nadoudou Posté(e) 24 mars 2009 Posté(e) 24 mars 2009 Ah! ces fichus enseignants conservateurs, réfractaires aux réformes et non sensibles au grand bien que l'on est entrain de faire à leurs bambins!!!! Mais bien sûr qu'on les écoute, mais bien sûr qu'on les entend!!! Mais on continuera nos chères réformes! De toutes façons, c'est pour le bien de tous... Et puis arrêtez avec vos soit-disant suppressions de postes: ce n'est pas vrai... c'est juste une réorganisation dont il y a besoin (comme pour les services d'urgences, vous savez, ceux-là même qui sont bondés en permanence: c'est juste une question de mauvaise organisation!). Quant aux recrutements sur liste complémentaire, enfin, arrêtez de délirer! Là encore, juste un problème d'organisation! Les remplaçants existent et ne sont pas bien répartis! C'est d'ailleurs pour cela que la fameuse agence de remplacement va être mise en place à la rentrée prochaine. Et d'ailleurs, on va revaloriser les enseignants, tout en élevant leur niveau de formation, car on a besoin de personnes compétentes devant nos petits. Et puis, quand ils seront malades, et ben on embauchera n'importe qui, sans formation on s'en fout... du moment qu'il a bac+5!!! Désolée, mais j'ai eu beaucoup de mal à écouter l'émission sur France Inter ce matin sans exploser de colère. Vous pouvez la 'potcaster' sur le site de france inter si vous n'avez pu écouter, mais asseyez vous d'abord... et surtout n'écoutez pas en conduisant. Par contre, si vous voulez l'écouter en courant, cela vous donnera sans doute assez de hargne pour battre tous vos records... Je crois décidément que l'on n'obtiendra rien de bon de ce monsieur Darcos, qui est bien dans la lignée de son chef. Accrochons nous, et décrochons le ce concours! Il faut croire à un avenir meilleur pour l'éducation nationale.
anneclaude Posté(e) 24 mars 2009 Posté(e) 24 mars 2009 c'est exactement ça Nadoudou moi aussi, j'ai bondi en entendant Darcos. d'ailleurs,tu as oublié de dire que 90% des parents étaient satisfaits du système d'aide aux élèves mis en place.... mais combien sont satisfaits de la disparition du RASED??!!! ce qui est pénible dans cette émission, c'est que tu poses ta question, mais que tu ne peux pas contredire après.... donc en fait, tu lui tant le bâton pour te faire battre. "les LC??? oui, je suis bien conscient que le système de remplacement actuel ne fonctionne pas, c'est pour ça que je vais mettre en place une agence de vacataires"..... et Pan! nan!, c'était pas la question! pourquoi on ne recrute pas maintenant pour répondre aux besoins maintenant..... mais trop tard, il a réussi a caser son truc sans contradiction.... pffffffffffff :mad: Allez, bon courage à tous! en espérant que ce ne sera plus le ministre de l'EN l'année prochaine.
benjstella Posté(e) 24 mars 2009 Posté(e) 24 mars 2009 bonjour darcos m'enerve de plus en plus et le gouvernement aussi, marre, qu'il prenne les gens pour des cons. Je pense que quelque soit notre situation je pense qu'il faut durcir les actions et pour nous tous les lc de france je pense qu'on devrait lancer un message comme quoi nous allons empecher le bon déroulement des examens au mois d'avril par différentes actions. Nous sommes pas entendus il faut agir.
celbon Posté(e) 24 mars 2009 Posté(e) 24 mars 2009 Bonsoir, Je passe tous les jours sur le forum bien que j'ai eu la chance d'être recrutée lors de la dernière vague de LC. Je suis aussi indignée que vosu tous. Pour info: jeudi le remplaçant de l'enseignant de ma fille en CE2, n'est pas là et ne sera pas remplacé, j'ai du signer ce soir un mot m'avertissant qu'il n'était pas remplacé!!!!!!!! et nous sommes mardi.... il reste deux jours avant jeudi et aucun remplaçant???????????????????????? Et la LC alors???????? Courage à tous Céline
benjstella Posté(e) 26 mars 2009 Posté(e) 26 mars 2009 L'action débute dans une classe de CP, 45 élèves pour 32 places assises, les moins chanceux passeront 3h par terre à faire des coloriages. Dans la classe d'à côté, les élèves de CLIS (classe pour élèves handicapés) n'ont pas d'enseignants pour la seconde journée consécutive, et comme la circonscription n'a pas de remplaçants à disposition, c'est un assistant d'éducation, sans formation et payé 534 euros par mois, qui s'occupe des élèves pour la semaine. Un peu plus loin, un enseignant désespère. Il jongle entre sa classe et les élèves qui doivent rester dans le couloir par manque de place. Il vient d'apprendre que son stage de formation continue était annulé. Forcément, comment le remplacer quand il n'y a déjà personne pour remplacer les enseignants malades?
