ronin Posté(e) 6 décembre 2014 Posté(e) 6 décembre 2014 Concernant le vote du SNALC de 2012, un de leurs représentants s'en est expliqué à l'époque : (source : forum "enseignants-du-primaire.info", page 8 : "CSE 14 décembre : avis favorable au projet de loi sur la refondation de l'école (détail des votes)" (lien direct impossible) "Revenons au point central, à savoir le vote sur la loi d'orientation. J'ai assisté tout l'été à la grande concertation ; j'ai lu le rapport, et d'aucuns ont rappelé que je n'en ai pas dit du bien. Je tiens donc à signaler ceci : la loi d'orientation qui nous a été présentée est incroyablement mesurée j'irais même jusqu'à dire qu'elle est globalement indolore par rapport au contenu de ce document qui nous laissait craindre le pire. En gros, que s'est-il passé depuis le changement de majorité, dans les faits (et non sur les médias et dans les beaux discours divers et variés, qui n'engagent que ceux qui veulent bien y croire) ? 1) On réembauche. 2) on remet l'HG en TS (on le fait horriblement mal, mais là, permettez-moi de signaler que ce n'est pas ma faute, et que certains qui attaquent violemment sur ce sujet pourraient s'intéresser à la manière de voter de leurs représentants avant de nous donner des leçons sur la nôtre). 3) on NE TOUCHE PAS dans la loi aux statuts de 50. Les seuls personnels qui sont légèrement (parce qu'il ne faut pas exagérer non plus) remis en cause sont les COP, et vous me permettrez d'assumer le fait que je n'en ferai pas d'insomnie. 4) on NE TOUCHE PAS pour le moment aux programmes de 2008 dans le primaire, et on n'est pas revenu en hâte à ceux de 2002 comme c'était pourtant demandé par la majorité des syndicats (et quand je dis majorité, le mot est faible). 5) On REMET une formation professionnelle avec une entrée progressive dans le métier. J'espère que tout un chacun ici est convaincu que je ne suis pas un grand défenseur (ni même un petit) des IUFM. Mais la situation actuelle est intenable pour les collègues qui entrent dans le métier, et pour le moment, comme beaucoup d'autres choses annoncées, les futurs ESPE sont à définir et remplir, et je n'ai jamais aimé faire de procès d'intention, ce qui ne veut pas dire non plus que je suis un gros naïf à qui l'on peut raconter n'importe quoi. 6) on NE TOUCHE PAS à la structure du système : pas d'école du socle, pas de lycée modulaire à la SGEN ; tout juste un conseil école/collège qui ne fera probablement que formaliser les réunions CM2/6e que nous faisons déjà. Mais pas d'attaque sur la différence de métier entre un PE et un PLC, pas d'expérimentation d'échanges de service possible, et ça, j'en sais quelque chose : j'ai négocié dessus pied à pied jusqu'à plus d'une heure du matin, et je rappelle qu'on a obtenu gain de cause, et j'ajoute même penser ne pas y être pour rien. Pensez à la possibilité qui était laissée de vous faire effectuer tout ou partie de votre service en collège, cher PE, ou en primaire, cher PLC le tout sans avoir à vous demander votre avis et remerciez-nous plutôt que de nous engueuler. 7) on LAISSE l'essentiel à définir. Là aussi, j'espère que vous me croyez quand je vous dit que je ne suis pas heureux de voir toujours le mot socle dans la loi. En revanche, je suis moins malheureux que la définition du contenu du socle n'y soit plus (avec ses 7 compétences à la mords-moi-le-nud). Cette loi fait tabula rasa du contenu de socle et de ses instruments d'évaluation (vous savez : le LPC) : tout reste à faire, et vous imaginez bien qu'on ne va pas défendre les mêmes positions que le SGEN et l'UNSA sur ce sujet dans la suite des débats. Mais au moins on a une PLACE pour nos revendications, place qui n'existait pas dans la loi