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Est-ce que quelqu'un sait pour notre actuelle ministre qui a 2 enfants en mater..j'ai un doute :(

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Posté(e)

Ils sont sur l'agglo de Lyon, sans + de détail pour ma part.

Edit: étaient.

Cl0ser dixit.

Dans le gouvernement précédent, elle était logée dans un logement de fonction du ministère du droit des femmes, et emmenait ses enfants 3 matins par semaine à l'école.

Donc ils sont sur Paris. privé ou public: ??? , sans doute du côté du 7ème.

J'ai lu cl0ser... :noelblush::lol:

edit bis: c'était effectivement dans le 7ème selon le journal du net.

Posté(e)

Est-ce que quelqu'un sait pour notre actuelle ministre qui a 2 enfants en mater..j'ai un doute :(

A sa place, vu les marlous qu'elle a aux trousses ( assos "familles", fachos vénères etc), je crois que je préfèrerais que ça ne se sache pas trop...

Posté(e)

Faux.

Je savais pour le lycée Lafontaine.

plus de détails ici:

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/322170-lutte-contre-les-privilegies-quand-hollande-stigmatise-son-propre-milieu-social.html

bonne adresse + dossier de dérogation en haut de pile.

Avant affelnet.

Easy.

(j'ai un élève dont le dossier est passé par le cabinet du préfet, pour entrer au ... collège :blink: ; rien ne m'étonne)

Je l'avais lu dans un journal sérieux, à l'époque où Ségo était au ministère.

  • 3 semaines plus tard...
Posté(e)
Région > Départements > Aisne > Laon Les rythmes scolaires profitent au privé

PUBLIÉ LE 10/10/2014 - MIS À JOUR LE 10/10/2014 À 18:53

Par Manessa Terrien

493785875_B973749171Z.1_20141010185329_0Dans le Laonnois comme dans tout le département, les effectifs des trois établissements privés qui n’ont pas appliqué la réforme, ont fortement augmenté à la rentrée dernière.

La tendance est départementale et les écoles du Laonnois ne font pas figure d’exception. Les établissements primaires du secteur privé ont connu une hausse notable de leurs effectifs cette année. Environ 102 élèves supplémentaires, par rapport à la rentrée 2013 ont été comptabilisés en septembre dernier dans l’Aisne. En parallèle, les établissements publics ont perdu près de 300 élèves. Un jeu de vases en partie communiquant, qui trouverait sa cause dans la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans le public. Pour Caroline Jaillant, chef d’établissement du premier degré à l’institution Notre-Dame à Liesse-Notre-Dame, il n’y a pas de doute : « Nous avons accueilli des parents qui ne voulaient pas changer leurs habitudes et sont attachés à la semaine des quatre jours. »

La tendance était à la baisse

Pour Eliane, 45 ans, l’inscription de son fils Paul en CE à La Providence à Laon, fut un choix bien réfléchi. « Il quittait tous ses copains et son école de quartier, là on est obligé de faire des trajets en voiture. Mais avec les nouveaux horaires, ça aurait été ingérable dans son école, détaille cette mère de famille. Il aurait fallu arrêter une de ses deux activités sportives. Et puis… la fatigue ». Le prix à payer ? « Quelques dizaines d’euros par mois, mais par rapport à la tranquillité et le fait d’étudier dans de bonnes conditions, on a choisi. »

Et apparemment, elle n’a pas été la seule à sauter le pas. À la Providence, les effectifs sont passés de 219 élèves il y a un an, à 249 aujourd’hui. « Beaucoup de parents devaient déjà se tâter, parce que l’environnement leur semblait plus calme, et les activités attractives, lance Luc, parent d’élèves. Les rythmes, ça a été la goutte d’eau ». Du côté de l’inspection académique aussi, on avalise l’analyse. Pour Jean-Luc Strugarek, directeur académique des services de l’Education nationale (Dasen), « nous n’avons peut-être pas fait assez œuvre de pédagogie pour expliquer cette réforme, des efforts devront encore être faits

Un effet rythmes scolaires indéniable. En effet, jusqu’alors, l’enseignement privé axonais connaissait une diminution nette de ses effectifs. « C’était aussi en lien avec la crise, avance Jean-Luc Strugarek, les parents avaient des difficultés à payer le forfait d’externat, c’est-à-dire les frais d’inscriptions, et le coût de la cantine par exemple. »

À Rozoy-sur-Serre, « d epuis quatre ou cinq ans, c’est difficile de se maintenir parce qu’il y a des déménagements, une population qui vieillit… », décrit Clémence Durtette, directrice de l’école Jeanne-d’Arc. Retournement de tendance cette année puisqu’elle a effectué 20 inscriptions contre 15 en moyenne. « Ce n’est pas non plus le raz-de-marée. Sur les nouvelles inscriptions, seuls deux parents m’ont directement dit que c’était en lien avec les rythmes scolaires

Bruno David, directeur de l’établissement primaire à Laon tient néanmoins à nuancer ce lien de cause à effet : « Bien sûr, il y a des parents qui nous en ont parlé, mais ce n’est pas la totalité. Parmi les nouvelles inscriptions, il y a aussi des gens qui ont entendu parler de notre façon de travailler (…) Je trouve aussi que c’est une bonne chose de proposer à Laon une diversité d’offres aux parents. »

En décidant de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires, il ne s’attendait pas forcément à accueillir de nouveaux élèves. « On n’était pas contre le système, mais on a préféré rester sur le précédent. Nous avons néanmoins travaillé sur le rythme au sein de la journée, sur la pause du midi grâce à une réflexion menée par une chronobiologiste. »

Posté(e)

J'aime ce passage :

Pour Eliane, 45 ans, l’inscription de son fils Paul en CE à La Providence à Laon, fut un choix bien réfléchi. « Il quittait tous ses copains et son école de quartier, là on est obligé de faire des trajets en voiture. Mais avec les nouveaux horaires, ça aurait été ingérable dans son école, détaille cette mère de famille. Il aurait fallu arrêter une de ses deux activités sportives. Et puis… la fatigue ». Le prix à payer ? « Quelques dizaines d’euros par mois, mais par rapport à la tranquillité et le fait d’étudier dans de bonnes conditions, on a choisi. »

Mais ce sont des menteurs, te répondront certains !

Posté(e)

.

:heat::heat::bleh::bleh:

En plus, tu m'as plagiée pour la signature ! ;)

  • 3 semaines plus tard...
Posté(e)

je viens d'apprendre que l'école privée du coin fait le pont du 11 novembre : pas de classe le 10.11 donc ! Et aves le mercredi non travaillé pour eux ... hop un week end de 5 jours :mad:

Posté(e)

Avec une gestion locale, l'équipe pourrait proposer un calendrier en accord avec l'équipe et les partenaires...alors pourquoi rechigner face à la territorialisation ? :)

Posté(e)

Avec une gestion locale, l'équipe pourrait proposer un calendrier en accord avec l'équipe et les partenaires...alors pourquoi rechigner face à la territorialisation ? :)

C'est :

- une provocation ?

- une plaisanterie ?

- la "ligne" de ton syndicat ?

- un souhait personnel ?

Posté(e)

une simple plaisante provocation Monsieur Le Censeur ! :getlost:

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