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Posté(e)
Voilà ma fille a été déclaré précosse avec 127 de qi et je sui moi même prof des écoles. Elle a bientôt 7 ans, c'est très bien lire et a fait le fichier Picbille cp en 3 mois , un peu avant les grandes vacances.

Cette année ils ont mis m'a fille en double niveai cp-ce1. J' ai prévenu l'enseignante de sa précosité et je lui ai demandé si d'après elle ma fille pouvait alle en ce1.

Maintenant elle ne rate pas m'a fille pour m'entendre dire qu'elle n(est pas exceptionnelle ... d'où un refus catégorique.

Pour info j'ai rencontré le même problème avec sa soeur ainé et comme on a insisté on nous a fait signé une décharge au cas où ça se passerai mal.... tout c'est bien passé....

Nous comptons redemander cela en Janvier si elle refuse à nouveau que puis je faire car je vois bien que ma fille s'ennuie ?

La directrice n'est pas très communiquante alors dois je aller voir l'inspecteur ?

Merci pour vos conseils

J'ai 4 enfants dans mon CP/CE1 qui savaient lire depuis le 1ier jour de classe. 2 mamans voulaient qu'on les fasse passer en CE1 alors que leur écriture même si elle était correcte n'était pas du niveau du CE1, en math, ils roulent , font des exos juste mais ne manifestent pas un raisonnement digne d'un enfant précoce.

Le picbille ( c'est mon avis, est un des pires des fichiers) , donc le terminer en 3 mois ne signifie pas que ton enfant est précoce, simplement qu'il sait appliquer des leçons mathématiques, exécuter des exos plats, sans piège, rébarbatifs, présentés tjs dans le même ordre...

Propose lui des situations problèmes pour évaluer ses capacités à raisonner, à justifier son résultat , à expliquer ses procédures.

Bref, on a accepté de proposer à ces élèves de CP sachant lire ( déchiffrer plus exactement car la compréhension n'est pas tjs de mise)de bosser sur les albums que nous proposons aux CE1, mais lorsqu'il faut produire des écrits sur ces fiches de lecture, ils en sont incapables! Normal, ils ont un niveau CP +++ pour toutes les matières et seulement un niveau CE1 pour le déchiffrage!

Si tu es PE, tu dois bien savoir qu'en parler direct à l'IEN n'est vraiment pas la chose à faire pour prouver ta confiance aux enseignants en général. Ou alors, prends ta fille dans ta classe si tu as le bon niveau :wink:

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Il me semble que le seuil de l'EIP est de 130 ("seuil EIP" sur go ogle)

Donc "sur le papier", ta fille n'est pas EIP.

Les autres participantes t'ont donné pas mal d'infos, côté "maman" et côté "instit", d'EIP vrais.

Mes filles (non testées) savaient lire (déchiffrage et compréhension) à 5 ans 3 mois. Ni la maitresse de GS (qui a fini par le voir au bout de 2 mois) ni celles de CP n'ont envisagé un saut de classe, pour des petites filles bien petites (fin d'année + petite taille), bien dans leur peau en général et vis à vis de cette spécificité en particulier ... partagée par quelques autres. Du tutorat et aide à la production d'écrit pour l'une, de l'illustration d'album pour l'autre, des fiches supplémentaires pour les 2. Je précise qu'elles sont très "scolaires". L'illustratrice s'est em...ée à certaines périodes, mais bon, ça fait partie de la vie.

Elles sont désormais en CM1. Tout roule avec une grande facilité à l'école pour chacune. Elles ont du temps pour pratiquer de la musique, pour lire, pour jouer, pour créer, pour rêver. Je sens par contre que la plus "brillante" en GS-CP arrive au bout de cette facilité (les situations problèmes la déstabilisent, elle commence à avoir besoin de revoir à la maison 1 leçon par ci par là ) . Comme quoi...

C'est le témoignage d'une maman de fillettes éveillées, tout à fait capables de se "taper" picbille à 3 pages par jour en fin de GS ... et d'en redemander :lol: . Pas EIP - selon les textes à destination des enseignants de F. Bak, disponibles jusqu'il y a peu sur le site de l'IA de l'Ain - .

Tant que ta fille est bien dans ses baskets, même si c'est au prix d'un peu d'emm....ts pour encore 3 mois en classe, pourquoi lui faire passer une classe?

