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Marre de la violence...


Monsieurleprofesseur

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Je ne leur cherche pas d'excuses, j'essaie juste de comprendre ce qui peut amener à la violence. Avec le temps, j'ai appris à comprendre mon père, certains évènements de sa vie. Je ne l'ai JAMAIS excusé, mais le comprendre m'a aider à "assumer" cet ascendant. A en parler à mes enfants, SES petits enfants.

J'ai moi même été une "victime" à 15 ans. Je n'ai JAMAIS pardonné, mais j'ai toujours essayé de comprendre ce qui avait pu amener cet acte. Il faut avoir un "grain" comme tu le dis Neophyte, mais ce grain, il n'arrive pas tout seul. Donc, il y a des raisons, même si en effet, certaines pathologies sont là, bien présentes, peut-être dès la naissance, mais s'il y a pathologie, ça prouve bien quand même qu'il y a des "excuses". Je ne dis pas qu'il faut pardonner !

J'avais mal lu excuse moi

Si on prend un exemple concret, un élève dans ta classe pique crises de nerf sur crises de nerf se montrent violent...il me semble qu'un enseignant digne de ce nom va d'abord essayer de comprendre pourquoi cet enfant a une telle attitude, ce qui ne va pas l'empêcher de le punir et de ne pas accepter ce type de comportement. Mais si tu ne l'aides pas, si tu netrouves pas l'origine du problème...la punition sera t elle vraiment utile??

Tu vois ce que je veux dire?

C'est pas excuser les actes de violence que de les analyser, en chercher la cause et essayer d'agir en amont.

La répression sans prévention ne nous ménera à rien et vice versa d'ailleurs

Tout à fait d'accord :) ...

Moué je suis presque convaincu

:) au moins je te donne à réfléchir, c'est déjà ça ;)

;)

Néophyte, juste une question : si tu penses qu'on naît violent, qu'il y a de la mauvaise graine, alors ce doit être identique dans d'autres domaines chez les individus, et y compris au niveau des capacités intellectuelles.

Je sais que tu n'es pas enseignant (et donc, au passage, par quel chemin es-tu arrivé jusqu'ici ? ;) ça m'intrigue...), mais si tu l'étais, je suppose que tu partirais du même postulat.

Dans ce cas, comment arriverais-tu à concilier ton rôle avec ce positionnement ?

En clair : il n'y a rien à faire pour ceux qui ont des difficultés puisque les conditions de l'environnement n'y sont pour rien.

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Je reviens sur l'audiovisuel puisque c'est le sous-titre du post. Et en particulier la téloche.

Je ne pense pas que les télespectateurs confondent la fiction et la réalité. J'ai même tendance à penser qu'ils savent bien où se situe la réalité.

Et qu'elle est-elle ? Les infos violentes, oui, mais si c'est de l'info. Or malheureusement elle est traitée en spectacle. On l'a vu lors des révoltes de cet automne, comment faire parler de soi, de son groupe, de sa cité ? Ben en brûlant plus.

Le moyen de devenir "vedette" est de plus en plus axé sur le négatif, le violent. Autre exemple dans les "télé-réalité" affligeantes où des bonnes-femmes qui se prennent pour des tornades blanches vont faire le ménage et se débarasser de toutes les poubelles entassées depuis des mois. Mais qui est la vraie vedette ? La saleté, la pourriture, l'ignorance, la misère, et le spectacle n'existe que parce qu'une personne est bien dans le rouge du négatif. Et la super nani qui parvient à redresser la situation est-ce elle la vraie vedette ? Est-ce telle psychologue qui parvient à rabibocher un couple ? Non, la misère encore, matérielle ou intellectuelle. Tout n'existe que parce que le môme est un tyran, parce que le type est moitié alcoolo et parce que ça hurle dans la cuisine.

