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Posté(e)

Je me permets de reproduire le texte ici, il est vraiment intéressant. Merci Roserouge :)

Problème posé : devons-nous faire participer notre classe à la fête des mères ?

Chaque année, la question revient à la fois sur différentes listes de discussion ou par courrier.

Si pour certains collègues cela ne pose aucun problème et permet d'engager les élèves dans une activité de "travaux manuels" accompagnée ou non d'une production écrite, d'autres mesurent plusieurs difficultés et soulèvent en particulier le fait que certains élèves peuvent vivre des situations personnelles particulières (deuil, séparation).

Cet évènement risque alors, surtout face à leurs camarades d'être mal vécu.

Une collègue sur une liste, cite le cas d'un élève qui a jeté à la poubelle l'objet fabriqué en classe, une autre la problématique et la souffrance pour un enfant qui ne savait à qui offrir son cadeau etc.

Un collègue assure avoir "vérifié" qu'il n'y avait pas de situation particulière dans sa classe et qu'il pouvait alors engager ses élèves dans une activité de ce type... mais comment pourrions-nous affirmer qu'un seul de nos élèves ne connaît pas une situation délicate ?

Un évènement officiel

Cette fête , est une fête nationale (un texte de loi du 24 mai 1950 en précise la vocation). [Historique rapide]

Elle a lieu le dernier dimanche de mai depuis De Gaulle et permet d'honorer et de décorer les mères de familles nombreuses.

C'est là sa vocation première du point de vue de la Loi.

Historiquement, elle est l'héritière de diverses traditions, y compris religieuses, dont de nombreuses viennent de l'étranger.

On se souvient de l'intérêt que l'Etat Français, sous Vichy, avait mis dans cette célébration qui s'inscrivait dans le fil de sa devise " Famille, Travail, Patrie" devise placée on le sait au service de la collaboration de sinistre mémoire...

Dans l'éducation nationale ?

En cherchant dans les BO de l'Education Nationale, rien n'est publié sur ce thème ces dernières années, en revanche le terme de "fête des mères " est cité une fois dans une fiche des documents d'accompagnement des programmes : "grâce à l'écriture... on manifeste amitié ou tendresse (message pour un anniversaire, pour la fête des Mères)."

Le "M" majuscule est écrit tel que dans les programmes.

Il s'agit donc ici d'une proposition d'écriture destinée surtout à souligner que l'on peut écrire aussi pour manifester des sentiments.

Réflexion critique

Il n'apparaît pas que les textes exigent de nous, à l'école, que nous engagions les élèves à célébrer cette fête.

Il n'y a pas de fête "aux programmes" mais plutôt l'idée d'un thème qui pourrait contribuer à exprimer des sentiments (relation avec les valeurs du "vivre ensemble").

Il s'agit en effet d'une relation d'ordre privé entre l'enfant et sa famille et il ne nous appartient pas de venir suggérer un sentiment. Il y a une marge délicate entre l'expression d'un sentiment qui doit pouvoir se faire et le respect de l'intimité.

Le législateur a placé cette fête un dimanche. Il la réserve donc implicitement, à la sphère privée pour les manifestations familiales.

Le législateur a prévu par ailleurs des manifestations publiques extérieures à l'école, dont la vocation est de célébrer les mères "méritantes" . Celles qui ont eu beaucoup d'enfants se voient ainsi récompensées...

On notera d'ailleurs que les pères peuvent être aussi concernés.[Médaille de la famille].

On sait qu'aujourd'hui le modèle familial traditionnel a considérablement évolué : familles monoparentales, familles recomposées et autres configurations qui relèvent de choix privés.

A l'instar d'Elisabeth Badinter qui nous rappelle dans divers ouvrages que "l'instinct maternel " et l'amour maternel sont à relativiser (L'Amour en plus : histoire de l'amour maternel, XVII;-XX siècle, Flammarion, Paris 1980 ) , nous savons que les relations entre un enfant et ses parents sont complexes.

Il est très délicat d'agir dans ce domaine sans être intrusif: nous n'avons pas à savoir si les familles célèbrent chez elle cette fête, pas plus que nous n'avons à les interroger sur toute autre fête privée.

