Dramstein Posté(e) 4 juin 2012 Posté(e) 4 juin 2012 "assouvir les penchants sadiques de l'homme" wow Que dire des penchants sadiques des femmes qui vont admirer le mâle en costume moulant? Il y aurait de quoi faire une méga psychanalyse sur le sujet, c'est vrai.
Mirobolande Posté(e) 6 juin 2012 Posté(e) 6 juin 2012 Ah oui, si j'étais toréador moi aussi je souffrirais de devoir porter ça...
Dramstein Posté(e) 7 juin 2012 Posté(e) 7 juin 2012 et encore, il faut le voir porter pour comprendre!
Mirobolande Posté(e) 7 juin 2012 Posté(e) 7 juin 2012 Ouais mais j'ai pas trouvé la photo adéquate...
Dramstein Posté(e) 7 juin 2012 Posté(e) 7 juin 2012 Tu savais que le costume pesait 10 kilos? (l'image du jour du calendrier Géo est sur les arènes de Nîmes) ^^
Dramstein Posté(e) 21 septembre 2012 Posté(e) 21 septembre 2012 Organiser des corridas dans certaines régions françaises est conforme à la constitution, a jugé ce vendredi le Conseil constitutionnel, rejetant le recours d'associations qui militent contre la tauromachie. Le Figaro Les Sages ont rejeté vendredi le recours de deux associations anti-tauromachie, reconnaissant le principe de «tradition locale ininterrompue» retenu pour autoriser les corridas dans certaines régions. Les Sages ont tranché: l'organisation de corridas dans certaines régions françaises de tradition taurine est conforme à la Constitution. Le Conseil constitutionnel a rejeté vendredi matin le recours déposé par deux associations militant contre la tauromachie. Droits des animaux (DDA) et le Comité radicalement anti-corrida (Crac) Europe voulaient que les sanctions infligées pour cruauté envers les animaux s'appliquent partout sur le territoire français. Et ce indépendamment du «principe de tradition locale ininterrompue» retenu par le législateur pour autoriser la tauromachie dans le sud de la France. Mais selon le Conseil constitutionnel, il n'est pas anticonstitutionnel de prévoir des «différences de traitement» entre les régions à tradition tauromachique et les autres. «Ces pratiques traditionnelles ainsi autorisées ne portent pas atteinte à des droits constitutionnels protégés», ont estimé les Sages. Le critère de «tradition locale ininterrompue», inscrit dans le Code pénal pour les exceptions aux sanctions pour cruauté contre les animaux, est «précis, objectif et rationnel», a-t-on encore commenté au Conseil constitutionnel, en relevant que ces exceptions s'appliquent également aux combats de coqs aux Antilles. Le Comité radicalement anti-corrida, soutenu notamment par Brigitte Bardot, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, a immédiatement réagi, en dénonçant une «dictature tauromachique». «Quand M. Valls déclare qu'il fera tout pour défendre la corrida, on comprend bien que c'est une décision politique», fait valoir le président de l'association, Jean-Pierre Garrigues. Le 11 septembre dernier, sur BFM-TV, le ministre de l'Intérieur, d'origine catalane, avait vivement défendu la tauromachie, «une culture qu'il faut préserver». «Dans un pays en crise, avec des Français qui doutent de leur identité, tout ne peut pas se ressembler», avait-t-il poursuivi. «On a besoin de ces racines, ne les arrachons pas». Un clivage plus culturel que politique La question transcende en réalité les clivages politiques. Au PS, certains comme Anne Hidalgo ou le ministre des Relations avec le Parlement Alain Vidalies se rangent du côté de Manuel Valls. D'autres comme le vice-président du conseil régional d'Ile-de-France, Julien Dray, comptent parmi les farouches opposants à la tauromachie. Premier secrétaire du PS par intérim, Harlem Désir, ne se prononce pas pour une interdiction générale de la corrida, préférant laisser chaque région décider par elle-même. «Je ne suis pas sûr que ça relève de l'ordre constitutionnel», a assuré sur i-Télé celui qui doit succéder en octobre à Martine Aubry à la tête du PS. À l'UMP, les positions sont également diverses. Certains anciens ministres, comme Roselyne Bachelot ou Alain Marleix sont amateurs de corridas, mais d'autres personnalités comme Jean-Claude Gaudin ou Éric Besson, y sont opposés. Si la majorité des écologistes se prononcent contre la corrida, certains élus du Sud-Ouest, comme Noël Mamère, sont plus partagés. Eva Joly n'avait pas inscrit l'interdiction de la tauromachie dans son programme présidentiel, à la différence de Nicolas-Dupont Aignan et de Nathalie Arthaud. Interrogée vendredi sur LCI, elle se prononce pour une prohibition «à terme», après de nouveaux débats. «Il s'agit d'une tradition, a expliqué l'eurodéputée, mais une tradition qui heurte la sensibilité à la condition animale. Nous voulons aujourd'hui qu'en France, nous respections les droits des animaux.» Selon un sondage Ifop paru jeudi, les Français sont partagés sur le sujet, 48% étant favorables à l'interdiction de la corrida, contre 42% qui souhaitent qu'elle continue d'être autorisée.
Dramstein Posté(e) 9 mai 2013 Posté(e) 9 mai 2013 Un: cet homme n'est pas Alvaro Munera (qui a quitté l'arène blessé sur une civière et qui est en fauteuil roulant depuis!) Deux: à mi combat, le taureau n'a pas l'épée planté dans le dos! Trois: cette photo montre un acte de "desplante", il feint de pleurer d'avoir tuer le taureau: c'est une moquerie pour faire rire le public, pas un remord. Mais bon, si on veut croire à ce montage (le taureau à la taille d'un mouton), pas de soucis.
Dramstein Posté(e) 15 août 2015 Posté(e) 15 août 2015 Signes du toroVive le service public et France 3 Languedoc-Roussillon!
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