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Posté(e)
il y a 13 minutes, chableu a dit :

 

Voilà, tu vois...on est (en partie) d'accord !!!! Et effectivement, en ce sens ce n'est pas un problème. Pour l'obligation du tampon pour pouvoir aller à la piscine...là, je ne te suis pas.

Et que proposes-tu pour que les filles ayant leurs règles puissent aller à leurs cours obligatoires de natation ?

 

Posté(e)

Ici, une séquence de natation dure 11 semaines. Au pire, une fille va rater 3 séances du fait des règles. Cela ne me choque pas. De plus, elle peut être présente en short au bord du bassin en observation avec des grille d'analyse, donner le rythme des départs des autres élèves... C'est ce que nous faisons en EPS en école quand un élèves est là mais ne peut pas participer à l'activité.

  • Merci 2
Posté(e)
il y a 37 minutes, chableu a dit :

Ici, une séquence de natation dure 11 semaines. Au pire, une fille va rater 3 séances du fait des règles. Cela ne me choque pas. 

3 séances sur 11, ça fait quand même 1/4 des séances loupées ...

Et est-ce que ces mêmes jeunes filles louperont le concert de leur idole ou leur soirée en boîte de nuit parce qu'elles ont leurs règles ?

 

il y a 37 minutes, chableu a dit :

De plus, elle peut être présente en short au bord du bassin en observation avec des grille d'analyse, donner le rythme des départs des autres élèves... C'est ce que nous faisons en EPS en école quand un élèves est là mais ne peut pas participer à l'activité.

A l'école, mais au collège ... est-ce réellement le cas ?

 

  • J'adhère 1
Posté(e)
il y a 56 minutes, Goëllette a dit :

Et est-ce que ces mêmes jeunes filles louperont le concert de leur idole ou leur soirée en boîte de nuit parce qu'elles ont leurs règles ? 

Ici, en été ma fille et ses copines (collégiennes) passent les belles journées de vacances à la piscine municipale, cette sortie est essentielle pour elles et un bon moyen de pression pour nous parents (je sais, c'est nul...) Mais pour beaucoup, leurs règles les privent de quelques après-midi durant l'été car mettre un tampon n'est pas envisageable pour l'instant.

  • J'adhère 1
Posté(e)
il y a 59 minutes, Goëllette a dit :

A l'école, mais au collège ... est-ce réellement le cas ?

Dans le collège de ma môme, les élèves dispensés sont présents aux divers cours d'EPS (sauf béquilles...). C'est donc possible.

Posté(e)
il y a 31 minutes, chableu a dit :

Ici, en été ma fille et ses copines (collégiennes) passent les belles journées de vacances à la piscine municipale, cette sortie est essentielle pour elles et un bon moyen de pression pour nous parents (je sais, c'est nul...) Mais pour beaucoup, leurs règles les privent de quelques après-midi durant l'été car mettre un tampon n'est pas envisageable pour l'instant.

Là, il y a cohérence, mis est-ce vraiment toujours le cas ?

 

il y a 29 minutes, chableu a dit :

Dans le collège de ma môme, les élèves dispensés sont présents aux divers cours d'EPS (sauf béquilles...). C'est donc possible.

C'est possible mais est-ce qui se passe réellement et pourquoi accepte-t-on qu'il y ait autant de dispensés en EPS et surtout des filles ? 

C'est une forme de conditionnement et la féministe que je suis a beaucoup de mal avec ça !

Posté(e)
il y a 3 minutes, Goëllette a dit :

C'est possible mais est-ce qui se passe réellement et pourquoi accepte-t-on qu'il y ait autant de dispensés en EPS

Dans un certain nombre d'établissements, oui et ce pourrait être imposé.

Pour ta seconde question, ici (écoles, collèges, lycées du coin), très peu de dispensés sauf blessure (en sport le WE...) donc, je n'ai pas de réponse.

il y a 6 minutes, Goëllette a dit :

Là, il y a cohérence, mis est-ce vraiment toujours le cas ? 

Pas toujours mais bon on ne vise pas le toujours.

