Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

Malheureusement, je crois que tant que la gauche sera au pouvoir, nos représentants "majoritaires" ne se mobiliseront pas pour combattre les décisions du gouvernement, même quand, comme pour la réforme des rythmes, il est évident qu'une écrasante majorité d'entre nous y était opposée dès le début et que, même parmi ceux qui y croyaient, la plupart a compris les dégâts qu'elle occasionne.

 

Et c'est le propos de quelqu'un qui a voté des deux mains à gauche !

Posté(e)

Aujourd'hui nous avons eu le samedi matin d'il y a longtemps   ... en maternelle   7/8 enfants par classe

Les enfants sont tellement fatigués que les parents nous donnent des mots d'excuse.

Les parents les laissent dormir le mercredi matin ils ont retrouvé des gardes d'il y a 3 ans pour pallier au "pas d'école ce mercredi pour toi" . repose toi...

Posté(e)

le soucis c'est que les syndicats "minoritaires " n'arrivent pas à mobiliser les collègues sur le terrain .

J'ai lancé une proposition d'action lors d'un déplacement de la ministre dans notre département, avec des choses en amont en direction de tous les collègues ne nécessitant qu'un peu de temps et ensuite peut être une journée d'action ... j'ai proposé d'abord à nos syndiqués militants, 1 réponse .... autant dire que là on ne sait plus trop quoi proposer ....

Posté(e)

le soucis c'est que les syndicats "minoritaires " n'arrivent pas à mobiliser les collègues sur le terrain .

J'ai lancé une proposition d'action lors d'un déplacement de la ministre dans notre département, avec des choses en amont en direction de tous les collègues ne nécessitant qu'un peu de temps et ensuite peut être une journée d'action ... j'ai proposé d'abord à nos syndiqués militants, 1 réponse .... autant dire que là on ne sait plus trop quoi proposer ....

 

Tout le monde est assommé. Chirac (réforme des retraites) a ouvert la brèche, Sarkozy a massacré le primaire et Hollande est en train d'achever le travail.

 

Visiblement, la droite a, pour le moment en tout cas, gagné la guerre culturelle.

Posté(e)

le soucis c'est que les syndicats "minoritaires " n'arrivent pas à mobiliser les collègues sur le terrain .

J'ai lancé une proposition d'action lors d'un déplacement de la ministre dans notre département, avec des choses en amont en direction de tous les collègues ne nécessitant qu'un peu de temps et ensuite peut être une journée d'action ... j'ai proposé d'abord à nos syndiqués militants, 1 réponse .... autant dire que là on ne sait plus trop quoi proposer ....

 

Pourtant, la seule grève uniquement sur le thème des rythmes avait mobilisé bien plus que les autres grèves précédentes et celles qui ont suivi... 

 

Il aurait fallu continuer sur la lancer, comme cela a été maintes fois exprimé sur ces forums.

Mais toutes les excuses étaient bonnes, à l'époque, pour ne pas continuer, ou alors noyer la revendication dans un fourre-tout pseudo mobilisateur.

Posté(e)

Rappelle moi tu es de quel syndicat ?

Posté(e)

Le problème ne vient pas des syndicats minoritaires mais bel et bien des collègues...

Posté(e)

Rappelle moi tu es de quel syndicat ?

 

Moi ? Aucun. Et justement, entre autre, à cause de ce type de situation.

Pourtant, j'ai été en grève, je suis allée aux AG, j'ai essayé de les faire démarrer, mais sans effet.

Posté(e)

Le problème ne vient pas des syndicats minoritaires mais bel et bien des collègues...

 

Si tu le dis...

Posté(e)

 

Rappelle moi tu es de quel syndicat ?

 

Moi ? Aucun. Et justement, entre autre, à cause de ce type de situation.

Pourtant, j'ai été en grève, je suis allée aux AG, j'ai essayé de les faire démarrer, mais sans effet.

 

 

donc encore une fois c'est facile de taper et critiquer les collègues militants qui le font bénévolement et comme ils peuvent (car oui tous n'ont pas un mi-temps en décharge syndicale!)

 

et pour rappel (une fois encore) les syndicats ce n'est pas uniquement les délégués syndicaux mais c'est ce qu'en font les collègues ... les collègues ont choisi de déserter les syndicats, les RIS, les grèves etc.... on ne peut pas faire la révolution tout seul

 

tu dis avoir proposé des choses en AG, c'est bien mais si ça n'a pas pris ce n'est pas la faute des syndicats mais bien soit de ce que tu proposais, soit des collègues présents dans la salle qui n'ont pas suivi... si les collègues étaient prêts à bouger les syndicats auraient appuyés mais on se retrouve tellement de fois seuls à tout porter que si on ne sent pas les collègues prêts à suivre au bout d'un moment ben les mouvements se meurent ...