Ne parlons pas du vocabulaire des animateurs, de certains "intellectuels" et de plus en plus de politiques, vocabulaire "d'en-bas" pour faire bien ? Non pas "d'en bas" mais vulgaire.

tout le monde ne peut pas passer à la télé, alors, on se fait son petit écran avec son portable, et on devient vedette quand même, comme à la télé.

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Je reviens sur l'audiovisuel puisque c'est le sous-titre du post. Et en particulier la téloche.

Je ne pense pas que les télespectateurs confondent la fiction et la réalité. J'ai même tendance à penser qu'ils savent bien où se situe la réalité.

Et qu'elle est-elle ? Les infos violentes, oui, mais si c'est de l'info. Or malheureusement elle est traitée en spectacle. On l'a vu lors des révoltes de cet automne, comment faire parler de soi, de son groupe, de sa cité ? Ben en brûlant plus.

Le moyen de devenir "vedette" est de plus en plus axé sur le négatif, le violent. Autre exemple dans les "télé-réalité" affligeantes où des bonnes-femmes qui se prennent pour des tornades blanches vont faire le ménage et se débarasser de toutes les poubelles entassées depuis des mois. Mais qui est la vraie vedette ? La saleté, la pourriture, l'ignorance, la misère, et le spectacle n'existe que parce qu'une personne est bien dans le rouge du négatif. Et la super nani qui parvient à redresser la situation est-ce elle la vraie vedette ? Est-ce telle psychologue qui parvient à rabibocher un couple ? Non, la misère encore, matérielle ou intellectuelle. Tout n'existe que parce que le môme est un tyran, parce que le type est moitié alcoolo et parce que ça hurle dans la cuisine.

Ne parlons pas du vocabulaire des animateurs, de certains "intellectuels" et de plus en plus de politiques, vocabulaire "d'en-bas" pour faire bien ? Non pas "d'en bas" mais vulgaire.

tout le monde ne peux pas passer à la télé, alors, on se fait son petit écran avec son portable, et on devient vedette quand même, comme à la télé.

Paxfra :wub:

ça veut dire que je suis d'accord pas que je te fais des avances hein... ;)

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En bref pour conclure ces pathologies dont tu parles représentent une minorité des cas de violence, la majorité restante est plutôt une conséquence des effets de contexte donc ma petite Véro reste la voix de la sagesse :wub:

Moui j'ai pas dit le contraire! mais ce qui me gène, c'est que j'ai l'impression qu'on leur cherche des excuses du genre "s'il a fait ca, c'est pas sa faute c'est la faute au système ou à ceci ou à cela"... moi je trouve ca trop facile :(

Le problème Néo, c'est que si depuis tout petit la forme de communication qui t'a été imposé c'est la violence et surtout si tu n'as pas les moyens de développer d'autres modes de communication (l'enseignement, la thérapie...), c'est difficle de blamer la personne :(

En psycho, ça m'a posé problème parce que il y a un moment où j'aurais pu excuser toutes sortes de comportements puisque j'en comprenais l'origine...j'ai donc décidé de faire la part des choses, dans la vie si tu m'emmerdes je me laisse pas faire même si tu as de bonnes raisons d'être aussi con après lorsque tu es homme politique ou enseignant, il est capital d'arriver à voir plus loin que le bout de son nez sinon on avancera jamais...

Si on prend un exemple concret, un élève dans ta classe pique crises de nerf sur crises de nerf, se montre violent...il me semble qu'un enseignant digne de ce nom va d'abord essayer de comprendre pourquoi cet enfant a une telle attitude, ce qui ne va pas l'empêcher de le punir et de ne pas accepter ce type de comportement. Mais si tu ne l'aides pas, si tu ne trouves pas l'origine du problème...la punition sera t elle vraiment utile??

Tu vois ce que je veux dire?

C'est pas excuser les actes de violence que de les analyser, en chercher la cause et essayer d'agir en amont.

La répression sans prévention ne nous ménera à rien et vice versa d'ailleurs ;)

Bon ben voila ce que je voulais lire ;) Suis contente, on est entièrement d'accord !