Aurions-nous à organiser ou favoriser ce moment, en laissant croire qu'il y aurait une "normalité" qui consisterait à fêter ses parents ? Cela n'empêche pas au contraire de rappeler les règles de respect mutuel ou l'esprit de solidarité que se doivent les individus entre eux.

"Le passeport pour un pays de Prudence" lancé en son temps par Ségolène Royal avait permis de pointer certains risques y compris au sein de la famille qui reste le premier lieu de la maltraitance enfantine (singulièrement ce passeport ne semble plus accessible en ligne...).

Le choix des familles

Certaines familles refusent de fêter ce type d'évènements.

Parmi les raisons invoquées, l'exploitation commerciale de ce moment est souvent citée.

Certaines femmes en particulier, apprécient peu par ailleurs que ce moment soit l'occasion d'offrir à la femme des cadeaux qui l'enferment dans un rôle prédéfini (mère et ménagère) : on connaît ces cadeaux du type appareils ménagers censés "libérer la femme" comme le soulignait une campagne publicitaire alors que la véritable libération de la femme passerait par un partage équitable et véritable des tâches ménagères qui reste encore insuffisant.

L'école doit veiller à l'égalité entre les sexes, elle doit permettre aux enfants des deux sexes de dépasser les représentations sociales figées relatives au travail ou aux tâches qui seraient dévolues aux uns et aux autres: ainsi, un père doit-il pouvoir tout comme une femme rester au foyer, une femme piloter un avion ou diriger une entreprise, un homme faire preuve de douceur etc.

Ethique et laïcité

Si un enfant souhaitait, au sein de la classe, rédiger un texte pour une personne ou une autre, nous pouvons lui laisser un temps d'expression libre, mais il ne s'agirait pas alors d'un moment organisé où il s'agirait de devoir rendre compte de ses sentiments propres.

On verrait mal par exemple l'idée d'évaluer par une note un texte produit par un enfant à destination de l'un de ses parents.

Notre société est aujourd'hui traversée de tensions et de questions. L'école doit à la fois offrir un lieu protégé à l'enfant, mais elle ne doit pas masquer les questions ou prendre parti . Ce moment de "fête des mères", mine de rien, révèle aussi les tensions qui parcourent notre société et les représentations de la famille.

Combien de fois entendons-nous que tel modèle serait plus favorable qu'un autre ?

Les critiques entendues en salle des maîtres vis à vis des familles recomposées sont à ce titre édifiantes. Nous tendons souvent à trouver dans des causes extérieures les raisons de dysfonctionnements ou difficultés nouvelles.

C'est justement parce que nos convictions, nos représentations sont en cause, qu'il semble important de rester neutre et discret vis à vis de tels moments .

C'est aussi une façon de vivre la laïcité.

Puisque ce moment risque de heurter ne serait-ce qu'un seul enfant, qu'une seule famille... ne devons-nous pas observer la plus stricte neutralité à son égard ?

Et d'autres fêtes ?

Il est alors aisé de transposer et comprendre pourquoi des fêtes comme Noël ou Pâques ne sauraient être célébrées à l'école ou encouragées par celle-ci. N'oublions pas non plus la prudence vis à vis d'évènements comme Halloween... nous voyons bien la pression commerciale qui existe.

Cela n'empêche pas au contraire d'éduquer au fait religieux en instruisant les élèves du point de vue historique et culturel.

Certaines écoles ont su inventer des fêtes "laïques" qui peuvent avoir des proximités de calendrier avec les fêtes religieuses mais sans ambiguité.

Il faut parfois expliciter, par exemple aux familles de certaines confessions où il est interdit de fêter Noël que l'école veille à la neutralité et fait une fête qui n'est pas à relier au sentiment religieux ou aux croyances.

Témoigner des sentiments et partager des fêtes ?

Pour ce qui est des sentiments, l'expression des élèves sans intrusion ni "orientation" doit pouvoir exister... A l'école, un bon support d'expression des sentiments est la littérature de jeunesse et les albums où les élèves peuvent être conduits à exprimer leur point de vue, leurs sentiments personnels vis à vis des personnages de l'histoire.

La correspondance scolaire, les actions menées lorsqu'on va rencontrer le troisième âge à l'occasion d'un échange (produire et ou réciter une poésie pour des personnes âgées) permettent également de vivre des situations de communications fortes où des sentiments pourront s'exprimer, se partager souvent dans des moments de coopération et de solidarité.