 

sur les rythmes oui il y a eu des manifs lancées par les 3 syndicats minoritaires mais ce n'était pas suivi plus que ça, si tous les collègues avaient été dans la rue ça aurait pu avoir un impact ...mais pour beaucoup si le snuipp ne bouge pas ils ne bougent pas non plus !

ils en sont pas contents et pourtant ils revotent pour eux juste parce qu'ils répondent bien au téléphone....

 

alors bon au bout d'un moment faut arrêter de toujours râler sur les mêmes... si on veuit faire bouger les choses on prend sa carte et on va aux RIS, aux conseils syndicaux, on propose des choses et on arrête d'attendre que tout tombe tout cuit !

Posté(e)

Rythmes scolaires : qu’en pensent les parents ?

L’enquête vient de l’UNAF (Union Nationale des Associations Familiales), plutôt favorable à la réforme des rythmes scolaires et qui, « soucieuse que cette réforme prenne effectivement en compte l’intérêt des familles », a souhaité mieux connaitre l’avis des parents sur les nouvelles activités pédagogiques proposées aux enfants, leur perception par les parents et leurs enfants, l’impact de la réforme sur l’organisation familiale.

la suite : http://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2016/03/05/-rythmes-scolaires-quen-pensent-les-parents.html#xtor=RSS-3-[lestitres]

ou http://goo.gl/xGsiut

Posté(e)

 

 

Rappelle moi tu es de quel syndicat ?

 

Moi ? Aucun. Et justement, entre autre, à cause de ce type de situation.

Pourtant, j'ai été en grève, je suis allée aux AG, j'ai essayé de les faire démarrer, mais sans effet.

 

 

donc encore une fois c'est facile de taper et critiquer les collègues militants qui le font bénévolement et comme ils peuvent (car oui tous n'ont pas un mi-temps en décharge syndicale!)

 

et pour rappel (une fois encore) les syndicats ce n'est pas uniquement les délégués syndicaux mais c'est ce qu'en font les collègues ... les collègues ont choisi de déserter les syndicats, les RIS, les grèves etc.... on ne peut pas faire la révolution tout seul

 

tu dis avoir proposé des choses en AG, c'est bien mais si ça n'a pas pris ce n'est pas la faute des syndicats mais bien soit de ce que tu proposais, soit des collègues présents dans la salle qui n'ont pas suivi... si les collègues étaient prêts à bouger les syndicats auraient appuyés mais on se retrouve tellement de fois seuls à tout porter que si on ne sent pas les collègues prêts à suivre au bout d'un moment ben les mouvements se meurent ...

 

sur les rythmes oui il y a eu des manifs lancées par les 3 syndicats minoritaires mais ce n'était pas suivi plus que ça, si tous les collègues avaient été dans la rue ça aurait pu avoir un impact ...mais pour beaucoup si le snuipp ne bouge pas ils ne bougent pas non plus !

ils en sont pas contents et pourtant ils revotent pour eux juste parce qu'ils répondent bien au téléphone....

 

alors bon au bout d'un moment faut arrêter de toujours râler sur les mêmes... si on veuit faire bouger les choses on prend sa carte et on va aux RIS, aux conseils syndicaux, on propose des choses et on arrête d'attendre que tout tombe tout cuit !

 

 

Impossible de dissocier les enseignants et les syndicats car les seconds sont censés être l'émanation des premiers, leurs représentants.

La question est non pas de savoir à qui est la faute, enseignants ou syndicats, mais bien : comment en est-on arrivés là ?

Et il faut remonter à quelques années lorsque les représentants des syndicats au niveau national ont perverti le système en ne devenant plus des représentants des enseignants mais en devenant des personnes au service de certaines politiques. En se comportant ainsi, ils ont non seulement détruit notre profession mais aussi la confiance que nous pouvions porter en eux.

Aujourd'hui, les enseignants font confiance aux élus de base (quelle que soit leur étiquette) puisque ceux-ci font un travail admirable, mais plus du tout en ceux qui sont à la tête des syndicats qui ne sont que des politiques et qui ne défendent pas, pour la grande majorité, les intérêts de notre profession. En 30 ans, nous avons perdu beaucoup. Regardez qui a signé les textes permettant cette chute vertigineuse de notre profession.

Maintenant, je ne vois pas comment la confiance peut revenir.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...