Il y a de quoi faire en classe, sans surcharger l'enseignante (qui a déjà un cours double), par contre, pour aménager le temps libre de ta fille de façon constructive (le tutorat, l'écriture sous la dictée des non lecteurs, etc ). Tu peux toujours le proposer à son enseignante.

Posté(e)

Mon fils a sauté le cp. Il lisait couramment en fin de GS et maitrisait la numération jusque 1000.

Il est né fin octobre, ça lui fait donc beaucoup d'avance.

il est actuellement en CE2, tout se passe bien, à part l'écriture qui n'est pas terrible.

Posté(e)
Que de clichés et d'approximations ! Mais effectivement, on ne décide pas d'un saut en fonction d'un QI, c'est le bon sens même !

Je suis bien d'accord j'ai mes deux garçons qui sont précoces (Qi de 160) et pour l'instant l'un est heureux dans sa classe donc pourquoi le changer pour l'instant et l'autre a du mal a rentrer dans le moule alors pourquoi diminuer le moule et augmenter les contraintes ?

Chaque cas est particulier.

J'ai un neveu qui a été testé aussi avec QI de 165, il a sauté en tout 3 classes du Ce2 à la terminale progressivement en restant dans des établissements scolaires publics.

Posté(e)
Je suis bien d'accord j'ai mes deux garçons qui sont précoces (Qi de 160) et pour l'instant l'un est heureux dans sa classe donc pourquoi le changer pour l'instant et l'autre a du mal a rentrer dans le moule alors pourquoi diminuer le moule et augmenter les contraintes ?

Chaque cas est particulier.

J'ai un neveu qui a été testé aussi avec QI de 165, il a sauté en tout 3 classes du Ce2 à la terminale progressivement en restant dans des établissements scolaires publics.

Voilà, au-delà de 150 on sort clairement de la norme et on doit penser à un cursus un peu plus "sur-mesure" que le prêt-à-porter ordinaire ;)

Posté(e)
Je suis bien d'accord j'ai mes deux garçons qui sont précoces (Qi de 160) et pour l'instant l'un est heureux dans sa classe donc pourquoi le changer pour l'instant et l'autre a du mal a rentrer dans le moule alors pourquoi diminuer le moule et augmenter les contraintes ?

Chaque cas est particulier.

J'ai un neveu qui a été testé aussi avec QI de 165, il a sauté en tout 3 classes du Ce2 à la terminale progressivement en restant dans des établissements scolaires publics.

Voilà, au-delà de 150 on sort clairement de la norme et on doit penser à un cursus un peu plus "sur-mesure" que le prêt-à-porter ordinaire ;)

Oui mais il n'y a pas de cursus sur mesure car le pb est justement la mesure, pour mon neveu ma soeur ne savait jamais si elle avait raison ou tort lorsqu'un saut de classe se faisait, surtout le dernier quand il avait 3 ans d'avance.

Pour mes garçons je suis dans le flou le plus total... zélie semble penser que le saut de classe s'impose aujourd'hui pour son enfant, tant mieux et si elle le pense qu'elle fasse tout pour y arriver, moi je ne sais pas pour les miens , l'un calcul a toute vitesse lisait en GS (sans qu'on lui apprenne) mais écrit comme un cochon, l'autre passe son temps à lire, écrit des poèmes et se fiche éperdument des contraintes du monde qui l'entoure, pour corser le tout ils ont le même age.

Posté(e)

Merci pour toutes vos réponses...

Au sujet de ma fille si elle saute une classe elle n'aura que 6 mois d'avance. D'autre part je trouve que dès que l'on sort du moule on est considéré comme hors norme.

J'ai oublié de préciser que ma fille au mois d'octobre ne voulait plus aller à l'école. En plus un camarade l'a malmené pendant 2 mois sans que personne ne bouge malgré mes alertes.

C'est une petite fille très mure et très scolaire donc à la rentrée je vais demander ce saut de classe.

Je désirais rebondir sur le saut de classe en général. Il n'est pas question d'en faire un singe savant, elle a d'autres activités qui lui plaisent en dehors de l'école. Et puis il n'est pas question non plus de lui faire sauter 2 ou 3 classes.

