Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)
il y a 2 minutes, abel27 a dit :

Je vois que le PE de base est écarté de l'équation.

jusqu'à maintenant les syndicats sont les représentants de tous les enseignants....

Des enseignants de mon école disent clairement qu'ils aimeraient bien que le directeur puisse trancher plus facilement au lieu de pédaler dans la semoule.

Posté(e)
il y a 1 minute, montagny a dit :

jusqu'à maintenant les syndicats sont les représentants de tous les enseignants....

Des enseignants de mon école disent clairement qu'ils aimeraient bien que le directeur puisse trancher plus facilement au lieu de pédaler dans la semoule.

On en revient toujours à un sujet déjà abordé. Si les iens faisaient leur boulot au lieu de se retrancher derrière leur "surtout pas de vague", les directeurs auraient moins besoin de pédaler dans la semoule.

Parce que je pense que la majorité des collègues n'a pas besoin d'un supérieur hiérarchique. Ce serait pour les quelques uns qui posent problème sauf que normalement, c'est le boulot de l'ien.

Posté(e)

tout à fait d'accord mais quand ton IEN est à 30 km et qu'il met les pieds 3 fois par an dans ton école comment fait-on?

Plus d'IEN, plus de délégations d'autorité au directeur ?

On demande de plus en plus aux IEN de veiller au régalien et aux directeurs de gérer le quotidien et donc il faut une boîte à outils pour le directeur.

Posté(e)
il y a 20 minutes, montagny a dit :

à partir du moment où les fonctions et les responsabilités ne sont pas les mêmes, ce statut commun est caduque et non efficient.

de toute manière il semble que le train est déjà bien en marche d'après le retour des IEN, des CPC dont l'association nationale a évoqué le sujet, les maires et les syndicats (plusieurs d'entre eux mettent la création d'un établissement public du 1er degré dans leur projet syndical)

Et c'est effrayant de voir qui appelle cette mesure de ses veux. Se dire que les écoles deviendront des enclaves dirigées par des potentiels sous-chefs...et en campagne, des réseaux d'écoles administrées par un dirlo à 10 pour cent...c'est navrant, et je voterai toujours contre.

  • J'adhère 1
Posté(e)
il y a 41 minutes, montagny a dit :

tout à fait d'accord mais quand ton IEN est à 30 km et qu'il met les pieds 3 fois par an dans ton école comment fait-on?

Plus d'IEN, plus de délégations d'autorité au directeur ?

On demande de plus en plus aux IEN de veiller au régalien et aux directeurs de gérer le quotidien et donc il faut une boîte à outils pour le directeur.

Enfin, quand on a plusieurs directeurs qui alertent sur le dysfonctionnement d'un enseignant, que l'ien est parfaitement au courant et ne fait rien... ?

On ne va pas me faire croire que les iens ne sont pas au courant, la plupart de mes directeurs ont fait leur boulot. Sauf que derrière, les iens n'ont pas fait le leur.

Et je parle là de cas graves de maltraitance ou de négligence, en tant que tr, j'arrive parfois après et je ramasse les pots cassés (gamins et collègues) et la plupart du temps, les iens étaient au courant mais ne faisaient rien.

Posté(e)
Le 02/02/2017 à 14:23, papillon2704 a dit :

Et c'est effrayant de voir qui appelle cette mesure de ses veux. Se dire que les écoles deviendront des enclaves dirigées par des potentiels sous-chefs...et en campagne, des réseaux d'écoles administrées par un dirlo à 10 pour cent...c'est navrant, et je voterai toujours contre.

Le puzzle se met en place: d'abord les nouveaux rythmes qui ont surtout permis de marquer un grand coup dans le concept de "territorialisation" de l'école publique Républicaine, avec le PEDT. Ensuite la modification de nos ORS (décret paru en juin 2016 mais non publié à jour...), maintenant cette nouvelle évaluation, avec un livret de compétences enseignant encore plus infantilisant avec des items qui renvoient directement à notre capacité de collaboration avec les municipalités. Et on entrevoit le futur proche, dont le terrain est préparé par le Sgen et l'Unsa: autonomie des établissements et directeur supérieur hiérarchique " L’institution doit tirer un trait définitif sur l’injonction, la consigne venue d’en haut, le cloisonnement, le contrôle tatillon ou encore la caporalisation... Place à l’innovation, à l’inventivité. La liberté pédagogique doit retrouver tout son sens. C’est sur la confiance envers les enseignants que se bâtira l’avenir. "Se unsa. Contrairement à cette vision bucolique, c'est souvent l'inverse qui se produira sur le terrain. Fini la liberté individuelle pédagogique, place au management horizontal où toute l'équipe sera tenue de mettre en place les mêmes méthodes péda et didactiques, où le vilain "petit canard" qui utilisera encore le Bled ou mettra des notes subira la pression douce de ces chers collègues et du directeur qui finira par trancher.

