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Un enseignant vulnérable en ASA peut-il sortir dans la foule et refuser la vaccination ?


Scoubinou

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Je crois qu'il ne faut pas contenir les parents.

Les enfants ont droit d'aller à l'école avec un enseignant.

Demandez un remplaçant!

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... la vaccination que la personne l'accepte ou pas.... pour nous enseignants je ne pense pas que cela ne nous soit proposé avant juin, voir septembre.... alors...

Pour le reste... pas simple! Certainement des abus comme partout, mais surtout plus de remplaçant!

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Il y a 1 heure, clerissalak a dit :

Il te fournira un certificat d'isolement. Rien à voir avec la vaccination...

Pour l'instant oui, mais moi je parle de l'après. Il y a aujourd'hui un système d'exception qui a heureusement été mis en place car la situation du covid l'exigeait. Mais du moment que le vaccin sera généralisé, penses-tu que le système d'exception va perdurer ? Si oui, combien de temps ? Un agent va-t-il pouvoir bénéficier d'une absence rémunérée pendant plusieurs années parce qu'il est à risque covid ? Donc bénéficier d'une situation bien plus privilégiée qu'un agent atteint d'un cancer ou d'une SEP qui doit prendre un CMO puis un CLM en étant payé à mi traitement ? 

Tant que le système d'exception existe, la question ne se pose pas. Ceux qui sont à risque sont en ASA, c'est parfait. Et cet arrêt est pris en charge par l'assurance maladie, donc cela n'a pas d'incidence financière pour l'employeur. Mais la question est : ce système d'exception va-t-il devenir un système ordinaire ou s'arrêter ?

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Il y a 2 heures, nanej a dit :

Je souhaite à tous ces biens-pensants de ne jamais tomber malade, et surtout de ne jamais souffrir d'une maladie invisible... Car la bienveillance dans notre société c'est pas encore à l'ordre du jour... 

Évidemment qu'on ne souhaite à personne de tomber malade. Mais être en ASA, donc pour être clair être payé à ne rien faire, et continuer malgré tout à sortir dans des lieux clos régulièrement ça s'appelle profiter du système. Oui c'est un pourri.

Et je ne mélange pas tous les collègues en ASA : certains ont des pathologies lourdes, par forcément visibles. Ils ont le droit d'être protégés et de rester chez eux, mais l'idée est quand même de limiter les risques : aller faire les courses alimentaires oui, se balader dans les centres commerciaux et autres non.

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il y a 11 minutes, Poloetpan a dit :

Évidemment qu'on ne souhaite à personne de tomber malade. Mais être en ASA, donc pour être clair être payé à ne rien faire, et continuer malgré tout à sortir dans des lieux clos régulièrement ça s'appelle profiter du système. Oui c'est un pourri.

Et je ne mélange pas tous les collègues en ASA : certains ont des pathologies lourdes, par forcément visibles. Ils ont le droit d'être protégés et de rester chez eux, mais l'idée est quand même de limiter les risques : aller faire les courses alimentaires oui, se balader dans les centres commerciaux et autres non.

Mais as-tu des preuves, autres que les on-dit de personnes que tu ne connais que virtuellement, pour affirmer que c'est un pourri ?

Ce sont des mots forts qui me choquent pour parler de quelqu'un qu'on ne connait pas et pour des faits dont on n'a aucune preuve ...

 

Et puis, moi, mon hyper est en plein centre commercial, du coup, si je vais faire mes courses et que je rencontre des gens, ils peuvent bien croire que je fais les boutiques alors qu'il n'en est rien. Je pourrais même être allée chez l'opticien, ou même être allée passer une radio ou faire une prise de sang, vu qu'il y a aussi un centre médical dans le centre commercial...