L'école, la classe, peut également se donner des temps de fête à l'occasion d'évènements liés à la vie de l'école: une réussite collective, un projet mené à bien... Il est possible alors de proposer des temps festifs, de communication mais qui ne font référence ni aux croyances ni à des choix d'ordre privé.

Source : Prépaclasse.net

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Je me permets de reproduire le texte ici, il est vraiment intéressant. Merci Roserouge :)

Problème posé : devons-nous faire participer notre classe à la fête des mères ?

Chaque année, la question revient à la fois sur différentes listes de discussion ou par courrier.

Si pour certains collègues cela ne pose aucun problème et permet d'engager les élèves dans une activité de "travaux manuels" accompagnée ou non d'une production écrite, d'autres mesurent plusieurs difficultés et soulèvent en particulier le fait que certains élèves peuvent vivre des situations personnelles particulières (deuil, séparation).

Cet évènement risque alors, surtout face à leurs camarades d'être mal vécu.

Une collègue sur une liste, cite le cas d'un élève qui a jeté à la poubelle l'objet fabriqué en classe, une autre la problématique et la souffrance pour un enfant qui ne savait à qui offrir son cadeau etc.

Un collègue assure avoir "vérifié" qu'il n'y avait pas de situation particulière dans sa classe et qu'il pouvait alors engager ses élèves dans une activité de ce type... mais comment pourrions-nous affirmer qu'un seul de nos élèves ne connaît pas une situation délicate ?

Un évènement officiel

Cette fête , est une fête nationale (un texte de loi du 24 mai 1950 en précise la vocation). [Historique rapide]

Elle a lieu le dernier dimanche de mai depuis De Gaulle et permet d'honorer et de décorer les mères de familles nombreuses.

C'est là sa vocation première du point de vue de la Loi.

Historiquement, elle est l'héritière de diverses traditions, y compris religieuses, dont de nombreuses viennent de l'étranger.

On se souvient de l'intérêt que l'Etat Français, sous Vichy, avait mis dans cette célébration qui s'inscrivait dans le fil de sa devise " Famille, Travail, Patrie" devise placée on le sait au service de la collaboration de sinistre mémoire...

Dans l'éducation nationale ?

En cherchant dans les BO de l'Education Nationale, rien n'est publié sur ce thème ces dernières années, en revanche le terme de "fête des mères " est cité une fois dans une fiche des documents d'accompagnement des programmes : "grâce à l'écriture... on manifeste amitié ou tendresse (message pour un anniversaire, pour la fête des Mères)."

Le "M" majuscule est écrit tel que dans les programmes.

Il s'agit donc ici d'une proposition d'écriture destinée surtout à souligner que l'on peut écrire aussi pour manifester des sentiments.

Réflexion critique

Il n'apparaît pas que les textes exigent de nous, à l'école, que nous engagions les élèves à célébrer cette fête.

Il n'y a pas de fête "aux programmes" mais plutôt l'idée d'un thème qui pourrait contribuer à exprimer des sentiments (relation avec les valeurs du "vivre ensemble").

Il s'agit en effet d'une relation d'ordre privé entre l'enfant et sa famille et il ne nous appartient pas de venir suggérer un sentiment. Il y a une marge délicate entre l'expression d'un sentiment qui doit pouvoir se faire et le respect de l'intimité.

Le législateur a placé cette fête un dimanche. Il la réserve donc implicitement, à la sphère privée pour les manifestations familiales.

Le législateur a prévu par ailleurs des manifestations publiques extérieures à l'école, dont la vocation est de célébrer les mères "méritantes" . Celles qui ont eu beaucoup d'enfants se voient ainsi récompensées...

On notera d'ailleurs que les pères peuvent être aussi concernés.[Médaille de la famille].

On sait qu'aujourd'hui le modèle familial traditionnel a considérablement évolué : familles monoparentales, familles recomposées et autres configurations qui relèvent de choix privés.

A l'instar d'Elisabeth Badinter qui nous rappelle dans divers ouvrages que "l'instinct maternel " et l'amour maternel sont à relativiser (L'Amour en plus : histoire de l'amour maternel, XVII;-XX siècle, Flammarion, Paris 1980 ) , nous savons que les relations entre un enfant et ses parents sont complexes.

