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Apprentissage de l'écriture cursive en maternelle


nanouspm

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Il est possible de faire autrement mais ça n'intéresse pas l'institution...

Lire à ce propose le livre de Marie-Laure Viaud sur les écoles "différentes"

Café péda

L'apprentissage pour moi ne se conçoit que joyeusement et de manière motivée! d'où mon immense admiration pour les profs qui n'ont pas cette liberté (moivés ou non, c'est au programme et il faut y aller!).

Nous nous rejoignons tout à fait ! :D

Je me suis emportée dans un premier temps en lisant tes mots, je m'aperçois qu'en fait je n'avais pas saisi le fond de ta pensée... ;)

Pour ce qui est de la problématique ici, je ne vois pas pourquoi un enseignant ne tenterait pas un atelier "écriture cursive" avec les élèves qui le veulent. Dans la mesure où le programme cycle 1 ne mentionne pas cela, l'atelier n'aurait rien d'obligatoire, ni de formel. Personnellement j'utilise cette méthode plusieurs fois par semaine avec les élèves qui ne dorment pas ou peu à l'heure de la sieste. En parallèle, et ce de façon plus formelle, nous travaillons sur des exercices de graphisme qui préparent tous les enfants à ce type d'écriture. La conseillère pédagogique préfèrerait que j'élimine totalement le cursif de ma classe.... :ninja:

Personnellement, je vois d'autant moins pourquoi tu ne le ferais pas que la préparation à l'écriture que je propose est encore plus efficace et plus agréable pour l'enfant si elle est commencée en cycle 1, y compris en TPS s'il en existe une dans l'école. Mais il ne s'agit pas encore de faire reproduire des lettres (et il ne s'agit surtout pas de faire des fiches de graphisme.

Ceci dit, en fin de PS ceux qui réussissent le mieux peuvent commencer à écrire : en cursive si la phrase ou le mot ne contient que des lettres qu'ils savent écrire (e, l, i, u, t pour commencer, e, l, u, i, t c, o, a, d, q ensuite) mais, à mon avis il s'agit là d'enfants vraiment doués; en majuscules typographiques pour les phrases qui contiennent des lettres qu'ils n'ont pas apprises.

Danièle Dumont

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Et, sans vouloir polémiquer : la formation des enseignants sur l'écriture (ou la lecture d'ailleurs ou... le reste!), ben, heu, je ne suis pas convaincue... c'est pas un an d'IUFM qui vont en faire des pros!

ma pauvre Betba : et les LC ? Tu as oublié les LC qui peuvent être envoyés directement dans une classe... :(

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Je crois que ce n'est pas aux enfants de choisir leurs besoins à satisfaire, les adultes sont là pour cela.

A l'école, ce n'est pas l'enfant qui choisit s'il veut faire maths ou sport

C'est peut-être pour ça que je ne mets pas mes enfants à l'école ;)

Invariant pédagogique de Freinet (N°4) : nul - l'enfant pas plus que l'adulte - n'aime être commandé

Et le n°6 : nul n'aime se voir contraint à faire un certain travail, même si ce travail ne lui déplait pas particulièrement. C'est la contrainte qui est paralysante.

Bref... pour moi, les enfants sont parfaitement capable de choisir ce qu'ils veulent apprendre!! ça fait ch... les adultes un gosse qui n'est pas dans les normes d'apprentissage... normes idiotes qui ne servent pas les enfants mais bien les adultes qui adorent les troupeaux faciles à diriger!

Nanouspm : c'est tout à fait ça!

Betba : et je suis sûre ;) que tes gamins font ce qu'ils veulent à la maison?

Comme les miens sans doute et tous ces gamins auxquels on n'a jamais dit "c'est comme ça "

Bon, moi non plus, pas envie de relancer une polémique que j'ai l'impression d'avoir lue 100 fois.

En tous cas :

1/ mes deux loulous sont TRES bons élèves et TRES disciplinés en classe (dixit les maîtres eux-mêmes : je n'ai rien demandé, on me le dit : la règle, il la respecte facilement et je ne suis pas loin de penser que c'est parce que ils sont habitués à ce qu'on leur témoigne du repect quand on leur en présente une. ;) )

2/ discussion l'an dernier en stage avec une instit, 8 ans de boutique: "de toute façon, il faut bien se dire que nous autres profs, ne tirons notre raison d'être que pour les enfants en difficulté. Les autres, leurs parents pourraient leur faire l'école à la maison. Il ne faut pas se hausser du col".

Et moi de lui rétorquer "oui, mais tout de même, l'aspect "vivre ensemble" de l'école", on ne peut pas toujours l'assurer de façon satisfaisante".

Elle, pas convaincue...

