vélo45 Posté(e) 5 novembre 2020 Posté(e) 5 novembre 2020 https://www.change.org/p/enseignants-blanquer-démission 2
papillon2704 Posté(e) 9 novembre 2020 Posté(e) 9 novembre 2020 https://www.change.org/p/blanquer-démission-signez-faites-signer
jeanounette Posté(e) 11 novembre 2020 Posté(e) 11 novembre 2020 http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/11/09112020Article637405036023059575.aspx Citation "Le syndicat lycéen chouchou de Blanquer dilapide l'argent du ministère", écrit Médiapart. Le quotidien épluche les comptes de cette association soutenue pour près de 100 000 € en 2019 et 2020. La subvention a été versée pour organiser un événement qui n'a jamais eu lieu. A la place la carte bleue d'Avenir lycéen a été utilisée pour des nuits dans des hotels de luxe, des repas dans des restaurants étoilés et des retraits d'agent en soirée. Au même moment les autres syndicats lycéens voyaient leur subvention fortement réduite. "Comment les organes de contrôle du ministère n'ont ils pas pu tiquer sur les 40 056€ spécifiquement versés au titre du congrès et qui ont été pour partie dépensés pour des hôtels de luxe ou un restaurant étoilé ?" interroge Médiapart. Monté par des militants macroniste, Avenir lycéen est utilisé pour la communication du ministère.
prof désécol Posté(e) 21 novembre 2020 Auteur Posté(e) 21 novembre 2020 Citation Enseignants : Ceux qui partent Qui sont ces enseignants qui décident de quitter le métier ? P. Feuillet et D. Prouteau (Depp) font leur portrait statistique dans la revue Education & formations (n°101). Chaque année près de 1% des enseignants quittent la classe. La plupart choisissent d'exercer une autre fonction dans l'éducation nationale (animation pédagogique, direction etc.). Une très faible proportion démissionne. Mais cette proportion augmente très rapidement. Ainsi 6% des stagiaires abandonnent. Citation Le bond des démissions Les démissions restent très rares. Les auteurs les évaluent à 2 pour mille soit 1417 personnes en 2017-2018. Si elles sont rarissimes, les démissions sont en hausse rapide. De 0.05% des enseignants en 2008-2009 elles représentent maintenant 0.2% des enseignants. En clair on est passé de 399 personnes en 2012-2013 à 1002 en 2015-2016 et 1417 en 2017-2018. "Les professeurs des écoles démissionnent proportionnellement plus : leur taux de démission est de 0,24 % contre 0,18 % des certifiés, 0,14 % des agrégés et 0,10 % des PLP. De plus, la tendance à la hausse est plus accentuée chez les enseignants du premier degré (nombre de démissions multiplié par cinq en dix ans), même si elle se retrouve également dans le second degré (nombre de démissions multiplié par trois)". Mais ce sont les stagiaires qui offrent la plupart des démissions ainsi que les enseignants de moins de 5 ans d'ancienneté. Près de 6% des stagiaires quittent l'enseignement l'année suivant leur stage. On peut y voir un gros décalage entre le métier rêvé et le métier réel. On peut aussi y lire le poids de la seconde année de master particulièrement lourde. http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2020/11/20112020Article637414537284530526.aspx?fbclid=IwAR0CwRkgYjw2LMDwsLJptVyE0b1ZNdtRznrQtwwQY9UzoMvcIqPkH0MhSUE
Bogey Posté(e) 22 novembre 2020 Posté(e) 22 novembre 2020 Il y a 22 heures, Tide a dit : Un de mes copains ayant une décharge syndicale dit recevoir de nombreux coups de fil concernant la rupture conventionnelle. De jeunes collègues ou de PE qui ont de la bouteille ?
prof désécol Posté(e) 3 décembre 2020 Auteur Posté(e) 3 décembre 2020 A propos du "colloque scientifique" : "Quels professeurs au 21ème siècle" Citation Grenelle : Un colloque en forme de claque Organisé par le Conseil scientifique de l'éducation nationale et piloté par son président, S. Dehaene, le colloque du 1er décembre vise pas moins qu'à changer "les conditions de travail" et les "pratiques" des enseignants. N'y cherchez pourtant pas d'enseignants. Il n'y en a pas. Ne cherchez pas de chercheurs sur la formation des enseignants. Il n'y en a pas. Ne cherchez pas de spécialistes des sciences de l'éducation. Il n'y en a pas. Ne cherchez pas de spécialistes des disciplines. Il n'y en a pas. Ne cherchez pas de didacticien. Il n'y en a pas. Mais alors il y a qui dans ce colloque ? Et pour quoi faire ? [...] Citation Là où ils ont raison c'est que ce colloque est bien le point d'orgue des ateliers du Grenelle. C'est à des rugbymen, à une policière, à un DRH d'un grand groupe privé, au dirigeant d'un lobby religieux, à un psychiatre des armées, à une professeure de sciences de gestion que l'on a confié dans ces ateliers la tâche de redéfinir la revalorisation des enseignants, leur formation ou la pédagogie de l'éducation civique. http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/12/01122020Article637424019620004404.aspx