Il est très délicat d'agir dans ce domaine sans être intrusif: nous n'avons pas à savoir si les familles célèbrent chez elle cette fête, pas plus que nous n'avons à les interroger sur toute autre fête privée.

Aurions-nous à organiser ou favoriser ce moment, en laissant croire qu'il y aurait une "normalité" qui consisterait à fêter ses parents ? Cela n'empêche pas au contraire de rappeler les règles de respect mutuel ou l'esprit de solidarité que se doivent les individus entre eux.

"Le passeport pour un pays de Prudence" lancé en son temps par Ségolène Royal avait permis de pointer certains risques y compris au sein de la famille qui reste le premier lieu de la maltraitance enfantine (singulièrement ce passeport ne semble plus accessible en ligne...).

Le choix des familles

Certaines familles refusent de fêter ce type d'évènements.

Parmi les raisons invoquées, l'exploitation commerciale de ce moment est souvent citée.

Certaines femmes en particulier, apprécient peu par ailleurs que ce moment soit l'occasion d'offrir à la femme des cadeaux qui l'enferment dans un rôle prédéfini (mère et ménagère) : on connaît ces cadeaux du type appareils ménagers censés "libérer la femme" comme le soulignait une campagne publicitaire alors que la véritable libération de la femme passerait par un partage équitable et véritable des tâches ménagères qui reste encore insuffisant.

L'école doit veiller à l'égalité entre les sexes, elle doit permettre aux enfants des deux sexes de dépasser les représentations sociales figées relatives au travail ou aux tâches qui seraient dévolues aux uns et aux autres: ainsi, un père doit-il pouvoir tout comme une femme rester au foyer, une femme piloter un avion ou diriger une entreprise, un homme faire preuve de douceur etc.

Ethique et laïcité

Si un enfant souhaitait, au sein de la classe, rédiger un texte pour une personne ou une autre, nous pouvons lui laisser un temps d'expression libre, mais il ne s'agirait pas alors d'un moment organisé où il s'agirait de devoir rendre compte de ses sentiments propres.

On verrait mal par exemple l'idée d'évaluer par une note un texte produit par un enfant à destination de l'un de ses parents.

Notre société est aujourd'hui traversée de tensions et de questions. L'école doit à la fois offrir un lieu protégé à l'enfant, mais elle ne doit pas masquer les questions ou prendre parti . Ce moment de "fête des mères", mine de rien, révèle aussi les tensions qui parcourent notre société et les représentations de la famille.

Combien de fois entendons-nous que tel modèle serait plus favorable qu'un autre ?

Les critiques entendues en salle des maîtres vis à vis des familles recomposées sont à ce titre édifiantes. Nous tendons souvent à trouver dans des causes extérieures les raisons de dysfonctionnements ou difficultés nouvelles.

C'est justement parce que nos convictions, nos représentations sont en cause, qu'il semble important de rester neutre et discret vis à vis de tels moments .

C'est aussi une façon de vivre la laïcité.

Puisque ce moment risque de heurter ne serait-ce qu'un seul enfant, qu'une seule famille... ne devons-nous pas observer la plus stricte neutralité à son égard ?

Et d'autres fêtes ?

Il est alors aisé de transposer et comprendre pourquoi des fêtes comme Noël ou Pâques ne sauraient être célébrées à l'école ou encouragées par celle-ci. N'oublions pas non plus la prudence vis à vis d'évènements comme Halloween... nous voyons bien la pression commerciale qui existe.

Cela n'empêche pas au contraire d'éduquer au fait religieux en instruisant les élèves du point de vue historique et culturel.

Certaines écoles ont su inventer des fêtes "laïques" qui peuvent avoir des proximités de calendrier avec les fêtes religieuses mais sans ambiguité.

Il faut parfois expliciter, par exemple aux familles de certaines confessions où il est interdit de fêter Noël que l'école veille à la neutralité et fait une fête qui n'est pas à relier au sentiment religieux ou aux croyances.

Témoigner des sentiments et partager des fêtes ?

Pour ce qui est des sentiments, l'expression des élèves sans intrusion ni "orientation" doit pouvoir exister... A l'école, un bon support d'expression des sentiments est la littérature de jeunesse et les albums où les élèves peuvent être conduits à exprimer leur point de vue, leurs sentiments personnels vis à vis des personnages de l'histoire.

