pfisa Posté(e) 29 août 2007 Posté(e) 29 août 2007 Je suis toute nouvelle sur ce forum ... à la lecture de ce post, je suis convaincue d'avoir eu raison de cacher la précocité de mes deux filles (ainée de 8 ans en CE2 et la cadette de 6 ans et demi en CP) à leurs enseignats respectifs. Malgré ce point commun, leur comportement est aussi différent que le jour et la nuit. Mon ainée est turbulente, très autoritaire et derrière ce paravent se cache une enfant très sensible et pas sure d'elle du tout. Les difficultés sont apparues en CP, l'enseignante me "convoquant" (c'était le terme qu'elle utilisait devant moi!) pour me dire que j'élevais mal ma fille et que cette dernière était d'ailleurs en manque d'amour de ma part (toutes ces paroles ont été dites devant ma fille). Cette enseignante m'a affirmé que ma fille était en "retard", alors que des tests de précocités faits deux ans avant avaient été positifs. Nous l'avons découvert par hasard, car nous avons failli perdre notre plus jeune enfant et sa grande soeur a très mal vécu cette période de maladie, d'où suivi psy... En CE1, heureusement, l'enseignante a su "prendre" ma fille en l'autorisant à lire (c'est son loisir favori) quand elle a fini son travail. Ainsi, elle ne s'ennuie plus et ne perturbe plus ses camarades de classe. Je connais l'enseignante de CE2 et je me réjouis que ma fille soit dans sa classe. Concernant ma cadette, née tout début janvier 2001, je me suis formellement opposée à son passage anticipé en CPen 2006 comme le prévoyait son enseignante (qui m'a carrement avoué que c'était la première fois qu'elle voyait des parents refuser ce passage, car il parait que c'est plutot le contraire d'habitude). La raison : tout simplement parce que ma fille ne le voulait pas. Elle est très travailleuse, très calme, voire trop d'ailleurs, elle sait remettre à sa place une personne en deux temps trois mouvements avec des petites phrases sybilines très "à propos", tout en restant respectueuse et très polie. Petit caractère bien trempé caché sous une apparence toute douce ! Rentrée 2007, ma fille rentre en CP "normalement". Elle a effectué sa GS comme ses autres amis, ça a très bien marché pour elle, elle a vécu une année de plus en maternelle, lieu privilégié pour l'épanouissement personnel et l'ouverture vers les autres. De plus, cette année lui a permis de continuer à apprendre le piano (2ème année) sans avoir de devoirs à faire le soir (et oui, coté musique, c'est pas Mozart, mais elle est douée et je vous assure que je ne la pousse pas ! parfois je préfèrerais la voir jouer dehors avec sa soeur que s'entrainer sur son piano) Je reste très attentive à ces sentiments, si je vois qu'un jour elle commence à s'ennuyer, j'accepterai alors surement le passage anticipé s'il m'est proposé. Enfant, j'avais été moi même détectée précocément avancée, bien que ce terme ne soit pas celui utilisé il y a 30 ans ... et j'en ai tellement bavé que je refuse cela pour mes filles ... un rappel pour les enseignants sur la célèbre phrase "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux", ne pas oublier la suite "en droits" ... ici on ne parle pas de nature, sinon, il n'y aurait pas de gros, pas de maigres, pas de petits, pas de grands !! nos droits sont les mêmes, les enfants, même différents, ont le droit de recevoir un enseignement qui leur correspond ... J'arrêterai mon propos ici car je pense que ce sujet sera encore d'actualité dans une trentaine d'années ...