marionette1985 Posté(e) 26 mars 2009 Posté(e) 26 mars 2009 L'action débute dans une classe de CP, 45 élèves pour 32 places assises, les moins chanceux passeront 3h par terre à faire des coloriages.Dans la classe d'à côté, les élèves de CLIS (classe pour élèves handicapés) n'ont pas d'enseignants pour la seconde journée consécutive, et comme la circonscription n'a pas de remplaçants à disposition, c'est un assistant d'éducation, sans formation et payé 534 euros par mois, qui s'occupe des élèves pour la semaine. Un peu plus loin, un enseignant désespère. Il jongle entre sa classe et les élèves qui doivent rester dans le couloir par manque de place. Il vient d'apprendre que son stage de formation continue était annulé. Forcément, comment le remplacer quand il n'y a déjà personne pour remplacer les enseignants malades? c'est une blague ? c'est où ?????
Tam74 Posté(e) 27 mars 2009 Posté(e) 27 mars 2009 L'action débute dans une classe de CP, 45 élèves pour 32 places assises, les moins chanceux passeront 3h par terre à faire des coloriages.Dans la classe d'à côté, les élèves de CLIS (classe pour élèves handicapés) n'ont pas d'enseignants pour la seconde journée consécutive, et comme la circonscription n'a pas de remplaçants à disposition, c'est un assistant d'éducation, sans formation et payé 534 euros par mois, qui s'occupe des élèves pour la semaine. Un peu plus loin, un enseignant désespère. Il jongle entre sa classe et les élèves qui doivent rester dans le couloir par manque de place. Il vient d'apprendre que son stage de formation continue était annulé. Forcément, comment le remplacer quand il n'y a déjà personne pour remplacer les enseignants malades? c'est une blague ? c'est où ????? Ce sont dans des cas comme ça qu'il faut prévenir la presse... Il faudrait qu'on soit au courant de ces situations. Pour cela, il faudrait appeler toutes les écoles et se pointer le matin en organisant des distributions de tracts, mettre des banderoles devant les écoles et appeler la presse. Il font ça à Lyon...
TooN Posté(e) 28 mars 2009 Posté(e) 28 mars 2009 L'action débute dans une classe de CP, 45 élèves pour 32 places assises, les moins chanceux passeront 3h par terre à faire des coloriages.Dans la classe d'à côté, les élèves de CLIS (classe pour élèves handicapés) n'ont pas d'enseignants pour la seconde journée consécutive, et comme la circonscription n'a pas de remplaçants à disposition, c'est un assistant d'éducation, sans formation et payé 534 euros par mois, qui s'occupe des élèves pour la semaine. Un peu plus loin, un enseignant désespère. Il jongle entre sa classe et les élèves qui doivent rester dans le couloir par manque de place. Il vient d'apprendre que son stage de formation continue était annulé. Forcément, comment le remplacer quand il n'y a déjà personne pour remplacer les enseignants malades? c'est une blague ? c'est où ????? Nord pas de calais
benjstella Posté(e) 30 mars 2009 Posté(e) 30 mars 2009 c'est un exemple que j ai trouvé dans le nord pas de calais mais si on va sur pleins de site on retrouve la même chose partout je suis sure qu'en isere c est la meme chose. Un PE2 m'a dit que lors de son stage en maternelle une enseignante devait aller faire un stage il lui a été refusé voila voila
benjstella Posté(e) 30 mars 2009 Posté(e) 30 mars 2009 exemple dans un journal de haute garonne ca craint Les parents d'élèves de la commune sont mécontents, faute de remplaçant attitré à l'enseignante à temps partiel: « Les enfants sont répartis dans les autres classes qui sont de fait très surchargées. Personne ne travaille dans de bonnes conditions et les enfants sont perturbés. Les parents rencontrent des problèmes d'organisation puisqu'ils ne savent jamais à l'avance si un remplaçant a été nommé. De plus, d'autres enseignants ont été absents sans remplacement.» Les parents d'élèves de grande section ne comprennent pas pourquoi un professeur des écoles n'est pas nommé en remplacement. De plus, pourquoi quand un remplaçant est nommé, doit-il changer d'école avant même le retour du professeur absent? Aujourd'hui ces questions restent sans réponse. de l'Inspection académique» . Les parents pensent é videmment à la politique en matière d'éducation à savoir moins de personnel sur le terrain. Les suppressions de postes ne vont qu'aggraver cette situation. «Il est grand temps que la majorité des parents se rende compte des dangers qui guettent l'enseignement de nos enfants.»
