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Posté(e)

Ah revoilà la Finlande... Mais comme pour le Covid, ces pays n'ont rien à voir avec la France non?! Profil des élèves, densité de population, mixité...Ce n'est pas l'autonomie des établissements qui expliquent cette différence! Mais plutôt les effectifs bien plus humain qu'en France, des enseignants en doublon dans les classes, une rémunération digne pour attirer les meilleurs...

Pour savoir où mène "l'autonomie" à la sauce libérale, regardez nos universités qui ne peuvent même plus accueillir tous les étudiants, qui recrutent en CDD des gens sans concours. LRU de Pécresse sous Sarkozy est une catastrophe. Les enseignants sont tenus par les cojonès au niveau des thèmes de recherche...Les frais d'inscription grimpent de manière exponentielle pour atteindre un jour, leur modèle:  anglo saxon.

La part du PIB consacrée à l'éducation nationale est indigne et en dessous de la moyenne européenne. Pire, pour le primaire nous sommes les derniers des pays de l'OCDE.

 

 

Posté(e)

Bravo monsieur le Perdir!

Vive Challenges et les écoles privées.

Posté(e)
il y a 59 minutes, papillon2704 a dit :

Bravo monsieur le Perdir!

Vive Challenges et les écoles privées.

je n'ai jamais dit que j'approuvais...

Posté(e)

Très juste.

Alors, désapprouves-tu ?

Posté(e)

Tout n'est pas à prendre comme argent comptant mais le statu quo n'est plus possible.

Avoir plus de marge de manœuvre est un confort : par exemple dans mon collège on va piocher dans les moyens propres pour créer une classe de plus et baisser les effectifs.

Aussi, pouvoir profiler des postes en fonction des besoins pédagogiques de l'établissement est une option.

Dans les écoles françaises à l'étranger, le recrutement se fait sur profil et cela fonctionne.

Posté(e)
Il y a 2 heures, papillon2704 a dit :

Alors, désapprouves-tu ?

A la lecture de l'article, il apparaît que l'organisation est efficace... Pourquoi faudrait-il donc désapprouver ?

Posté(e)

Oui enfin c'est Challenges. Qui prend comme exemple du second degré pour les profs un agrégé en classe prépa qui fait des colles soit 0.01 % de la profession. A ce compte là on se retrouve avec un salaire moyen à 2600 ou 2700 euros. Pour la rigueur faudra repasser... Quant à la magnifique autonomie des établissements, la Suède en revient en catastrophe.

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Posté(e)
Il y a 14 heures, montagny a dit :

Tout n'est pas à prendre comme argent comptant mais le statu quo n'est plus possible.

Avoir plus de marge de manœuvre est un confort : par exemple dans mon collège on va piocher dans les moyens propres pour créer une classe de plus et baisser les effectifs.

Aussi, pouvoir profiler des postes en fonction des besoins pédagogiques de l'établissement est une option.

Dans les écoles françaises à l'étranger, le recrutement se fait sur profil et cela fonctionne.

C'est bien ce qui me semblait.

 

Posté(e)
Il y a 21 heures, André Jorge a dit :

A la lecture de l'article, il apparaît que l'organisation est efficace... Pourquoi faudrait-il donc désapprouver ?

Si c'est écrit, c'est forcément vrai ?

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