Pour les exemples, j'en ai une quinzaine dans ma classe :P

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Je sais que tu n'es pas enseignant (et donc, au passage, par quel chemin es-tu arrivé jusqu'ici ? ;) ça m'intrigue...), mais si tu l'étais, je suppose que tu partirais du même postulat.

Je te trouve bien curieuse... et là ta curiosité est mal placée! :)

Je ne suis pas enseignant non, et si je suis ici c'est que j'ai de bonnes raisons, tu crois pas? :)

Si le milieu ne m'interessait pas, je n'aurais pas ma place ici! :)

Je pense tenter le CRPE pour tout te dire! donc je viens tater le terrain... :)

Et tu sais, je ne suis pas le seul à ne pas être enseignant ou à ne pas être à l'iufm... c'est pas pour autant que je ne sais pas de quoi je parle... :)

;)

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tout le monde ne peut pas passer à la télé, alors, on se fait son petit écran avec son portable, et on devient vedette quand même, comme à la télé.

un article du Monde, à ce propos

Les actes de violence sont de plus en plus filmés et diffusés par leurs auteurs ou des complices

Des émeutiers qui incendient une voiture et se prennent en photo ou se filment avec leur téléphone portable devant l'épave en feu, pendant la crise des banlieues, en novembre 2005. Des casseurs qui lancent des projectiles sur les forces de l'ordre, filmés par leurs camarades, pendant les manifestations anti-CPE (contrat première embauche) de mars. Des jeunes qui enregistrent des agressions et font circuler les images par Internet ou par téléphone, comme dans l'affaire de l'enseignante de Porcheville (Yvelines), frappée par un élève pendant qu'un autre filmait la scène, lundi 24 avril.

Des auteurs de violence n'hésitent pas à se mettre en scène, avec leur propre mobile ou devant l'objectif d'un camarade, au moment où ils commettent des délits. Les plus prudents se contentent de montrer ces images à leurs copains, dans les cours de récréation ou en petit comité. Une partie de ces fichiers circulent ensuite par MMS (messages multimédias, permettant l'envoi de photos ou de vidéos par téléphone portable) ou sont publiés sur des blogs.

Ces actes sont spectaculaires et s'intègrent dans l'utilisation croissante des téléphones mobiles pour filmer ou prendre des photos. Mais l'ampleur du phénomène concernant les actes de violence reste difficile à estimer. D'un point de vue judiciaire, quelques affaires seulement ont été identifiées. A Nice, fin 2005, les images du viol d'une collégienne ont été montrées par l'agresseur, mineur, sur son portable, au sein de l'établissement. La jeune fille était montrée en train de faire une fellation sous la contrainte. "C'est affreux pour la victime, qui a appris qu'une photo circulait", raconte Michel Redon, vice-procureur de Nice. L'instruction est en cours.

"NARCISSISME EFFRÉNÉ"

Lors des manifestations anti-CPE, des casseurs ont filmé des scènes de violence à de nombreuses reprises. Lorsque la Sorbonne était assiégée, ils immortalisaient les jets de projectiles ou les charges policières. Sur l'esplanade des Invalides, le 23 mars, au moment où de jeunes manifestants étaient agressés par des bandes venues de banlieue, quelques-uns ont filmé les violences qu'ils commettaient. Aucune personne n'a, toutefois, été interpellée suite à des vidéos diffusées sur le Net, alors que certaines l'ont été sur la base de photos publiées par la presse, selon la direction générale de la police nationale (DGPN). Le parquet de Paris n'est saisi d'aucune affaire de violence filmée sur téléphone portable.

