Mirobolande Posté(e) 22 janvier 2020 Partager Posté(e) 22 janvier 2020 https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/caen-le-ministre-blanquer-hue-devant-le-rectorat-6702185?fbclid=IwAR2G1v7YbzyFEj_KJo6Fm2lZHRIhVK3zqyOX_8gktMp9Sj9oCNDW-kst7vA Encore un coup des 0,1% 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Dantès Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 A signer et diffuser ... https://www.change.org/p/ministre-de-l-éducation-jean-michel-blanquer-selon-m-blanquer-99-9-des-enseignants-sont-pour-la-réforme-et-vous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
jeanounette Posté(e) 23 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) 23 janvier 2020 A propos des projets LREM/Education Nationale, une lettre au Préfet (à l'initiative des Stylos rouges visiblement) : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 https://mobile.twitter.com/jmblanquer/status/1220252161508020224?s=12&fbclid=IwAR1WKV2c-BLKs5rbTKAd5dZyJ0c9gaHsBTgIoFRzs-wMFXlQmITiwYuXi-4 Blanquer: Le rapport au livre est constitutif de la vocation de tous ceux qui font profession de transmettre le savoir. Aucun Professeur ne peut dégrader publiquement un livre ou même cautionner cela. L’action violente de quelques uns ne saurait discréditer le travail de tous: Et quelques réponses... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
BrunoXXX Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 Et Mr se garde bien d'expliquer au public ce que les manifestants voulaient signifier en balançant ainsi des manuels ... Au lieu de ça il évoque le souvenir des " heures les plus sombres de l'Histoire " ... Alors de deux choses l'une : soit il n'était pas au courant ( et c'est que ça dysfonctionne gravement même au sommet de l'Institution ), soit il est d'une malhonnêteté intellectuelle sidérante ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Adan Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 @fredzzz la deuxième option évidemment, ils comptaient sur la docilité de certains ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
prof désécol Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 Jeter des livres, c'est le Mal ! Il y a 1 heure, Mirobolande a dit : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 Un fake? Du lourd Académie Aix Marseille Source :CGT La lettre du Recteur aux proviseurs : Mesdames et Messieurs les chefs d'établissements de lycées, Il est superflu de vous décrire l’ambiance qui règne dans plusieurs de vos établissements, au sujet des E3C. Comme je sais que vous y œuvrez, il est essentiel de maintenir le dialogue avec les personnels de vos établissements Néanmoins, lors de vos échanges avec les professeurs, quelques rappels simples doivent être faits. En premier, les enseignants, de par leur statut, doivent participer à l’intégralité du déroulement des E3C : choix des sujets, surveillance, correction …. Un refus est, au minimum, un acte de grève. Il faut, si besoin, le rappeler et dire que le calcul des jours de grève ne peut que se faire selon les prescriptions du Code de l’Education. Il n’est pas plusieurs manières légales de le faire. Mais un refus peut aussi engendrer une faute professionnelle avec toutes les conséquences disciplinaires qui en découlent. Cela touche spécialement le refus de correction, ainsi que la falsification des notes. La manipulation des élèves (tracts, classes transformées en réunions syndicales…) est une faute caractérisée et une violation de la déontologie de l’enseignant. Je ne veux envisager, que par pure hypothèse, des actes comme la participation (ou l’incitation) au blocage ou à l’invasion d’un établissement. Dans de tels cas, l’on quitterait le Code de l’Education pour le Code pénal. Compte-tenu du contexte, je vous demande, dans les jours prochains, à titre préventif, de rappeler, avec pédagogie mais si besoin avec fermeté (laquelle est le sel de toute vraie pédagogie), ces principes dont certains semblent ignorés de divers enseignants entrés dans une logique de rébellion qui est la négation complète du statut de fonctionnaire. Soyez attentifs aux plus jeunes, moins expérimentés et qui peuvent, eux-aussi, être manipulés par d’autres plus âgés et qui, avec l’âge peuvent perdre et la sagesse et le courage. Qu’ils ne se mettent pas dans des situations inextricables. Je vous demande également de nous informer (le directeur de cabinet) de tous les indices laissant présager, dans votre établissement, des tentatives de sabotage des examens. Mieux vaut une