3/ L'impression que j'ai depuis que j'ai des gamins et que je suis passée par la case IUFM, c'est que dans le cas de familles "attentives" (ce n'est pas le bon terme : des familles dont le niveau d'études est au moins supèrieur à celui requis pour passer le concours du CRPE et qui suivent de près les conquêtes de leurs enfants en matière de savoirs et connaissances), l'école ne vient qu'institutionnaliser, du moins dans les premières années, un savoir que les enfants ont déjà acquis en grande partie à la maison, de façon plus dispersée; l'école vient le mettre en forme, le contrôler et l'évaluer. Mais ce n'est pas réellement elle qui le fait acquérir.

C'est ce qui explique sans doute en partie le maintien de la fracture scolaire (ce n'est pas un scoop)

4/ je ne suis pas là pour casser du prof : en dehors, je suis la première à prendre bec et ongles la défense de l'institution, et pas à la manière d'un Le Bris ou d'une Boutonnet ; mais, de l'intérieur, reconnaissons que ces discussions de spécialistes que je viens de lire ici sont souvent complètement étrangères au PE lambda même ayant fait sa deuxième année de PE2...

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(...)

4/ je ne suis pas là pour casser du prof : en dehors, je suis la première à prendre bec et ongles la défense de l'institution, et pas à la manière d'un Le Bris ou d'une Boutonnet ; mais, de l'intérieur, reconnaissons que ces discussions de spécialistes que je viens de lire ici sont souvent complètement étrangères au PE lambda même ayant fait sa deuxième année de PE2...

Et c'est bien dommage... mais il existe aussi des PE qui reçoivent cette formation et aussi des prof qui la reçoivent en formation continue sur diverses circonscriptions y compris en prévention de l'illettrisme au CP.

Ceux qui y perçoivent mal ce discours de "spécialiste" sont de rares exceptions car ils savent que je viens seulement leur proposer de voir et réaliser autrement certaines pratiques de classe afin d'optimiser leur efficacité.

La différence entre une formation et un forum est que je ne peux pas exposer en quelques lignes ce qui demande des heures d'explications.

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si j'avais un enfant qui a une phobie de l'eau, je ne pense pas que je compterais sur l'apprentissage avec l'école pour l'aider à dépasser cette phobie

Je pense au contraire qu'il faudrait un partenariat entre l'école, l'enfant et les parents.

Les parents sont co-éducateurs (selon la loi d'orientation de 1989) mais pas co-instructeurs. Par contre, les parents instruisent différemment leur enfant que l'école (je pense au père pasionné de musique ou de pêche)

qui voudra tout apprendre à son fils)

Exclure totalement l'école dans ce genre de domaine est plus maléfique pour l'enfant que bénéfique. En effet, si la maman dit noir et la maîtresse dit blanc, l'enfant est perturbé.

Ne pas compter sur l'apprentissage avec l'école est une erreur fatale

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Donc dire qu'il est de la même nature que nous, c'est dénaturé les propos de Freinet

Heu, je ne dénature pas : ce sont les invariants de Freinet!! c'est pas moi qui invente :huh:

Mais on a le droit de ne pas être d'accord avec Freinet ;)

En fait, je pense que Freinet voulait dire que l'enfant a les mêmes besoins physiologiques que l'adulte (manger, dormir...) mais aussi que l'enfant pense de la même manière que l'adulte (afin de construire son savoir, etc...)

Le problème (du moins l'avantage), c'est que l'enfant a besoin de l'Adulte pour apprendre à déterminer ses besoins et pour apprendre à réfléchir par lui même

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Pour beaucoup d'enfants, certaines questions ne se posent pas. Seule l'école pourra répondre à leur soif ou désir d'apprendre. Tant mieux pour ceux dont les parents peuvent faire le choix des réponses à apporter et ils auraient tort de s'en priver.. mais pour une majorité l'école sera le seul lieu qui répond à cet élan d'apprendre, avec des procédures, des éclairages pour l'aider..

je vous assure qu'il n'y a pas tant de parents qui peuvent instruire leurs enfants , que cela reste un cas particulier et que pour un grand nombre l'école reste la seule réponse.

Alors fabriquons cette école pour que ceux qui n'ont pas le choix puisse assouvir leur soif..

Pour que l'école reste une chance pour tous il faut que tous s'y investissent.

Alors accompagnons nos enfants mais sans perdre de vue ceux des autres.

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Ceux qui y perçoivent mal ce discours de "spécialiste" sont de rares exceptions car ils savent que je viens seulement leur proposer de voir et réaliser autrement certaines pratiques de classe afin d'optimiser leur efficacité.

La différence entre une formation et un forum est que je ne peux pas exposer en quelques lignes ce qui demande des heures d'explications.

Je ne sais pas si je me suis mal exprimée, mais ce que je voulais dire, c'est que justement, ce discours de spécialiste est assez peu représenté, du moins, au sortir de l'IUFM, et que c'est à déplorer.