Lorsqu'elles sont découvertes, les photos et les vidéos peuvent être utilisées par la justice, comme le seraient, par exemple, des images d'un système de vidéosurveillance. Lors des émeutes de l'automne 2005, deux jeunes ont ainsi été condamnés à neuf mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bobigny pour leur participation à des violences urbaines à Clichy-sous-Bois et Montfermeil (Seine-Saint-Denis), le 31 octobre. Ils avaient été interpellés pour avoir lancé des projectiles sur les forces de l'ordre. Les policiers avaient extrait plusieurs fichiers vidéo du téléphone portable de l'un d'entre eux. Une séquence montrait un des prévenus dansant autour d'un véhicule en feu. Une autre comprenait les commentaires d'un second émeutier criant : "On va leur niquer leurs mères à ces fils de pute (les forces de l'ordre) !" Un troisième prévenu, interpellé au même moment mais qui n'apparaissait pas sur les vidéos, a été relaxé.

Le vice-procureur de Nice voit dans ce phénomène l'expression d'un " narcissisme effréné". "Dans l'esprit de ceux qui font ça, l'objectif d'autovalorisation prime tout, même la notion de risque. Avant, ils se contentaient de se vanter. Là, ils peuvent avoir la preuve de ce qu'ils ont fait. Ils sont aussi dans la négation de la victime, en la transformant en objet", note Michel Redon.

Même analyse de la part de l'universitaire Pascal Lardellier, auteur du Pouce et la souris, enquête sur la culture numérique des ados (Fayard) : "Leurs actes n'ont de valeur que s'ils sont filmés ou photographiés. Certains jeunes sont très marqués par des jeux vidéo très violents et une culture de l'image trash : comme ils ont grandi le téléphone portable à la main, ils l'utilisent naturellement." Le chercheur relève que des phénomènes équivalents ont été signalés au Royaume-Uni. A Londres, la police doit faire face à un phénomène à la mode parmi les jeunes : le happy slapping ("joyeuse claque"). L'adolescent choisit une victime au hasard, l'agresse tout en filmant la scène sur un téléphone et diffuse les images sur Internet. La police a recensé deux cents cas en six mois.

Luc Bronner et Mustapha Kessous

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Pour ceux que cela interesse :

http://enfanceteledanger.free.fr/

La télévision est la première éducation (1400 h/an contre 850 h à l'école et 38 mn de conversation parents/enfants) par imprégnation fusionnelle permanente.

Qu'imprime-t-elle dans les esprits, les consciences et les inconsciences ? - les violences - les dérives - le non-respect - les déviances - les crimes - les attentats - les incendies - les braquages - les tortures ou bien encore l'argent facile - la manipulation - l'image dégradée de la femme servent de toile de fond.

Au fur et à mesure que les télévisions, via la pub et l'audimat, s'enrichissent, la société souffre, se destructure et s'appauvrit. Les dégâts humains, scolaires, sociaux sont supportés sous forme d'impôts par l'ensemble de la société.Les dégradations sont plus rapides que les remédiations.

Chaque jour, la démocratie perd du terrain.

A titre individuel, en tant que Parents-Responsables, nous avons le devoir de PROTEGER NOS ENFANTS et de développer leur ESPRIT CRITIQUE et leur ESPRIT DE CREATION et D'ENTREPRISE pour leur permettre d'être ACTEURS DE LEUR VIE.

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Je ne pense pas que les télespectateurs confondent la fiction et la réalité. J'ai même tendance à penser qu'ils savent bien où se situe la réalité.

Les adultes peut-être...mais les enfants...les ados...

Quand on voit que certains bébés sont "gardés"' par la télé...quel impact sur leur comportement ?

Je ne suis pas sûre que certains ados distinguent bien la réalité de la fiction...en tous cas je suis convaincue de l'influence de la télé sur le comportement.

Je viens de commander ce livre, je vous dirais...

Comment la télé et les jeux vidéos apprennent aux enfants à tuer

de David Grossman, René Blind, Michael Pool

Plus de détails...

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Une école de la violence.

Un petit américain qui consomme 3h00 de TV par jour aura été témoin avant 12 ans de 8000 meurtres et 100 000 actes violents (American Psychological Association Talk Force).