J'ai l'exemple de ma fille ainé qui est moins sociable que la seconde qui m'a demandé de sauter encore une autre classe et j'ai clairement dit non. Elle penssait pouvoir terminer plutôt l'école primaire (elle est encore plus précose que sa soeur).

Le 3ème enfant un garçon de 5 ans c'est déjà lire et compter jusqu'à mille et cherche des mots dans le dictionnaire en ce moment. Pour lui par exemple je ne lui ferais pas sauter de classe car il n'est pas assez mature sur le plan du comportement en classe (il commence à se laisser entraîner par les autres et adore rigoler en classe donc je le laisse acquérir tranquillement les règles de vie en collectivité bien qu'il m'entende lui rappeler sans cesse ce qu'il peut faire ou ne pas faire en classe.

Je suis inscrite à une association pour enfant précose. Il faut savoir qu'arriver au collège vers la 4ème 50% d'entre eux sont en échec scolaire. Voilà pourquoi il faut faire tester vos enfants si vous sentez que leur mode d'acquisition est plus rapide ou différent, car en le sachant on éviter ces échecs.

En effet il fontionne beaucoup à l'intuition mais ont rarement un raisonnement logique et c'est la qu'il faut mettre l'accent. C'est à dire leur demander sans cesse mais explique moi comment tu as trouvé ce résultat. Ils ont peu l'habitude de travailler beaucoup et ils manquent de méthode de travail et d'organisation. Je le vois avec ma fille ainée qui a une écriture de cochon qui commence tout juste à s'améliorer en CM2 à force d'être derrière elle.

Merci encore à vous toutes.

Posté(e)

Si cela peut t'éclairer, Zélie, voici deux témoignages vécus.

En tant que maman, d'abord : j'ai trois enfants d'âges très rapprochés. Lorsque mon deuxième a eu deux ans, j'ai souhaité le faire entrer en maternelle dans l'école de village où était déjà scolarisée ma fille : la directrice a refusé (pas de TPS à cette époque). Le petit était demandeur d'école, il craquait à la maison avec la nounou (qui craquait aussi !). Les deux cocos ont été scolarisés ensemble dans une autre école pour un an, la grande en MS, lui en TPS.

L'année suivante, retour à l'école du village. Au bout de deux jours en PS, la directrice nous a proposé de le passer en MS (il faut dire que déjà à cette époque il "lisait" toute la journée). Tout s'est bien passé. Rentrée scolaire suivante : ma fille était au CP, je trouvais l'apprentissage de la lecture poussif (je n'étais pas PE à cette époque, je ne comprenais pas pourquoi elle n'avançait pas plus vite...), et ce d'autant plus que le deuxième, chaque soir, du haut de sa GS avec un an d'avance, lui soufflait son texte... Le troisième était alors entré en PS.

Durant les années d'élémentaire, puis de collège, mon fils a été comme un poisson dans l'eau, au niveau du raisonnement, de la lecture, d'une manière générale ça marchait, sauf qu'il avait une écriture de cochon, ne faisait aucun effort pour rester "tranquille". L'année du CP, il s'ennuyait terriblement, mais il aimait aller à l'école, il avait des copains. La maîtresse lui donnait du bricolage à faire pour l'occuper, elle était très compréhensive. Les années suivantes, sauf en CM2, il a été dans le colimateur des enseignants qui le trouvaient dissipé et lui reprochaient son écriture. Dans ses cahiers d'élémentaire, il n'y a aucune poésie copiée en entier, aucune leçon, les cahiers sont des torchons. Je me suis vraiment remise en question, mais lui ne s'en plaignait pas. C'était la galère tous les soirs pour les leçons, les notes étaient moyennes, mais lui avait toujours l'air content, et je crois qu'il l'était.

Au CMP, il a travaillé avec une psychomotricienne qui le faisait jouer au basket pour délier son bras, et qui lui a conseillé de faire de la poterie. L'animatrice de l'atelier de poterie lui a fait faire de la scupture au marteau et au burin sur siporex, il s'est régalé ! Après un déménagement, le nouveau CMP a proposé un suivi psy : il jouait aux échecs avec le psy et le battait chaque semaine.

Tout cela a continué au collège : intelligence rapide, excellente compréhension, mais peu d'écrits, et un comportement toujours limite. Comme il était brillant, et mignon, les profs l'aimaient bien...