précédente, qui verrouillait le dispositif en amont. C'est là (enfin pas que là ^^) où nous ne sommes pas d'accord avec le SGEN et l'UNSA, qui claironnent qu'on a voté pour le socle : il y a moins de socle dans cette loi que dans la précédente, et il n'est pas dit qu'à l'arrivée ceux qui sont en train de faire péter les bouchons de champagne n'aient pas une légère gueule de bois. Et encore, là, je vous dépeins le SGEN et l'UNSA comme à 100% derrière ce projet de loi, mais c'est faux : eux aussi ont bien signalé dans diverses interventions que ça n'allait pas assez loin à leurs yeux, que ça manquait d'ambition, qu'on ne refondait pas vraiment le vote pour du SGEN est tout sauf une évidence, en fait, sur ce texte. Restent plusieurs points que je n'esquiverai pas. 1) La question des collectivités locales. Elles ont obtenu à peu près uniquement des trucs dans le domaine de l'orientation, qui est un domaine qui ne fonctionne de toute manière pas dans notre système. On espère bien que ça les occupera : on sait que les COP et les directeurs de CIO sont pour beaucoup de sacrés illuminés pédagogiques, et on attend de voir ce que donnera la prise de bec entre eux et les régions qui prétendent les diriger à certains moments. 2) La question des collectivités locales toujours : oui, il y a ce point sur les projets éducatifs territoriaux, et je vous avoue que plus encore que la question du socle (qui en fait s'améliore d'après notre analyse, mais je conçois qu'on ne la partage pas), c'est CE point précis qui nous a fait franchement hésiter. Je ne le nie pas : c'est un vrai souci. 3) La question de l'annexe. Amis « républicains », ne vous faites pas avoir comme vos cousins « pédago » : l'annexe, c'est du vent, et ça ne sert qu'à flatter les uns et les autres et à leur dire qu'ils sont les plus beaux et qu'ils ont des idées merveilleuses. Oui mais ce qui est dans l'annexe n'est pas dans la loi. J'irais même jusqu'à demander qui est vraiment le dindon de la farce, dans cette histoire. Les annexes verbeuses et idéologiques s'envolent ; les articles de loi restent. Je suis presque au bout. Je tiens à évoquer deux points majeurs et corrélés : - Le Parti Socialiste, je le rappelle, c'est la loi Jospin, c'est l'idéologie Ségolène Royal, c'est Jack Lang, c'est Claude Allègre Soyons objectifs deux minutes : le projet de loi proposé n'a rien à voir avec ce glorieux (hem) passé. On m'aurait dit qu'on allait avoir un projet de loi si peu pédago de la part du PS que je ne l'aurais franchement pas cru. - Malgré ce que, suite à ses diverses déclarations, vous pouvez penser (et souvent à raison, d'ailleurs, si l'on ne s'en tient qu'aux déclarations) de Vincent Peillon, je vous assure qui vaudrait mieux qu'on le garde. On ne nous proposera rien de mieux pour le remplacer ; il est en revanche certain qu'on nous proposera bien pire. Et pour conclure, la question du positionnement syndical. Le SNALC a un problème : c'est que ses idées sont majoritaires en salles des profs, mais que lui-même ne l'est pas dans la représentativité syndicale. Si tous ceux qui rejoignent nos idées nous rejoignaient tout court, il est certain que nous n'aurions pas les mêmes façons de négocier, de discuter le bout de gras, d'intervenir. Oui mais pour diverses raisons, dont beaucoup je le crois sont indépendantes de notre volonté, ça ne fonctionne pas ainsi. Et donc, en attendant que vous vous décidiez (oui, vous, qui critiquez un engagement pour lequel je ne compte pas mes heures et qui me bouffe ma vie, vous n'avez même pas idée venez faire une semaine de secrétariat national à la pédagogie, et on reparle !) à mettre en conformité vos idées et vos engagements, nous devons trouver des moyens