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Les problèmes des nouveaux rythmes


Florent

Messages recommandés

L'anim passe avant l'instit. C'est volontaire.

Encore une réussite des rythmes scolaires.

Ah, et le raccourcissement des vacances scolaires. On y arrive.

J'ai remis ce morceau dans les problèmes des rythmes afin de pouvoir le commenter.

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Passons que l'anim' soit avant l'instit', ce n'est qu'une question de priorité.

Mais j'ai sans doute manqué quelque chose. C'est prévu à quel moment que tout se monde se parle. Des rencontres parents/enseignants, je vois bien. Mais les autres rencontres, elles sont où, elles sont quand, elles sont avec qui. Il ne me semble pas que l'EN ait programmé ces heures de concertation, ni que les animateurs aient des heures payées pour cela. En tous cas, pas là où je travaille.

À Paris, il serait question d'organiser des rencontres enseignants/animateurs... sur deux vendredis après-midi banalisés.

http://75.fo-snudi.fr/spip.php?article634

" [...] Notons d’abord que la suppression de trois heures de classe ne pose aucun problème au ministère alors qu’il conteste aux enseignants le droit de participer à des réunions d’information syndicale sur le temps d’enseignement (il vient de publier un arrêté contraire au texte "Fonction publique" ramenant à 9 h le nombre d’heures de réunions syndicales au lieu des 12 réglementaires, une seule pouvant se dérouler sur le temps de classe...à certaines conditions). Relevons également, qu’à Paris, deux vendredis après-midi banalisés d’ici la fin du trimestre (5 ou 12 décembre) et au deuxième trimestre (3 ou 10 avril) décidés par le DASEN, s’ajoutent à cette suppression de 3 heures (« ces 2 demi-journées banalisées auront lieu avec la recommandation pour les équipes scolaires et périscolaires de travailler ensemble sur l’ARE, mais il n’y aura pas d’obligation » a précisé le DASEN au SNUDI-FO). Socle, ARE…et ensuite ? Et bien sûr, il est enjoint aux directeurs déjà surchargés de tâches, d’organiser ces temps banalisés en ignorant à ce jour comment prévenir les familles pour le 15 octobre. [...] "

Si c'est organisé comme pour la consultation du Socle, tout le monde devrait être prévenu officiellement autour du 20 novembre, ce qui devrait largement laisser aux parents le temps de se retourner... :getlost:

Je n'ai pas trouvé l'affiche, juste un tract qui la reprend : www.fcpe29.fr/wp-content/uploads/2013/11/CAMPAGNE_RYTHMES-TRACT_05-NB-SANS%20TRAITS%20COUPE%202.pdf

Merci !

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L'anim passe avant l'instit. C'est volontaire.

Encore une réussite des rythmes scolaires.

Ah, et le raccourcissement des vacances scolaires. On y arrive.

J'ai remis ce morceau dans les problèmes des rythmes afin de pouvoir le commenter.

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N'est-ce pas contradictoire avec des journées qui durent le même temps qu'avant, sont dans les mêmes locaux et sont même parfois encadrées par les mêmes personnes?

Aujourd'hui, majoritairement, les enfants n'ont pas des journées dans les écoles plus courtes qu'hier. Ils ont juste une matinée en plus.

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Donc sur la même affiche, la FCPE confirme que les enfants font bien des heures en plus et ne s'inquiète d'ailleurs pas plus que cela de l'endroit.

Le préalable est que les activités sont intéressantes ce qui les rend forcément intéressantes. Peu importe que cela soit de la garderie pure et simple comme dans certaines écoles ou que cela soit encadré par du personnel non qualifié.

On ne retiendra que ceux qui ont la chance d'avoir des bonnes conditions et ça, c'est super!

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Passons que l'anim' soit avant l'instit', ce n'est qu'une question de priorité.

Mais j'ai sans doute manqué quelque chose. C'est prévu à quel moment que tout se monde se parle. Des rencontres parents/enseignants, je vois bien. Mais les autres rencontres, elles sont où, elles sont quand, elles sont avec qui. Il ne me semble pas que l'EN ait programmé ces heures de concertation, ni que les animateurs aient des heures payées pour cela. En tous cas, pas là où je travaille.

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Certes, encore faudrait-il que la FCPE le dise aux parents, en particulier de cycle 3.