En conséquence, les PE débutants, qui n'ont parfois jamais cotoyé de près de jeunes enfants, font souvent avec les moyens du bord, se documentent par eux-mêmes, tatonnent, et sont finalement peut-être moins performants qu'une mère attentive qui n'a comme seul "élève" que son propre enfant...

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En conséquence, les PE débutants, qui n'ont parfois jamais cotoyé de près de jeunes enfants, font souvent avec les moyens du bord, se documentent par eux-mêmes, tatonnent, et sont finalement peut-être moins performants qu'une mère attentive qui n'a comme seul "élève" que son propre enfant...

Je vois trois dimensions dans ce que tu évoques : d'une part le fait d'être ou non parent, d'autre part celui de débuter ou d'avoir de la bouteille, finalement celui de n'avoir sous sa responsabilité qu'un enfant ou au contraire une classe entière.

Le fait d'être débutant implique forcément que l'on ne connait que très mal le métier, vu que la formation initiale est très courte... Tatonner, s'informer, cela peut permettre d'être performant de façon rapide !!! Personnellement je n'ai jamais autant appris qu'en me débrouillant de cette façon, il me semble d'ailleurs impossible d'enseigner avec pour seul bagage bibliographique les cours d'IUFM. Il est néanmoins certain qu'avec les années, on s'améliore. ;)

Le fait d'accompagner un seul enfant, ou bien quelques uns, cela permet de travailler évidemment au cas par cas pour peu que l'on en ait la volonté. Je pense que je vaudrais toutes les mère attentives du monde s'il n'y avait que 2 ou 3 enfants dans ma classe !!! :blush:

Quant au fait d'être ou non parent : le discours selon lequel on comprend mieux les enfants parce que l'on a élevé les siens me rend douteuse.... Mais c'est une autre question, n'est-ce pas ? :D

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Pour beaucoup d'enfants, certaines questions ne se posent pas. Seule l'école pourra répondre à leur soif ou désir d'apprendre. Tant mieux pour ceux dont les parents peuvent faire le choix des réponses à apporter et ils auraient tort de s'en priver.. mais pour une majorité l'école sera le seul lieu qui répond à cet élan d'apprendre, avec des procédures, des éclairages pour l'aider..

je vous assure qu'il n'y a pas tant de parents qui peuvent instruire leurs enfants , que cela reste un cas particulier et que pour un grand nombre l'école reste la seule réponse.

Alors fabriquons cette école pour que ceux qui n'ont pas le choix puisse assouvir leur soif..

Pour que l'école reste une chance pour tous il faut que tous s'y investissent.

Alors accompagnons nos enfants mais sans perdre de vue ceux des autres.

Je crois que personne ne dit le contraire...

La question de départ c'est de savoir si oui ou non les parents peuvent/doivent répondre aux demandes d'apprentissage de leurs enfants...

Perso, je pense que oui, avec des limites : parce que je croiis volontiers qu'un enfant demande à savoir son prénom ou celui de sa soeur... par contre, je doute quand on me dite "je lui apprend les division, c'est lui qui a demandé".

J'ai plein d'amies qui ont appris à lire à leurs enfants par crainte que l'école fasse mal (sous entendu, utilise du global)... là, je m'interroge : si on choisit de mettre ses enfants à l'école, cela doit se faire en confiance... mais pour moi confiance ne suppose pas non plus aveuglement : mais bien souvent les parents sont beaucoup plus soucieux des apprentissages que de l'ambiance générale de la classe!!

Perso, quand ma fille allait à l'école (bon en PS OK), je me souciais plus de son bien-être et de son épanouissement que de ce qu'elle apprennait...

Et pour revenir à la question de départ, ça me fait rigoler tout le tralala autour d'un malheureux prénom : j'ai beau faire des études en sciences de l'éduc, lire bcp sur les différents apprentissages etc... quand mes gosses me demandent comment on écrit dinosaure en attaché, j'écris, point!

Trop de pédagogie tue la pédagogie...

Et j'insiste : il ne s'agit nullement ici de faire l'apologie de l'instruction en famille... ça n'a jamais été mon discours! :)

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En conséquence, les PE débutants, qui n'ont parfois jamais cotoyé de près de jeunes enfants, font souvent avec les moyens du bord, se documentent par eux-mêmes, tatonnent, et sont finalement peut-être moins performants qu'une mère attentive qui n'a comme seul "élève" que son propre enfant...

Je vois trois dimensions dans ce que tu évoques : d'une part le fait d'être ou non parent, d'autre part celui de débuter ou d'avoir de la bouteille, finalement celui de n'avoir sous sa responsabilité qu'un enfant ou au contraire une classe entière.