d'influence autres que « Nous nombreux, nous grosses banderoles et porte-voix, nous non non non ! », car celui-là, on le sait, on ne l'a pas (certaines sections académiques font néanmoins honneur à notre syndicat de ce point de vue). À partir de là, que faire ? Se couper d'une discussion dont les bases sont loin d'être intolérables ? Est-ce vraiment comme ça qu'on pourra agir sur le système ? Car soyons très honnêtes : pour nous, voter non à cette étape de la négociation, cela revenait à quitter de fait tout échange potentiellement constructif sur les réformes à venir. Or quel est le paysage syndical aujourd'hui à l'heure où les discussions vont être âpres ? - le SGEN et l'UNSA, extrêmement bien intronisés dans les rouages et dont le lobbying se fait tout en souplesse, et on ne peut pas y faire grand chose. - FO, SUD et la CGT parfaits médiatiquement dans leur rôle de « on refuse tout », qui se casseront les dents s'ils sortent les banderoles, et dont les propositions sur le plan pédagogique sont inexistantes (quand elles ne sont pas néfastes) ? - la FSU, complètement impuissante aussi bien sur le plan de l'unité que sur celui de l'action (et je ne parle pas de la réflexion). Après avoir voté un magnifique « abstention », leur incapacité à proposer un tout idéologique cohérent équivaut à leur incapacité à sortir dans la rue crier fort, puisqu'il viennent de se priver de ce moyen qu'eux seuls avaient. Au milieu de tout ça, on fait quoi, nous ? On sort nos 3 drapeaux pour aller jouer du mégaphone ? Eh bien on a préféré partir d'une base assez vague qui, si elle ne nous réjouit pas, ne nous fait pas non plus vomir, et à partir de laquelle nous serons en fait les seuls à pouvoir faire des propositions cohérentes et valables allant dans un autre sens que celle des pseudo-réformateurs. C'est la seule carte qu'on peut réellement jouer, et sa valeur faciale est très loin d'être nulle. Alors on la joue. On ne promet certainement pas de gagner la partie : mais au moins, on ne part pas en étant sûr de l'avoir perdue. Parce que sachez-le, c'était BEAUCOUP + facile de voter non dans cette histoire : ça ne mange pas de pain, ça n'engage à rien et ce sera très rapidement compris par toutes les personnes qui n'ont qu'un aperçu très lointain de ce qu'est le travail syndical au niveau du ministère, mais aussi des parlementaires. Sauf que ce vote était nous priver de la possibilité d'effectuer ce travail efficacement pour un bon moment. Alors même si je suis certain qu'après ce long message, il y en aura toujours (et peut-être beaucoup, je ne sais pas) pour nous taper dessus avec des armes faciles à employer et difficiles à parer, eh bien oui, on aura voté oui et on assume. On ne voit pas d'autre façon de défendre les valeurs de l'École de la république et la transmission des savoirs qu'ainsi. Et qu'on soit bien d'accord : ça n'engage à rien sur les textes d'application qui suivront : tout décret, toute circulaire qui ira contre les idéaux du SNALC, i.e. ceux de la plupart des professeurs de terrain, on lui réservera l'accueil qu'il/elle mérite et on se battra pour que de tels textes soient modifiés, comme on s'est déjà battu en amont du projet de loi pour qu'il soit modifié. Les idées du SNALC sur l'École, qu'on se le dise une bonne fois pour toutes, n'ont pas changé." Pas mal du tout cet argumentaire...sauf que Peillon a réussi à faire passer les rythmes et que son successeur en a fait plus qu'une usine à gaz...NVB continue...Ben oui, Peillon a fait passer sa réforme avec l'UNSA, le SGEN et..le SNUIPP. Merci Sebastien Sihr. Effectivement le SNALC, le SNE, FO sont contre mais pèsent peu quand nos amis de la FSU votent pour ou pratique "l'abstention vigilante"..