Au lycée, la seconde a été catastrophique, sauf que là, il a fallu décider une orientation pour la première : il voulait suivre ses copains en S, mais la prof de maths s'y est à juste titre opposée. Tout s'est éclairé un soir : grosse discussion familiale, échange passionnant : il a décidé d'aller en L, avec spécialité maths et options Histoire des Arts. Ses deux années de Première et Terminale ont été brillantes, excellent bac, prépa et maintenant, ayant été sous-admissible à Normale sup l'an dernier, il retente ce concours cette année. Lui qui n'a rien écrit pendant des années produit avec délectation des dissertations de trente pages sans fatigue... Lui qui ne voulait pas faire ses devoirs travaille douze à quinze heures par jour pour son plaisir pour la troisième année consécutive... Plus de dix ans d'incertitudes, de remises en question, de culpabilité (pour moi !)...

Pendant ce temps-là, mon petit dernier, avec un an de moins, a survolé ses années de primaire, de collège et de lycée sans prendre d'année d'avance : je n'en ai pas voulu ! Lui non plus : trop bien avec ses copains et copines, il n'était pas question de sauter une classe. Nous étions rongés de culpabilité par rapport à son frère, et refusions de renouveler l'expérience. Lui a eu 20 de moyenne en Terminale S en maths, il est maintenant interne en prépa dans un lycée parisien réputé, qu'il a choisi malgré nos réticences : dans sa classe, rien que des premiers, un champion du monde de physique, etc : il s'éclate...

Autre expérience, en tant qu'enseignante : une année, en CP/CE1, arrive dans ma classe une toute petite fille de 5 ans. Au bout de quinze jours, elle levait le doigt pour répondre aux questions que je posais aux CE1. J'ai commencé à lui donner le travail de lecture des CE1, tout en la faisant travailler avec les CP pour l'écriture et les maths. Aux évaluations CE1 de fin septembre, que je lui ai fait passer avec l'accord de sa famille, elle a été la meilleure de tous les CE1 de l'école... Franchement, ça a été facile : elle a juste eu besoin de tourner sa table de temps en temps : tous les apprentissages de CE1 avec ce groupe, sauf pour l'écriture où elle était avec les CP. Une élève autonome, posée. L'année suivante, je l'ai fait passer en CE2, dans un cours simple pour qu'elle consolide ses acquis : j'ai craint qu'en CE2/CM1, elle n'aille trop vite. Pour l'année d'après, en CM1/CM2, on s'est rendu compte qu'elle était parfaitement à l'aise au niveau du CM1, pas de bascule en CM2 en cours d'année.

Maintenant, elle est toujours brillante, et bien dans sa peau. Les parents savaient qu'elle avait des "facilités" et ne m'en avaient rien dit : un frère aîné avait sauté une classe et était en échec au lycée. Il est maintenant en CFA, et s'éclate lui aussi, dans un domaine technique : ce sera un artisan brillant, à qui je ferai appel très prochainement pour des travaux chez moi sans aucun doute !

Ma conclusion : le plus difficile pour des parents, c'est d'accompagner l'enfant sans "forcer" : s'il se sent bien, même si les résultats ne sont pas terribles, il trouvera sa voie. Rencontrer les enseignants, respecter leurs décisions, comprendre leur exaspération face aux comportements parfois difficiles dans des classes surchargées, face aux demandes des parents...

Nous parlons sur ce forum de ce qui se passe en primaire, c'est normal, mais je trouve que le plus difficile, ce sont les années de collège, parce qu'elles décident de l'avenir de l'enfant. Au collège, les interlocuteurs sont multiples, les enseignants doivent faire entrer les enfants dans des cases, justement à l'âge où ils sortent de l'enfance et coopèrent parfois assez peu avec les adultes... Un collégien peut vite perdre pied, et souffrir de l'école. Les enfants précoces y sont souvent bien malheureux, et ce n'est pas la faute des professeurs : avec une ou deux années d'avance, ce sont des "petits" dont les autres se moquent, sans année d'avance, ils s'ennuient et se démotivent. Il existe des établissements scolaires où les enfants de ce profil disposent d'un emploi du temps aménagé, mais je crois qu'ils sont peu nombreux et exclusivement dans le privé. Le rôle des parents est là essentiel : continuer à leur donner confiance, à les encourager, les aider à trouver leur propre chemin, les assurer de notre amour... quels que soient leurs réussites et leurs échecs !