La correspondance scolaire, les actions menées lorsqu'on va rencontrer le troisième âge à l'occasion d'un échange (produire et ou réciter une poésie pour des personnes âgées) permettent également de vivre des situations de communications fortes où des sentiments pourront s'exprimer, se partager souvent dans des moments de coopération et de solidarité.

L'école, la classe, peut également se donner des temps de fête à l'occasion d'évènements liés à la vie de l'école: une réussite collective, un projet mené à bien... Il est possible alors de proposer des temps festifs, de communication mais qui ne font référence ni aux croyances ni à des choix d'ordre privé.

Source : Prépaclasse.net

Non, vraiment je n'y suis pour rien. Mais, ça ne veut pas dire que je ne vais pas fêter, ça va dépendre de la situation de chacun dans ma classe, s'il y a un élève pour qui ça pose problème je ne le ferais pas, mais, si il n'y a aucun souci, alors, je m'y mettrais !

Posté(e)
j'ai acheté des petits verres que l'on va remplir de sable coloré en plusieurs couches puis le tout sera bouché avec de la cire, puis l' on va piquer une rose

Ton idée m'interresse assez .. et à la place d'une rose je comptais mettre un fil de fer ayant la forme d'un porte photo (enroulé en spirale) et su lequel nous accrocherions le poème de la fête des mères. Mais comment le bouches tu avec la cire ?

Posté(e)

Titi 77 Le cadre de ta Pépette est une pure merveille !!!! :D

Posté(e)

Ce topic sur la fête des mères (ou la fête des parents selon les écoles) semblant être le plus gros de tous, je l'utilise pour joindre ce que ma fille a fait pour sa grand-mère :wub: : simple, pas cher du tout et très sympa.

C'est un mémo fabriqué avec du carton, des pinces à linge et de la peinture.

Si ça peut donner des idées.

Je n'avais pas vu que ce post était dans "projets maternelles", je vais mettre la photo dans "sensibilité, imagination...". :blush:

  • 1 année plus tard...
Posté(e)

Je relance le post. Je serai en stage en MS-GS durant trois semaines et la titulaire m'a demandé de faire le cadeau de la fête des mères. Après y avoir réfléchi, j'aimerai beaucoup travailler autour de l'écrit : exprimer ses sentiments par écrit : un acrostiche autour du mot maman pour les GS et une petite phrase gentille pour les MS ?

Qu'en pensez-vous ? Avez-vous d'autres idées ?

Posté(e)
Je relance le post. Je serai en stage en MS-GS durant trois semaines et la titulaire m'a demandé de faire le cadeau de la fête des mères. Après y avoir réfléchi, j'aimerai beaucoup travailler autour de l'écrit : exprimer ses sentiments par écrit : un acrostiche autour du mot maman pour les GS et une petite phrase gentille pour les MS ?

Qu'en pensez-vous ? Avez-vous d'autres idées ?

:D :D

J'aime assez ... Comment s'écrit le mot maman...

MCD

Posté(e)

Désolée mais je ne comprends pas ce que tu veux dire...

Posté(e)

Pour te dire que je t'aime

J'ai pris deux M à la crème

Avec deux A en chocolat

Plus un petit N en nougat

M A M A N

Ma bouche est pleine !

Mais il faut que j'apprenne

A mon estomac gourmand

Comment s'écrit le mot MAMAN !

LOLO :wub:

Posté(e)
Pour te dire que je t'aime

J'ai pris deux M à la crème

Avec deux A en chocolat

Plus un petit N en nougat

M A M A N

Ma bouche est pleine !

Mais il faut que j'apprenne

A mon estomac gourmand

Comment s'écrit le mot MAMAN !

LOLO :wub:

:D :D

Voilà... La solidarité des eudipiens :smile:

MCD

Posté(e)

Bjr

Petite question : j'aimerais faire pousser des oeillets d'inde et ainsi faire décorer le pot par mes élèves mais n'est-ce pas trop tard?

Posté(e)

Bonjour !

Mardi prochain je plante mes graines d'œillets d'inde ... :smile: on verra bien sinon je vais réfléchir à une solution de secours :smile:

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