Zarko Posté(e) 14 juillet 2014 Auteur Posté(e) 14 juillet 2014 « La très curieuse lettre de M.le préfet » (H.Fabre Aubrespy, maire de Cabriès) 12 juil, 2014 par Philippe Wallez http://www.provenceducation.com/?p=26484
Zarko Posté(e) 20 août 2014 Auteur Posté(e) 20 août 2014 ACTUALITÉ VAL-D'OISE SAINT-LEU-LA-FORÊT Rythmes scolaires : verdict en fin de semaine A.B. | 20 août 2014, 07h00 RÉAGIR Pontoise, hier. Saint-Leu-la-Forêt était représenté ici par le 1 er adjoint Francis Barrier (à droite) et défendue par l’avocate M e Carine Chaix. (LP/A.B.) Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise rendra son verdict concernant la ville de Saint-Leu-la-Forêt en fin de semaine. La commune est en effet la seule du Val-d'Oise à refuser encore officiellement d'appliquer la réforme des rythmes scolaires.
Zarko Posté(e) 21 août 2014 Auteur Posté(e) 21 août 2014 Tous les TA n'ont pas encore rendu leur avis et surtout toutes les communes n'ont pas encore réellement mis en oeuvre cette réforme....attends de voir d'ici qq semaines !
Zarko Posté(e) 21 août 2014 Auteur Posté(e) 21 août 2014 Deux villages de la Loire n'appliqueront pas la réforme des rythmes scolaires Expand player SOCIÉTÉ - 1min 43s - à 13h40A Saint-Médard-en-Forez, dans la Loire, la mairie refuse d'appliquer la réforme des rythmes scolaires par manque de moyens. Même département, même situation à Margerie-Chantagret. Les maires des deux communes affirment qu'ils n'ont pas les moyens d'organiser des activités le mercredi. Les intervenants seraient trop coûteux à embaucher. Source vidéo : Deux villages de la Loire n'appliqueront pas la réforme des rythmes scolaires
Zarko Posté(e) 21 août 2014 Auteur Posté(e) 21 août 2014 Tous les TA n'ont pas encore rendu leur avis et surtout toutes les communes n'ont pas encore réellement mis en oeuvre cette réforme....attends de voir d'ici qq semaines ! Tous les avis rendus sont concordants pour le moment... ou tu as des exemples contraires... Non? Etonnant... Mais parce que les TA seront à nouveau sollicités bientôt et peut-être pas forcément par des élus mais par bon nombre de parents voire d'enseignants lésés...
Zarko Posté(e) 22 août 2014 Auteur Posté(e) 22 août 2014 Réforme des rythmes scolaires : ils ont décidé d'être hors-la-loi Ajouté le 21 août 2014 mi 2934 vues La réforme des rythmes scolaires entrera en vigueur à la rentrée prochaine dans toutes les écoles publiques de France. Toutefois, certains maires et parents ont décidé de faire de la résistance. Ils n'appliqueront pas la réformeTrente-deux maires de l'Essonne et du Val-de-Marne ont annoncé, mi-juillet, lors d'une conférence de presse, qu'ils ne mettront pas en place la réforme des rythmes scolaires en septembre prochain. Ils assurent qu'ils n'ont « ni les locaux, ni le personnel et ni les moyens » de mettre en place la réforme voulue par le Président de la République. Même si la fronde est constituée essentiellement de maires de droite, plusieurs mairies socialistes font également de la résistance. René Raimondi, maire PS de Fos-sur-Mer, a déjà annoncé qu'il n'appliquerait pas le décret qui réforme les rythmes scolaires à la rentrée. De son côté, Benoît Hamon, ministre de l'Éducation, a affirmé, à plusieurs reprises, son intention de condamner les maires n'appliquant pas la réforme. Sept communes du Haut-Rhin ont d'ailleurs déjà été rappelées à la loi, suite à une décision du Tribunal administratif de Strasbourg qui avait été saisi par le préfet. Que risquent ces maires en persistant ? L'annulation de leur mandat a en croire le JT de 20h du mercredi 20 août de TF1. Et du côté des parents ?Les maires ne sont pas les seuls à manifester leur mécontentement. Faute de solution de garde après une journée de classe raccourcie, plusieurs parents ont annoncé leur intention de ne pas envoyer leurs enfants à l'école le mercredi matin. La réforme a également un effet pervers pour les parents : le prix d'une heure de baby-sitting explose un peu partout en France : dans les communes ayant déjà mis en place la réforme des rythmes scolaires en 2013, l'augmentation du prix moyen de l'heure de baby-sitting est de 6,16% contre 3,54% ailleurs en France, selon le rapport annuel du site Yoopies. Or, il faut savoir que la mise en garderie n'est possible, dans de nombreuses communes, qu'à la journée entière (pas de demi-journée). « Nous avons observé une augmentation de demande de garde d'enfants de l'ordre de 30% dans les villes ayant mis en place la réforme des rythmes scolaires