Je me rends bien compte que j'ai l'air de passer à côté des problèmes de précocité, de dys, de QI (je n'ai aucune idée du QI de mes enfants...), etc. Faire partie d'une association de parents ayant les mêmes soucis que soit est une bonne idée(surtout pour les parents !), mais en même temps, ça "enferme" la famille dans un schéma "enfant=problème", non ?

Posté(e)
il est maintenant interne en prépa dans un lycée parisien réputé, qu'il a choisi malgré nos réticences : dans sa classe, rien que des premiers, un champion du monde de physique, etc : il s'éclate...

le plus difficile pour des parents, c'est d'accompagner l'enfant sans "forcer" : s'il se sent bien, même si les résultats ne sont pas terribles, il trouvera sa voie. Rencontrer les enseignants, respecter leurs décisions, comprendre leur exaspération face aux comportements parfois difficiles dans des classes surchargées, face aux demandes des parents...

I de mes enfants...), etc. Faire partie d'une association de parents ayant les mêmes soucis que soit est une bonne idée(surtout pour les parents !), mais en même temps, ça "enferme" la famille dans un schéma "enfant=problème", non ?

Peut être ton fils est il avec mon neveu : le champion du monde de physique...

Je suis d'accord avec ton raisonnement mais ce n'est pas le plus simple car je crois que parfois il faut justement forcer un peu ne serait ce que pour qu'ils soient moins "dans leur monde". Le refus de communiquer peut venir très vite.

Je ne suis pas non plus partisant d'une association mais je comprends les gens qui en ont besoin, nous allons essayer de faire en sorte que les cursus soient dans le public par conviction.

Posté(e)

zelie tu peux demander de l'aide à ton association, en général ils soutiennent bien en ce qui concerne les démarches, dans ton cas c'est peut-être l'appui qu'il faut.

Posté(e)
j'ai mes deux garçons qui sont précoces (Qi de 160) et pour l'instant l'un est heureux dans sa classe donc pourquoi le changer pour l'instant et l'autre a du mal a rentrer dans le moule alors pourquoi diminuer le moule et augmenter les contraintes ?

Chaque cas est particulier.

J'ai un neveu qui a été testé aussi avec QI de 165, il a sauté en tout 3 classes du Ce2 à la terminale progressivement en restant dans des établissements scolaires publics.

De quel test s'agit-il ? Car le top du WISC est à 160.

Posté(e)
j'ai mes deux garçons qui sont précoces (Qi de 160) et pour l'instant l'un est heureux dans sa classe donc pourquoi le changer pour l'instant et l'autre a du mal a rentrer dans le moule alors pourquoi diminuer le moule et augmenter les contraintes ?

Chaque cas est particulier.

J'ai un neveu qui a été testé aussi avec QI de 165, il a sauté en tout 3 classes du Ce2 à la terminale progressivement en restant dans des établissements scolaires publics.

De quel test s'agit-il ? Car le top du WISC est à 160.

Pour mon neveu je ne sais pas, c'était au Cp et il est aujourd'hui en Math sup, les résultats avaient été donnés a ma soeur par la psy scolaire suite à une demande faite par sa PE.

Pour mes enfants c'est le WISC fait chez la psy, les test ont été fait car l'un des deux est suivi car il du mal à être serein et à accepter les règles de vie quotidiennes.

Leur 1ere PE en PS voulait leur faire sauter une classe mais cela n'a pas été accepté par les autres enseignants (elle nous l'a dit l'année suivante, car trop compliqué : la prof qui voulait bien les prendre aurait du les prendre tous les deux alors que l'équipe en place du moment était pour la séparation des jumeaux) en plus nous n'étions pas spécialement demandeur.

Aujourd'hui ils sont en CE1, si nous demandons un saut de classe il serait accepté sans problème pour l'un mais pas pour l'autre, nous attendons donc encore quelques temps, mais celui qui pourrait sauter a plein de copains et est très heureux (et cela est important pour lui) alors que l'autre doit régler ses problèmes avant.

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