De toute manière, ce n'est pas à l’École de régler les questions d'incohérence de notre société. Nous faisons ce que nous pouvons avec elles, avec des heures de décérébrage des enfants devant la TV, les réseaux sociaux, les jeux vidéo...une société du "j'ai droit" qui ne reconnait aucune valeur à l'effort, aux enseignants, des parents qui sont dépassés et en même temps très exigeants envers l’École.

Posté(e)

Pourtant, faire en sorte que ces enfants puissent connaître autre chose fait partie de nos missions.

Posté(e)

Et bien, moi, si j’avais dû mettre des tampons, le prof aurait dû appeler le samu parce que je fais partie des femmes qui réagissent très mal aux tampons et en clair, je tourne de l´oeil... j’ai fait piscine au lycée en groupe mixte, mon prof était vieux mais il n’a jamais rabroué une fille qui était indisposée. On restait sur le banc et puis c’est tout..   alors certes peut-être on étaient remarquées mais bon, c’est naturel et il faudrait peut-être enseigner que ce n’est pas une honte ou un sujet de moquerie que d’avoir ses règles. 

bref... je trouve certaines positions radicales... 

marrant de voir qu’un sujet sur l’uniforme a dévié sur l’eps...

Posté(e)
il y a 20 minutes, Goëllette a dit :

C'est possible mais est-ce qui se passe réellement et pourquoi accepte-t-on qu'il y ait autant de dispensés en EPS et surtout des filles ? 

C'est une forme de conditionnement et la féministe que je suis a beaucoup de mal avec ça !

Allez, je m'y colle encore une fois bien que....

Pourquoi surtout des filles ?

Parce que justement, les filles peuvent

avoir leurs règles, en souffrir ( tu as déjà entendu parler de l'endometriose ? 1 femme sur 10, 3 filles par classe au collège/lycée, c'est pas rien ), ne pas savoir mettre de tampons, ne pas supporter d'en mettre ( oui, cela peut être douloureux, d'autant plus quand on est une jeune fille qui n'a jamais eu de rapport sexuel, et durant toute la vie avant la ménopause suivant l'état du flux ) ou encore ne pas ACCEPTER d'en mettre pour ses raisons à elle définitivement respectables.

Ensuite, elles peuvent aussi faire en sorte d'être dispensées de sport parce qu'elles ne se sentent pas en sécurité lors du cours ( si le prof est humiliant/ maltraitant/ ne fait rien pour intervenir lors des situations qu'on pourrait qualifier d'harcèlements ...)

Le "conditionnement ", pour la féministe que je suis, c'est de vouloir faire avancer une gamine à marche forcée et malgré le rythme d'appropriation de sa relation avec son propre corps vers ce que tu décris ; faire nager tout le monde en même temps lors du cours pendant toutes les séances quitte à forcer la main de celle(s) qui sont mal parce que réglées et qui le vivent mal ( oui oui oui, on a bien compris, c'est pas une maladie mais ça peut arriver que ça fasse mal ou qu'on le vive mal,  il faut se renseigner ).

En tout cas, en résumé, l'association :

 " tampon obligatoire / féminisme / pas de conditionnement " fallait l'oser.

 

 

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Posté(e)
Il y a 3 heures, Goëllette a dit :

Et que proposes-tu pour que les filles ayant leurs règles puissent aller à leurs cours obligatoires de natation ?

 

IMPOSER un TAMPON ???? 

C'est une blague ? 

Ce n'est pas une maladie mais ce n'est pas un moment agréable  pour toutes les filles .

Pour infos il existe des règles douloureuses qui privent les filles de cours deux ou trois jours, il existe des ménorragies, il existe des règles où le tampon ne donne pas de solution pour tout bien vivre.. Il y a aussi des cycles très irréguliers ....

Pourquoi ne pas imposer une pilule continue? comme ça le problème est gommé.

pour moi celles qui peuvent et veulent mettre des tampons vont à la piscine, celles qui ne veulent pas ou ne peuvent pas   sont dans les gradins ....

 

  • Merci 1
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Posté(e)

cette histoire me fait penser à une ministre qui a prouvé que 5 jours après l'accouchement on pouvait retourner au taf ...

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