dès 2013 », explique Benjamin Suchar, cofondateur du site internet Yoopies. Pas sur que le nombre de places et le personnel requis soient opérationnels dès cette année. Une difficile mise en placeAdoptée timidement l'année dernière par plusieurs communes, la réforme des rythmes scolaires doit désormais s'applique partout en France dans moins de deux semaines. Elle permet de dégager trois heures de cours par semaine pour instaurer de nouvelles activités sportives, culturelles ou encore manuelles. Mais la mise en place de ces activités a un coût : il a fallu embaucher de nombreux animateurs, acheter du matériel et trouver des salles pour réaliser les différents ateliers et activités. Faute de moyens, plusieurs communes ne mettront en place, à la rentrée de septembre, qu'une simple garderie, en attendant de trouver de l'argent et du personnel pour développer des activités plus enrichissantes pour les enfants. En savoir plus sur http://news.radins.com/actualites/reforme-rythmes-scolaires-ils-ont-decide-etre-hors-la-loi,9564.html#x3vK7bXICmGAtuT8.99
Zarko Posté(e) 22 août 2014 Auteur Posté(e) 22 août 2014 Et hop , un autre ! Réforme des rythmes scolaires : le maire de Margerie-Chantagret se défend d’être « hors la loi » Aujourd'hui La rentrée des classes, c’est le 2 septembre. Et à moins de deux semaines, c’est encore le flou autour de la réforme des rythmes scolaires. On vous le disait ce jeudi sur ACTIV, certaines communes de la Loire ont annoncé qu’elles refusaient d’appliquer le décret. C’est le cas, par exemple, de Margerie-Chantagret dans la plaine du Forez, qui va donc conserver la semaine de quatre jours, pour des raisons financières. Selon la municipalité, il en coûterait 60.000 Euros à ce village de 800 habitants pour instaurer un simple service de garderie sans activité périscolaire. A ce jour, malgré les menaces du gouvernement, l’on ignore ce que risquent les communes qui ne se plieront pas à la réforme. Une chose est sûre : le maire de Margerie-Chantagret, Nicolas Rey, ne se considère pas « hors la loi ». Il s’en explique sur ACTIV RADIO.
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 Restons sur du concret... pas d'affirmations de l'ordre du fantasme.. Ce n'est pas un fantasme, tu verras qu'il y aura bien des recours devant les tribunaux en plus des boycotts du mercredi...
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 Les TA n'ont pas encore statué sur toutes les plaintes ...Par exemple sur le fait que des communes aient pu regrouper les TAP sur le vendredi après-midi alors que cette possibilté a été refusée pour d'autres... Il y a un pb il me semble...
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 J'ai mal écrit : Certaines communes ont été empêchées d'utiliser l'assouplissement Hamon alors que les recteurs ou DASEN l'ont accepté pour d'autres. Les arguments ne semblent pas très clairs et les chiffres concernant les prétendues décisions des conseils d'école bien farfelus... C'est le cas pour ma commune.
sylvielise Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Les TA n'ont pas encore statué sur toutes les plaintes ...Par exemple sur le fait que des communes aient pu regrouper les TAP sur le vendredi ami alors que l'on leur a refusé... Il y a un pb il me semble... Tu peux expliciter, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Il veut dire que certaines communes ont eu le droit de regrouper les TAP sur le vendredi AM et d'autres non.
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 Le problème a été évoqué dans plusieurs villes où les résultats des conseils d'école variaient selon les chiffres de la mairie ou ceux de l'inspection...En plus, il n'était pas dit qu'il s'agissait d'un vote, ni quelles en étaient les modalités , ( les voix des parents valaient-elles celles des enseignants ? Comment ont été comptabilisées ces voix ? Est-ce que la décision d'une école à 3 classes valait celle d'une école à 15 classes ? etc.). Pour ajouter à la confusion, le rectorat a parfois pris la décision après le 3 juillet, prenant au dépourvu plusieurs communes. J'ai aussi l'exemple de deux villages, situés à 3 km l'un de l'autre et pour lesquels le rectorat a rendu des décisions différentes : l'un pourra regrouper les TAP le vendredi, l'autre ne pourra pas! (alors que le conseil d'école avait demandé expressément la dérogation!) Comment le rectorat, garant de l'égalité républicaine, pourra-t-il justifier ses choix devant un TA ?
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