Ici le vrai problème, c'est qu'il n'y a pas de remplaçants de façon perenne, pas de savoir ce que fait ce collègue de ses journées. Comme dit Pepettebond, l’État, et donc l'EN a les moyens de vérifier ces situations (convocation auprès de la médecine du travail par exemple... ah non, je suis bête, on n'en a pas... Le médecin de prévention alors ? Humm ça va être compliqué, quand il y en a un, il est seul pour tout un département...). Si il ne le fait pas, c'est que dans un sens ça l'arrange bien. A nous de réfléchir pourquoi...

En tout cas, et c'est ce que je répète depuis le début, ce n'est pas à nous de juger un collègue, ni nous ni les parents...

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Il y a 3 heures, Rudy a dit :

C'est devenu monnaie courante ici. Dès qu'un nouvel inscrit se plaint d'une situation au sujet d'un ou d'une collègue, quel que soient le fond et la forme, il se fait taxer de troll... 

C'est ce que j'ai compris, et c'est bien triste. Autant privatiser le forum, ainsi vous resterez entre vous.

Il y a 3 heures, Rudy a dit :

On n'a qu'une version, la vôtre, celle donc d'un parent d'élève inquiet et mécontent. À la lecture de votre description de la situation, je le serais aussi. Mais on juge souvent d'une situation sans avoir tous les éléments en main, et quand bien même parfois, sans légitimité. Il y a des éléments qui nous regardent et d'autres non. Ce collègue a le droit d'être en ASA, de faire ses courses où et quand il veut, de se faire vacciner ou non, etc.

Au départ, ce n'est pas moi qui suis inquiet et mécontent, étant prof donc pouvant aider mon fils qui, par ailleurs, est un excellent élève.

Il y a 3 heures, Rudy a dit :

Là où il faut absolument vous unir, vous les parents d'élèves de cette classe, c'est dans la communication avec l'inspection pour exiger un remplacement chaque jour de classe. Vous pourriez contacter les représentants de parents élus pour qu'ils jouent le rôle de coordinateurs d'une action commune. Vous semblez personnellement être en mesure de jouer ce rôle si les représentants ne veulent pas prendre cette responsabilité. Vous pourriez alors écrire à l'IEN pour demander, au nom des parents d'élèves de cette classe, le remplacement chaque jour de la semaine, en insistant sur la situation anormale actuelle. Et si la réponse tarde ou semble inappropriée, vous pourriez inviter les parents d'élèves à contacter l'inspection par courriers, mails et appels téléphoniques de façon individuelle chacun votre tour ou simultanément en demandant un remplacement par la même personne jusqu'à la fin de l'ASA, sans évoquer la situation personnelle du titulaire de la classe. 

Très franchement, je n'ai pas envie (ni le temps) de chapeauter une telle démarche.

En plus, je ne suis pas sûr que ce soit sympa pour le TR en place, qui fait ce qu'il peut avec les moyens qui sont les siens. 

Alors je pense effectivement, je pense à leur conseiller d'écrire à l'Inspection mais ... sans les duruger sur le motif.

Après tout, si le PE est dans son droit, s'il est attaqué, il saura sans aucun doute se défendre.

Il y a 3 heures, Pepettebond a dit :

Pour décaler du problème covid.

Une collègue a été en accident de travail 3 ans,

Pourtant elle sortait, allait faire des courses , se divertissait, mais à son rythme,

Le jour où elle était bien elle pouvait sortir 8 heures ou pas .... Il n'y avait aucune obligation horaire, aucune obligation de station debout, quand elle était fatiguée elle se reposait ... elle suivait son rythme de vie.

La situation d'une personne vulnérable au COVID est sensiblement différente, puisque c'est le fait de sortir et de côtoyer du monde qui le rend vulnérable.

Je suis donc très surpris qu'autant de monde puisse l'avoir rencontré dans des endroits bondés, à faire ses courses alors qu'il n'est pas célibataire. Car ça s'est répété.

Il y a 3 heures, Pepettebond a dit :

Si l'Ien veut controler la validité du congé il a les moyens de le faire, mais la délation beurk,  que les parents demandent UN REMPLACANT.

