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https://aix.snes.edu/censure-a-l-education-nationale.html

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CE.13I SECRETARIAT PARTICULIER IA13 <ce.sp13@ac-aix-marseille.fr>
Date : mer. 12 déc. 2018 à 14:31
Mesdames, Messieurs les Chefs d’établissement, Chers collègues,
Afin d’éviter que ne s’installent chez nos élèves et leurs parents, des éléments d’information relatifs à la réforme du lycée et du baccalauréat, tronqués, incomplets voire fallacieux, je vous demanderai de bien vouloir veiller à ce que nos établissements ne puissent accueillir des temps de réunion communs entre enseignants, parents d’élèves et élèves.
Sans vouloir aller à l’encontre des droits réglementaires de nos collègues enseignants en termes de réunions d’information syndicale ou de travail autour de ces évolutions, il est important que nous restions maîtres des messages construits à l’intérieur de nos structures.
Par ailleurs, si des réunions associant enseignants, parents et élèves se sont déjà tenues au sein de vos établissements à votre insu, voire contre votre gré, je vous remercie de bien vouloir m’en faire part pour notre information.
Avec mes remerciements et l’assurance de mon soutien en ces temps difficiles,
DB, le DASEN des Bouches-du-Rhône

C'est la fête !

  • 1 mois plus tard...
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Les cinq points de friction du projet de loi pour une "école de la confiance"

franceinfo avec AFPFrance Télévisions

Ce texte est examiné à partir de lundi à l'Assemblée nationale mais certaines de ses dispositions froissent les syndicats.

Instruction obligatoire dès 3 ans, refonte de l'évaluation, rôle étoffé des surveillants... L'Assemblée examine le premier grand texte sur l'école du quinquennat Macron, à partir de lundi 11 février, qui crispe les syndicats et nourrit les critiques de l'opposition. Ce projet de loi "pour une école de la confiance", porté par Jean-Michel Blanquer, entend répondre à deux enjeux : "élever le niveau général des élèves" et promouvoir "la justice sociale".

Le projet suscite une forme de défiance chez plusieurs syndicats du corps enseignant, déjà mobilisés pour des hausses de salaires, l'arrêt des suppressions de postes, et encore le retrait des réformes du baccalauréat, du lycée et de Parcoursup.

https://www.francetvinfo.fr/societe/education/refondation-de-l-ecole/les-cinq-points-de-frictions-du-projet-de-loi-pour-une-ecole-de-la-confiance_3185301.html

 

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Une instruction obligatoire dès l'âge de 3 ans

Le projet de loi veut une instruction obligatoire pour les enfants dès l'âge de 3 ans, contre 6 actuellement. "Nous serons le pays [de l'UE] qui positionne l'âge de l'instruction obligatoire le plus tôt dans la vie", se félicite ainsi le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer. Dans les faits, cette mesure ne concernera que 26 000 nouveaux enfants à la rentrée prochaine, selon une étude d'impact du ministère, car 98,9 % de cette classe d'âge font déjà l'objet d'une instruction.

Cette obligation impose par ailleurs aux collectivités de financer les maternelles privées sous contrat, ce que l'Etat prévoit de compenser. Le coût de cette mesure est évalué entre 100 et 150 millions d'euros, selon Le Monde, qui cite respectivement les calculs du ministère et du Comité national d'action laïque. La gauche dénonce un "cadeau" fait au privé, quand LR crie "à l'injustice", dans la mesure où la compensation serait de moindre importance pour les communes qui aidaient déjà les maternelles privées par rapport à celles qui n'aidaient pas.

 

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Des "missions d'enseignement" pour des surveillants

Les surveillants d'établissement (assistants d'éducation) pourront exercer des "missions d'enseignement" à condition de préparer les concours au métier d'enseignant et d'être au minimum en deuxième année de licence. Ils toucheront alors 693 euros par mois pour huit heures consacrées à ces missions (963 euros en Licence 3 et 980 euros en Master 1). Au total, 1 500 personnes seront concernées lors de la première année et ce nombre pourrait atteindre 3 000 en 2021. Jean-Michel Blanquer affirme que cette mesure permettra d'élargir le "vivier" de recrutement des enseignants et d'être un "vecteur d'ascension sociale".

Pour le ministre, c'est donc une manière de doper le pré-recrutement. Mais les syndicats et oppositions de gauche craignent que ces "pions" ne soient sollicités pour remplacer des enseignants absents. La députée LREM Fannette Charvier, co-rapporteure du texte, estime que "confier des missions ne veut pas dire remplacer" et ajoute que "cela pourra commencer par du soutien scolaire, des petits groupes" ou l’aide aux devoirs. Le texte de loi évoque par exemple du soutien scolaire pour les surveillants qui sont étudiants en L2, des activités pédagogiques complémentaires pour ceux qui sont en L3 ou des remplacements devant une classe pour ceux qui sont en M1.

