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Posté(e)

On ne devient pas enseignant pour avoir de longues vacances et pouvoir garder ses mioches le mercredi !

et pourquoi pas :bleh:

En fait oui, tu as raison. merci Fredo.

Posté(e)

Je crois qu'en fait vous ne comprenez pas bien ce qu'est être fonctionnaire. Comme dit Dajta, vous n'avez pas signé de contrat. Vous avez un statut qui est une relation unilatéral entre l'Etat et le fonctionnaire. Vous n'avez rien négocié individuellement et la négociation ne peut être que collective.

Si on prend votre raisonnement, je n'avais pas non plus signé pour faire l'aide personnalisée.

C'est bel et bien du consumérisme et on le voit de plus en plus au moment du mouvement des enseignants. On pense à soi croyant que sa situatiion est plus grave que les autres. Et là, il faudrait s'adapter à certains enseignants, jouer le statu quo alors que tout le monde s'accorde que la suppression du samedi, a été une grosse erreur. On ne devient pas enseignant pour avoir de longues vacances et pouvoir garder ses mioches le mercredi !

Pour répondre à grincheux, moi aussi, je suis favorable à un retour du samedi avec également une diminution du nombre d'heures quotidiennes et la suppression de l'aide personnalisée et des stages de remise à niveau (dont tout le monde sait qu'ils sont inefficaces mais sur lesquels beaucoup d'enseignants se jettent pour gagner un peu plus mais qu'on n'entend jamais quand il s'agit de réclamer un relèvement du point d'indice gelé depuis 2 ans : c'est de l'individualisme aussi). Mais je en suis pas le seul à décider et je l'accepte, en espérant qu'on trouve une solution médiane qui convienne au plus grand nombre. En tout cas, je suis contre l'immobilisme et l'individualisme.

Et c'est si difficile de retourner au statu quo ante?

Posté(e)

Je crois qu'en fait vous ne comprenez pas bien ce qu'est être fonctionnaire. Comme dit Dajta, vous n'avez pas signé de contrat. Vous avez un statut qui est une relation unilatéral entre l'Etat et le fonctionnaire. Vous n'avez rien négocié individuellement et la négociation ne peut être que collective.

Si on prend votre raisonnement, je n'avais pas non plus signé pour faire l'aide personnalisée.

C'est bel et bien du consumérisme et on le voit de plus en plus au moment du mouvement des enseignants. On pense à soi croyant que sa situatiion est plus grave que les autres. Et là, il faudrait s'adapter à certains enseignants, jouer le statu quo alors que tout le monde s'accorde que la suppression du samedi, a été une grosse erreur. On ne devient pas enseignant pour avoir de longues vacances et pouvoir garder ses mioches le mercredi !

Pour répondre à grincheux, moi aussi, je suis favorable à un retour du samedi avec également une diminution du nombre d'heures quotidiennes et la suppression de l'aide personnalisée et des stages de remise à niveau (dont tout le monde sait qu'ils sont inefficaces mais sur lesquels beaucoup d'enseignants se jettent pour gagner un peu plus mais qu'on n'entend jamais quand il s'agit de réclamer un relèvement du point d'indice gelé depuis 2 ans : c'est de l'individualisme aussi). Mais je en suis pas le seul à décider et je l'accepte, en espérant qu'on trouve une solution médiane qui convienne au plus grand nombre. En tout cas, je suis contre l'immobilisme et l'individualisme.

Ouais bof.. ^parce que là le discours on fait ça pour le bien de l'élève je te dis de suite tu peux l'oublier: le bien de l'élève c'est samedi matin travaillé et vacances écourtées.. sauf que le samedi ça n'arrange pas les parents et les vacances écourtées n'arrangent pas les pros du tourisme

DONC nous allons sacrifier l'intérêt des enfants (une pause en moins dans la semaine) et des instits au nom de l'intérêt de certains parents (parce que il ne faut pas se leurrer hein la majorité des parents sont contre mais comme les sondages interrogent tout le monde y compris les seniors "quieuxtravaillaientlemercredietn'ensontpasmorts" et pour qui "de toutes façons les jeunes sont tous des voyous et seraient mieux à l'école" comme ma GM et ses copines :secret: ) et du tourisme... et ça désolée mais ça ne passe pas :ph34r:

Posté(e)

Il y a quand même de plus en plus de consumérisme dans notre profession.