De plus, il semble qu'une confusion existe en devoirs et besoin d'expliquer : apprendre une leçon ne demande pas d'explication (à priori). Et si elle en demande, c'est qu'il y a un souci donc un besoin pour le parent de rencontrer l'enseignant. Sinon, il y a incohérence avec le point précédent : je sais qu'ils veulent ce qu'il y a de mieux pour moi.

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Alors donc l'enfant s'ennuie en vacances, c'est peut-être qu'ils sont fatigués ou qu’ils ne sont pas suffisamment convoqués en tant que sujets.

Mais que font-ils pendant les vacances?

Ils ne sont pas avec leurs copains (donc pas du tout en centre de loisir, ni en collectivité).

Ils commencent à oublier, donc les parents leur font faire les devoirs qu'ils ne doivent pas faire pendant l'année, et donc ils ne sont plus en vacances. Par conséquent, autant les mettre à l'école.

Effectivement, c'est un raisonnement très intéressant.

Dans le même temps, plutôt que de courir et jouer avec ses copains pendant les vacances, autant rester assis sur une chaise avec ces mêmes copains.

Bien après cette petite étude, j'en déduis que les propos sont très contradictoires et avec une logique incertaine, que les responsables de la FCPE sont bien loin de ce qu'est un enfant et n'ont qu'un regard d'adulte sur l'intérêt de ces mêmes enfants, qu'ils confondent d'ailleurs intérêt de l'enfant avec activité à outrance et enfin le pire, qu'ils font de la désinformation pour défendre leurs propres idées qui ne sont pas dans l'intérêt de tous les enfants.

:applause:

Je crois aussi que la FCPE a perdu ses repères fondateurs ! A force de confusions pédagogiques, politiques ou idéologiques...Vous me direz, le MEN fait la même chose ! :tongue:

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Au fait, j'enverrais bien cet article à la FCPE...