JulieMarmotte Posté(e) 29 août 2007 Posté(e) 29 août 2007 Enfant, j'avais été moi même détectée précocément avancée, bien que ce terme ne soit pas celui utilisé il y a 30 ans ... et j'en ai tellement bavé que je refuse cela pour mes filles ... Ainsi va la vie : enfant, j'étais précoce (tests faits à l'âge adulte ... mais ça sautait aux yeux de tous mes enseignants), et mes parents n'ont jamais voulu le voir ni l'entendre. J'en ai souffert. Je me sentais différente sans savoir en quoi. Quand on me disait que j'étais "surdouée" (on disait ça comme ça à l'époque), j'étais à la fois très gênée et incrédule : je me trouvais surtout nulle et inadaptée, et pas du tout plus intelligente que mes camarades !!!! Cette idée de toute façon m'était interdite par mon éducation ... Conclusion : ne pas prendre de décisions en se basant sur un dogme (il FAUT / il NE FAUT PAS faire sauter une classe aux enfants précoces, par exemple), mais enlever toutes ses oeillères et être à l'écoute de l'enfant, dans sa particularité : on voit bien que deux enfants précoces n'ont pas tous les mêmes attentes, les mêmes besoins, les mêmes caractères ... Ma fille aussi a refusé le passage anticipé en CE1 cette année ... ce qui ne signifie pas qu'elle ne sautera jamais de classe : on fera en fonction de ses besoins, de son ressenti. Mais je suis sûre que vous l'aviez compris
pseudoval Posté(e) 29 août 2007 Posté(e) 29 août 2007 Enfant, j'avais été moi même détectée précocément avancée, bien que ce terme ne soit pas celui utilisé il y a 30 ans ... et j'en ai tellement bavé que je refuse cela pour mes filles ... Ainsi va la vie : enfant, j'étais précoce (tests faits à l'âge adulte ... mais ça sautait aux yeux de tous mes enseignants), et mes parents n'ont jamais voulu le voir ni l'entendre. J'en ai souffert. Je me sentais différente sans savoir en quoi. Quand on me disait que j'étais "surdouée" (on disait ça comme ça à l'époque), j'étais à la fois très gênée et incrédule : je me trouvais surtout nulle et inadaptée, et pas du tout plus intelligente que mes camarades !!!! Cette idée de toute façon m'était interdite par mon éducation ... Conclusion : ne pas prendre de décisions en se basant sur un dogme (il FAUT / il NE FAUT PAS faire sauter une classe aux enfants précoces, par exemple), mais enlever toutes ses oeillères et être à l'écoute de l'enfant, dans sa particularité : on voit bien que deux enfants précoces n'ont pas tous les mêmes attentes, les mêmes besoins, les mêmes caractères ... Ma fille aussi a refusé le passage anticipé en CE1 cette année ... ce qui ne signifie pas qu'elle ne sautera jamais de classe : on fera en fonction de ses besoins, de son ressenti. Mais je suis sûre que vous l'aviez compris pas mieux...
JulieMarmotte Posté(e) 6 septembre 2007 Posté(e) 6 septembre 2007 Petite question pratique aux enseignants qui passeraient par ici ... Ma fille, bonne lectrice, vient d'entrer en CP. Je ne reviens pas sur le choix de la laisser au CP : on pense que pour l'instant, c'est mieux pour elle. Mais se pose le problème de l'apprentissage de la lecture, forcément. La maîtresse a tout de suite vue qu'elle savait lire, et est prête à aménager un peu le cursus de ma fille (la proposition vient d'elle, que demander de mieux, hein ?). Alors, ce soir, premiers "devoirs" : remettre les fameuses étiquettes dans l'ordre, et lire. Disons que ma fille n'est guère enthousiaste, ce qui se conçoit aisément. Elle a lu X fois les deux phrases de l'histoire de Max et de son chat Pistache en classe, elle n'a pas nécessairement envie de remettre ça le soir, vu que l'enjeu "apprendre à lire" n'existe pas dans son cas. Donc, ce soir, elle a fini par le faire, pour le principe ... 1 mn chrono pour sortir les étiquettes, les mettre dans le bon ordre, lire, ranger les étiquettes. Mais deux heures avant où elle a fait la sourdre oreille chaque fois que je lui rappelais qu'elle devait faire sa lecture. Quelle attitude adopter ? 1) On continue comme ça : après tout, c'est vite fait, ça ne l'épuise pas trop. Oui, mais je risque de la dégoûter des devoirs, non ? C'est vide de tout sens, dans son cas ... 2) Je laisse tomber : elle sait lire, après tout. Oui, mais la dispenser des devoirs de ses camarades, c'est lui accorder un statut spécial, et le droit de se tourner les pouces. Certes, elle a des capacités particulières, mais je veux qu'elle se sente l'égale de ses camarades (leur admiration lui avait fait un peu prendre le melon, mardi soir On l'a vite remise à sa place, mais bon ...). 3) Demander à la maîtresse de lui donner des devoirs adaptés ? Est-ce possible ? Que pourrait-elle proposer, pour qu'elle ait un temps de travail à la maison équivalent à celui de ses camarades ? Je dois avouer que je n'avais pas pensé à cet aspect des choses. Sinon : ma puce est ravie pour l'instant de ce qu'elle fait en classe, même si c'est hyper facile Elle adore expliquer à ses camarades, et écouter ce que font les CE2
esterella Posté(e) 6 septembre 2007 Posté(e) 6 septembre 2007 Parle avec elle. Demande lui exactement ce qu'elle ressent, si ça lui plaît comme ça ou pas. Sinon en math c'est comment ?