La priorité pour faire progresser nos élèves elle est triple (et même l'OCDE pourtant très libérale met avant ces consignes):

-Retrouver une qualité dans la formation initiale et continue perdue depuis des décennies!

-Réduire significativement le nombre d'élèves dans les classes.

-Augmenter vraiment, de manière importante la rémunération des enseignants pour en faire un métier attrayant.

Mais voilà l'aspect "humain" est bien peu de chose face au pouvoir de l'argent qui préfère museler et pressuriser les équipes.

 

 

 

Posté(e)
Il y a 1 heure, nonau a dit :

Le puzzle se met en place: d'abord les nouveaux rythmes qui ont surtout permis de marquer un grand coup dans le concept de "territorialisation" de l'école publique Républicaine, avec le PEDT. Ensuite la modification de nos ORS (décret paru en juin 2016 mais non publié à jour...), maintenant cette nouvelle évaluation, avec un livret de compétences enseignant encore plus infantilisant avec des items qui renvoient directement à notre capacité de collaboration avec les municipalités. Et on entrevoit le futur proche, dont le terrain est préparé par le Sgen et l'Unsa: autonomie des établissements et directeur supérieur hiérarchique " L’institution doit tirer un trait définitif sur l’injonction, la consigne venue d’en haut, le cloisonnement, le contrôle tatillon ou encore la caporalisation... Place à l’innovation, à l’inventivité. La liberté pédagogique doit retrouver tout son sens. C’est sur la confiance envers les enseignants que se bâtira l’avenir. "Se unsa. Contrairement à cette vision bucolique, c'est souvent l'inverse qui se produira sur le terrain. Fini la liberté individuelle pédagogique, place au management horizontal où toute l'équipe sera tenue de mettre en place les mêmes méthodes péda et didactiques, où le vilain "petit canard" qui utilisera encore le Bled ou mettra des notes subira la pression douce de ces chers collègues et du directeur qui finira par trancher.

La priorité pour faire progresser nos élèves elle est triple (et même l'OCDE pourtant très libérale met avant ces consignes):

-Retrouver une qualité dans la formation initiale et continue perdue depuis des décennies!

-Réduire significativement le nombre d'élèves dans les classes.

-Augmenter vraiment, de manière importante la rémunération des enseignants pour en faire un métier attrayant.

Mais voilà l'aspect "humain" est bien peu de chose face au pouvoir de l'argent qui préfère museler et pressuriser les équipes.

 

 

 

Je suis d'accord, mais je trouve l'exemple du bled ou des notes particulièrement mal choisi. Dans le contexte, ça affaiblit considérablement ta démonstration et ça donne des arguments à tes adversaires. 

Dommage 

Posté(e)

Pourquoi ? en quoi c'est horrible d'utiliser des livres d'exercices et de systématiser ?

Posté(e)

Tout l'art du pédagogue est de savoir jongler entre différentes méthodes...

Posté(e)
Le 01/02/2017 à 21:29, abel27 a dit :

Sauf si tu as un ien qui décide que le pdmqdc doit uniquement intervenir en co-intervention. Alors je sais bien qu'on peut toujours faire ce qu'on veut mais bon, il n'y en a pas tant que ça des collègues qui vont à l'encontre de l'ien (et quand le pdmqdc est femme d'inspecteur, c'est encore moins le cas). Quand à prendre sur les heures d'apc la réunionnite...

Et tes collègues ne préfèreraient pas avoir 19 élèves au lieu d'un maître supp ?

La plupart préférerait, d'autant que l'existence du maître supp accroit la nécessité de réunionite, ce qui ne va pas s'arranger si les enseignants de clis ou ceux qui s'occupent des enfants allophones balancent leurs élèves dans les classes et que leur rôle se résume à te donner des conseils pour te débrouiller ou même à te donner des leçons sur ta façon de fonctionner.

Même un ou deux élèves de moins par classe est préférable à des allers-venues d'élèves et de maîtres quotidiens qui en plus amputent le temps d'enseignement pour les élèves.

  • J'adhère 1
  • 4 semaines plus tard...

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...