Zarko Posté(e) 6 décembre 2014 Posté(e) 6 décembre 2014 Trouvé sur un autre forum, cette analyse, que je partage: Sur le fond, il y a vraiment désormais une véritable rupture dans le syndicalisme enseignant. Pour parler de ce que je connais, le 1er degré, les syndicats dits "réformistes" au premier rang desquels se trouve le SE ont, et c'est normal, un "socle commun" qui résiste encore grâce à leur implantation historique: il faut se souvenir que le SNI-PEGC représentait dans les années 80 plus de 80% de l'électorat et que son seul adversaire était le SGEN. Lors de la scission du SNI en SE et SNUIPP, la tendance socialiste a constitué le SE et la tendance communiste a créé le SNUIPP. Cela faisait quelques années déjà que quelques instits avaient créé le SNUDI et adhéré à FO. Aujourd'hui, la situation est très claire: - D'un côté, le SE et le SGEN qui signent toutes les "réformes" imposées par les libéraux à la France pour démanteler l'école républicaine, en toute connaissance de cause, d'ailleurs. - De l'autre côté le SNUDI et SUD qui refusent toutes ces "contre-réformes" pour exactement les raisons qui font qu'elles sont acceptées et même réclamées par les autres. Ces deux positionnements sont théoriquement inconciliables, mais le syndicat majoritaire, le SNUIPP, parvient néanmoins à les faire vivre en son sein: c'est la ligne "Ce n'est pas bien, mais on peut améliorer les choses avec plus de moyens". Les contestataires de la ligne libérale ont marqué des points cette fois-ci en allant chercher des voix au SNUIPP, de façon logique. Pour terminer, il semble malheureusement que, comme politiquement pour le PS, les copains et coquins du SE n'aient plus comme argumentation que la lutte contre l'extrême-droite. Sur le fond, ils n'ont plus rien à proposer sinon de la sueur et des larmes pour complaire à leurs maîtres du moment. et, plus drôle: En résumant : - tu votes SE-UNSA ou SGEN, tu es un traître et un mec de droite. - tu votes SNALC ou FO, tu es un électeur du FN en puissance (ou tu l'es déjà). - Tu votes SNES, tu es un cogestionnaire de l'EN et donc, de droite, car la politique actuelle de l'EN est "un complot de destruction de l'école républicaine". - Tu es PE, tu es un *** de base. - Tu votes aux élections, tu es un veau à la lecture des résultats. - Tu ne votes pas, tu es un veau à la lecture des résultats et tu n'as pas de cerveau car, tout de même, avec un bac +5, tu devrais voter ! Bilan : on est tous des veaux de droite suicidaires
leene Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 En résumant : - tu votes SE-UNSA ou SGEN, tu es un traître et un mec de droite. - tu votes SNALC ou FO, tu es un électeur du FN en puissance (ou tu l'es déjà). - Tu votes SNES, tu es un cogestionnaire de l'EN et donc, de droite, car la politique actuelle de l'EN est "un complot de destruction de l'école républicaine". - Tu es PE, tu es un *** de base. - Tu votes aux élections, tu es un veau à la lecture des résultats. - Tu ne votes pas, tu es un veau à la lecture des résultats et tu n'as pas de cerveau car, tout de même, avec un bac +5, tu devrais voter ! Bilan : on est tous des veaux de droite suicidaires reste plus qu'à voter CGT Educ'Action alors !!!
Frédo45 Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 C'est ça, c'est marrant de voir les syndicats pro-rythme amorcer un contre-feu en relayant l'info sur le collectif Racine ( qui doit comper moins de cent enseignants ) qui dit soutenir FO et le SNALC, opposés de longue date à la réforme des rythmes. C'est marrant comme ça tombre à point nommé, la technique du vote utile du PS dans toute sa splendeur... Manque de bol pour eux, FO progresse, le SNALC aussi, va falloir trouver autre chose. Dans la société, il y a de plus en plus de réactionnaires. Si la question des rythmes était la seule qui puisse expliquer les résultats des élections professionnelles, expliquez donc pourquoi : - l'UNSA progresse au CT ? - La CGT et SUD reculent ? Les résultats sont en adéquation avec ce que l'on relève dans la société française : progression des socio-libéraux d'une part et des réactionnaires de l'autre (même s'il n'y a pas que des réactionnaires chez FO).
