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Fusillade à Charlie Hebdo


André Jorge

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http://www.ledauphine.com/faits-divers/2015/09/18/une-explosion-de-voiture-suspecte-ain-explosion-de-voiture-suspecte

AIN

Un imprimeur de Charlie Hebdo blessé dans une mystérieuse explosion

Alors qu’il venait de démarrer sa voiture, devant chez lui, une violente explosion a littéralement déchiré la carrosserie. L’homme a été grièvement blessé. La thèse accidentelle est « plausible », mais les gendarmes ne ferment aucune autre hypothèse.

Il est environ 7 h 30, vendredi, quand cet homme de 47 ans sort de sa maison près de Baneins (Ain) pour se rendre à son travail. Il referme la portière de sa Renault Mégane et met le contact. Une violente explosion déchiquette subitement le véhicule. Le pare-brise est projeté à cinquante mètres. Le hayon se retrouve collé sur le toit. Des pièces seront retrouvées à une centaine de mètres dans les champs environnants. « La voiture ressemble à une sculpture de César » exagère à peine un témoin. La maison a souffert aussi : vitres brisées et morceaux de toit arrachés.

L’homme est un véritable miraculé. Il arrive à s’extirper de la voiture et à appeler les secours. Il est gravement brûlé au visage et au dos. Le souffle de l’explosion lui a déchiré les tympans et lui a brûlé les poumons. Quand le médecin du Samu arrive sur place, il est obligé de l’endormir car la douleur est trop forte. Un hélicoptère se pose alors dans un champ pour l’évacuer vers un hôpital lyonnais au plus vite, même si son pronostic vital n’est pas engagé.

L’imprimeur de Charlie Hebdo

Très vite, la propriété est livrée aux gendarmes de la section des recherches (SR) de Lyon, spécialisés dans les enquêtes difficiles. L’hypothèse d’un acte criminel voire d’un attentat est envisagée. Car la victime est un dirigeant d’imprimerie et pas n’importe laquelle : c’est des rotatives d’IPS que sort l’hebdo satirique Charlie Hebdo.

Ce sont d’abord les démineurs qui vont inspecter méticuleusement les lieux au cas où une autre source d’explosion serait présente. Puis la petite cour où se trouve la carcasse de la Mégane est « gelée » pour permettre aux techniciens en investigation criminelle (TIC) de collecter le maximum d’indices et de faire des prélèvements.

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http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/val-de-marne-le-jeune-redacteur-en-chef-d-un-journal-lyceen-victime-d-une-nouvelle-intimidation-7779769860

Val-de-Marne : le jeune rédacteur en chef d'un journal lycéen victime d'une nouvelle intimidation

INFO RTL - L'appartement du rédacteur en chef du journal lycéen "La Mouette bâillonnée" a été cambriolé jeudi 17 septembre.

L’appartement de Louis Pasquier, situé dans le Val-de-Marne, a été cambriolé et entièrement fouillé, jeudi 17 septembre 2015 en fin d’après-midi. À l’intérieur, des journaux et des affiches tous relatifs à Charlie Hebdo, ont été jetés au sol puis incendiés.

Deux jeunes, qui se cachaient près de l’appartement, ont été interpellés par la police. Ils sont, ce vendredi 18 septembre, toujours en garde à vue. L’un des suspects est scolarisé dans le même établissement que Louis Pasquier, le lycée Marcellin-Berthelot, situé à Saint-Maur-des-Fossés, dans le même département.

La victime, âgée de 17 ans, élève de terminale et rédacteur en chef du journal lycéen La Mouette Bâillonnée, a fait ces derniers mois l’objet de plusieurs menaces de mort. Après les attentats terroristes de janvier 2015, l’adolescent avait rendu un hommage, dans le journal de l’établissement, aux victimes des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly. Des munitions, une croix gammée et un cercueil miniature avaient été découverts peu de temps après dans sa boîte aux lettres.

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http://www.huffpostmaghreb.com/2015/09/11/much-loved-projection-paris-interrompue_n_8121202.html

Une avant-première de "Much Loved" à Paris interrompue pour cause de fumée

CINÉMA – Grosse frayeur à l'avant-première du dernier long métrage de Nabil Ayouch, "Much Loved", à l'UGC Ciné Cité Les Halles à Paris le 10 septembre. La projection a dû être interrompue à cause de la fumée qui s'est répandue dans la salle à deux reprises, ce qui a nécessité l'intervention des forces de l'ordre ainsi que des pompiers.