"Et moi, je ne veux pas travailler le mercredi !" Et moi je ne veux pas travailler le samedi !" "Et moi je ne veux pas qu'on touche à mes vacances !"

Cela fait 5 ans qu'on dit que la semaine des 4 jours ne convient pas aux enfants, que la journée est trop longue mais quand la réforme arrive, personne ne veut que ça bouge. Vous appelez ça de l'enc... à sec ? Pas moi, on savait que les rythmes scolaires allaient changer et au départ, c'était une demande des enseignants.

On ne doit pas côtoyer les mêmes enseignants !

Posté(e)

Sinon, tu en côtoies que des enseignants qui font ce boulot pour la sécurité de l'emploi et les vacances. Mais t'as raison, il y en de plus en plus... Et oui, c'est à la base une demande des professionnels de l'enseignement qui se sont toujorus globalement opposés à la semaine de 4 jours. Mais après on a le droit de vivre reclus.

Posté(e)

Je réponds à la phrase en gras : Non, en effet. Mais l'organisation du travail peut jouer aussi sur la motivation, d'autant que nous ne touchons pas un salaire mirobolant compte tenu de nos années d'études (je le sais, j'ai changé de métier au bout de 8 ans, je ne le regrette pas, mais j'ai beaucoup perdu en pouvoir d'achat ; enfin au moins je viens travailler avec plaisir).

La question des rythmes et du salaire sont deux questions distinctes. Depuis des années, certains syndicats demandent une revalorisation salariale. Bizarrement, depuis peu, certains semblent se réveiller sur la question. Mais comment justifier une hausse de salaire alors que le temps de travail sera le même ? Non, nous méritons une hausse de salaire car la demande administrative est de plus en plus grande, parce que nous sommes qualifiés, parce que notre métier est de plus en plus dur et parce que la France est en retard en termes de salaires des enseignants. pas parec qu'on va réorganiser notre année.

Tu es favorable au samedi matin, pas de chance, le mercredi a été annoncé hier par Peillon : http://www.lefigaro....-de-4-jours.php

Oui, et si tu vais lu ma réponse, tu aurais vu que je l'accepte parce que je ne suis pas seul à choisir. Ca s'appelle la démocratie mais je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est...

Quant aux heures supplémentaires, il est fort probable qu'on nous en propose : les mairies n'auront pas les moyens d'assurer 2 heures à 2 heures 30, quatre fois par semaine, un service d'activités extrascolaires qui tiennent la route en lieu et place du périscolaire connu jusqu'ici. Et puis quitte à être payé par les collectivités locales, il n'y aura plus qu'à leur déléguer la gestion de ces fainéants de profs que nous sommes.

Il n'est pas question de supprimer l'aide personnalisée, ni les stages de soutien.

Les mairies préfèreront payer des animateurs que des enseignants, ça coûte moins cher. Être payé par les collectivités locales, il y a beaucoup de profs qui n'en ont rien à faire, tant qu'ils sont payés. Moi, je suis pour une éducation NATIONALE. Et l'aide perso et les stages, il ne tient qu'à nous de nous mobiliser. Mais problème, certains ne pensent qu'à leur portefeuille et pas au bien de la communauté. On en revient à ce que je dis plus haut : l'individualisme.

Peillon a lancé une concertation qui n'en avait que le nom, puisque tous ces projets sont en route ou sur le point de l'être, et répondent à des contraintes électorales ("Les enfants ont trop de vacances, comment faire pour les faire garder ?") et économiques (les lobbies du tourisme qui aimeraient que les vacances d'été soient zonées).

Le rythme biologique de l'enfant, soyons clairs, tout le monde s'en fout.

Non désolé, il y en a qui ne s'en foutent pas et c'est mon cas !