JulieMarmotte Posté(e) 7 septembre 2007 Posté(e) 7 septembre 2007 Merci pour toutes ces bonnes idées Finalement, j'ai croisé la maîtresse à la sortie de l'école, et on a pris deux minutes pour en discuter. Au programme : la semaine prochaine, ma fille fera les évaluations de CE1, pour voir où elle en est exactement. Mais la maîtresse, en discutant avec Puce, a bien compris que la demoiselle ne voulait pas changer de classe. Donc, ça permettra surtout de différencier ... Et puis, nous sommes d'accord : elle est à l'aise en lecture, mais beaucoup moins en écriture. Donc, comme ça passe mieux quand ça vient de la maîtresse, elle va lui demander de travailler un peu l'écriture à la maison. Et là, le truc de "tu écris et je lis" me semble très approprié !!!! Je vais essayer dès demain (là, on a passé l'heure des devoirs !). Et puis, elle a du mal à se concentrer sur la vie de la classe. Forcément, ce soir, elle me racontait ce que les CE2 avaient fait en maths Pour la question sur les maths : elle maîtrise la numération jusqu'à 999, a bien compris les principes de l'addition, de la soustraction et de la multiplication, sait poser une addition (appris dans un de ses CDrom), mais ne sait pas par coeur ses tables, ce qui la ralentit, et la décourage quelquefois. Elle sait lire l'heure sur une montre à aiguilles (demi, quarts, multiples de 5).
JulieMarmotte Posté(e) 8 septembre 2007 Posté(e) 8 septembre 2007 Dans ce cas-là, CE1, le plus vite possible... Et les devoirs à la maison : écriture dans un joli petit cahier qui fera très envie à la Puce... Et d'ici un mois ou deux, elle ne se souviendra même plus qu'elle avait commencé l'année scolaire en CP. Ben oui, mais le problème, c'est que la demoiselle fait des cauchemars (au sens propre du terme) quand on lui parle de passer en CE1. Ca la rend physiquement malade, ne serait-ce que d'y penser. Donc, il faut lui laisser le temps de faire son propre chemin. La psy qui avait d'abord évoqué le saut suite à son test, en convient, après l'avoir suivie quelques temps. Elle risque assez peu de s'ennuyer cette année, étant avec des CE2 en classe: quand elle n'a plus rien à faire, elle écoute ce que font les grands ("Mais la maîtresse, elle n'a pas vu que je levais la main ! Pourtant, je savais, moi ... " <_< ). Peut-être qu'à force de faire la comparaison entre le travail des CP et celui des CE2, elle se rendra compte que le CE1, ce n'est peut-être pas la mer à boire, et ça doit toujours êtreplus intéressant que celui des CP.