prof désécol Posté(e) 6 décembre 2020 Auteur Posté(e) 6 décembre 2020 Une idée de cadeau pour Noël : https://www.rfi.fr/fr/podcasts/livre-france/20201205-jean-michel-blanquer-l-attila-des-écoles-de-pascal-bouchard Citation Livre France - «Jean-Michel Blanquer, l'Attila des écoles», de Pascal Bouchard Dans son livre « Jean-Michel Blanquer, l'Attila des écoles », Pascal Bouchard décrypte les principales réformes mises en place par Jean-Michel Blanquer et les remet en question. Selon l'auteur, certaines mesures seront irréversibles : « le ministre de l'Éducation est celui derrière qui l’herbe ne repoussera que par touffes éparses tandis que la facture sera salée ». Journaliste éducation depuis 1998, Pascal Bouchard anime le site ToutEduc depuis de nombreuses années et a suivi attentivement les divers aléas des parcours ministériels ces dernières décennies. Il publie un livre qui, malgré le titre, n’est pas un pamphlet mais une analyse des idées pédagogiques de Jean-Michel Blanquer et de son entourage, principalement le conseil scientifique. Autrement dit, il se livre à une description étayée de l’action d’un ministre qui est bien parti pour effectuer à ce poste tout le quinquennat, ce qui n’a pas été le cas depuis les débuts de la Ve République. 1
jeanounette Posté(e) 7 décembre 2020 Posté(e) 7 décembre 2020 La décennie 2010-2020 a été royale pour les Recteurs et Rectrices, entre primes obscènes et augmentations à 5 chiffres ! Pour les personnels de terrain, en revanche, c'était la décennie du gel du point d'indice et de l'effondrement du pouvoir d'achat. 1
lecavalier Posté(e) 9 décembre 2020 Posté(e) 9 décembre 2020 « La défiance des enseignants envers leur ministre est un handicap pour ses réformes » Citation Sondages à l’appui, le spécialiste de l’engagement enseignant, Laurent Frajerman, évoque, dans une tribune au « Monde », l’évolution de l’état d’esprit des enseignants et leur « rejet global » des réformes engagées par Jean-Michel Blanquer. Tribune. En lançant le Grenelle de l’éducation, le ministre de l’éducation nationale affichait de grandes ambitions pour redéfinir le métier enseignant. En théorie, il peut s’appuyer sur la préoccupation des intéressés sur l’état du système éducatif et leur demande récurrente de profonds changements. Celle-ci s’accompagne paradoxalement d’une satisfaction dans leur travail pour 71 % d’entre eux, nous rappelle encore une fois le sondage Ipsos pour la FSU sur l’« état d’esprit des personnels de l’éducation nationale et des parents d’élèves », paru le 1er décembre. Le bilan de Jean-Michel Blanquer et son appétence pour les modèles scolaires du Québec et de Singapour laissent à penser que le ministre aimerait surtout passer d’un modèle de professionnalité dit du « praticien réflexif », autonome et hautement qualifié, à celui du technicien de l’enseignement, qui met en œuvre des protocoles imaginés par des experts, sous le contrôle d’une chaîne hiérarchique renforcée. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Métier d’enseignant : jusqu’où Jean-Michel Blanquer peut-il « pousser » la réforme ? Ce projet est inscrit à l’agenda ministériel depuis longtemps, notamment avec le rapport Pochard, dès 2008. Toutefois, les prédécesseurs de M. Blanquer ont échoué à le mettre en œuvre. On notera par ailleurs que celui-ci a euphémisé son discours sur le sujet dans les derniers mois. Le sondage Ipsos/FSU montre en effet clairement l’hostilité de la profession à l’égard de la politique engagée. Les non-syndiqués plus sévères Les enseignants du secteur public estiment que les réformes de Jean-Michel Blanquer sont inutiles pour les élèves (71 %), vont dans le mauvais sens (72 %) et en prime augmentent leur charge de travail (75 %). Ce rejet global était évident parmi les enseignants engagés, mais l’opinion des plus modérés, des « jamais grévistes », n’avait pas été testée. Or les non-syndiqués sont plus sévères que les syndiqués dans ce sondage. Outre leur désaccord avec sa politique, 23 % seulement des enseignants lui font confiance pour prendre en compte leurs attentes. Initialement pourtant, il suscitait de l’espoir quant à sa capacité à mettre en place les réformes nécessaires, pour 45 % des professeurs certifiés et agrégés interrogés en 2018 ; désormais, 73 % de ces derniers jugent que sa politique va dans le mauvais sens. Aucune organisation, Avenir lycéen excepté, n’a pleinement défendu ses réformes. Cette défiance envers le ministre est un handicap pour ses réformes. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Avenir lycéen, ce jeune syndicat accusé d’avoir dilapidé des subventions publiques qui pose question La redéfinition du métier est présentée comme une contrepartie aux efforts financiers de l’Etat, rebaptisée démarche « gagnant-gagnant ». Or, le plan annoncé à la mi-novembre par Jean-Michel Blanquer n’est pas vu comme une « revalorisation » par les principaux intéressés (74 % sont « insatisfaits », dont 40 % « pas du tout satisfaits ») ; 78 % d’entre eux jugent essentielle une « autre » augmentation de leur rémunération (et 20 %, qu’elle soit importante). Il vous reste 59.81% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. (C'est moi qui ai mis en rouge) https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/08/la-defiance-des-enseignants-envers-leur-ministre-est-un-handicap-pour-ses-reformes_6062574_3224.html
Mirobolande Posté(e) 11 décembre 2020 Posté(e) 11 décembre 2020 http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/12/10122020Article637431806342468269.aspx Des évaluations nationales dès la P. S.
nonau Posté(e) 12 décembre 2020 Posté(e) 12 décembre 2020 Pourquoi utilise t-on encore le mot "réforme" pour évoquer une destruction ? 1
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