Cette réforme masque les vrais problèmes, des méthodes de lecture qui ne permettent pas aux enfants d'apprendre à lire mais à deviner, aux notes qu'il ne faut pas mettre parce qu'il ne faut pas dire à un ado que son travail est moyen ou nul, en passant par l'absence de considération du travail des directeurs d'école, les programmes trop lourds ou pas adaptés (j'ai appris qu'en langue vivante, les profs n'ont plus le droit de faire faire des exercices systématiques de grammaire, pourtant nécessaires à un grand nombre de tournures de phrases), les parents qui ne veulent pas de devoirs pour ne pas avoir à s'occuper le soir et le week-ends de leurs enfants, les chefs d'établissements dans le secondaire qui n'assurent plus leur soutien à leurs équipes pédagogiques mais qui prennent le parti des parents, les profs mal considérés et mal payés, etc...

Les enfants seront tout aussi fatigués en fin de semaine, et je doute fort que les résultats scolaires des petits Français s'améliorent lors des sessions internationales d'évaluation. Et on dira que c'est la faute des profs, évidemment...

Le problème ne vient pas des programmes ou des méthodes mais des moyens. En France, le taux d'encadrement des élèves du primaire est un des plus mauvais de l'OCDE. Les méthodes, les programmes, les notes, ce sont des vieux serpents de mer, qu'on modifie avec le temps mais dont les changements ne changent rien !

Posté(e)

Je réponds à la phrase en gras : Non, en effet. Mais l'organisation du travail peut jouer aussi sur la motivation, d'autant que nous ne touchons pas un salaire mirobolant compte tenu de nos années d'études (je le sais, j'ai changé de métier au bout de 8 ans, je ne le regrette pas, mais j'ai beaucoup perdu en pouvoir d'achat ; enfin au moins je viens travailler avec plaisir).

La question des rythmes et du salaire sont deux questions distinctes. Depuis des années, certains syndicats demandent une revalorisation salariale. Bizarrement, depuis peu, certains semblent se réveiller sur la question. Mais comment justifier une hausse de salaire alors que le temps de travail sera le même ? Non, nous méritons une hausse de salaire car la demande administrative est de plus en plus grande, parce que nous sommes qualifiés, parce que notre métier est de plus en plus dur et parce que la France est en retard en termes de salaires des enseignants. pas parec qu'on va réorganiser notre année.

Je n'ai jamais dit qu'une revalorisation devait être liée à la réorganisation des rythmes.

Tu es favorable au samedi matin, pas de chance, le mercredi a été annoncé hier par Peillon : http://www.lefigaro....-de-4-jours.php

Oui, et si tu vais lu ma réponse, tu aurais vu que je l'accepte parce que je ne suis pas seul à choisir. Ca s'appelle la démocratie mais je ne sais pas si tout le monde sait ce que c'est...

La démocratie aurait été de demander à tous les acteurs concernés (parents, enseignants, collectivités) ce qu'ils en pensent vraiment, et pas de décider unilatéralement entre apparatchiks du ministère et leurs amis pédagos.

Cela aurait été aussi de réfléchir en amont à l'organisation et au financement de la plage accrue de périscolaire les lundi, mardi, jeudi et vendredi, au lieu de simplement demander aux mairies, en plein été, si elles se positionnaient pour le mercredi ou le samedi.

Quant aux heures supplémentaires, il est fort probable qu'on nous en propose : les mairies n'auront pas les moyens d'assurer 2 heures à 2 heures 30, quatre fois par semaine, un service d'activités extrascolaires qui tiennent la route en lieu et place du périscolaire connu jusqu'ici. Et puis quitte à être payé par les collectivités locales, il n'y aura plus qu'à leur déléguer la gestion de ces fainéants de profs que nous sommes.

Il n'est pas question de supprimer l'aide personnalisée, ni les stages de soutien.

