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Pour qui voterez-vous aux présidentielles?


soso

Pour qui voterez vous lors des présidentielles?  

585 membres ont voté

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il y a 10 minutes, panette a dit :

10 fois macron 100 fois même par rapport à le pen.....Donc aucune hésitation pour le second tour

+ 1 000 ça n a quand même rien à voir!!Je pense que ceux qui n iront pas voter pourraient le regretter si jamais elle passait..

Je suis désolée de voir Mlp au second tour,c est grave :(

Mais pour ma part je pense que Macron peut proposer quelque chose de nouveau.Il faut arrêter de le ramener tout le temps à la banque !Il a quand même plein de propositions qui tiennent la route,qui sont faisables et qui ne mettront pas tout le monde dans la m**

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Je n'ai pas du comprendre suffisamment son discours, alors. Parce que je ne vois pas bien quelles sont ces propositions intéressantes dont tu parles.

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Grosse déception, et en même temps je me dis qu'il reste un petit espoir.

Je ne peux pas croire que le choix qu'on nous donne sera ce non-choix.

Comment les gens ont-ils pu oublié ce que Macron a fait au gouvernement durant 4 ans ? Comment ont-ils pu oublier qu'il n'a pas démissionné car il était en désaccord avec ce gouvernement, mais pour lancer son mouvement ? Comment peut-on penser qu'il a les bonnes solutions ?

J'espère que les législatives verront les candidats de la France Insoumise l'emporter, ils ont d'ors et déjà ma voix !

Et pour le prochain tour, je crois que j'irai à la plage ou au cinéma !

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il y a 12 minutes, panette a dit :

10 fois macron 100 fois même par rapport à le pen.....Donc aucune hésitation pour le second tour

+1

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il y a 1 minute, Sofie450 a dit :

Ce sera vote blanc pour moi 

Moi aussi ... Je ne peux me résigner à donner ma voix à Macron. 

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J'ai gardé un bulletin Mélenchon que je glisserai dans mon enveloppe ....

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Quelle déception, :scratch:

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On ne peut quand même pas laisser le FN gouverner notre pays! Ce serait la catastrophe. J'irai voter Macron contre elle. Moi aussi je suis déçue, déçue du score du PS, déçue de ne pas voir Mélanchon au 2ème tour. J'hésitais entre les 2. Mais là, pas d'hésitation : pas de FN

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à l’instant, Jolimie a dit :

J'ai gardé un bulletin Mélenchon que je glisserai dans mon enveloppe ....

Oui, j'ai gardé celui que l'on a reçu chez nous et je le mettrai.

Mélenchon a bien progressé, c'est positif pour lui. Même si on espérait plus.

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Le programme de Marine Le Pen en cinq points

On s’attendait à voir son visage apparaître sur le coup de 20 heures. Il est apparu. Marine Le Pen au second tour, c’est en 2017 moins un «séisme» pour l’opinion que lorsque son père s’était incrusté, en 2002, dans la dernière ligne de la course présidentielle. Même si les commentateurs se sont accordés à dire qu’elle a réalisé une campagne discrète, et en dépit des affaires qui entourent la candidate, notamment sur des emplois présumés fictifs au Parlement européen. Côté programme, le pays pourrait radicalement changer si la cheffe de file de l’extrême droite l’emporte dans deux semaines. On fait le point.

1. Fermeture des frontières, sortie de l’UE… vers une France barricadée

«La submersion migratoire que nous subissons n’est pas un fantasme, c’est une réalité.» En meeting lundi dernier dans le XIXarrondissement de Paris, la candidate FN a tapé fort pour faire comprendre que sa France serait une France fermée. Au-delà de la volonté du FN de limiter le solde migratoire à 10 000 (il faudrait donc que 50 000 personnes quittent le territoire si 60 000 y entraient, par exemple), Marine Le Pen a annoncé une suspension de l’immigration légale pendant quelques semaines et que les réservistes de l’armée seraient appelés pour «rétablir les frontières immédiatement après on arrivée au pouvoir». Environ 50 000 militaires supplémentaires seraient en outre recrutés.

Dans un deuxième temps, la présidente du parti d’extrême droite souhaite organiser un référendum de sortie de l’Union européenne et de sortie de l’euro. Côté commerce international, au-delà de la sortie de l’euro, Marine Le Pen s’est dite défavorable au Ceta et propose l’instauration d’une taxe de 3% sur les produits importés, payée par les consommateurs (elle viendrait financer la baisse des cotisations qui devrait bénéficier tant aux entreprises qu’aux salariés).

2. Des changements dans l’exercice démocratique et l’organisation de l’Etat

Si Marine Le Pen est élue le 7 mai, et qu’elle applique bien son programme, l’organisation de l’Etat comme l’exercice démocratique seront transformés. Le FN prévoit de réorganiser l’administration du pays en trois «strates» : communes, départements, nation. La nouvelle carte des régions pourrait en être modifiée. Au niveau du Parlement, le nombre de représentants serait réduit et leur mode d’élection réformé, puisque la proportionnelle intégrale remplacerait le scrutin majoritaire pour l’élection des députés.

