ronin Posté(e) 1 novembre 2017 Posté(e) 1 novembre 2017 Il y a plein de sites académiques qui utilisent l'écriture inclusive.
Zarko Posté(e) 1 novembre 2017 Posté(e) 1 novembre 2017 Il y a 4 heures, ronin a dit : Il y a plein de sites académiques qui utilisent l'écriture inclusive. Ce qui prouve bien que notre ministre devrait faire le ménage dans la hiérarchie... Pour rire un peu: 1
BrunoXXX Posté(e) 5 novembre 2017 Posté(e) 5 novembre 2017 Pourquoi " confirme " ? Il y avait des arguments contre et des arguments pour ... Léger avantage à Pivot selon moi mais ce n'était pas non plus flagrant malgré l'impression laissée par le " micro-trottoir radiophonique " ...
Pepettebond Posté(e) 5 novembre 2017 Posté(e) 5 novembre 2017 Le 30/10/2017 à 13:22, Zarko a dit : ça continue... http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/lettres/IMG/pdf/bilan_2017_version_finale.pdf sur les 4 premières pages il y a au moins 32 fautes d'orthographe inclusive ... donc c'est un fake ou une blague en bon français .... comment un document institutionnel pourrait- il contenir autant de fautes?
barbotinne Posté(e) 6 novembre 2017 Posté(e) 6 novembre 2017 Apres, on ne peut pas nier que dans les cours d´histoire, l’écriture inclusive crée une image mentale différente que l´écriture « masculine ». Quand on parle des « ouvrier.e.s grêvistes », ou des « résistant.e.s » notre inconscient ne voit pas la même chose que dans ouvriers et résistants. Et ça si on change dès le plus jeune age certains préconsus sociétaux, la place de la femme dans notre société peut peut être évoluer un peu. Bref si les femmes ( et pas que les femmes célèbres ) étaient plus présentes dans nos manuels d’histoire ça ne serait pas un mal. Apres c’est certain que « les ouvriers et les ouvrieres » serait plus facile à lire.
Goëllette Posté(e) 6 novembre 2017 Posté(e) 6 novembre 2017 Ségolène Royal s'est mêlée du problème. Je l'ai vaguement écoutée hier soir sur LCP.
André Jorge Posté(e) 12 novembre 2017 Auteur Posté(e) 12 novembre 2017 Vidéo de l'OBS sur l'écriture inclusive :
nonau Posté(e) 12 novembre 2017 Posté(e) 12 novembre 2017 Ils me font marrer avec leur morale à géométrie variable!
Mirobolande Posté(e) 12 novembre 2017 Posté(e) 12 novembre 2017 Le 01/10/2017 à 20:00, caille67 a dit : Lire les enseignants- (e)s ne veut rien dire mieux vaut prendre la peine d'écrire les enseignants et les enseignantes au moins c'est lisible... Ouais mais c'est trop simple. Le bon sens n'a plus cours de nos jours.
Mirobolande Posté(e) 12 novembre 2017 Posté(e) 12 novembre 2017 Le 02/10/2017 à 14:09, abel27 a dit : C'est exactement ça : de l'égalité absurde. Je préfère avoir 20% de salaire de plus (être payée comme un homme) plutôt que de voir enseignants-es dans un manuel. Ouais...On devrait être en vacances jusqu'en 2018.... http://www.europe1.fr/societe/a-partir-du-3-novembre-a-11h44-les-femmes-travailleront-benevolement-3476642
Zarko Posté(e) 13 novembre 2017 Posté(e) 13 novembre 2017 Il y a 16 heures, André Jorge a dit : Vidéo de l'OBS sur l'écriture inclusive : Il a mal étudié la question Lettre ouverte à monsieur le ministre Jean-Michel Blanquer au sujet de l'écriture inclusive, avec un regard nouveau, celui du Canada qui en a connu une utilisation massive il y a 20 ans, puis s'en est détaché et a écrit, via de hautes instances de régulation de la langue, des préconisations en ce sens. Rédigée le 30 octobre, relue, corrigée et enrichie par l'équipe Communication Condorcet Soumise à lecture par différents groupes pour signature commune. Expédiée ce lundi 06/11 en R-AR. [lettre complète avec annexe et dossier écriture inclusive sur notre site :http://collectifcondorcet.wixsite.com/…/lettre-ouverte-ecri… ] ********** Monsieur le Ministre, Loin de vouloir attiser conflits et polémiques, nous souhaitons éviter que la lutte au quotidien pour l’égalité entre les femmes et les hommes – idée louable en soi – ne se transforme en erreur fatale pour notre société, toujours imprégnée par un idéal de clarté, d'intelligibilité, voire d'élégance : « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et cette erreur serait la propagation de l’écriture inclusive dans le quotidien des Français, et plus particulièrement dans le contexte de l’école, que ce soit dans un manuel scolaire, tel que l’ouvrage Magellan et Galilée Questionner le monde, destiné aux élèves de CE2 et publié en mars 2017 par Hatier (annexe 1), ou dans un récent document de rentrée