http://www.epsetsociete.fr/Rythmes-scolaires-serpent-de-mer

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Rythmes scolaires, serpent de mer ou cheval de Troie ?
Jean-Yves Rochex, Université PARIS VIII
Cet article a été publié la première fois dans la revue Educations n°8 en 1996. Vingt ans plus tard, la problématique reste identique. Pour J-Y Rochex, les rythmes sont un véritable cheval de Troie de la mise à mal du service public d’éducation et de l’accroissement des inégalités sociales face au savoir et à la formation.
Ainsi la question dite des « rythmes scolaires » refait-elle surface, au point d’occuper trois colonnes de la une du Monde du 26 janvier, où l’on apprend que 200 maires seraient volontaires pour expérimenter une « nouvelle » organisation de la journée scolaire. Après avoir soutenu l’élaboration d’un calendrier de l’année scolaire que les industriels de la neige ont eu vite fait de faire VOLER en éclats, après avoir servi à justifier la mise en œuvre des cycles à l’école élémentaire, puis celle de la semaine des quatre jours, la notion de « rythmes scolaires » sert aujourd’hui à étendre le « modèle d’Épinal », à le présenter comme étant de nature à remédier à peu de frais aux maux dont souffre l’École dans les quartiers dits « en difficulté ».
La notion de « rythmes scolaires » sert aujourd’hui à étendre le « modèle d’Épinal », à le présenter comme étant de nature à remédier à peu de frais aux maux dont souffre l’École dans les quartiers dits « en difficulté »
Concernant ce « modèle », le coût de son extension est estimé à 1500 F annuels par élève, dont 1000 F environ resteraient à la charge des municipalités et de leurs partenaires. Qui ne voit que non seulement l’État se défausse ainsi d’une part de ses responsabilités sur les collectivités locales, mais que celles-ci sont loin d’être à armes égales pour faire face à ce transfert, et qu’une telle mesure ne peut qu’accroître les inégalités entre enfants scolarisés dans les communes riches et dans les communes pauvres ?
Mais quand bien même ce coût pourrait être supporté à armes égales par toutes les communes, ou serait intégralement pris en charge par l’État, la mesure proposée n’en serait pas moins critiquable et dangereuse sur le fond. Les termes mêmes utilisés pour la présenter sont édifiants : il s’agirait en effet de consacrer la matinée aux cours et aux apprentissages, souvent dits traditionnels, tandis que les après-midi seraient réservées aux activités culturelles, artistiques et sportives, souvent qualifiées d’activités d’expression. Comment mieux dire qu’une telle mesure repose sur un présupposé implicite selon lequel les activités de l’après-midi, pensées comme faisant appel à la créativité des élèves et comme étant, par là-même, ludiques, épanouissantes, socialisantes, attractives, voire défoulantes, n’auraient pas grand chose à voir avec les apprentissages, tandis que les cours du matin, consacrés aux disciplines dites fondamentales, n’auraient guère à se soucier de susciter l’activité ni le plaisir d’agir et de pensée des élèves, ou ne pourraient qu’échouer à le faire ? Un tel discours, opposant ou juxtaposant les apprentissages dits fondamentaux ou proprement scolaires, considérés comme nécessairement ennuyeux, fastidieux et monotones, comme passage obligé ne participant guère de l’épanouissement et de la créativité de l’enfant, aux disciplines et aux activités où le faire serait d’autant plus ludique et attractif qu’il aurait moins à se confronter à la contrainte de l’apprentissage, a beau être aujourd’hui pédagogiquement correct, il ne m’en apparaît pas moins infondé et dangereux.
Infondé parce que les conceptions « expressives » ou « récréatives » des activités culturelles, ludiques ou sportives font fi ou sous-estiment gravement la nécessité de faire que tous les élèves s’y approprient des contenus de savoir, des codes de lecture et de production, au-delà du ponctuel des activités, des réalisations, des RENCONTRESou des sorties auxquelles elles donnent lieu, et ce au détriment des objectifs affichés de démocratisation de l’accès à l’Art, à la Culture ou aux pratiques sportives. Infondé, parce que n’interrogeant guère les contenus et les modes d’enseignement réservés aux cours de la matinée et laissant penser que plaisir et créativité ne peuvent avoir droit de cité dans l’univers des mathématiques, de la grammaire ou de la réflexion sur la langue. Dangereux parce qu’il ne peut qu’aller dans le sens de représentations déjà très prégnantes chez les élèves en difficulté (et d’autant plus prégnantes qu’ils sont plus en difficulté), que renforcer leurs difficultés à reconnaître (dans les deux sens du terme, identifier et accorder du crédit) la nécessité de l’apprentissage et à éprouver en retour son importance pour le développement personnel. Dangereux parce qu’il va dans le sens de l’hypertrophie de la dimension culturelle et récréative, et de la réduction de la place faite à la dimension cognitive, que l’on observe dans de trop nombreux projets de Zones d’Éducation prioritaire, ou d’établissements dits « sensibles » ou en difficulté.
La plupart des travaux menés en France ou dans d’autres pays, sur la mise en œuvre de la politique ZEP ou de politiques semblables, s’accordent en effet pour constater que les projets mis en œuvre touchent plus à la surface des choses qu’au fond, visent davantage à rendre l’école plus accueillante qu’à la rendre plus efficace en transformant les conditions d’enseignement et d’apprentissage, juxtaposent de nouvelles activités à des approches qui restent inchangées et fort peu interrogées et, au total, se situent plus en parallèle du travail pédagogique courant qu’en articulation avec lui. Aussi n’y a-t-il guère à s’étonner que les évaluations de ces projets ne puissent guère faire état que d’améliorations portant sur le climat scolaire, sur l’attitude des élèves ou, au mieux, sur une certaine réconciliation de ceux-ci avec l’école ainsi conçue, sans pour autant faire apparaître de progrès et de transformations concernant les apprentissages, ni même la réconciliation des élèves avec l’école comme lieu d’apprentissage. Les enseignements de ces travaux incitent dès lors à penser que l’extension incontrôlée du modèle d’Épinal dans les ZEP ne peut qu’accroître les inégalités et le dualisme scolaires, au détriment des objectifs affichés de lutte contre l’échec scolaire et de réduction de la « fracture sociale ». Une telle mesure relève, au mieux, de la naïveté, au pire de la supercherie intellectuelle et politique.
Revenons, pour finir, à la notion de « rythmes scolaires », utilisée pour justifier ce dispositif après d’autres, et dont la fréquence d’usage semble INVERSEMENTproportionnelle à la rigueur avec laquelle on la définit. Au-delà de l’ambiguïté et du flou terminologique qui caractérise ses différents contextes d’usage, la notion de rythmes est presque toujours solidaire d’une problématique selon laquelle l’organisation du temps scolaire devrait s’adapter aux caractéristiques particulières et individuelles, voire biologiques, des élèves. Outre le risque de naturalisation de caractéristiques et de différences qui sont le produit d’une genèse sociale, une telle problématique ne se donne guère les moyens de penser le temps scolaire en termes d’activités susceptibles non de s’adapter à ce que sont les enfants (ou à ce qu’ils sont supposés être), mais de leur permettre de transformer ce qu’ils sont, et ne peut que nourrir des politiques ou des pratiques qui entérinent ou accroissent, fût-ce à leur insu, les inégalités qui préexistent à l’action de l’École.
Surgissant régulièrement sur le devant de la scène politique et médiatique, le thème des rythmes scolaires peut apparaître comme un véritable serpent de mer. Pour ma part, j’aurais tendance à penser qu’il peut tout autant être - y compris à l’insu de ceux qui le mettent en avant - un véritable cheval de Troie de la mise à mal du service public d’éducation et de l’accroissement des inégalités sociales face au savoir et à la formation.