L'événement, qui s'est déroulé en présence du réalisateur et des acteurs a été interrompu une vingtaine de minutes avant la fin du film. "Tout se passait normalement jusqu'au moment où on a senti une odeur de brûlé dans la salle. Petit à petit, les gens se sont levés puis les lumières ont été rallumées", nous raconte un spectateur, venu assister à la projection.

"La sécurité est arrivée pour évacuer les gens. On a attendu environ sept minutes avant que l'on nous dise que l'on pouvait rentrer à nouveau dans la salle", poursuit-il. "La personne chargée de présenter l'événement est venue par la suite nous expliquer la situation, disant que ça ne venait pas du cinéma mais de l'extérieur", affirme ce jeune Parisien.

Si la projection a pu être poursuivie, elle a été de nouveau interrompue, et de manière définitive. "On a regardé de nouveau le film pendant cinq minutes, puis on a commencé à sentir de la fumée de plus belle." C'est à ce moment-là que les agents de sécurité sont venus évacuer la salle une dernière fois, en annonçant "l'annulation de la séance".

Sur Twitter, des internautes évoquent un "départ de feu" et notent que "la sécurité avait fouillé les sacs à l'entrée", certainement pour renforcer la sécurité suite à la polémique provoquée par le film de Nabil Ayouch.

Pour en savoir plus sur la polémique :

http://www.lexpress.fr/culture/cinema/video-much-loved-fatwa-au-cinema_1715994.html

VIDEO. Much Loved: fatwa au cinéma

Much Loved, film marocain de Nabil Ayouch, fait le portrait de quatre prostituées à Marrakech. Indignation dans le pays et menaces de mort. Récit.

Il est des lendemains de fête douloureux. Sélectionné au Festival de Cannes, à la Quinzaine des réalisateurs, le metteur en scène marocain Nabil Ayouch est ovationné après la projection de Much Loved, portrait sans fard de quatre prostituées marrakchies. Compliments, petits-fours, fête.

Le lendemain, le ciel s'assombrit. Le cinéaste se réveille avec une fatwa sur la tête, des tombereaux d'insultes sur les réseaux sociaux et une plainte déposée par l'Association marocaine de défense du citoyen pour outrage à la pudeur et racolage, mais également pour homosexualité et relations sexuelles hors mariage, faits réprimés par le code pénal marocain. "Je savais que le film allait déranger, mais je ne m'attendais pas à une telle hystérie", pointe Nabil Ayouch, grand et beau gaillard de 46 ans à la mine un peu triste, sans doute accablé et déçu par ces réactions disproportionnées.

La fatwa lancée sur Facebook a rapidement et mystérieusement disparu, l'association ayant été déboutée. La polémique aurait pu s'arrêter là. Mais non. Elle est sortie par la fenêtre pour revenir par la porte. Grande, la porte: celle du ministère de la Communication marocain. Le verdict est sans appel : le film est interdit de sortie, à cause d'"un outrage grave aux valeurs morales et à la femme marocaine, et [d']une atteinte flagrante à l'image du Maroc". [...]

Des acteurs ont également été agressés ou menacés :

http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/05/31/03002-20150531ARTFIG00072-un-acteur-du-film-polemique-much-loved-agresse-au-couteau-a-casablanca.php

Après les menaces de mort reçues par l'actrice Loubna Abidar, un autre comédien du film sulfureux de Nabil Ayouch, boycotté au Maroc, raconte avoir réchappé à une violente agression.

La polémique suscitée par Much loved prend une tournure de plus en plus dramatique. Il y a quelques jours, l'actrice Loubna Abidar révélait faire l'objet de menaces de morts de la part d'extrêmistes suite à sa participation au film du réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch qui aborde le thème de la prostitution au Maroc. Aujourd'hui, c'est au tour du comédien qui incarne le rôle d'un des Saoudiens dans le long-métrage d'être violemment pris pour cible par les détracteurs du film. En effet, le jeune acteur vient d'annoncer avoir été victime d'une agression au couteau à Casablanca.

Interrogé par ChoufTV, le comédien, qui porte les séquelles de son agression dans cette interview filmée, raconte: «Après ma sortie du studio d'une radio où je donnais une interview, je suis passé pas loin du quartier où j'habite et j'ai été surpris par quelqu'un qui n'était pas du coin qui me demande s'il peut me parler.» Il poursuit: «Pensant qu'il allait me poser des questions en rapport avec le film, j'ai répondu par l'affirmative. Il a tenté de m'immobiliser pour me balafrer le visage avec un couteau, mais il m'a touché au cou, m'accusant de donner une mauvaise image du Maroc.» [...]