Ceux-ci seraient présentés sur des listes nationales et non plus locales, et leur indemnité représentative de frais de mandats comme leur réserve parlementaire, qui leur permet ainsi qu’aux sénateurs de financer à discrétion des projets présentés par des associations ou des communes par exemple, disparaîtraient. Un référendum d’initiative populaire, qui devrait être réclamé par 500 000 personnes et pourrait porter sur des sujets de société (ce que la Constitution ne permet actuellement pas), serait également mis en place.

3. Une société crispée : abrogation du mariage pour tous et inscription dans la Constitution de la préférence nationale

Côté sujets sociétaux, Marine Le Pen souhaite abroger la loi Taubira, qui légalise le mariage et l’adoption pour tous, même s’il faut s’attendre à ce que le Conseil constitutionnel censure cette abrogation. Elle ne souhaite pas engager le débat de la légalisation de l’euthanasie, ni celui de la légalisation ou dépénalisation du cannabis (elle est contre), mais laisse la porte ouverte au rétablissement de la peine de mort, pas formellement inscrit dans le programme mais rendu possible par son référendum d’initiative populaire. Elle souhaite également rétablir le service militaire et le port de l’uniforme à l’école.

Elle entend également réintroduire la préférence nationale, notamment en supprimant l’Aide médicale d’Etat (AME), qui permet à toute personne, en situation légale ou non sur le territoire, d’avoir accès à un minimum de soins médicaux, et en mettant en œuvre «une vraie politique nataliste réservée aux familles françaises» ou encore en rendant les Français prioritaires dans l’attribution des logements sociaux. Les étrangers en situation régulière pourraient également devoir attendre une période de carence avant d’être remboursés de leurs frais de santé ou de toucher des aides sociales, et ceux en situation irrégulière devoir payer pour l’éducation de leurs enfants. Cette priorité nationale serait d’ailleurs inscrite dans la Constitution. La double nationalité sera interdite et le droit du sol supprimé. Enfin, les entreprises qui souhaiteraient embaucher un travailleur étranger devraient payer une taxe supplémentaire à celle existant déjà.

4. Travail, retraites… Un retour à l’avant-Hollande et à l’avant-Sarkozy

C’est l’une des mesures bien connues – même si elle a fait débat au sein du parti – que propose Marine Le Pen : revenir sur la réforme des retraites de 2010, en autorisant la retraite à 60 ans après quarante années de cotisation. Au-delà de ce symbole du quinquennat de Sarkozy, la présidente du FN revient sur de nombreuses réformes opérées sous le mandat de Hollande : suppression du compte pénibilité, abrogation dans son ensemble de la loi travail…

5. International : de nouvelles alliances

Au-delà de la sortie de l’Union européenne, Marine Le Pen veut aussi voir la France sortir du commandement militaire de l’Otan. Son élection le 7 mai signerait un important virage dans les alliances internationales de la France : exit les amitiés à l’Ouest, place à un rapprochement vers l’Est. Sur le conflit syrien, la présidente du FN n’a condamné ni l’attaque chimique attribuée au régime ni le bombardement ordonné par Donald Trump, et voit en Bachar al-Assad «la solution viable» qui serait «bien plus rassurante pour la France que l’Etat islamique». Sur l’Afrique, elle souhaite comme à peu près tous les autres candidats mettre en place des politiques de développement, et, d’une manière générale, «renforcer les liens entre les peuples qui ont le français en partage». Enfin, Marine Le Pen n’a jamais caché sa proximité avec la Russie de Vladimir Poutine.

 

 

 

Le programme d’Emmanuel Macron en cinq points

Il n’avait, jusqu’ici, jamais été élu. Ce n’est pas encore fait, mais le leader d’En marche s’est rapproché ce soir d’un premier mandat – et pas n’importe lequel – en se qualifiant pour le deuxième tour de la présidentielle. S’il est élu le 7 mai prochain, Emmanuel Macron ne fera pas la révolution en France, contrairement à ce qu’annonçait le titre de l’ouvrage qui a lancé sa campagne, en novembre dernier. Au contraire, le pays devrait prendre un tournant libéral net – qu’il avait du reste engagé à Bercy avec sa loi Travail. On fait le point.

