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Pôle Emploi recherche 300 instits pour la Seine-Saint-Denis !


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Ah ! Je me mélangeais avec les histoires de vacataires Je croyais qu'on les employait avec un "statut" d'instituteur !

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Ils bénéficient déjà de bons alimentaires tu voudrais pas qu'en plus ils soient payés!

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Mais voyons ils ne travaillent pas pour l'argent!

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Edifiant !! Allez voir ça!! :(:(

NTERVIEW VÉRITÉ THOMAS SOTTO

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Recrutement à l’Education nationale : le grand n’importe quoi

Publié à 08h34, le 29 octobre 2014

, Modifié à 08h34, le 29 octobre 2014

http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/l-interview-verite-thomas-sotto/videos/recrutement-a-l-education-nationale-le-grand-n-importe-quoi-2273737

Quand on entend que l'Etat va débourser 500 millions pour du périsco, ça me fait enrager !

hallocitrou.gif

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Edifiant !! Allez voir ça!! :(:(

NTERVIEW VÉRITÉ THOMAS SOTTO

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Recrutement à l’Education nationale : le grand n’importe quoi

Publié à 08h34, le 29 octobre 2014

, Modifié à 08h34, le 29 octobre 2014

http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/l-interview-verite-thomas-sotto/videos/recrutement-a-l-education-nationale-le-grand-n-importe-quoi-2273737

Quand on entend que l'Etat va débourser 500 millions pour du périsco, ça me fait enrager !

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...après les stagiaires voilées à l'école, les contractuels à capuche en classe ?

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Edifiant !! Allez voir ça!! :(:(

NTERVIEW VÉRITÉ THOMAS SOTTO

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Recrutement à l’Education nationale : le grand n’importe quoi

Publié à 08h34, le 29 octobre 2014

, Modifié à 08h34, le 29 octobre 2014

http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/l-interview-verite-thomas-sotto/videos/recrutement-a-l-education-nationale-le-grand-n-importe-quoi-2273737

Quand on entend que l'Etat va débourser 500 millions pour du périsco, ça me fait enrager !

hallocitrou.gif

Facile en touchant aux ALLOCS, en les réduisant pour beaucoup (et ce n'est qu'un début), ils "peuvent" financer le périscolaire...

"je suis plutôt sur le principe d'universalité", a déclaré le sénateur lors de l'émission Preuves par trois (Public Sénat/Dailymotion/AFP), interrogé sur sa position au sujet de la politique familiale.

Selon lui, "on fait des choses qui sont un peu contraires. On va demander à la Caisse nationale d'allocations familiales de financer la réforme des rythmes scolaires, ce qui va coûter très très cher (...). Et (dans le même temps, ndlr) on va tailler dans les allocations familiales", avec leur mise sous conditions de ressources, proposée par les députés la semaine dernière avec l'aval du gouvernement.

"Je le dis sous le double aspect des rythmes scolaires et de l'universalité: on a tort d'avoir fait l'un et tort d'avoir fait l'autre", a estimé M. Collomb, qui va "va essayer de faire changer le gouvernement, si c'est possible".

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Des parents en colère créent le ministère des bonnets d'âne à Saint-Denis

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Un collectif de parents d’élèves squatte depuis dimanche un terrain en friche en plein centre-ville de Saint-Denis. Ils y ont construit un atelier en bois et en tôle et un chapiteau, siège d’un nouveau « ministère des bonnets d’âne », pour protester contre les ratés de l’Education nationale dans la ville et le département. Ces parents d’élèves souhaitent y organiser des manifestations décalées comme un speed-dating pour recruter des instits remplaçants, ou lancer le site adopteunprof.org, mais aussi, plus sérieusement, récolter les témoignages des parents pour constituer un recours auprès du Défenseur des droits. Le département souffre d'une pénurie d'enseignants et doit parfois recruter des remplaçants non formés via Pôle Emploi.

http://videos.leparisien.fr/video/des-parents-en-colere-creent-le-ministere-des-bonnets-dane-a-saint-denis-03-11-2014-x297ot9

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De mieux en mieux !! :bye2:

Joëlle, instit sans salaire, dépannée avec des bons alimentaires

Aurélie Lebelle | Publié le Mardi 04 Nov. 2014, 20h36 | Mis à jour : 23h01

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Les enseignants stagiaires de l’école supérieure de

professorat et de l’éducation de Livry-Gargan ont manifesté ce mardi. (DR.) DR

La grogne s’intensifie en Seine-Saint-Denis. Ce mardi plus de 300 jeunes professeurs des écoles stagiaires manifestaient à Livry-Gargan. Ils devraient être plus nombreux encore à se rassembler mercredi devant la direction académique de Bobigny. Ce qu’ils réclament ? Une révision de leur formation, mal adaptée, mais aussi le versement des salaires de certains de leurs collègues - une trentaine selon les syndicats - qui n’ont toujours perçu aucun acompte depuis la rentrée scolaire.Pour faire face à ce « problème technique », la direction académique a proposé des bons alimentaires aux 231 enseignants stagiaires et contractuels concernés jusqu’à la semaine dernière. Témoignage de Joëlle, 53 ans, qui est allée demander un carnet de tickets aux services sociaux de l’Education nationale.