Modifié par prof désécol
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  • 1 mois plus tard...

http://pierre-jourde.blogs.nouvelobs.com/archive/2015/01/29/rien-a-voir-avec-l-islam-554289.html

Rien à voir avec l'Islam

Après le « ni antisémistisme, ni islamophobie », deuxième motif d’énervement après-attentat, toujours sur le mode des expressions obligées qui permettent utilement de ne pas regarder de trop près des réalités désagréables, le fameux : « ces terroristes n’ont rien à voir avec l’Islam ». Rien à voir, absolument rien. D’accord.

L’idée, en gros, c’est qu’il y a d’un côté une poignée de dévoyés fanatiques qui ne connaissent rien à rien à la religion musulmane, de l’autre la grande masse des musulmans, pacifiques, démocratiques, favorables à la liberté d’expression, et tout ça.

En même temps, dit comme ça, vous avouerez que ça fait bizarre.

Je suis le premier à défendre l’idée, difficilement contestable d’ailleurs, que la grande majorité des musulmans français aspirent à vivre en paix et se reconnaissent dans le système démocratique.

Mais « rien à voir avec l’Islam », c’est un peu gros, et quand on y regarde de près, ça pose tout de même quelques questions.

D’abord cela concerne des gens qui ont fait leur profession de foi musulmane, ont tué au nom d’Allah. Qui peut se permettre de les exclure d’office de la religion, sans autre forme de procès ?

Et puis, si on va par là, ça va nous faire pas mal de monde dont on peut se demander où on les met : à voir avec l’Islam, ou rien à voir ?

Khaled Kelkal : rien à voir avec L’Islam ?

Les avions explosés en vol ou pris en otage : rien à voir avec L’Islam ?

Les talibans : rien à voir avec L’Islam ?

Le GIA : rien à voir avec L’Islam ?

Daech : rien à voir avec L’Islam ?

Les attentats de Bombay : rien à voir avec L’Islam ?

Les attentats de la rue Copernic : rien à voir avec L’Islam ?

Les attentats du 11 septembre : rien à voir avec L’Islam ?

Mohammed Merah : rien à voir avec L’Islam ?

Al Qaida : rien à voir avec L’Islam ?

L’assassinat de Sadate : rien à voir avec L’Islam ?

Les attentats de Nairobi : rien à voir avec L’Islam ?

Les attentats de Madrid : rien à voir avec L’Islam ?

L’assassinat de Theo van Gogh : rien à voir avec L’Islam ?

Les meurtres à la hache de Londres : rien à voir avec L’Islam ?

Boko Haram, rien à voir avec L’Islam ?

Les islamistes du Mali, rien à voir avec L’Islam ?

Les persécutions sanglantes des minorités chrétiennes au Soudan, au Pakistan, en Irak, en Egypte, rien à voir avec L’Islam ?

Les agresseurs de Malala, rien à voir avec L’Islam ?

J’arrête là, la liste est sans fin, je passe les vétilles des attentats au couteau, à la voiture, au vitriol, il nous faudrait quelques dizaines de pages.

Nous ne parlons pas là que des individus ou des organisations terroristes qui se réclament de l’Islam. Cela nous fait déjà pas mal de monde à exclure de l’Islam.

Le problème c’est aussi que pour les centaines de milliers, voire les millions de personnes que cela représente, ce sont les autres qui n’ont rien à voir avec l’Islam ! Alors qui devons-nous croire, nous autres pauvres infidèles qui n’y connaissons rien ? Qui n’a rien à voir avec l’Islam ? De confiance, nous croyons les gentils, ceux qui ne tuent pas les petites filles juives en les tenant par les cheveux.

Mais continuons le raisonnement. Enlevons les mauvais musulmans, qui n’ont rien à voir avec l’Islam, jusqu’à ce qu’il ne nous reste que les bons.

Or, ce que les frères Kouachi ont fait artisanalement, et hors de la loi française, se pratique tout à fait tranquillement et dans un cadre légal dans quelques pays musulmans, dont certains sont nos amis, comme la sympathique Arabie Saoudite (qui par ailleurs a généreusement financé maints mouvements terroristes) : amputations et flagellations judiciaires, lapidation de femmes adultères, exécutions d’homosexuels ou de blasphémateurs, et autres joyeusetés. Idem en Iran, au Pakistan, et par-ci par là. Il paraît que c’est la charia qui veut ça.