1. Economie : vers un tournant libéral

S’il est élu le 7 mai prochain, Emmanuel Macron poursuivra ce qu’il a entamé à Bercy, lorsqu’il était à la tête du ministère de l’Economie : faire prendre au pays un virage libéral soft. Il entend ainsi mener une politique fiscale favorable aux entreprises et aux personnes tirant des revenus de leur capital (même s’il se défend de privilégier la rente) : exonération de cotisations sociales sur les heures supplémentaires, baisse de l’impôt sur les sociétés, suppression de l’ISF (remplacé par un impôt sur le patrimoine immobilier uniquement)…

Les ménages moyens et modestes bénéficieraient en revanche d’une baisse des cotisations (et donc mécaniquement d’une augmentation du salaire net) pour les salaires proches du Smic, et de la suppression pour 80% d’entre eux de la taxe d’habitation. Au bénéfice des travailleurs, Emmanuel Macron entend également sanctionner l’abus de contrats à durée déterminée (CDD) et doubler la prime d’activité. Enfin, si la durée légale du temps de travail ou le Smic resteront définis par la loi, l’organisation du travail sera «définie par accord majoritaire ou par référendum d’entreprise sur la base d’un accord».

2. Europe : respecter les règles et renforcer l’Union

Contrairement à plusieurs de ses concurrents, comme Mélenchon ou Hamon, Emmanuel Macron n’a jamais remis en cause la règle européenne qui interdit aux pays membres d’avoir un déficit supérieur à 3% de leur PIB. Il entend donc la respecter. Le candidat d’En marche, qui a pris soin de faire apparaître des drapeaux européens à tous ses meetings, s’appuie sur l’Union européenne sur plusieurs sujets. Il souhaite par exemple mettre en place une garantie sur les prix pour les agriculteurs, dans le premier pilier de la Politique agricole commune (PAC).

Il entend également que soient organisées, dans chaque pays de l’Union européenne, des conventions citoyennes pour réinvestir le projet européen (reste à convaincre les 26 autres membres de les mettre en place…), et veut créer un Fonds européen de défense ainsi qu’un «poste de ministre de l’Economie et des Finances de la zone euro, qui aura la responsabilité du budget de la zone euro, sous le contrôle d’un Parlement de la zone euro, rassemblant les parlementaires européens des Etats membres».

3. Dépense publique, fonctionnaires… A la baisse

S’il poursuit le travail engagé sous Hollande dans plusieurs domaines, Emmanuel Macron s’inscrit aussi en rupture sur de nombreux points, comme le nombre de fonctionnaires (il veut en supprimer 120 000, et rétablir le jour de carence) et économiser 60 milliards d’euros de dépense publique. Sur ce dernier point, il entend rapprocher le pays de la moyenne de la zone euro en matière de poids de la dépense publique dans le budget de l’Etat.

4. Retraite, chômage, congé maternité… Tout le monde au même régime

C’est l’un des axes forts de la campagne présentée comme «ni de droite ni de gauche» d’Emmanuel Macron : tous les citoyens de ce pays seront désormais logés à la même enseigne. Les femmes pourraient ainsi bénéficier d’un congé maternité unique, indépendamment de leur statut (salariée, indépendante, etc.). Les régimes spéciaux de retraite seraient abolis, remplacé par un système «à la carte». Par ailleurs, l’assurance chômage, qui ne serait plus gérée en partenariat avec les syndicats, serait également accessible aux indépendants et aux démissionnaires, une fois tous les cinq ans. En contrepartie, tout demandeur d’emploi devrait néanmoins accepter la deuxième offre qui lui est faite sous peine de se voir radier… Une idée testée par Nicolas Sarkozy avant lui. Enfin, le régime social des indépendants (RSI) serait supprimé.

5. De nouvelles règles pour les représentants du peuple et l’élaboration de la loi

Emmanuel Macron a surfé, comme plusieurs autres candidats, sur la vague de la moralisation de la vie politique, particulièrement populaire depuis les ennuis judiciaires de François Fillon et Marine Le Pen. Les citoyens ayant un casier judiciaire pourraient ainsi ne plus être autorisés à se présenter aux élections.

S’il est élu le 7 mai, Macron entend aussi réduire d’un tiers le nombre de parlementaires, dont les indemnités de frais de mandat seraient intégrées à la rémunération et taxées au titre de l’impôt sur le revenu, et qui ne pourront plus faire plus de trois mandats identiques consécutifs. Ils ne pourront plus embaucher un membre de leur famille ou exercer d’activité de conseil. Emmanuel Macron menace en outre de couper «le financement public des formations politiques qui auront une représentation déséquilibrée» c’est-à-dire non paritaire.

De façon moins anecdotique, le candidat d’En marche souhaite accélérer la procédure législative. «Nous ferons de la procédure d’urgence la procédure par défaut d’examen des textes législatifs afin d’accélérer le travail parlementaire. Nous entamerons une rénovation du fonctionnement parlementaire en limitant le nombre de mois pendant lesquels le Parlement légifère et en réservant plus de temps à l’évaluation et au contrôle de l’action du gouvernement, en s’appuyant sur les travaux de la Cour des comptes», indique son programme, qui évoque aussi une consultation des citoyens sur le travail de leurs représentants, mais sans donner plus de détails.

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