Les mairies préfèreront payer des animateurs que des enseignants, ça coûte moins cher. Être payé par les collectivités locales, il y a beaucoup de profs qui n'en ont rien à faire, tant qu'ils sont payés. Moi, je suis pour une éducation NATIONALE. Et l'aide perso et les stages, il ne tient qu'à nous de nous mobiliser. Mais problème, certains ne pensent qu'à leur portefeuille et pas au bien de la communauté. On en revient à ce que je dis plus haut : l'individualisme.

Ah, j'oubliais qu'on travaille aussi pour gagner de l'argent... et pour certains, je peux tout à fait comprendre qu'ils n'aient pas le choix de demander à assurer les stages (je précise que je n'en fais pas), ou qu'ils souhaitent simplement mettre du beurre dans les épinards. Mais j'imagine que tu répondras qu'on a toujours le choix, donc...

On en reparle dans quelques années, de l'éducation "nationale" (qui est déjà très inégalitaire sur le territoire en termes d'équipements, de budgets, d'effectifs par classe) : entre l'instauration d'un contrôle continu pour le bac, et le zonage à venir des vacances d'été, le bas national ne tient déjà plus qu'à un cheveu.

Peillon a lancé une concertation qui n'en avait que le nom, puisque tous ces projets sont en route ou sur le point de l'être, et répondent à des contraintes électorales ("Les enfants ont trop de vacances, comment faire pour les faire garder ?") et économiques (les lobbies du tourisme qui aimeraient que les vacances d'été soient zonées).

Le rythme biologique de l'enfant, soyons clairs, tout le monde s'en fout.

Non désolé, il y en a qui ne s'en foutent pas et c'est mon cas !

Mais moi non plus je ne m'en fous pas, mais les acteurs de la "refondation", si ! D'ailleurs, si l'élève était au centre, c'est le samedi matin qui aurait été choisi.

Cette réforme masque les vrais problèmes, des méthodes de lecture qui ne permettent pas aux enfants d'apprendre à lire mais à deviner, aux notes qu'il ne faut pas mettre parce qu'il ne faut pas dire à un ado que son travail est moyen ou nul, en passant par l'absence de considération du travail des directeurs d'école, les programmes trop lourds ou pas adaptés (j'ai appris qu'en langue vivante, les profs n'ont plus le droit de faire faire des exercices systématiques de grammaire, pourtant nécessaires à un grand nombre de tournures de phrases), les parents qui ne veulent pas de devoirs pour ne pas avoir à s'occuper le soir et le week-ends de leurs enfants, les chefs d'établissements dans le secondaire qui n'assurent plus leur soutien à leurs équipes pédagogiques mais qui prennent le parti des parents, les profs mal considérés et mal payés, etc...

Les enfants seront tout aussi fatigués en fin de semaine, et je doute fort que les résultats scolaires des petits Français s'améliorent lors des sessions internationales d'évaluation. Et on dira que c'est la faute des profs, évidemment...

Le problème ne vient pas des programmes ou des méthodes mais des moyens. En France, le taux d'encadrement des élèves du primaire est un des plus mauvais de l'OCDE. Les méthodes, les programmes, les notes, ce sont des vieux serpents de mer, qu'on modifie avec le temps mais dont les changements ne changent rien !

J'ai moi aussi lu ces rapports, c'est un fait que le primaire manque d'encadrement. Mais va faire un tour sur un forum de profs du secondaire (qui récupèrent donc les élèves formés en primaire, et qui doivent les aider à poursuivre leurs apprentissages), tu verras si ce n'est qu'un problème de moyens... On ne peut pas faire état, en France, de ce qui fonctionne et de ce qui ne fonctionne pas, sans passer pour d'affreux réactionnaires...

Et même en admettant qu'il ne s'agisse que d'un manque de moyens, je ne vois pas en quoi la réforme à venir améliore la situation. On ne parle pas de mettre plus de profs dans les classes, de diminuer les effectifs, non ? Ou alors c'est bien caché.

J'ai répondu en bleu, je ne suis pas douée pour les citations. Et j'en resterai là, puisque je pense que nous ne partagerons jamais certains points de vue.

Cette réforme, cette consultation, comme les précédentes, ne sont que poudre aux yeux.