Ah bon ? Mais alors, euh, la charia, ça n’a rien à voir avec l’Islam ?

Ah non, pardon, c’est une mauvaise interprétation de la charia, et ça n’a rien à voir avec le vrai Islam, le bon.

Nous voilà rassurés.

Les Saoudiens, les Iraniens, tout ça, n’ont rien à voir l’Islam.

Ça commence à faire du monde.

Étonnant le nombre de musulmans qui n’ont rien à voir avec l’Islam, tout de même.

C’est eux qui vont être surpris d’apprendre qu’ils n’ont rien à voir l’Islam.

Ne le dites pas à l’ayatollah Khamenei. Il a toujours cru qu’il avait quelque chose à voir avec l’Islam. Le choc, à son âge….

Bon, enfin tout ça c’est un détournement étatique de l’Islam. Ce sont les gens qui comptent. Le musulman de base.

Certes.

Mais alors les braves gens, pas terroristes deux ronds, qui se contentent benoîtement d’applaudir les attentats du 11 septembre ? Qui participent à des émeutes sans fin après la publication des caricatures danoises ? Qui remettent ça après la dernière couverture de Charlie Hebdo, pourtant bien gentille et consensuelle ? Avec des morts à chaque fois ? Tous ceux qui viennent de faire pression, en France, pour empêcher des expositions d’artistes musulmans, agréés par l’Institut des cultures d’Islam, parce que ça choque leurs croyances ? Qui marient de force leur fille à un quinquagénaire au bled ? Qui exigent des médecins femmes pour leur femme à l’Hôpital ? Qui persécutent des écrivains ? Tous les braves musulmans qui maintiennent leur épouse dans une condition ancillaire et de soumission absolue ? Tous ceux en France qui considèrent Merah, assassin d’enfants, comme un héros de l’Islam ? Les jeunes qui refusent la minute de silence pour les victimes des Kouachi et de Coulibaly ? Ces gens-là pensent que les terroristes ont beaucoup à voir avec l’Islam. Qu’ils sont dans la vérité de l’Islam. Et dans ce cas, devons-nous en conclure que tous ces gens n’ont rien à voir, eux non plus, avec l’Islam ?

Mais là, ça va devenir compliqué à déterminer.

Car nous nous trouvons devant deux options :

Option 1 : un type qui admire Merah a la même conception de l’Islam que lui. Donc rien à voir avec l’Islam. Mais comment allons-nous savoir ce que pensent réellement les musulmans, pour faire le départ entre bons et mauvais musulmans ? Nous nous trouvons face à des milliards de musulmans, dont on ne sait pas très bien ce qu’ils pensent de tout ça. Quelles conclusions en tirer quant à la faculté de cette religion à s’accommoder d’institutions démocratiques ?

Options 2 : les admirateurs de Merah et de Coulibaly ne sont pas vraiment de mauvais musulmans. Un peu d’éducation, et on va les récupérer. Bien. Mais si, en pensant ce qu’ils pensent, ils ont à voir avec l’Islam, il y a de quoi s’inquiéter sérieusement.

Dans les deux options, nous avons un problème, non ?

Et on voit bien où il se situe : c’est que le « rien à voir avec l’Islam » évite toute tentative d’explication et d’interprétation. Un peu comme cette idée, que j’ai souvent entendu émettre dans ma famille, lorsque j’étais enfant, selon laquelle « Hitler était un fou ». Et voilà le travail. Le nazisme n’était plus un phénomène historique, qui avait tout de même quelque chose à voir avec le peuple allemand. C’était la faute à Hitler, qui était un fou. Passez muscade.

L’explication par la misère, le ressentiment, l’exclusion ? ça peut marcher, en partie (pareil pour les Allemands des années trente, et ça ne justifie rien). Mais la misère des Saoudiens, hem. Sans compter que beaucoup de terroristes viennent de bonnes familles, sans histoires, ni misérables ni ghettoïsées. Parfois pas même de familles musulmanes. Leur conversion les a radicalisés, pas leur origine.

Autrement dit, j’admets tout à fait qu’un musulman puisse dire dans un premier temps, par crainte des amalgames trop rapides, et parce qu’il est, lui, foncièrement pacifique : « ça n’a rien à voir avec l’Islam ». Mais si on s’en tient là, on manquera encore une fois l’occasion d’essayer de comprendre. On ne peut pas encore une fois tout faire porter sur la société française, par un réflexe misérabiliste qui devient trop commode, pour dédouaner l’Islam de toute responsabilité dans les innombrables violences, exactions, pressions, entraves à la liberté, à l’égalité, à l’éducation commises en son nom à travers le monde, hors de la loi ou au nom de la loi.