En France :

• En prime time, les chaînes généralistes comportent plus de scènes violentes que leurs homologues américaines. Sophie Jéhel "les écrans de la violence"

• L'impact de la violence à la TV est d'autant plus grave que, dans la majorité des fictions, la notion de transgression du passage à l'acte violent est tout simplement évacuée ;

- 73 % des actes violents ne sont pas sanctionnés.

- Ils sont indifféremment le fait des personnages négatifs et positifs

• Si un ado est déprimé ou fragilisé par un évènement extérieur, ce qu'il voit à l'écran peut lui apparaître comme une solution à son malaise intérieur, il se laisse envahir par l'image et il y a risque de passage à l'acte. (Samuel Lepastier)

• Le milieu social jouera un rôle déterminant.

• Si l'enfant n'arrive pas à se libérer d'une image violente par des mots, le jeu ou le dessin, il peut passer à l'acte. (Serge Tisseron)

• Un enfant apprend à la TV des comportements qu'il reproduira plus tard. (Claude Allard)

• L'enfant jeune ressent la violence à la TV comme une violence réelle. (Claude Allard)

Violences : les écrans en accusation.

Reportage France5 le 09 mai 2003, 16h00

Etude sur 25 ans

C'est le temps passé devant la télévision qui pousse les enfants à développer leur agressivité.

Le risque de commettre un acte violent est 5 fois plus élevé pour les enfants qui regardent la télévision plus de 3 heures par jour que ceux qui la regardent moins de 1 heure par jour.

Le nombre de crimes aurait été multiplié par 8 depuis l'apparition massive des téléviseurs.

Une expérience IRM (Image à Résonance Magnétique) faite sur des jeunes pendant qu'ils regardaient des scènes de violence montre que la zone activée du cerveau correspond précisément à celle où s'impriment les chocs traumatiques (comme le viol par exemple). OR, c'est une zone d'oubli et de rappels rapides de l'information traumatique. Autrement dit, en cas d'agression c'est elle qui enclenche le signal "répondre par l'agression"

source

PS : M. Claude Allard , pédopsychiatre, et directeur du Centre Médico Psycho Pédagogique de Sgdb ; M Claude Allard est également un des spécialistes français sur les l’impact psychologique des images sur le psychisme des enfants. Il a écrit plusieurs ouvrages dont l’ « Enfant au Siècle des Images » publié il y a deux ans chez Albin Michel. Claude Allard est également membre du CIEM. (réé en Juillet 2002, le Collectif Interassociatif Enfance et Média (CIEM) a pour objet de promouvoir la socialisation de l'enfant et de l'adolescent à l'âge du multimédia, de représenter leurs intérêts et de favoriser la recherche et le dialogue entre éducateurs, familles, professionnels et usagers des médias, Pouvoirs Publics et chercheurs dans ce domaine.)

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Télévision et fonction parentale

« TÉLÉVISION ET FONCTION PARENTALE »

réalisée pour la Caisse Nationale des Allocations Familiales

par

Élisabeth BATON-HERVÉ

Docteur en Sciences de l’information et de la Communication

Janvier 2004

Avec le concours du Comité Scientifique du CIEM

Claude Allard et Sophie Jehel

et de l’Union Nationale des Associations Familiales

Un peu long mais interessant ( 76 pages)

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je sais plus où, ah si peut-être dans un Monde de l'Educ? ou alors dans CAF magazine, hahahaha !

bon bref, je souscris au fait que les enfants ont d'abord besoin de se construire dans le réel. Pour leur apprendre ce qu'est un chien, mieux vaut leur montrer dans la rue au milieu du troupeau qu'à la téloche.

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je sais plus où, ah si peut-être dans un Monde de l'Educ? ou alors dans CAF magazine, hahahaha !

bon bref, je souscris au fait que les enfants ont d'abord besoin de se construire dans le réel. Pour leur apprendre ce qu'est un chien, mieux vaut leur montrer dans la rue au milieu du troupeau qu'à la téloche.

Oui, monde de l'educ d'avril...

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