Posté(e)

Sinon, tu en côtoies que des enseignants qui font ce boulot pour la sécurité de l'emploi et les vacances. Mais t'as raison, il y en de plus en plus... Et oui, c'est à la base une demande des professionnels de l'enseignement qui se sont toujorus globalement opposés à la semaine de 4 jours. Mais après on a le droit de vivre reclus.

Non, je n'ai pas l'impression de côtoyer que des enseignants fainéants, qui font ce boulot pour la sécurité de l'emploi et les vacances. Il doit y avoir aussi un sondage sur ce forum sur la semaine des 4 jours ou la semaine des 4 jours et demi et une grande partie des enseignants du forum aussi sont opposés à la semaine des 4 jours et demi (il n'y a peut-être aussi ici que des fainéants, égoïstes ?).

Et quand tu parles des professionnels de l'enseignement, tu parles de qui ? Des gens bien pensants qui n'ont pas eu de classe depuis quand ?

Posté(e)

Non, il n'y a pas de sondage ayant ce sujet! Il y a un sondage qui parle de travailler ou non le mercredi matin. Ceux qui souhaitent la semaine de 4,5 jours avec travail le samedi matin s'y font lyncher d'ailleurs.

Le terme lyncher est très excessif... il est difficile parfois d'admettre d'être minoritaire...

Toujours est-il que nous sommes nombreux à comprendre ici que cet alibi du "travail du samedi matin" n'est qu'un leurre destiné à faire avaler le mercredi matin (soit disant "à défaut"), dont la plupart ne veulent pas...

Posté(e)

+1 avec Jean.

Je connais beaucoup d'enseignants qui prennent le 75% pour tenir le coup. Je persiste à dire que ce sera encore plus difficile surtout dans certaines classes. A mon avis, Ils peuvent prévoir un gros stock de profs remplaçants car il en faudra beaucoup pour remplacer les enseignants qui s'écrouleront.

Posté(e)

Je me demande si je ne vais pas demander une indemnité pour maltraitance : j'ai toujours travaillé 6h en classe, quand j'étais élève, et j'avais des leçons à apprendre, voire des devoirs, à faire à la maison en rentrant !

Bon, c'est sûr, j'étais couchée à 8h 7 jours sur 7, il n'y avait pas de console de jeu et je ne passais pas le week-end dans les grandes surfaces, au fast food ou dans des soirées d'adultes ...

Mais heureusement pour les enfants de maintenant, on va réformer les rythmes ... scolaires !

Posté(e)

Fredo de lire tes messages je me dis... Il y a des instits integristes qui denigrent leurs collegues ? Es tu reellement instit?

Peut etre maso aussi nan?

Je suis instit en maternelle enfin professeur des ecoles en zep j aime mon boulot j aime mes eleves vendredi je suis arrivee a l ecole a 7h du mat et repartie a 21h30 je ne me considere pas comme feneante bah oui le midi on s est reuni avec les collegues... Mais desolee je ne bosse pas pr la gloire je bosse pour avoir un salaire he oui ca m aide a faire les courses... Les mercredis je m occupe de mes enfants... He oui je suis instits et j ai des gosses... Je sais je n aurais pas du.... Les vacances... Je m occupe de mes enfants mais je bosse aussi pour ceux des autres...

Le soir je suis tellemnt crevee que souvent je m endore avant mes gamines et je vois rarement les generiques des films... En mm temps j ai la tele je devrais pas me plaindre...

La faut arreter de deconner... La majorite des instits sont passionnes par leur boulot mais je suis desolee on peut aussi se tourner vers ce boulot en se disant je vais pouvoir profiter de mes enfants... Si on en a pas se dire je vais pouvoir voyager...

Niveau salaire.... L an dernier j ai eu une baisse je pense comme tout le.monde mon mari bosse a la sncf quand on a debute il touchait moins que moi maintenant beaucoup plus et a presqu autant de vacances que moi.... Mince mauvais exemple a la sncf c est aussi des feneants... Bah lui non plis mais on va me dire tu es naive...

La je suis partie dans tous les sens mais franchement fredo ... Nan rien pas envie d etre desagreable

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