L’Islam reste lié à des représentations ou des systèmes sociaux dans lesquels la religion est censée régir tous les aspects de la vie, et où l’individu ne peut prétendre s’affranchir de la pratique collective. Et certaines de ces pratiques sont franchement difficilement compatibles avec une démocratie laïque. Les plus hautes autorités spirituelles de l’Islam condamnent le terrorisme. C’est déjà beaucoup. Il faudrait aussi qu’il y ait, du côté de l’Islam, une vraie réflexion globale sur le rapport de la religion et de la liberté individuelle, sans parler de l’égalité hommes-femmes. Mais il doit être islamophobe de penser ça.
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Continuons à supprimer des douaniers, des policiers, des gendarmes, des juristes, des enseignants!

Continuons à fermer des écoles et à ouvrir des prisons!

Continuons à accorder de l'importance aux Religions!

Continuons à financer toutes ces écoles confessionnelles par de l'argent public!

Continuons à fermer les yeux sur le financement des mosquées, la formation des Imams et le prosélytisme religieux qui envahit nos écoles. Continuons à fermer les yeux sur tous ces enfants, qui de plus en plus désertent nos écoles lors de l'Aïd ou du Ramadam!

Continuons à fermer les yeux sur les paradis fiscaux qui permettent à tout ce terrorisme de prospérer !

Continuons à accumuler nos richesses sur le dos de pauvres malheureux!

Continuons dans ce modèle libéral qui sème la misère (autant matérielle qu'intellectuelle), l'individualisme et montent les gens les uns contre les autres!

Continuons dans les énergies fossiles et à devoir faire des courbettes aux pires intégristes du Moyen Orient!

Continuons dans cette voix ..........et je ne donne pas cher de l'Avenir de l'Humanité!

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Comme je l'écrivais en janvier, nous sommes en guerre. Ravi que les coupables aient été éliminés.

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Parce que tu y crois encore ...

Ils nous refont depuis samedi le blabla "Bisounours" sur la France solidaire, pleine de belles idées, patati et patata et moi, nous, nous sommes retournés dans nos écoles où encore une fois, nous n'avons pas tous entendu ces sympathiques déclarations mais également beaucoup d'indifférence et pire, de plus en plus de défiance ouverte de la part de certains élèves, ce qui donne une idée de ce qui qu'ils ont dû entendre chez eux pendant le weekend ...

Sinon, j'ai aimé les propos de Malek Boutih, au Grand Journal sur Canal+, ce soir : http://www.canalplus.fr/c-emissions/c-le-grand-journal/pid5411-le-grand-journal.html?vid=1331008

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  • 1 mois plus tard...

http://www.huffingtonpost.fr/2016/01/07/tirs-commissariat-18e-arrondissement-paris_n_8928138.html

Un homme abattu devant un commissariat du 18e arrondissement à Paris

PARIS - Un homme criant "Allah Akbar" a été tué par les policiers en tentant d'entrer avec un hachoir de boucher dans un commissariat parisien, un an jour pour jour après l'attentat contre Charlie Hebdo, rappelant à la France les menaces proférées par les groupes jihadistes.

Cet homme, porteur d'un papier sur lequel figure le drapeau de l'Etat islamique, selon le parquet, a été abattu devant le commissariat de la rue de la Goutte d'Or, quartier populaire et multiethnique du nord de Paris, connu pour ses trafics en tout genre.

A 11h30, un homme porteur "d'une arme blanche de type feuille de boucher" et d'un dispositif explosif factice "s'est présenté devant le commissariat du XVIIIe arrondissement, a exhibé son arme et crié 'Allah Akbar' (Dieu est le plus grand, en arabe, NDLR) avant d'être abattu par les policiers en faction", a annoncé le procureur de la République de Paris, François Molins, dans un communiqué.

"Ont été découverts sur lui un téléphone portable et un papier sur lequel figurent le drapeau de Daech et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe", a-t-il précisé. La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie de l'enquête, pour tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique.

[...] Les policiers ont, dans un premier temps, ordonné aux passants de se réfugier dans les magasins, dont les rideaux de fer ont été baissés. La rue a été bouclée. Les élèves d'une école maternelle et d'une école primaire de la rue ont été "confinés", a indiqué l'académie de Paris. [...]

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