:applause:

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Au fait, j'enverrais bien cet article à la FCPE...

http://www.epsetsociete.fr/Rythmes-scolaires-serpent-de-mer

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Rythmes scolaires, serpent de mer ou cheval de Troie ?
Jean-Yves Rochex, Université PARIS VIII
Cet article a été publié la première fois dans la revue Educations n°8 en 1996. Vingt ans plus tard, la problématique reste identique. Pour J-Y Rochex, les rythmes sont un véritable cheval de Troie de la mise à mal du service public d’éducation et de l’accroissement des inégalités sociales face au savoir et à la formation.

Concernant ce « modèle », le coût de son extension est estimé à 1500 F annuels par élève, dont 1000 F environ resteraient à la charge des municipalités et de leurs partenaires. Qui ne voit que non seulement l’État se défausse ainsi d’une part de ses responsabilités sur les collectivités locales, mais que celles-ci sont loin d’être à armes égales pour faire face à ce transfert, et qu’une telle mesure ne peut qu’accroître les inégalités entre enfants scolarisés dans les communes riches et dans les communes pauvres ?

:applause:

Jean-Yves Rochex !

Perso, ce nom m'évoque le bon vieux temps de l'IUFM où l'on payait encore en francs...

Mais effectivement :

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Rythmes scolaires, serpent de mer ou cheval de Troie ?
Jean-Yves Rochex, Université PARIS VIII
Vingt ans plus tard, la problématique reste identique. Pour J-Y Rochex, les rythmes sont un véritable cheval de Troie de la mise à mal du service public d’éducation et de l’accroissement des inégalités sociales face au savoir et à la formation.
Les enseignements de ces travaux incitent dès lors à penser que l’extension incontrôlée du modèle d’Épinal dans les ZEP ne peut qu’accroître les inégalités et le dualisme scolaires, au détriment des objectifs affichés de lutte contre l’échec scolaire et de réduction de la « fracture sociale ». Une telle mesure relève, au mieux, de la naïveté, au pire de la supercherie intellectuelle et politique.

Voilà. On y est.

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Hé hop, une assoce FCPE qui se tire:

Région > Saint-Omer et ses environs
Stop, dit la FCPE d’Aire-sur-la-Lys, après la réforme des rythmes scolaires
PUBLIÉ LE 05/10/2014
La Voix du Nord
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Le journal du jour à partir de 0,79 €
Le bureau de la FCPE locale a décidé d’arrêter l’association de parents d’élèves, faute d’investissements des familles et après la mise en place des rythmes scolaires.
C. Thibaults, E. Delgerie et P. Demaret déplorent le désintérêt des parents et l’attitude de la mairie.
Imprimer- A +
Trois ans que le bureau local de la FCPE était en place. Élodie Delgerie, mère de trois enfants, voulait proposer des animations, aider les quatre écoles publiques. Le retour a été plutôt mou, seulement 24 adhérents pour environ 600 élèves scolarisés en maternelle et primaire, trop peu de participation aux activités, amenant un « ras-le-bol de voir toujours les mêmes travailler ». Face à ce constat, la présidente a décidé d’arrêter, de même que le vice président Cédric Thibault, et le trésorier, Philippe Demaret.
Et comme l’appel à candidatures est resté sans réponse, le conseil local s’arrête, ce qui était en caisse a été redistribué équitablement. Jules-Ferry, l’école maternelle du Centre, Dannel et Saint-Exupéry ont donc reçu 600 € pour soutenir leurs projets. L’an dernier, elles avaient aussi bénéficié d’un coup de pouce conséquent.
Mais ce qui chagrine au plus haut point la présidente, c’est l’installation des nouveaux rythmes scolaires. Elle parle « d’affront » dans un courrier adressé au maire. « Pour les mettre en place, la mairie a traité directement avec les écoles. Nous souhaitions autre chose, plus en phase avec les directives nationales de la FCPE et la volonté des parents qui ont assisté à nos réunions. Nous avons vraiment eu le sentiment que tout était acté d’avance. Mon rôle de présidente n’est donc plus cohérent, j’ai dû assumer des décisions prises par d’autres. Il faut en tirer les leçons. » Première conséquence, le loto programmé le 30 novembre est annulé.