Aucun de vous n'est à la place de ce collègue, vous n'avez pas enfilé ses chaussures alors ...

Pour ce qui me concerne, je n'ai jamais envisagé de faire de la délation.

Il y a 3 heures, ratatouille a dit :

Le sujet ne fait polémique que parce que la situation nous met mal à l'aise. Cela ne signifie pas que la situation n'existe pas ! (Autrement, ma nouvelle inspectrice, qui me met mal à l'aise, n'existerait pas :whistling:)

Merci.

Il y a 3 heures, ratatouille a dit :

J'ai lu en diagonale car une réponse approfondie me demanderait une énergie que je n'ai pas aujourd'hui. Par contre, j'avais envie de souligner tout comme Rudy mon malaise vis à vis de l'accueil qui est fait à certains message suspectés de "troller" le forum. Il me semble que si j'avais un soucis en rapport avec un corps de métier qui n'est pas le mien, et que je découvrais qu'une communauté de ce même métier existe sous forme d'un forum, je serais ravie de m'y inscrire pour cette unique occasion et de pouvoir y poser mes questions. C'est d'ailleurs exactement la raison d'être de cette partie du forum.

Oui, c'est ce que je m'attendais à trouver ici.

Il y a 3 heures, Poloetpan a dit :

J'ai lu en diagonale mais je suis aussi choqué du comportement décrit. Il fait parti des profs "ripoux"...

Certains flics sont des pourris, certains postiers, certains médecins aussi etc. Toutes les professions sont touchées, la notre aussi malheureusement. Je pense qu'on a tous déjà croisé des enseignants qui déshonorent notre profession.

Heureusement c'est vraiment une minorité.

J'ignore s'il est pourri. Je le connais peu car mon fils ne l'a eu qu'un mois et demi et, en tant que prof, j'évite d'aller emm... des collègues en début d'année, surtout quand il n'y a pas lieu.

Il y a 3 heures, nanej a dit :

Le souci n'est pas de poster ou non sur un forum d'un corps de métier. 

Ce qui m'a mis mal à l'aise, c'est que cette personne insiste lourdement pour que chacun ici pointe du doigt le comportement "anormal" de cet enseignant. 

Vous devriez me relire, je demande, au contraire, des arguments à pouvoir opposer aux autres parents à la rentrée de janvier.

"Il a le droit de faire ce qu'il veut." ne sera pas suffisant.

Il y a 3 heures, nanej a dit :

Je souhaite à tous ces biens-pensants de ne jamais tomber malade, et surtout de ne jamais souffrir d'une maladie invisible... Car la bienveillance dans notre société c'est pas encore à l'ordre du jour... 

Sauf erreur, il n'y a aucune maladie invisible justifiant une ASA dans la liste du gouvernement. Et comme je l'ai écrit plus haut, le but de cette ASA est de pouvoir s'isoler, se protéger.

Il y a 2 heures, Filounet a dit :

Mais si j'étais en ASA, je sortirais le moins possible de de chez moi, surtout dans un endroit bondé, d'une part parce que je veux me protéger, mais en plus parce que j'ai une certaine éthique. Il faut savoir ce qu'on veut. Dans la liste des pathologies concernées, à ma connaissance il n'y a aucune maladie psy. Uniquement des maladies qui risquent d'aggraver les symptômes si on attrape le covid, d'où l'importance de rester chez soi.

Je suis d'accord avec ça.

Il y a 2 heures, Filounet a dit :

Pour finir, je n'ai pas compris que la personne qui a ouvert le sujet voulait dénoncer l'enseignant en ASA , mais que jusqu'ici ben, il essayait de contenir les autres parents. Mais je n'ai peut-être pas bien compris...

Vous avez parfaitement compris.

Il y a 2 heures, Pepettebond a dit :

Je crois qu'il ne faut pas contenir les parents.

