, sincèrement, je te souhaite beaucoup de courage pour la suite...

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Benoit13: Je suis dans le même cas que toi et tes propos me touchent. Je n'arrive pas à comprendre aussi. Cela fait plusieurs années que je passe des concours: j'ai de très bonnes notes et puis "une" note "minable" qui se balade et plombe tout. C'est de + en + dur à encaisser. A l'oral(là où ça pêche), cette année par exemple, j 'ai eu 14,5 à un oral(celui que je pensais avoir le- réussi) et 6,5 au deuxième avec 2,5 en maths( que je pensais avoir + réussi)...Tout comme toi, je ne toucherai rien cet été et c'est l'angoisse en septembre: Que vais-je faire? Est-ce que je continue pour rater à chaque fois mon concours pour 1point? Manifestement ils ne me veulent pas et je n'arrive pas à comprendre pourquoi à force.:cry:

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Bonjour,

Pour faire suite à la réponse de Benoi13, moi aussi j'ai été recalé cette année encore (pour la 3eme fois en étant admissible à chaque fois). Des gros cartons à l'oral, que je n'arrive pas trop à expliquer... J'ai 40 ans cette année, je travaille aussi. J'avais préparé avec FORPROF aussi et me situais plutôt bien par rapport aux autres.

Pourquoi de tels écarts (14-15 avec FORPROF et 5-6 au CRPE) ?

Est-ce lié à l'age ? au stress (je ne pense pas en avoir tant que ça )!! Je ne suis pas passé par l'IUFM, est-ce que ça se "voit" ? Les hommes "reconvertis" sont-ils moins "désirés" ?

Les stages étaient pourtant très bien.

L’Éducation Nationale ne veut définitivement pas de moi, tant pis, je passe donc à autre chose.

La claque est dure à encaisser d'autant que j'y croyais et que je m'y étais vraiment investi aussi bien sur le plan financier, que personnel et familial.

Je n'en veux à personne (ni au système ou quoi d'autre), je suis bien le seul fautif, mais je suis déçu car les efforts fournis ne sont pas valorisés...

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Tu es dans quelle académie Laulovals ?

Que c'est dur. Bien sûr le temps fera son action et un jour tout repartira.

Mais dans quelle direction aller ?

Les nombres de postes en 2012 ne sont pas tombés mais il se murmure déjà qu'ils seront ridiculement bas. Car le problème est certainement là aussi. Le jour où il y aura 10 postes, comment sélectionner ? Lorsqu'il y avait 250 postes dans l'académie, le domaine des "possibles" était forcément beaucoup plus important qu'avec 70.

Plus tu restreins, et moins le jury prendra de risque.

Aujourd'hui, les CLES, CE2I , APS et autres gaîtés dissuadent bon nombre de gens en reconversion, le Master risque de devenir la seule voie pour accéder au concours. Les postes en troisième voie sont ridiculement bas (3 postes pour 90 candidats en Bretagne) et à moins de se payer 2 ans de master ou Forprof, point de salut pour les autres.

Je n'ai pas le C2I, j'attends les résultats du CLES (depuis 4 mois...) et je ne sais pas si j'aurai le courage de perdre encore une année pour un jeu de loterie.

Enfin, des jours meilleurs s'annoncent... Il faut être patient...

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Je n'en veux à personne (ni au système ou quoi d'autre), je suis bien le seul fautif, mais je suis déçu car les efforts fournis ne sont pas valorisés...

difficile de ne pas voir dans cette phrase un certain paradoxe... pourquoi ne pas en vouloir à un système qui ne valorise pas les efforts ? Pourquoi absolument tout internaliser ?

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