http://www.lavoixdunord.fr/region/stop-dit-la-fcpe-d-aire-sur-la-lys-apres-la-reforme-ia37b0n2418606

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« Réforme des rythmes scolaires & Mise en danger de la Culture à l’école » par Annick Bacot
LANCEMENT DE LA CONSULTATION NATIONALE SUR LE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES, DE COMPÉTENCES ET DE CULTURE QUI AURA LIEU JUSQU’AU 18 OCTOBRE 2014
dimanche 5 octobre 2014 par Bacot Annick
« Depuis qu’on était passé à 4 matinées

http://yonnelautre.fr/spip.php?article7676&var_mode=calcul

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Voici le calendrier (trouvé sur le site d'un syndicat) du vote aux élections professionnelles, histoire de ne pas louper une étape :

COMMENT VOTER

à partir du 22 septembre 2014

1°) Création obligatoire d’un COMPTE ELECTEUR sur : https://vote2014.education.gouv.fr

2°) Confirmation par messagerie professionnelle (ac.)

Calendrier des opérations de vote

Mardi 28 octobre : Mise en ligne sur le portail, des candidatures, logos et professions de foi conformément à l'ordre tiré au sort.

À partir du mardi 4 novembre : Réception du matériel de vote dans les communautés de travail

Mercredi 12 novembre : Date limite de remise aux électeurs du matériel de vote.

Entre le 17 et le 20 novembre : Retour par les directeurs d'école, les chefs d'établissements ou de services des listes émargées attestant de la remise des notices dans leur école, établissement ou service.

Mercredi 26 novembre : Date limite de réception d'un nouvel identifiant de vote en cas de vol par voie électronique uniquement (9h, heure de Paris).

Jeudi 27 novembre : Ouverture de l'application pour le vote électronique à partir de 10h . Durant la période de vote, l'application de vote est ouverte 24h sur 24, 7 jours sur 7.Ouverture de l'assistance téléphonique aux électeurs (8h-20h, et le samedi de 9h à 17h, et le 4 décembre de 8h à 17h, heure de Paris). Ouverture des espaces électoraux en Polynésie Française les 27, 28 et du 1er au 4 décembre, en Guyane et Nouvelle Calédonie du lundi 1er au jeudi 4 décembre, en Guadeloupe et Martinique les mardi 2 et jeudi 4 décembre, à Mayotte les 3 et 4 décembre.

Jeudi 4 décembre : Ouverture des espaces électoraux (tous lieux)

(Écoles et établissements du 1er degré : de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.)

-Clôture du scrutin (17h, heure de Paris).

Vendredi 5 décembre : Dépouillement des scrutins des commissions administratives paritaires, des commissions consultatives spéciales académiques et des commissions consultatives paritaires, des bureaux de vote électronique pour les CAPL et CCP locales et proclamation des résultats pour ces scrutins. Publication de l'ensemble des résultats et de la répartition des sièges sur le site education.gouv.fr

Début du délai de recours administratif préalable de 5 jours.

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On peut plus ! :) Bon, sérieusement, je ne sais pas si NVB pourra tenir longtemps à ce ministère où elle a été nommée par défaut (Ségolène, ça n'aurait pas tenu trois mois ...).

A sa décharge, elle hérite d'un ministère aux abois à cause de ses deux "prédécesseurs d'amis" ! :scratch::secret:

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