 

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Un devoir "d'exemplarité" pour les enseignants

Certains enseignants sont également préoccupés par la lecture du premier article du projet de loi, qui rappelle le devoir "d'exemplarité" des enseignants et le respect que doivent leur manifester en retour élèves et familles.

Par leur engagement et leur exemplarité, les personnels de la communauté éducative contribuent à l’établissement du lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l’éducation.Article 1 du projet de loi "école de confiance"

Certains soupçonnent une volonté de "museler" leur liberté d'expression, alors que des mouvements comme les "stylos rouges" ou #PasDeVague ont émergé fin 2018 sur les réseaux sociaux, afin respectivement d'obtenir un meilleur statut des enseignants et de dénoncer les violences scolaires.

A priori, rien de nouveau, car les agents publics ont "une obligation d'obéissance et de loyauté envers leur institution", rappelle dans Libération Antony Taillefait, professeur spécialiste du droit des fonctionnaires. Ce dernier s'interroge tout de même sur les motifs d'un tel rappel et souligne que les agents ont la possibilité de s'exprimer – "il faut simplement un ton correct et la critique argumentée". De son côté, le syndicat SNUipp-FSU a lancé une pétition pour rappeler que "la liberté d’expression est pour les agents une garantie démocratique qui protège les usagers des services publics et protège les finalités de l’intérêt général".

 

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Un conseil d'évaluation de l'école qui "manque d'indépendance"

La création du Conseil d'évaluation de l'école, pour jauger l'efficience des politiques éducatives, braque aussi les syndicats. "Le CEE proposera des outils d'auto-évaluation aux établissements. Ce sera aux enseignants de s'en saisir", assure Anne Brugnera, cheffe de file des députés LREM pour l'éducation, qui réfute toute volonté d'inspecter davantage les personnels. [...]

 

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Vers des classes de collège regroupées avec des écoles

Un amendement adopté fin janvier veut permettre la création d' "établissements publics des savoirs fondamentaux", consistant à regrouper "les classes d’un collège et d’une ou plusieurs écoles situées dans le même bassin de vie". Les petites écoles, notamment, pourraient ainsi atteindre une taille critique.

Francette Popineau, secrétaire générale du syndicat enseignant SNUipp, redoute que les méthodes du collège soient importées au sein du primaire. "On risque de perdre la proximité avec les enfants et avec les parents", estime-t-elle dans les colonnes de La Croix. C’est un "pilotage vertical et hiérarchique des écoles par le collège", estime pour sa part la Sgen-CFDT, citée par Le Monde.

 

  • 2 semaines plus tard...
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Voilà c'était en octobre...On ne les entendait pas à ce moment là le SE unsa et cie qui crient au loup maintenant. Pourquoi n'ont-ils pas appelé à la grève du 9 octobre? Pourquoi n'appellent-t-ils pas le 19 mars? Je sais, on va me dire "impact limité", mais oui, mais ce sont des syndicats ils doivent prendre leur responsabilité.

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Il me semble avoir lu sur un compte-rendu qu'il est en accord avec une bonne partie de la loi Blanquer ...

enfin, il dénonce, par jeu politique, mais dans le corps de l'article, on sent qu'ils soutiennent l'idée.

Je chercherai...

Posté(e)
Il y a 8 heures, Goëllette a dit :

Il me semble avoir lu sur un compte-rendu qu'il est en accord avec une bonne partie de la loi Blanquer ...

enfin, il dénonce, par jeu politique, mais dans le corps de l'article, on sent qu'ils soutiennent l'idée.

Je chercherai...

Oui l'UNSA semble en accord sur cette Loi sauf sur les EPSF...Donc ils cautionnent tout le reste et l'article 1 notamment...

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Un lien fiable pour corroborer vos derniers propos svp ? Ca nous aiderait à faire le tri entre les élucubrations habituelles et la réalité des choses.

5 organisations syndicales viennent de signer un communiqué. On remarquera l'absence de certaines, qui ne manqueront pas d'accuser les signataires de toutes sortes de trahisons.

Communiqué intersyndical

Encore une fois, on peut ne pas être en accord sur le choix des armes, mais passer son temps à défèquer sur les autres ne fait pas avancer le chmilblik. Et pire, il fait fuir les potentiels militants las des querelles à tout va et systématiques.  