JulieMarmotte Posté(e) 8 septembre 2007 Posté(e) 8 septembre 2007 Peut-être, si les maîtresses sont d'accord, une "intégration en douceur". Elle irait passer une demi-heure puis une heure, puis une demi-journée par jour chez les CE1 et progressivement, le glissement d'une classe à l'autre se ferait.J'ai un ami qui a vécu la même chose avec son petit garçon de GS, l'intégration s'est faite ainsi au troisième trimestre de l'année dernière et à la rentrée, le petit pépère a intégré le CE1 tout content alors qu'au départ, il était totalement opposé à l'idée de "sauter le CP". A voir à l'issue des évaluations ... De toute façon, à cette occasion, elle ira avec les CE1 au moins le temps de l'évaluation, elle se fera une idée de ce qu'on attend des élèves à ce niveau, et au moment des résultats, j'aurai un RDV avec la maîtresse et la directrice qui, justement, a les CE1 ... Ca dépend aussi de leur bonne volonté Je ne doute pas de celle de la maîtresse de ma fille, mais la directrice était assez circonspecte l'an dernier. Donc, wait and see. Ma priorité pour l'instant : que la puce ne stresse pas sur les évaluations. Elle a du mal avec l'échec ... Et puis, je n'oublie pas qu'elle n'a que six ans, et que le but n'est pas qu'elle saute une classe, mais qu'elle soit bien dans ses baskets. Si lui faire sauter une classe l'aide à être bien dans ses baskets, pourquoi pas ?
barbabelle Posté(e) 8 septembre 2007 Posté(e) 8 septembre 2007 A mon tour! J'ai mon fils qui a fait l'an dernier 3 mois de cp et qui est en ce1 actuellement, il écrit mal (encore gros), est content, tout va bien. Comme je suis "sensibilisée" à cet état de fait, 2 de mes collègues de cp m'ont mis chacune dans ma classe de ce1 cette année un enfant précoce. L'une a déjà sauté une classe, et aux dires des parents, s'ennuyait beaucoup l'an dernier, mais refue l'échec (sinon, elle se sent "nulle"). L'autre n'a pas été testé mais va l'être. J'ai rencontré les parents de ces 2 enfants à la fin de ma réunion de parents ce matin. Les 2 mamans ont été contentes de se rencontrer, et de parler ensemble de choses qu'elles "cachaient" normalement. Et en les écoutant parler, je revoyais mon fils, certaines fois. Bref, nous ne sommes pas formés, c'est sûr. Mais que dois-je faire? Leur donner du travail plus dur, de ce2? Je ne sais pas trop comment m'y prendre. C'est le début de l'année, et on revoit les "bases', ce n'est pas simple pour les autres... J'ai en plus des lents, des lunaires, une élèves qui va faire un sateg en enseignement spé (si ça va bien, elle y restera), bref, 27 cas particuliers... Je pensais mettre mes 2 élèves ensemble, pour leur faire du travail spécifique, quelqu'un a déjà fait ce genre de chose en ce1??? J'avoue que ça me passionne, vu mon histoire personnelel, mais je ne sais pas trop comment m'y prendre...
esterella Posté(e) 8 septembre 2007 Posté(e) 8 septembre 2007 A mon tour!J'ai mon fils qui a fait l'an dernier 3 mois de cp et qui est en ce1 actuellement, il écrit mal (encore gros), est content, tout va bien. Comme je suis "sensibilisée" à cet état de fait, 2 de mes collègues de cp m'ont mis chacune dans ma classe de ce1 cette année un enfant précoce. L'une a déjà sauté une classe, et aux dires des parents, s'ennuyait beaucoup l'an dernier, mais refue l'échec (sinon, elle se sent "nulle"). Classique chez un EIP, en même temps l'échec s'apprend aussi, malheureusement dans la vie elle devra un jour y faire face. C'est souvent en EPS que les EIP ont le plus de mal. C'est là qu'ils apprennnent le goût de l'effort etc... L'autre n'a pas été testé mais va l'être. J'ai rencontré les parents de ces 2 enfants à la fin de ma réunion de parents ce matin. Les 2 mamans ont été contentes de se rencontrer, et de parler ensemble de choses qu'elles "cachaient" normalement. Les parenst d'EIP cachent toujours la vérité, de peur d'être pris pour des vantards. C'est un pas énorme qu'ells ont fait en te