Le fait d'être débutant implique forcément que l'on ne connait que très mal le métier, vu que la formation initiale est très courte... Tatonner, s'informer, cela peut permettre d'être performant de façon rapide !!! Personnellement je n'ai jamais autant appris qu'en me débrouillant de cette façon, il me semble d'ailleurs impossible d'enseigner avec pour seul bagage bibliographique les cours d'IUFM. Il est néanmoins certain qu'avec les années, on s'améliore. ;)

Le fait d'accompagner un seul enfant, ou bien quelques uns, cela permet de travailler évidemment au cas par cas pour peu que l'on en ait la volonté. Je pense que je vaudrais toutes les mère attentives du monde s'il n'y avait que 2 ou 3 enfants dans ma classe !!! :blush:

Quant au fait d'être ou non parent : le discours selon lequel on comprend mieux les enfants parce que l'on a élevé les siens me rend douteuse.... Mais c'est une autre question, n'est-ce pas ? :D

Tu as parfaitement saisi.

Tatonner, s'informer, cela peut permettre d'être performant de façon rapide !!!

Alors pourquoi dénier à une mère de famille cette capacité?

Ma réponse n'avait comme objet que de tempèrer celle qui a été faite à nanouspm, qui souhaitait des conseils pour satisfaire la curiosité de son enfant en matière d'apprentissage de l'écriture.

J'avoue que j'ai été légèrement chagrinée par la nature de la réponse qui lui a été donnée, comme si le simple fait d'avoir été estampillé PE donnait illico tous les outils dont serait dépourvus en revanche un père ou une mère.

Sur cette rubrique, dans un autre post, j'ai lu qu'une PE, Pseudoval, reconnaissait qu'elle avait rectifié son comportement, au bout de 10 années d'expèrience (ce qui n'est pas rien tout de même), le jour où elle a été mère à son tour et que certaines évidences lui sont alors apparues.

Indépendamment du débat précédent,je confirme n ne réagit pas du tout de la même façon avant d'avoir des enfants (et je dirais même des enfants en âge d'être scolarisés!).

J'ai travaillé 10 ans avant d'être maman ,et quand je repense à certaines de mes réactions à l'époque...rien de bien méchant (enfin,j'espère ) mais je manquais de compréhension parfois....disons qu'il m'arrivait d'oublier qu'il y avait un enfant "caché" derrière l'élève....

Attention,je ne dis pas qu'un enseignant sans enfant est "incompétent" ,je dis simplement que dans mon cas cela m'a apporté un autre regard ,et je ne dois pas être la seule...

source : http://forums-enseignants-du-primaire.com/index.php?showtopic...2entry1125102

Je conçois parfaitement qu'un seul exemple n'a pas valeur de généralité, mais non seulement cet exemple n'est pas isolé, (je discute avec pas mal de PE-parents et le discours est récurrent) mais encore, dénier que l'expèrience de la parentalité n'en soit pas une en matière d'éducation, reconnaissons que c'est faire preuve de mépris... ou du moins, affirmer sans prouver.

Encore une fois, lorsque je me rappelle les réactions de certains PE que j'ai fréquentés en IUFM, je suis atterrée : immaturité flagrante, a priori par rapport aux parents (souvent le fait de personnes elles-mêmes à peine sorties d'une adolescence mal digèrée, et projetant dans les parents de leurs futurs élèves, sans même les connaître, leur ressenti et rancoeur personnels vis à vis de leurs pères et mères...; propos sur les pratiques éducatives dignes du 19e sicèle où le châtiment corporel apparait comme un mal nécessaire, propos contraires à la dignité des personnes : j'ai discuté avec une PE de 7 ou 8 ans d'expèrience, sympa par ailleurs, qui, avouant qu'elle supportait mal la différence et l'étranger, et principalement l'homme étranger, se reconnaissait raciste, ce qui est une chose, mais affirmant clairement que face à un élève profèrant des propos racistes, elle ne se reconnaissait pas le droit (dixit) de le détromper : et cette personne EST PE...)

Bref, tous ces exemples, ne représentent évidemment pas l'ensemble de la profession, et ne sont le fait que d'individus isolés, certes, mais même si je suis consciente de la digression par rapport au sujet de départ, réussir ce concours ne donne pas une fois pour toutes la garantie que les personnes qui l'ont obtenu disposent, non seulement des qualités professionnelles requises (la formation est largement insuffisante) mais des qualités humaines d'ouverture d'esprit et d'écoute... comme dans tout groupe humain : je ne vois pas pourquoi le corps des PE ferait exception.

Et OUI, être parent ne donne pas non plus ipso facto les qualités sus-mentionnées.

Alors, penser que nanouspm commettra l'irréparable si on lui donne quelques moyens de nourrir la curiosité de son enfant, c'est un peu abusif : elle ne prend la place de personne et aucun de ses propos n'a laissé penser qu'elle se mettait sur le même plan que les "pros" dans sa demande.

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