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Posté(e)

Oui c'est très habituel ce comportement, dans bien des domaines. D'ailleurs il n'y a qu'à refaire le parcours de 2008, de revoir les commentaires des parents indignés par les grèves et de retrouver les mêmes pour râler contre les fermetures de classes après la suppression de postes contre laquelle on manifestait. Mais du moment que ce n'est pas leur école, leur enfant...

Posté(e)
Il y a 4 heures, PommeD'Api a dit :

Bon, plus je lis les syndiqués de FO, plus j'ai envie d'aller m'y syndiquer aussi. J'ai déjà voté pour eux aux élections professionnelles, mais le constat est que je reste très souvent d'accord avec leur positionnement :)

Bon, ça, au moins, ça remonte mon moral!! :wub:

Posté(e)
il y a 34 minutes, mayre a dit :

Bon, ça, au moins, ça remonte mon moral!! :wub:

Je t'en prie :)

Posté(e)

Et y aurait-il quelque part un comparatif des différents syndicats de ce point de vue ? Car moi j'avoue voter en fonction des collègues que je connais, pas forcément du syndicat...

Posté(e)

De quel point de vue?

Parce que sinon, je peux remettre le lien du post (mais ancien, maintenant, parce que, hein, ça m'avait pris du temps, et je n'en ai plus pour recommencer!)

Posté(e)
Il y a 12 heures, mayre a dit :

Il faudrait y rajouter tous les autres décrets ou votes en CSE depuis (modification de nos ORS; modification de l'évaluation...tous ce dont Châtel et Sarko avaient rêvé ils l'ont fait...).

Une pensée philosophique en cette matinée pourrie...:

https://unphilosophe.com/2017/01/09/lecole-des-savoirs-contre-lecole-de-lignorance/

"Le mépris des enseignants ne reflète que le mépris du savoir lui-même. L’école est le lieu de la transmission du savoir et, éventuellement, de l’éducation à la vertu citoyenne : tel était l’idéal de l’école républicaine dans sa formulation la plus universelle et la plus honnête. L’école n’avait pas pour fonction de « massifier » le savoir aristocratique et bourgeois, mais de le « démocratiser », ce qui n’est pas du tout la même chose. "....

"nos dirigeants (et je rajouterai certains syndicats...) ont décidé d’accompagner et voire d’accentuer, car il faut poser leur responsabilité bien plus grande que la nôtre, la crise de la culture, et leur réponse à la crise de l’école est d’adapter l’école au dérèglement de la société : dans l’absence de volonté de changer la société, ils préfèrent transformer l’école et la modeler sur le modèle de la société, alors même que la véritable solution résiderait dans un renouveau des valeurs républicaines. L’école va imiter l’inculture dominante.

Le mépris du savoir est la règle, en tant que le savoir ne se mesure qu’à son utilité. Il n’est plus qu’un instrument. Si le savoir n’est pas utile, s’il n’est pas le moyen de parvenir à un enrichissement économique immédiat, il n’est rien, il est une perte de temps. "

Posté(e)

Oui, il faudrait... Il y a 2 ans, j'ai eu le temps. Là, je ne l'ai pas. Je t'en prie, c'est possible d'ajouter.

 

Posté(e)

On peut simplifier. Les votes en CTM sur les dernières grandes réformes qui ont un gros impact : réforme du lycée Chatel, réforme des rythmes, réforme du collège. Déjà avec ça on a une idée...

Posté(e)
il y a 40 minutes, nenuphar a dit :

C'est en réalité très culturel. Cette idéologie est la règle dans les pays anglo-saxons sans choquer et sans qu'on n'y parle de mépris du savoir. 

J'aimerai savoir si à YALE ou Harvard le savoir est méprisé? Et puis à force d'engendrer des écervelés ils se retrouvent avec Trump, au pouvoir par défaut...Voilà ce qui nous attend  si on continue dans cette même voie...

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