l'avouant, preuve d'une grande confiance en toi. Et en les écoutant parler, je revoyais mon fils, certaines fois. Bref, nous ne sommes pas formés, c'est sûr. Mais que dois-je faire? Leur donner du travail plus dur, de ce2? Là c'est embettant parce qu'en CE2 le problème va se reposer. L'année dernière la maman de ma EIP(que je connais personnellement) m'a tout de suite dit : on lui donne toujours du travail du niveau au-dessus mais elle est sent bien qu'elle n'est pas comme les autres à cause de ça. Un EIP est toujours en recherche du "être comme les autres" "être accepté tel que je suis par les autres". Ce que je faisais : elle lisait des livres, nous les présentais, préparait des exposés (sur le système solaire...), expliquait aux enfants qui ne comprenaient pas etc... Bref ses journées étaient chargées (elle ne s'ennuyait jamais) et était comblée parce qu'elle faisait tout dans le cadre de notre programme CE2. Parfois elle voulait juste que je la laisse lire 2 romans par jour (elle pouvait aller en BCD quand elle voulait changer ses livres). Je ne sais pas trop comment m'y prendre. C'est le début de l'année, et on revoit les "bases', ce n'est pas simple pour les autres... J'ai en plus des lents, des lunaires, une élèves qui va faire un sateg en enseignement spé (si ça va bien, elle y restera), bref, 27 cas particuliers... Je pensais mettre mes 2 élèves ensemble, pour leur faire du travail spécifique, quelqu'un a déjà fait ce genre de chose en ce1??? Essaie les enquêtes de Lafouine, ou d'autres trucs où il faut se casser la tête (mots croisés...). En général ils adorent ce genre de choses. Sinon elles peuvent aussi avoir accès à l'ordi, ou bien s'occuper de tapper les articles du journal de classe, ou de la mise en page, etc... J'avoue que ça me passionne, vu mon histoire personnelel, mais je ne sais pas trop comment m'y prendre... Les EIP sont passionnants, mais d'une sensibilité extrême. Ils sont à fleur de peau. A manier avec justesse et respect. Il n'y a pas plus volontaire qu'un EIP quand on le prend avec douceur. Les crises sont fréquentes, parce que souvent ces enfants ne se confient pas. Elles trouveront en toi une oreille qui écoute et comprend, c'est de l'humain dont elles ont besoin, pour le scolaire elles le feront très bien sans nous Je parle d'EIP dont les tests sont équilibrés, ce qui semble être le cas de tes deux puces . Les autres EIP peuvent avoir un comportement social très très différent. PS : pour ton fils, les problèmes de graphisme et écriture sont fréquents chez les EIP je dirai même que c'est un trait EIP.
JulieMarmotte Posté(e) 8 septembre 2007 Posté(e) 8 septembre 2007 Je suis d'accord avec esterella sur beaucoup de choses. 1) L'importance du sport, pour se confronter à la difficulté et à l'échec, apprendre ce que signifie "faire des efforts", "s'entraîner". Il ne faut donc jamais minimiser son importance ! 2) Si on ne fait pas sauter une classe, on évite d'anticiper sur le niveau suivant : ça ne fait qu'entretenir le décalage. Toutes ces idées me semblent bonnes pour occuper intelligemment l'enfant, tout en l'intégrant à sa classe (même si effectivement, il fait des choses différentes, mais j'imagine qu'il fait encore le même travail que les autres une bonne partie du temps : écriture, EPS, découverte du monde ... et ensuite, ça dépend de l'avance pris dans les autres domaines) 3) Pour l'écriture, c'est particulièrement vrai chez les garçons. Tout comme beaucoup de problèmes liés à la précocité d'ailleurs. Et effectivement, l'homogénéité du QI est de "bon pronostic", c'est nettement plus facile à gérer
barbabelle Posté(e) 9 septembre 2007 Posté(e) 9 septembre 2007 Pour mon fils, tout comme pour les 2 mamans des enfants de ma classe, je ne vois pas encore l'intérêt des tests. On saura qu'ils sont précoces, mais concrètement, il n'y aura rien de plus.... Quel est votre point de vue?
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