Posté(e)
il y a 29 minutes, flore49 a dit :

Un lien fiable pour corroborer vos derniers propos svp ? Ca nous aiderait à faire le tri entre les élucubrations haituelles et la réalité des choses.

5 organisations syndicales viennent de signer un communiqué. On remarquera l'absence de certaines, qui ne manqueront pas d'accuser les signataires de toutes sortes de trahisons.

Communiqué intersyndical

Encore une fois, on peut ne pas être en accord sur le choix des armes, mais passer son temps à défèquer sur les autres ne fait pas avancer le chmilblik. Et pire, il fait fuir les potentiels militants las des querelles à tout va et systématiques.  

Oui merci de citer des sources fiables, cela me semble être la base de communication d'informations aussi importantes.

Posté(e)

Il y a une pétition en ligne.

ovcpInSdaTeVuja-800x450-noPad.jpg?155052

Posté(e)
Il y a 2 heures, flore49 a dit :

Un lien fiable pour corroborer vos derniers propos svp ? Ca nous aiderait à faire le tri entre les élucubrations haituelles et la réalité des choses.

5 organisations syndicales viennent de signer un communiqué. On remarquera l'absence de certaines, qui ne manqueront pas d'accuser les signataires de toutes sortes de trahisons.

Communiqué intersyndical

Encore une fois, on peut ne pas être en accord sur le choix des armes, mais passer son temps à défèquer sur les autres ne fait pas avancer le chmilblik. Et pire, il fait fuir les potentiels militants las des querelles à tout va et systématiques.  

Pour l'instant c'est l'Unsa qui te défèque dessus...

Ce communiqué demande une réécriture quand les autres demande une abrogation!

On ne demande pas une réécriture pour une loi qui finira de détruire notre école Républicaine.

Selon eux il n'y aurait qu'un seul article qui pose problème...

Le texte va à présent être examiné au sénat. Le SE-Unsa poursuit son travail auprès des parlementaires, des représentants des collectivités (département et communes) et des parents d’élèves pour obtenir le retrait de cet article. Le SE-Unsa vient de proposer une rencontre aux organisations signataires du courrier commun demandant le retrait de l’article.
 
Qui a accompagné la modification de nos ORS sous la mandature précédente? Les rythmes? Le PPCR? Que des décrets qui permettent maintenant de faire exploser l'unité républicaine de notre institution.
 
Posté(e)
Il y a 5 heures, nonau a dit :

Pour l'instant c'est l'Unsa qui te défèque dessus...

C'est celui qui dit qui'y est, là non ? Passé l'âge. ...:getlost:

 

Il y a 5 heures, nonau a dit :

Selon eux il n'y aurait qu'un seul article qui pose problème...

Bah non. Le lien que tu cites semble parler de l'école des savoirs fondamentaux et donc de l'article concernant ce point-là. Et toujours rien qui te permette d'affirmer que l"Unsa est favorable à cette loi. Il me semble que le seul communiqué intersyndical dit tout autre chose.

Encore une fois, que tes valeurs soient diamétralement opposées aux combats de l'Unsa ou autre, et que tu te battes pour celles-ci, cela t'honore sans aucun doute, mais que tu places tes interprétations à hauteur de vérités, sans t'encombrer d'objectivité, c'est de la désinformation, voire du mensonge. 

Édit : Et encore autre chose. Quand l'Unsa ne souhaite pas s'associer â une grève (et c'est son droit) tu le vilipendes sans aucun égard pour les raisons qui motivent cette position ; en revanche, quand FO ne souhaite pas s'associer â un communiqué intersyndical, alors qu'un front serait nécessaire, rien de plus normal puisque vous n'êtes pas d'accord avec son contenu (et c'est votre droit).... Bref, comme d'hab, vous vous arrogez un droit que vous ne reconnaissez pas aux autres:getlost:

Posté(e)

J'ai un fou rire quand je lis la fin du communiqué intersyndical  (c'est nerveux hein !)

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En conséquence, elles s'adressent solennellement aux députés et leur demandent de ne pas voter cette loi en l'état.

C'est hyper offensif, le gvnt va trembler ! 😁😂
Franchement avec la majorité écrasante de députés moutons LREM, c'est clair que cet appel va marcher ! Non mais lol ! On n'est pas sortis des ronces. Je suis contente que mon syndicat ne soit pas signataire non plus ce truc pouet pouet .

Sinon, avant même que la loi soit votée, certains IEN ne se sentent déjà plus :

 

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Posté(e)

PS : Jean Mimi n'est pas contre la suppression d'un nouveau jour férié (ben oui il faut bien encore faire suer les pauvres plutôt que de prendre aux riches)

J'en ai un peu plus je vous l'mets quand même ?

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