Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

Je l'ai changé en mettant un seul L car ça parait plus logique. Je verifierai une fois que ma mère m'aura rendu l'original. Je ne vais pas lui parler de photo par mms... Je vais la perdre ! :D

Posté(e)

A croire qu'il y a eu des couvertures avec erreur d'impression et d'autres non ?

Posté(e)
il y a 2 minutes, doubleR a dit :

A croire qu'il y a eu des couvertures avec erreur d'impression et d'autres non ?

Il s'agit peut-être de la couverture des épreuves non corrigées ? J'ai eu ça début décembre et il y avait pas mal de coquilles dans le livre et la couverture était provisoire.

Posté(e)

J'ai commencé Jukebox motel de Tom Graffin hier soir.

 

1967. Dans un bar de Los Angeles, Johnny Cash livre ses états d'âme à un inconnu. Le chanteur, pourtant au sommet de sa gloire, dit ne plus se reconnaître et rêver d'un endroit tranquille où il pourrait oublier « tout ce cirque ».
En face, l'inconnu se nomme Thomas James Shaper, jeune peintre underground qui vient de faire fortune et voit dans sa rencontre avec Cash le signe qu'il attendait.
Comme lui, il s'est éloigné de ses racines. Comme lui, il sent que le monde bascule dans un vaste cirque. Alors, autant se mettre immédiatement en quête de ce « diable d'endroit ». Peut-être pourra-t-il y retrouver lui aussi l'homme qu'il était ?

J'ai aussi lu Meurtres au manoir de Willa Marsh et je n'ai pas trop accroché...en plus meurtres est au pluriel alors qu'il n'y en a qu'un seul et en toute fin de roman...ou alors je n'ai rien pigé à l'histoire mdr !!!!!!

Clarissa s'ennuie à Londres et sa vie sentimentale est une catastrophe. Jusqu’au jour où elle rencontre Thomas, un jeune veuf, héritier d'un délicieux manoir Tudor. Le mari idéal, ou presque : il habite avec ses deux vieilles tantes, Olwen et Gwyneth. Elles ont l'air plutôt inoffensives, avec leur jupe en laine et leurs croquenots... Qui oserait soupçonner ces deux adorables vieilles chouettes de manigances diaboliques ?

Posté(e)
il y a une heure, Keltia a dit :

Je viens de terminer Parce qu'elle m'aime de Mark Edward, j'ai bien aimé ! Très très prenant... J'avais beaucoup aimé aussi :D 

J'ai laissé tomber le dernier Legardinier, Le premier miracle. Tu n'as pas aimé ? Je l'ai dans ma liseuse :) 

Et j'ai commencé La fille dans le rétroviseur de Lindwood Barclay. Je l'ai aussi dans ma liseuse ;) 

 

Posté(e)

Je suis entrain de lire Rever et j'adore, et finalement je me demande si je ne préfère pas les one shot de Thilliez, j'avais vraiment aimé La mémoire fantôme

Posté(e)

Je viens de terminer 30 ans, 10 ans de thérapie, qui n'a rien à voir avec une torture de cerveau. L'auteur est chroniqueuse sur France Inter et dans Grazia et a un style qui décape niveau humour et auto dérision. Mais qu'est ce qu'elle râle ! Avec humour, soit, mais quand même ! A lire par petites touches si on ne veut pas être saoulé car c'est dommage, le fond est très bon.

Posté(e)

J'ai terminé la perle et la coquille, très beau livre, que je conseille... Même si  la condition des femmes est pire que ce que j'imaginais...

Terminé aussi ma part de Gaulois

Printemps 1981, dans une cité d'un "quartier" de Toulouse, un rebeu atypique qui s'idéalise en poète de la racaille escalade une montagne nommée "baccalauréat" : du jamais vu chez les Sarrasins. Sur la ligne incertaine et dangereuse d'une insaisissable identité, le parolier-chanteur de Zebda raconte une adolescence entre chausse-trape et croc en jambes, dans une autofiction pleine d'énergie et de gravité, d'amertume ou de colère, de jubilation et d'autodérision.

Je suis bien rentré dans le livre, puis je me suis lassée... J'ai lu un peu en diagonale... Je ne me reconnais pas dans les avis élogieux lus sur amazon...

 

Je commence crépuscules du tourment

De nos jours, quelque part en Afrique subsaharienne, au Cameroun peut-être, quatre femmes s’adressent successivement au même homme : sa mère, la femme à laquelle il a tourné le dos parce qu’il l’aimait trop et mal, celle qui partage sa vie parce qu’il n’en est pas épris, sa sœur enfin.
À celui qui ne les entend pas, toutes dévoilent leur vie intime, relatant parfois les mêmes épisodes d’un point de vue différent. Chacune fait entendre un phrasé particulier, une culture et une sensibilité propres. Elles ont en commun, néanmoins, une blessure secrète : une ascendance inavouable, un tourment identitaire reçu en héritage, une difficulté à habiter leur féminité… Les épiphanies de la sexualité côtoient, dans leurs récits, des propos sur la grande histoire qui, sans cesse, se glisse dans la petite.
D’une magnifique sensualité, ce roman choral, porté par une langue sculptée en orfèvre, restitue un monde d’autant plus mystérieux qu’il nous est étranger… et d’autant plus familier qu’il est universel.

 

Posté(e)

J'ai lu "Vacances d'un serial-killer" de Nadine Monfils, conseillé par @Keltia. J'ai bien aimé, malgré la haute invraisemblance de l'histoire et des personnages. 

J'ai lu "La conquête de Plassans" de Zola, j'ai vraiment beaucoup aimé.

Et là je lis "Aux portes de l'éternité" de Ken Follet , c'est le dernier tome de la trilogie "Le siècle", c'est un très très bon livre.

Posté(e)
Il y a 4 heures, poucinette36 a dit :

Terminé aussi ma part de Gaulois

Je suis bien rentré dans le livre, puis je me suis lassée... J'ai lu un peu en diagonale... Je ne me reconnais pas dans les avis élogieux lus sur amazon...

Je l'ai commencé, je suis arrivée à la moitié... et j'ai arrêté avant-hier. Pourtant, je n'aime pas ne pas terminer un livre.

Moi aussi, j'avais lu de bonnes critiques, il était en course pour le Goncourt... En plus, il se passe à Toulouse, à peu près à la même époque où j'y suis arrivée. Je pensais que j'allais aimer. Je suis "rassurée" de voir ton avis, je ne suis pas la seule. J'ai trouvé que ça "tournait en boucle" :(

Posté(e)
il y a 33 minutes, Tide a dit :

 

Je dévore Checkpoint de Ruffin

Je l'ai dans ma liseuse... Ma prochaine lecture sûrement. :)

Posté(e)

J'ai été déçue par la lecture de En douce de Marin Ledun:

Sud de la France. Un homme est enfermé dans un hangar isolé. Après l'avoir séduit, sa geôlière, Emilie, lui tire une balle à bout portant. Il peut hurler, elle vit dans son chenil, au milieu de nulle part. Elle lui apprend que cinq ans plus tôt, alors jeune infirmière, elle a été victime d'un chauffard. L'accident lui a coûté une jambe. Le destin s'acharne. La colère d'Emilie devient aussi puissante que sa soif de vengeance. En douce est un roman dévastateur, où l'injustice se heurte à la force de vie d'une héroïne lumineuse.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...