Misca Posté(e) 28 février Posté(e) 28 février Je m'auto-réponds... On est dans le même groupe, mais je ne connaissais pas ce profil de toi... C'est en voyant ton avatar que je t'ai reconnue... 1
Byza31 Posté(e) 28 février Posté(e) 28 février il y a 7 minutes, Misca a dit : Tu t'es inscrite dans quels groupes ? Je suis dans Defi lecture 2025, qui a 100 catégories également... J'y suis aussi ! J'ai vu ton passage de palier ! Je suis aussi sur "Challenge lecture - Mademoiselle Farfalle" et sur "Dégomme ta PAL". 1
Byza31 Posté(e) 28 février Posté(e) 28 février il y a une heure, Sakura73 a dit : Je fais des challenges lecture mais sur Insta. Ah je ne savais pas qu'il y en avait aussi ! Ça s'appelle comment ?
marie1725 Posté(e) 1 mars Posté(e) 1 mars @severuspomfresh Je l'ai lu récemment, j'ai beaucoup aimé. Question bête : en quoi consistent les challenges dont vous parlez ?
marie1725 Posté(e) 1 mars Posté(e) 1 mars En ce moment, je lis Le voile de Téhéran de Parinoush Saniee Massoumeh, seize ans, n'a qu'un désir : poursuivre ses études. Un rêve accessible aux filles depuis que le shah a modernisé l'Iran. Mais quand ses frères découvrent qu'elle vit une histoire d'amour, très innocente, avec un voisin, ils la marient à un homme qu'elle ne connaît pas et n'a même jamais vu. D'abord désespérée, Massoumeh se rebelle et prend son existence en main. Parinoush Saniee, sociologue et psychologue, vit à Téhéran. Dans ce roman autobiographique qui a reçu un accueil enthousiaste de la part de millions de lecteurs et lectrices, se reflète l’histoire de tout un pays tiraillé entre tradition et modernité. 1
garba Posté(e) 1 mars Posté(e) 1 mars Je suis en train de terminer plus que péniblement La formule de Dieu de JR Dos Santos.... Punaise qu'est-ce que je trouve ça ennuyeux! Ce sera le dernier "Tomas Noronha" pour moi. Le 1er ne m'avait pas enthousiasmée mais était pas mal passé. Je n'y trouve aucun intérêt, il n'y a aucune histoire, juste du verbiage scientifique et religieux. J'ai voulu aller au bout parce que j'avais toujours l'espoir que ça bouge, mais non 😅
BrunoXXX Posté(e) 2 mars Posté(e) 2 mars https://www.babelio.com/livres/Waites-Ne-sous-les-coups/503096 Un excellent polar social qui se passe dans une ville fictive des alentours de Newcastle et qui a pour cadre la grève des mineurs pendant et vingt ans après. Très bon, et dur à lâcher ! Au-delà de l'histoire qu'il raconte, l'auteur montre bien que la victoire du gouvernement Tatcher a été un tournant à partir duquel les néo-libéraux se sont complètement déchaînés. Difficile de ne pas songer à l'anéantissement du mouvement des Gilets Jaunes, avec d'ailleurs les mêmes méthodes : désinformation et violences policières.
BrunoXXX Posté(e) 2 mars Posté(e) 2 mars Le 17/02/2025 à 19:04, Mirobolande a dit : Poil de Carotte de Jules Renard. Un classique qui vaut d'être lu. Beaucoup de mal avec ce bouquin. Une série de tableaux, d'histoires très courtes... Je n'ai pas réussi à aller au bout. Dans le même genre, je préfère mille fois "vipère au poing" !
Eren Jäger Posté(e) 2 mars Posté(e) 2 mars il y a 10 minutes, BrunoXXX a dit : Beaucoup de mal avec ce bouquin. Une série de tableaux, d'histoires très courtes... Moi j'aime beaucoup. Je le fais tous les trois ans avec les élèves. On en fait du théâtre (c'en est déjà à moitié) et ça a toujours beaucoup de succès. Ca les touche parce que les chutes sont très violentes, ont beaucoup d'impact et les sentiments ne sont pas explicités, tout est vu du point de vue de l'enfant qui ne peut que subir avec son innocence. Vipère au poing, c'est différent... Je suis en milieu rural et la vie paysanne d'antan décrite dans Poil de Carottes leur parle énormément, comme dans Les Contes du chat perché, un autre classique que je leur ressors régulièrement. 2 1
severuspomfresh Posté(e) 3 mars Posté(e) 3 mars J'ai relu un roman qui m'avait marquée ado La Cicatrice de Bruce Lowery, je me souviens avoir fini en pleurs. « J'étais, sans le savoir, un enfant heureux, relativement heureux, il est vrai. Mais ce n'était qu'une impression d'ensemble. Car ma vie, même alors, ne manquait pas de petits malheurs auxquels je n'arrivais pas à m'habituer. Il faut remonter à novembre 1944. J'avais treize ans. » Jeff porte sur la lèvre un petit bec-de-lièvre que tout le monde nomme la "cicatrice". Une infirmité dont il ne connaît pas la cause et qui lui vaut moqueries et méchancetés de toutes sortes. Parce qu'il ne sait s'en défendre, il intériorise toute cette douleur, toutes ces blessures morales répétées. A cet âge si sensible, s'enfermant peu à peu, il souffre et fait souffrir ceux qui l'aiment sans réserve... Ce roman nous présente le drame bouleversant de cet enfant, différent des autres et rejeté par eux. Plus il cherche à sortir de sa solitude, plus il s'y enfonce, car le monde de l'enfance est aussi celui de la cruauté, inconsciente mais féroce. Je viens de commencer le deuxième volume de la série Les années glorieuses de Pierre Lemaitre Le silence et la colère. J'ai plaisir à retrouver la famille Pelletier. Apres l'immense succès du Grand Monde Un ogre de béton, une vilaine chute dans l’escalier, le Salon des arts ménagers, une grossesse problématique, la miraculée du Charleville-Paris, la propreté des Françaises, « Savons du Levant, Savons des Gagnants », les lapins du laboratoire Delaveau, vingt mille francs de la main à la main, une affaire judiciaire relancée, la mort d’un village, le mystérieux professeur Keller, un boxeur amoureux, les nécessités du progrès, le chat Joseph, l’inexorable montée des eaux, une vendeuse aux yeux gris, la confession de l’ingénieur Destouches, un accident de voiture. Et trois histoires d’amour.
doubleR Posté(e) 3 mars Posté(e) 3 mars Je l'ai lu à l'adolescence, j'avais pleuré aussi, tout comme Mon bel oranger. 2
joelafrite Posté(e) 4 mars Posté(e) 4 mars Un très beau livre : Mémoires sauvées de l'eau par Nina Léger. Un roman doux-amer, documenté et passionnant. Présentation de l'éditeur : En 1848, on découvre de l’or dans la Feather River, en Californie du Nord. Une ville naît, baptisée Oroville ; la ruée vers l’or commence. En 2020, Thea, géologue venue à Oroville pour travailler en aval du gigantesque barrage désormais construit sur la Feather River, doit fuir devant l’avancée des méga-feux. Alors qu’un monde vacille, la violence de son histoire resurgit. Entourée de femmes aimées, Thea tente de remonter le fil des dévastations issues de la ruée vers l’or. Porté par la langue puissante et tendre de Nina Leger, le chant ancien de la rivière se mêle aux voix d’un présent bouleversé pour faire entendre l’épopée d’une civilisation qui s’est construite en détruisant, au point de préparer sa propre ruine.
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