Vous m'avez décidé, je vais arrêter de les contenir.

Il y a 1 heure, prune2007 a dit :

Pour l'instant oui, mais moi je parle de l'après. Il y a aujourd'hui un système d'exception qui a heureusement été mis en place car la situation du covid l'exigeait. Mais du moment que le vaccin sera généralisé, penses-tu que le système d'exception va perdurer ? Si oui, combien de temps ? Un agent va-t-il pouvoir bénéficier d'une absence rémunérée pendant plusieurs années parce qu'il est à risque covid ? Donc bénéficier d'une situation bien plus privilégiée qu'un agent atteint d'un cancer ou d'une SEP qui doit prendre un CMO puis un CLM en étant payé à mi traitement ? 

Entièrement d'accord (d'une façon générale, pas pour mon cas particulier).

il y a 45 minutes, Poloetpan a dit :

Et je ne mélange pas tous les collègues en ASA : certains ont des pathologies lourdes, par forcément visibles. Ils ont le droit d'être protégés et de rester chez eux, mais l'idée est quand même de limiter les risques : aller faire les courses alimentaires oui, se balader dans les centres commerciaux et autres non.

Exactement.

il y a 22 minutes, nanej a dit :

Et puis, moi, mon hyper est en plein centre commercial, du coup, si je vais faire mes courses et que je rencontre des gens, ils peuvent bien croire que je fais les boutiques alors qu'il n'en est rien. Je pourrais même être allée chez l'opticien, ou même être allée passer une radio ou faire une prise de sang, vu qu'il y a aussi un centre médical dans le centre commercial...

Plusieurs parents d'élèves l'ont croisé dans un hypermarché (pas le même jour), caddie rempli.

 

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D'ailleurs cela me surprend que les parents soient au courant de la raison de l'absence du collègue. 

Le secret médical n'a pas été respecté?  Donc la personne qui a levé le secret peut être sanctionnée.

La seule personne qui doit connaitre la raison de l'absence c'est le supérieur: raison médicale.  Et sans même en connaitre la pathologie. Seul le médecin du travail connait les causes exactes.

Et si ce n'est pas une raison médicale, seul l'IEN a le droit de savoir la cause de l'absence.

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il y a 40 minutes, Scoubinou a dit :

 à faire ses courses alors qu'il n'est pas célibataire. Car ça s'est répété.
 

Plusieurs parents d'élèves l'ont croisé dans un hypermarché (pas le même jour), caddie rempli.

 

Il fait donc les courses alors que sa femme pourrait les faire ??? C'est bien ce que vous sous-entendez ? Et en plus ça se répète ... diantre, le frigo ne se remplit pas tout seul...

Encore une fois, que savez-vous de sa vie ? sa compagne est peut-être elle-même vulnérable ? malade ? en impossibilité physique de le faire ? sous morphine ? n'a pas le permis ? vient de se faire opérer ? on peut en faire des hypothèses qui expliquerait que ce monsieur aille faire ses courses, vous ne croyez pas?

Il faut vraiment arreter de chercher des poux à cet homme et recentrer le problème : le manque de remplaçants ! c'est là-dessus que les parents et vous-même devez vous battre...

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il y a 39 minutes, Scoubinou a dit :

...

Sauf erreur, il n'y a aucune maladie invisible justifiant une ASA dans la liste du gouvernement. Et comme je l'ai écrit plus haut, le but de cette ASA est de pouvoir s'isoler, se protéger.

...

 

Nous ne devons pas avoir la meme définition de maladie invisible alors. Pour moi c’est une maladie qui ne se voit pas de l’extérieur donc il y en a plusieurs dans la liste cancer, diabète, les traitements immunosuppresseurs ( pour les maladies auto immunes)

tout ca ne se voit pas . 
 