Frédo45 Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 Quant à moi, je préfère cette analyse : http://www.lemonde.fr/education/article/2014/12/05/les-elections-chez-les-enseignants-montrent-une-mobilisation-de-l-electorat-de-droite_4535733_1473685.html
Paul Getty Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 En tout cas (d'après le Mammouth déchainé), les IEN et les chefs d'établissement du secondaire auraient voté à 85%. Eux sont bien au courant des rouages de l'administration et de l'importance de se choisir des représentants qui défendront leurs intérêts particuliers (qui ne sont pas les notres, à mon avis, mais c'est une autre histoire). 1
leene Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 Dans la société, il y a de plus en plus de réactionnaires. Si la question des rythmes était la seule qui puisse expliquer les résultats des élections professionnelles, expliquez donc pourquoi : - l'UNSA progresse au CT ? - La CGT et SUD reculent ? certes la CGT accuse un léger recul au niveau national (mais conserve son siège au CTM) mais dans beaucoup de départements elle avance .... surtout chez les PE (j'ai pas les résultats comparatifs de tous les départements non plus mais ceux que j'ai ça donne ça!)
Goëllette Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 J'ai parcouru un peu les divers résultats. C'est curieux de voir qu'il y avait des votes avec moins de 100 électeurs et même certains avec une seule liste.
Zarko Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 Quant à moi, je préfère cette analyse : http://www.lemonde.fr/education/article/2014/12/05/les-elections-chez-les-enseignants-montrent-une-mobilisation-de-l-electorat-de-droite_4535733_1473685.html Bah, c'est un type de la FSU qui donne son avis...Puis je ne crois pas qu'il n'y a que la droite pour contester le PS qui ne fait d'ailleurs pas une politique de gauche...Je me demande si la FSU appellera à voter Sarkozy contre Le Pen en 2017...
jeanounette Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 Quant à moi, je préfère cette analyse : http://www.lemonde.fr/education/article/2014/12/05/les-elections-chez-les-enseignants-montrent-une-mobilisation-de-l-electorat-de-droite_4535733_1473685.html Je me suis fait cette réflexion et je me suis dit :"Qui a investi au maximum les forums , réseaux sociaux et twitter ? Réponse : FO , UNSA et SNALC ... Je vais prochainement dire ça à mon syndicat (il va falloir vivre avec son temps !) En terme de voix Sud éducation n'a rien perdu , mais comme il y a eu plus de votants du coup le pourcentage baisse de 0,55 . On ne progresse pas épicétou ! http://www.sudeducation.org/Resultats-du-vote-au-Comite.html mince j'ai pas mis le bon commentaire en citation , désolée
jeanounette Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 En tout cas (d'après le Mammouth déchainé), les IEN et les chefs d'établissement du secondaire auraient voté à 85%. Eux sont bien au courant des rouages de l'administration et de l'importance de se choisir des représentants qui défendront leurs intérêts particuliers (qui ne sont pas les notres, à mon avis, mais c'est une autre histoire). Hé oui ! C'est pas tout l'monde qui dort ! :-(
nola Posté(e) 7 décembre 2014 Posté(e) 7 décembre 2014 En tout cas (d'après le Mammouth déchainé), les IEN et les chefs d'établissement du secondaire auraient voté à 85%. Eux sont bien au courant des rouages de l'administration et de l'importance de se choisir des représentants qui défendront leurs intérêts particuliers (qui ne sont pas les notres, à mon avis, mais c'est une autre histoire). Hé oui ! C'est pas tout l'monde qui dort ! :-( Coïncidence amusante: France 2 passe un reportage édifiant sur les super directeurs anglais payés 10 000 euros par mois et qui peuvent licencier leurs profs. Le rêve, non?
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