alerte vaine qu’une trop tardive. Dans tous les cas, le jour des contrôles, vous serez d’une particulière vigilance, tôt le matin. J’espère vivement que la raison l’emportera. Vous savez combien je suis attentif au dialogue social. Je recevrai, comme je le fais toujours, les audiences qui me seront réclamées. Je passerai le temps nécessaire à écouter une profession, dont je fais partie, et qui vit des tensions et des angoisses. Ma mission est là. Je sais aussi compter sur votre lucidité et votre détermination. Je mesure la charge qui est la vôtre, la fatigue et même la lassitude d’être remis en cause dans votre action républicaine par ceux qui sont, d’abord, votre « équipe pédagogique ». Si la certitude de vous sentir épaulés, soutenus et relayés par votre hiérarchie peut être source de courage : je forme ce voeu. Enfin vous savez, d’ores et déjà, que les IA-IPR, derrière leur doyen qui me tient au courant chaque jour de la situation, sont là pour vous seconder dans le choix des sujets comme ils le seront dans l’harmonisation des notes. Soyez assurés, Mesdames et Messieurs les Proviseurs, de mes sentiments dévoués et très cordiaux, Bernard Beignier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
corazon Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 Ne pas citer : Les parents se bougent par chez nous... Il y a des écoles mortes un peu partout avec banderoles sur les grilles des écoles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 23 janvier 2020 Partager Posté(e) 23 janvier 2020 https://blog.mondediplo.net/contre-la-democratie Quand Agnès Buzyn annonce aux personnels hospitaliers cette formidable innovation dont elle leur fait la grâce : des postes de beds managers, à quoi avons-nous affaire ? Plus exactement à quel type d’humanité ? Car nous sentons bien que la question doit être posée en ces termes. ... À Radio France, Sibyle Veil demeure comme un piquet, statufiée. Belloubet, elle, ne connaît qu’un léger décrochage de mâchoire inférieure, et la même inertie. Le directeur du Mobilier national choisit le déni massif de réalité, et continue son discours, comme les directeurs d’hôpitaux. Que se passe-t-il à l’intérieur de ces personnes ? Se passe-t-il seulement quelque chose ? Y a-t-il des pensées ? Si oui lesquelles ? En fait, comment peut-on résister au-dedans de soi à des hontes pareilles ? ... « Personne ne devrait accepter que l’on s’en prenne à des élus parce qu’ils sont élus », blatère pendant ce temps Aurore Bergé, outrée par ailleurs que le roitelet ait été chassé des Bouffes du Nord par les gueux. Mais comment faire comprendre à Aurore Bergé qu’en première approximation, les députés ici ne sont pas poursuivis pour ce qu’ils sont mais pour ce qu’ils font. Il faut quand même une innocence qui frise la maladie mentale pour imaginer que les gens vont laisser détruire leurs conditions d’existence, et même se laisser détruire tout court, sans contracter un jour l’envie de détruire ce qui les détruit. ... Les « gilets jaunes » resteront historiquement comme le premier moment de la grande lucidité : à des pouvoirs sourds, rien ne sert de parler. Quand tout ce qui a pu être dit, puis crié, puis hurlé, depuis trois décennies, ne rencontre que le silence abruti et le mépris d’acier, qui alors pourra s’étonner que les moyens changent ? Lorsque des populations au naturel enclin à la tranquillité sont dégondées, c’est qu’on les a dégondées. Les dégondeurs souffriront donc les effets dont ils sont les causes. ... Car l’époque néolibérale est au gouvernement sadique. Si ça fait mal, c’est que c’est bon. Les forcenés ont même fini par s’en faire une morale : le « courage des réformes ». Une morale et une concurrence : Fillon, du haut de ses « deux millions et demi de personnes dans la rue » en 2010 traite Macron de petit joueur avec ses quelques centaines de milliers de « gilets jaunes ». Dans ce monde totalement renversé, violenter le plus grand nombre est devenu un indice de valeur personnelle. Pendant ce temps, ils ont de « la-démocratie » plein la bouche. On ne sait pas si le plus étonnant est qu’ils y croient ou qu’ils soient à ce point étonnés que les autres n’y croient plus. Mais qui pourra être vraiment surpris qu’après avoir jeté si longtemps des paroles de détresse, des appels à être entendus, puis des blouses, des robes et des cartables, il vienne aux violentés des envies de jeter d’autres choses ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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