benjstella Posté(e) 30 mars 2009 Posté(e) 30 mars 2009 reagarder le grand n'importe quoi mais ou va la france Recherche profs non qualifiés désespérément Il parait qu'on peut faire mieux avec moins de profs. C'est en tout cas ce qu'affirme Xavier Darcos pour justifier les suppressions de postes. Pourtant les rectorats sollicitent de plus en plus des étudiants, quand ce ne sont pas des retraités, pour combler des trous. Prenons l'exemple de l'académie d'Orléans-Tours. Le 30 janvier, les directeurs de trois UFR - lettres et 2557027580_73134b725e_b langues, arts et sciences humaines, sciences et technologie - de l'université François-Rabelais de Tours, ainsi que les directrices des IUT de Tours et de Blois ont reçu une lettre pressante du rectorat (lisible ici). Le recteur y fait état de "besoins importants" dans dix matières - de la documentation à la techno en passant par l'histoire-géo et les maths. Et il demande aux universitaires de contacter des étudiants ayant au moins une licence pour enseigner en collège ou lycée. La chose n'est pas vraiment nouvelle. Sur leurs sites, des académies ont souvent ouvert des rubriques pour recruter des enseignants vacataires ou contractuels. Ce qui surprend, c'est l'insistance. Le recteur avait déjà adressé un même courrier le 30 juin 2008, puis le 24 septembre 2008. Et il relance encore. Le 4 février, 97 enseignants-chercheurs et formateurs de l'université de Tours lui ont adressé une lettre ouverte. Ils s'inquiètent que l'on recrute "des étudiants sans les diplômes ni l'expérience requis et surtout sans l'espoir d'une quelconque titularisation". Ils y voient aussi une nouvelle preuve que le ministre cherche encore et toujours à faire des économies. "Les rectorats distraient nos étudiants de leur préparation au concours, qu'ils ont de plus en plus de mal à obtenir du reste avec la baisse drastique des postes offerts", m'écrit encore un professeur de l'université de Besançon qui a été sollicité de la même façon, "c'est étonnant, non ? De moins en moins de postes offerts aux concours, et de plus en plus d'offres d'emplois directes aux étudiants"
benjstella Posté(e) 30 mars 2009 Posté(e) 30 mars 2009 Un parent d'élève s'exprime : « Un instituteur de CP (cinq élèves) et CE1 (vingt élèves) est souffrant depuis quinze jours. Il n'a été remplacé que pendant trois jours, la semaine dernière, obligeant les jours de non remplacement à ce que ses vingt-cinq élèves soient répartis dans d'autres classes. Les CP ont été envoyés dans un autre CP, qui compte déjà vingt-six élèves, ce qui en faisait trente et un. Les CE1 ont été éparpillés dans diverses classes. C'est très inquiétant. Les méthodes de travail, les devoirs ne sont pas les mêmes, le sureffectif est trop important. J'ai téléphoné plusieurs fois à madame l'inspectrice de Cantin, sans réponse concluante. » Depuis, un remplaçant est arrivé à l'école primaire Roger-Salengro, qui compte 140 élèves répartis dans six classes de vingt-cinq voire vingt-huit élèves. • J EN AI PLEINS D AUTRES DES EXEMPLES JE CROIS UNE FOIS LE CONCOURS PASSE LA SEMAINE D APRES IL VA FALLOIR SE BOUGER
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