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dépression et crises d'angoisse - je ne veux pas reprendre en sept


Doko

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Bon ben non, puisque je viens de voir que les nouveaux arrivants n'ont pas accès à la messagerie privée ! Ben tant pis pour moi...

agef, il te suffit d'écrire cinq messages pour avoir accès à la messagerie privée...

Ah, la, la t'as pas lu la Charte, toi!

http://forums-enseignants-du-primaire.com/index.php?app=forums&module=extras&section=boardrules

5- Accès aux fonctionnalités et forums après l'inscription et catégories de membres

Et pis comme ça t'en sauras un peu plus sur l'association

Et comme tu dis y'a beaucoup de gens dans cette situation...Moi je suis sur le fil, mais pour le moment, pas tombée...

Courage!

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Et il ne te manque plus qu'un message pour pouvoir avoir accès à d'autres fonctionnalités.

N'hésite pas à vadrouiller un peu partout, c'est assez varié pour que tu puisses trouver ton compte. Et puis échanger sur le boulot ça peut déstresser aussi, on se sent tellement seul dans sa classe.

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Bon allez, ne nous fâchons pas!! Toute souffrance mérite d'être entendue. L'angoisse et la dépression ne se maîtrisent pas, nous sommes inégaux face à elles.

Je souhaiterais simplement que notre hiérarchie nous entende vraiment et que certains médecins revoient leur copie.

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les choses s'accélèrent de plus en plus pour moi. Après discussion avec ma directrice et certains membres de ma famille (et oui enfin), je compte prendre un arrêt maladie et sans doute ne plus être instit.

Reste plus qu'à en parler à mes parents mais j'ai très peur de leur réaction (je ne voudrais qu'ils dépriment à leur tour). Et puis c'est dur qu'on est pas fait pour faire le métier qu'on faisait. Et puis pour faire quoi? Pas simple comme situation

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Bonjour,

Pour la première fois j'envisage d'avoir ma place sur ce post...

Je me sens glisser lentement vers la dépression. Ce n'est pas mon métier qui me déprime en premier lieu, mais ma vie perso. Du coup je ne suis plus qu'un fantôme... Les élèves le sentent très bien. Il faut que je soit un dragon tyrannique (oui oui les 2 à la fois) pour avoir une classe silencieuse et travailleuse. Je n'ai plus de dynamisme pour intéresser mes élèves ou aider ceux qui sont à la ramasse. Cela ne me convient pas du tout. Passer ma journée à dire d'un ton glacial "assis", "tais-toi" "tu prends une barre" etc... me gonfle au plus haut point.

Je suis fatiguée, je ne me rappelle pas la dernière fois où j'ai dormi correctement...

J'attends que la journée passe pour rentrer chez moi, sauf que chez moi je ne me sens pas bien du tout...

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Bonjour, j'ai lu dans les gdes lignes les 29 pages concernant ce post..et je m'interroge. Moi même je ne me sens pas bien dans ce métier pour toutes les raisons évoquées...jai eu en debut de carrière tous les symptomes du debut de dépression (insomnies, vomissement, angoisses....). Aujourd'hui cela fait 5 ans que j'enseigne et cela fait 5 ans que je cherche à me reconvertir. C'est cette idée qui m'a fait tenir jusqu'ici...Suis-je une des seules à penser quitter le métier tout simplement? Quand on est si mal, ne seriez vous pas tous soulager de vous dire que vous pourriez faire autre chose?

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Je me retrouve dans ce que tu dis 100884. J'ai aussi 5 ans de carrière. L'envie d'arrêter ne se fait sentir que depuis 2 ans mais en y réfléchissant bien je me rends compte que j'ai toujours eu des angoisses concernant mon boulot et je pense de plus en plus je me suis trompée de métier (et c'est aussi ce qu'on me dit!).

Ce que je peux te conseiller (en tout cas, c'est ce que je vais faire), c'est en premier lieu de prendre un arrêt maladie le plus long possible de manière à réfléchir à ce que je veux faire. En effet, dans notre métier on est toujours dans l'action et on ne peut pas prendre de décisions dans ce cas-là.

En tout cas, je croise les doigts pour obtenir mon arrêt. ce sera un premier pas vers la guérison de ma dépression.

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Tout d'abord bon courage à tous ceux qui ont ces soucis de dépression et d'angoisse...

j'ai eu aussi des soucis de crise d'angoisse...une classe difficile, des soucis avec des collègues...même sur juillet août ce n'était pas mieux...difficulté à me remetttre de l'année écoulée, stress à l'idée que la nouvelle classe soit pareille, stress de savoir comment ca allait se passer avec les collègues à la rentrée...

plein d'examens médicaux et au final tout est nerveux...15 jours d'anxiolitique avant la rentrée et par bonheur depuis la rentrée ça va mieux : classe sympathique et surtout je prends soin de moi !!!

sur les conseils de mon médecin j'ai repris le sport, je fais de la relaxation avec un professionnel...autour de moi tout le monde me dit que j'ai meilleure mine alors que beaucoup ne savaient pas ce que j'ai vécu l'an dernier...

je souhaitais juste vous apporter mon témoignage car il faut garder espoir, les choses peuvent s'arranger et surtout prenez soin de vous, je pense que c'est le principal ! ! ! nous avons un métier prenant, en temps et surtout en énergie...dites stop et passez votre bien être avant tout...

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eh bien ça y est, me concernant, je suis en arrêt. Pour seulement 10 jours : mon médecin me dit que tant que je serai dans cette école, je serai dans cet état mais que si je n'y vais pas, ça ne règlera pas le problème, qu'il ne faut pas que je m'enferme.

j'ai l'impression de tourner en rond.

et puis, ce soir crise d'angoisse alors que je sais que je ne retourne pas à l'école. Bon soit, on m'a parlé de l'école tout le week-end alors c'est peut-être ça mais mon moral en prend un coup. J'ai besoin de trouver des réponses : est-ce cette école qui me met dans cet état ? est-ce ce métier tout simplement ? et changer, mais pour faire quoi ? Je n'ai pas l'énergie nécessaire pour m'imaginer mettre de l'énergie dans quoique ce soit d'autre.

Avec les médicaments je m'endors facilement, mais mes nuits sont très agitées, pleines de rêves et je n'ai pas l'impression d'avoir dormi.

Ptitesand, et ceux qui vont mieux, ça m'aide à garder le moral, je me dis qu'un jour peut-être, tout ça sera derrière moi. Dans les bons moments, je me dis que finalement, je vais plutôt bien, que je suis sûre que je peux m'en sortir, en prenant sur moi et me donnant un coup de pied aux fesses ! Et généralement quelques heures plus tard une nouvelle crise d'angoisse surgie ainsi que des changements d'humeur et là, je n'ai plus le moral du tout, je me dis que je ne contrôle rien et que je n'y arriverai jamais.

A ceux qui sont en arrêt, au bout de combien de temps vous avez commencé à "oublier" un peu l'école et à vous sentir mieux ?

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Très gros doutes pour moi également, je revois mon psy depuis peu et j'ai aussi demandé à une conseillère péda de venir me voir dans ma classe (elle vient demain!) parce que je n'arrête pas de bosser et je le vis très très mal...

Cela joue aussi sur mon couple parce que je ne décroche pas et que du coup pas de moments à deux :-(

J'ai extrêmement peur de l'avenir!!

Je me dis qu'on a qu'une vie et j'angoisse énormément à l'idée de devoir faire ce métier encore tant d'années...

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