émanant de l’Inspection Pédagogique à destination des enseignants de Lettres dans l’académie de Lyon (annexe 2). Le Canada, autre grande nation francophone, s’est ainsi penché sur cette question de l’égalité entre les femmes et les hommes à travers le langage. Si l’on observe de près ce qui s’est passé dans la province de l’Ontario dans les années 90, on peut constater que l’écriture inclusive y était en usage. Leur réflexion a continué à s’enrichir des apports de leur expérience, et dès 2002 l’Office of Francophone Affair a publié un « Guide de rédaction non sexiste » dans lequel il préconise d’éviter la graphie inclusive, indiquant que « Le recours aux parenthèses, points, barres obliques et traits d’union gêne la lisibilité et ne respecte pas la grammaire. » (voir annexe 3) Cette présentation graphique semble d'ailleurs contre-productive au regard de l'égalité, puisque, plaçant le masculin en premier, au contact de la racine, elle le fait toujours "l'emporter sur le féminin", relégué et isolé par un point. En 2004 L’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario, dans son guide « Féminisation des documents en français », nourri des préconisations précédentes, précise en outre que « L’usage intensif des doublets [s’il] rend effectivement les femmes plus visibles, ne leur garantit pas une représentation équitable. (…) Lire un texte français sur l’enseignement et les enseignants qui répéterait une enseignante ou un enseignant, une directrice ou un directeur d’école (…) reviendrait à lire un texte anglais sur la littérature précisant systématiquement author or authoress – une barrière à la lecture. » Pourquoi ne pas se servir de l’expérience et des conclusions du Canada qui a compris il y a 20 ans déjà l'impasse que représente l'écriture inclusive et a su la dépasser sans faire de concession sur l’égalité hommes/femmes? Avons-nous besoin nous aussi de tester une catastrophe annoncée ? Notre auguste Institution qu’est l’Académie française nous l’a rappelé le 26 octobre 2017, « La démultiplication des marques orthographiques et syntaxiques que [l’écriture inclusive] induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. On voit mal quel est l’objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles pratiques d’écriture, de lecture – visuelle ou à voix haute – et de prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait encore plus celle des lecteurs. » Les résultats de tests le montrent : nos élèves sont déjà en décrochage par rapport à la lecture standard. La maîtrise de la langue à l’école élémentaire ainsi que le principe de plaisir lié à la lecture sont des priorités absolues. Retrouver de la sérénité à l’école, tant au niveau des élèves qu’à celui du corps enseignant, mais aussi dans la société, est également une priorité. Mais comment être une nation « une » si la langue nous divise jusqu’au cœur de sa graphie ? La langue doit être l’outil de ce qui rassemble les citoyens par-delà leurs différences. C’est en maîtrisant cette langue, en cultivant l’amour pour sa beauté et sa complexité que nous formerons des citoyens avertis, dont l’esprit saura pleinement s’emparer de ce combat légitime pour l’égalité. Ne laissons pas les préoccupations bassement mercantiles de quelques éditeurs et communicants compromettre cela. Aussi, Monsieur le Ministre, nous venons, respectueusement mais avec conviction, vous demander de réaffirmer le libre choix de l’écriture classique ou avec doublets masculin-féminin qui rend lisible les textes et réaffirme la place des femmes sans alourdir la lecture, de réaffirmer votre confiance dans les professionnels que sont les enseignants pour faire avancer la cause de l’égalité sans intrusion ni pression idéologique de la part d’une hiérarchie pédagogique, et de faire retirer ce manuel Hatier, ainsi que toute velléité semblable d’intrusion de l’écriture inclusive dans les manuels scolaires. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre haute considération. L’association Collectif-Condorcet Soutiennent ce courrier : L’association Les Immortels L’ARELACler (Association Régionale des Enseignants de Langues Anciennes de l’Académie de Clermont-Ferrand) Le groupe « Zimmortels et Zirréductibles contre l
Goëllette Posté(e) 13 novembre 2017 Posté(e) 13 novembre 2017 L'écriture inclusive se propage dans l'EN et même certains syndicats écrivent avec sur leurs sites ... Rien compris !
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