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Posté(e)
Il y a 2 heures, MissTiQ a dit :

J'ai fini De tes nouvelles d'Agnès Ledig : j'ai trouvé ça un peu rapide, bâclé ... :idontno: Préréré le 1er :) Après ça se lit vite, pas sûre d'en garder un souvenir précis et particulier mais lecture sympa :) 

 

Bon je le lirai pas alors enfin pas de suite :D 

J'ai pas trouvé le premier terrible :closedeyes: 

Posté(e)
Le 22/04/2017 à 21:29, Lolita a dit :

Et enfin,
Le premier miracle de Legardinier : ceux qui me suivent depuis un certain temps savent que je suis fan ! ;-) Rien à voir avec les Complètement cramé, Demain j'arrête, etc... mais toujours beaucoup d'humour. Au départ, je me demandais comment avec un tel thème (certaines critiques le comparaient un peu à du Da Vinci Code), j'allais bien pouvoir retrouver le Legardinier que j'aime ! Et pourtant ! Je me suis régalée. Du suspens, des aventures, un peu d'ésotérisme, une enquête... et toujours cet humour qui me fait du bien !

En pleine lecture de celui-ci. Il me reste moins de 15%.

Comme toi, assez décontenancée par rapport aux autres bouquins écrits par l'auteur, je ne m'attendais pas à ce "changement". En effet, ça fait penser quelque part à du "Da Vinci Code" mais en plus plaisant du fait de la présence de cet humour, de ces réparties bien senties. Je me laisse porter. L'auteur ne s'est pas perdu en s'attaquant à un autre genre. Bravo Legardinier.

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Je commence tout juste, derrière les portes :smile:

Posté(e)
Le ‎25‎/‎04‎/‎2017 à 20:54, Marglou a dit :

Je termine ARRÊTEZ MOI de Lisa Gardner.  J ai bien aimé .. 

Quelqu un a lu le dernier d Agnès Martin Lugand ? Des avis ?

J'ai toujours cette musique dans la tête?

je l'ai lu la semaine passée

je dois dire qsue je suis mitigé

trèèèèèès lent au début mais ca s'accélère d'un coup et on est pris dedans... dommage que ce soit au 3/4 du livre

lu en une journée

Posté(e)

Petite question : vous préférez lire au passé ou au présent ? (pour les romans)

Posté(e)

Sans hésitation, je dirais au passé. Les narrations au présent me donnent souvent un a priori de "bas de gamme", comme les petites romances (et pourtant, j'en lis plein! ;)). Quand c'est au passé, cela me donne l'impression d'un récit mûri par le narrateur, qui a pris du recul sur la situation narrée. Je ne sais pas si je suis très claire...

Posté(e)
il y a une heure, sophsoph a dit :

Sans hésitation, je dirais au passé. Les narrations au présent me donnent souvent un a priori de "bas de gamme", comme les petites romances (et pourtant, j'en lis plein! ;)). Quand c'est au passé, cela me donne l'impression d'un récit mûri par le narrateur, qui a pris du recul sur la situation narrée. Je ne sais pas si je suis très claire...

Si je comprends bien :) merci pour ton avis !

Posté(e)

S'il y a d'autres avis je prends :) 

Posté(e)

J'ai terminé hier Le tour du monde en 80 jours sans un centime.
Ça redonne foi en l'humanité ! :) Quel pari fou tout de même !

Posté(e)

audad et chacha si vous avez ces livres en epub ça m'interesse :smile:

Posté(e)

"Bon rétablissement". Une impression de déjà vu ou lu, au fur et à mesure de ma lecture... Peut être aurais-je vu le film? Lu le livre? Mais aucune certitude! :idontno:

Sauvé d'une chute dans la Seine, un homme un peu ours et misanthrope de 67 ans, se retrouve immobilisé dans un lit d'hôpital pendant un mois et demi. Cela lui donne le temps de revisiter sa vie, avec ses bons et mauvais côtés, et surtout de rencontrer des personnes inattendues, lui qui n'attendait plus beaucoup de surprises dans sa vie. Après ses deux précédents romans, Vivement l'avenir (2010) et son grand succès, La tête en friche (2009), adapté au cinéma par Jean Becker, Marie-Sabine Roger poursuit dans sa veine humaniste et souvent drôle sa galerie de portraits hauts en couleur

 

Comment Wang Fô fut sauvé. de Yourcenar.

Un vieux peintre chinois très pauvre du nom de Wang-Fô a un pouvoir magique qui se manifeste dans ses tableaux. S'il peint un cheval, il doit le peindre attaché à un piquet, sans quoi le cheval s'échappe du tableau. Un jour, l'Empereur le convoque en son palais pour le menacer, lui, le vieux maître qu'il admire tant, d'un terrible châtiment.

 

Je commence la nuit du feu d'Eric Emmanuel Schmitt

Je suis né deux fois, une fois à Lyon en 1960, une fois dans le Sahara en 1989. »
Une nuit peut changer une vie.
À vingt-huit ans, Éric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée à pied dans le Sahara en 1989. Parti athée, il en reviendra croyant, dix jours plus tard.
Loin de ses repères, il découvre une vie réduite à la simplicité, noue des liens avec les Touareg. Mais il va se perdre dans les immenses étendues du Hoggar pendant une trentaine d heures, sans rien à boire ou à manger, ignorant où il est et si on le retrouvera. Cette nuit-là, sous les étoiles si proches, alors qu il s attend à frissonner d angoisse, une force immense fond sur lui, le rassure, l éclaire et le conseille.
Cette nuit de feu ainsi que Pascal nommait sa nuit mystique va le changer à jamais. Qu est-il arrivé ? Qu a-t-il entendu ? Que faire d une irruption aussi brutale et surprenante quand on est un philosophe formé à l agnosticisme ?

 

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