Joëlle : «Je n'avais jamais eu de problèmes financiers»

Avant cela, Joëlle ne s’était jamais sentie humiliée. Pourtant, à 53 ans, cette mère de famille de trois grands enfants montre avec amertume et déception le carnet de tickets alimentaires qu’elle est allée chercher aux services sociaux de l’Education nationale. « J’ai un certain âge, une carrière de militaire derrière moi et je n’ai jamais eu de problème financier, liste-t-elle. Je trouve cela scandaleux de proposer des bons alimentaires à des gens qui sont diplômés. »
Comment en est-elle arrivée là ? Contractuelle depuis trois ans, Joëlle a finalement passé le diplôme et enfilé, à la rentrée, sa nouvelle casquette de professeur stagiaire dans une école d’Aulnay-sous-Bois. Heureuse ? Oui. Ravie même ! Jusqu’à ce qu’elle constate qu’elle n’était pas payée, comme 230 autres collègues du département. Officiellement à cause d’un « problème technique », certains enseignants stagiaires n’ont touché aucun salaire ni acompte jusqu’à la semaine dernière. Un scénario catastrophe pour la plupart d’entre eux. Le 20 octobre dernier, Joëlle faisait donc partie des manifestants venus réclamer leur dû devant la direction académique de Bobigny. « C’est là qu’on nous a parlé des bons alimentaires pour la première fois, se souvient-elle. Il y avait une maman avec son fils qui expliquait qu’elle avait dû frauder dans les transports pour venir. Et qu’elle ne savait pas comment le faire manger le soir. »
Alors Joëlle a demandé à avoir des bons alimentaires, davantage « par principe que par besoin ». « Ils nous ont dit qu’il fallait aller les chercher au rectorat de Créteil », poursuit-elle. Mais quelques jours après, les fameux tickets de 5, 10 et 20 € sont rapatriés à Bobigny. Avec trois autres enseignants non payés, Joëlle passe le cap et « réclame » des bons. « Il n’y avait que trois carnets disponibles à Bobigny, précise-t-elle. Nous étions quatre. On nous a dit qu’une personne ne pourrait pas en avoir.En réalité, ils étaient persuadés que personne n’oserait en demander. »

http://m.leparisien.fr/livry-gargan-93190/joelle-instit-sans-salaire-depannee-par-des-bons-alimentaires-04-11-2014-4265509.php

Posté(e)
Stagiaires et contractuels non payés. Le scandale continue et s’amplifie…

par MV | oct 21, 2014 | , , , |

fiche.de_.paie_.bleu_-150x150.pngDes enseignants stagiaires et des contractuels ont de nouveau été reçus par la DSDEN avec le Snudi FO, Sud et la CGT ce matin (communiqué commun en pièce jointe).

Les seules réponses que le DASEN fait, par le biais de l’IEN adjoint, de la chef de cabinet et de la Secrétaire générale :

– Prendre rendez-vous avec leur banque

– Demander des bons alimentaires aux services sociaux de la DSDEN

– Demander une aide d’urgence à la mutuelle MGEN

– Faire appel aux assistantes sociales de la DSDEN

Ce qui constitue déjà un scandale en soi, nous avons appris que les collègues qui souhaitent « simplement » des bons alimentaires pour pouvoir se nourrir doivent se déplacer jusqu’à… Créteil pour aller les chercher. Monsieur le Directeur n’a-t-il pas compris que les collègues n’ont pas d’argent pour se déplacer ? N’a-t-il pas compris que c’est seulement en fraudant – suggérons aux collègues qui rencontreraient les contrôleurs de s’adresser à Monsieur le DASEN – ou en empruntant de l’argent autour d’eux qu’ils pourront s’y rendre ?

Comment accepter que les services restent insensibles à la détresse d’une maman qui se prive pour pouvoir nourrir son fils et qu’on la laisse aller à Créteil avec lui pour pouvoir le nourrir le soir même ? Cette attitude – en plus du scandale du non-paiement – est indigne d’un ministère qui se doit d’être exemplaire.

Comment accepter qu’un collègue fasse un malaise hypoglycémique ?

Comment accepter que l’administration refuse que les délégués syndicaux, représentants du personnel accompagnent les stagiaires dans une situation très difficile pour les aider et les soutenir ?

Comment accepter qu’une « avance » soit versée ? Non, il ne s’agit pas d’une avance (une avance se fait AVANT le versement normal du salaire, là on en est loin), il s’agit d’un retard, comme le faisait fort justement remarquer une stagiaire présente ce matin.

Comment accepter que le Directeur académique lui-même ne se déplace pas pour soutenir ses fonctionnaires, au moins pour leur témoigner de son appui et de son implication ?

Au Snudi FO, nous ne l’acceptons pas.

Le Snudi FO est intervenu dès ce soir pour demander à ce que les bons alimentaires soient rapatriés de Créteil à Bobigny pour que les stagiaires n’aient pas tout ce trajet à effectuer.

La DSDEN s’est engagée à les rapatrier dès demain matin. Le Snudi FO vérifiera…

Où doit-on en arriver ??? Négocier que les bons alimentaires soient plus accessibles alors qu’un salaire devrait tout régler.

Dès que nous savons que ces bons sont arrivés à Bobigny, nous vous enverrons un mail et un SMS.

Faites-nous parvenir votre mail, votre numéro de téléphone.

Le Snudi FO propose également à chaque stagiaire en difficulté financière de déposer un référé au tribunal administratif.

Appelez-nous, envoyez un mail, nous vous expliquerons comment faire.

Le Bureau départemental du Snudi FO 93

http://www.snudifo93.net/stagiaires-et-contractuels-non-payes-le-scandale-continue-et-samplifie/

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