Par contre, si je comprends bien, les parents se plaignent  du comportement de l’enseignant en ASA, qui selon eux,  abuse et devrait pouvoir être en classe puisqu’il peut sortir dans la foule. Ok , soit!  Mais ont-ils vraiment envie de le voir revenir? J’imagine même  pas le malaise, le climat ambiant, s’il revient suite à de la «  délation » . Comme les collègues, je crois qu’il vaut mieux qu’ils se battent pour un remplacement pérenne plutôt que pour casser du prof. 

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Il y a 1 heure, Scoubinou a dit :

C'est ce que j'ai compris, et c'est bien triste. Autant privatiser le forum, ainsi vous resterez entre vous.

Au départ, ce n'est pas moi qui suis inquiet et mécontent, étant prof donc pouvant aider mon fils qui, par ailleurs, est un excellent élève.

Très franchement, je n'ai pas envie (ni le temps) de chapeauter une telle démarche.

En plus, je ne suis pas sûr que ce soit sympa pour le TR en place, qui fait ce qu'il peut avec les moyens qui sont les siens. 

Alors je pense effectivement, je pense à leur conseiller d'écrire à l'Inspection mais ... sans les duruger sur le motif.

Après tout, si le PE est dans son droit, s'il est attaqué, il saura sans aucun doute se défendre.

La situation d'une personne vulnérable au COVID est sensiblement différente, puisque c'est le fait de sortir et de côtoyer du monde qui le rend vulnérable.

Je suis donc très surpris qu'autant de monde puisse l'avoir rencontré dans des endroits bondés, à faire ses courses alors qu'il n'est pas célibataire. Car ça s'est répété.

Pour ce qui me concerne, je n'ai jamais envisagé de faire de la délation.

Merci.

Oui, c'est ce que je m'attendais à trouver ici.

J'ignore s'il est pourri. Je le connais peu car mon fils ne l'a eu qu'un mois et demi et, en tant que prof, j'évite d'aller emm... des collègues en début d'année, surtout quand il n'y a pas lieu.

Vous devriez me relire, je demande, au contraire, des arguments à pouvoir opposer aux autres parents à la rentrée de janvier.

"Il a le droit de faire ce qu'il veut." ne sera pas suffisant.

Sauf erreur, il n'y a aucune maladie invisible justifiant une ASA dans la liste du gouvernement. Et comme je l'ai écrit plus haut, le but de cette ASA est de pouvoir s'isoler, se protéger.

Je suis d'accord avec ça.

Vous avez parfaitement compris.

Vous m'avez décidé, je vais arrêter de les contenir.

Entièrement d'accord (d'une façon générale, pas pour mon cas particulier).

Exactement.

Plusieurs parents d'élèves l'ont croisé dans un hypermarché (pas le même jour), caddie rempli.

 

Vous ne voulez plus jouer un rôle de modérateur auprès des autres parents mécontents et vous ne souhaitez pas jouer un rôle de représentant médiateur. Que voulez-vous, que tout le monde ici aille dans votre sens et critique un collègue qui abuse du système ? Je ne mets pas en doute votre témoignage mais je me garderai de tout jugement sans autre élément que ceux, à charge, que vous présentez. La seule chose à faire est de demander un remplacement pérenne, chaque jour de la semaine. Nul besoin d'évoquer la situation du TR en place, c'est à l'administration de le compléter à l'année où de trouver un remplaçant à 100%, ça ne regarde a priori pas les parents. 

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il y a une heure, azerty a dit :

Nous ne devons pas avoir la meme définition de maladie invisible alors. Pour moi c’est une maladie qui ne se voit pas de l’extérieur donc il y en a plusieurs dans la liste cancer, diabète, les traitements immunosuppresseurs ( pour les maladies auto immunes)

tout ca ne se voit pas . 
 

Merci de le dire. Et je confirme , on peut être en asa et paraître en pleine forme. Je dis bien paraître hein, au vu du nombre de médicaments avalés, des rdv et examens médicaux mais toujours avec le sourire, bien habillée et parfumée. 

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