Rechercher dans la communauté

Je lance ce topic ici, mais il concerne plutôt les actifs. C'est pour partager des infos et comprendre comment ça fonctionne.

Bonjour, Il me semble que le sujet avait été abordé sur le forum : En 1992/1993, j’ai été allocataire d’une certaine somme pour effectuer ma première année à l’IUFM. Cette allocation permettait et a permis de bénéficier d'un "boost" de 4 mois pour l'avancement. Mais elle devait permettre également de valider 4 trimestres de cotisation pour la retraite. Or dans le récapitulatif de carrière, ces 4 trimestres n’apparaissent pas. Pourtant il y a bien une loi qui a été votée et elle n'est pas abrogée à ce jour : la dernière mise à jour date de la date du vote soit le 27 juillet 1991 : https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000006450823 Y en a-t-il sur le forum qui sont concernés par cette mesure et qui ont des informations sur ces 4 trimestres qui n’apparaissent pas ? Merci,

Coucou, connaissez vous des avocats spécialisés dans l'étude des droits à la retraite du personnel de l'éducation nationale ? Je voudrais savoir si ill existe des recours pour faire valoir mon départ à 57 ans ? En effet lors de ma demande d'intégration dans le corps de prof des écoles je pensais totaliser 18 ans d'ancienneté, or ma gestionnaire avait omis de me signaler que mes 4 ans de congé parental n'etaient pas comptabilisés d'ou un total de services actifs de 14 ans 7 mois et 28 jours et la perte d'une retraite à 57 ans (puisqu'il fallait 15 ans de services actifs). Peut-être qu,une étude approfondie des textes pourraient me permettre de faire prendre en compte les 4 mois manquants ? Un ou une collègue dans la même situation (et je ne suis pas seule !) a peut être déjà effectué cette démarche et trouver la faille !!! Merci à tous.

Bonjour, j'ai hésité à poster dans "loisirs", mais je pense que ce sera plus lu ici. J'ai l'âge de partir en retraite, mais j'hésite encore. J'ouvre ce topic pour en discuter avec ceux et celles qui sont dans le même cas. Première question : les délais. Je viens de voir sur une circulaire que j'avais négligée que c'est maintenant centralisé au niveau national. De ce que j'ai vu autour de moi dans le cas des collègues partis l'an dernier, la demande devait se faire avant fin décembre pour l'année suivante. C'est ce que je croyais... et ça me laissait le temps de la réflexion. Et de faire mes calculs. J'ai lu attentivement la circulaire, et là, stupeur ! Ben alors pour la rentrée 2020, c'est déjà trop tard ? Pourquoi dans le privé ils auraient deux mois de préavis et nous 11 mois ? Je trouve ça vraiment aberrant. Qui a des infos là-dessus ?

Bonjour, je pense démissionner de l'éducation nationale l'an prochain. J'ai des ennuis de santé de plus en plus grands et je ne peux tenir debout que 20 minutes d'affilées. Je ne peux plus faire ni sport , ni piscine car il faut faire cours là où je suis et il faut rester quasi 2h debout le temps de déshabilage-habillage et autres séchage de cheveux. Pour l'année 2017-2018, j'ai obtenu grâce à un dossier plus une RQTH, un temps partiel médical . J'ai 8h de moins sur mes heures, payée à plein temps sauf ISAE je suppose. J'ai bien compris que ce n'était pas gagné dès le départ car le médecin du travail que je suis allée voir m'a carrément dit que je n'aurai aucune chance alors que mon dossier est assez lourd. J'ai eu la chance de me tromper dans mon dossier et j'ai dû aller voir des gens à l'Inspection Académique qui m'ont soutenu lors de la commission. Je sais que je peux refaire un dossier pendant encore deux ans mais même si mon cas est important, ils ne pourront pas me donner autant (une collègue a obtenu le premier coup la même chose que moi, puis 5h de moins pour arriver à 2h de moins). Je me dis que tant qu'à faire, comme je ne me sens pas bien ni dans mon école, ni dans ma ville , ni dans mes baskets, il vaut mieux démissionner et aller voir ailleurs, surtout quand on a affaire à une maison de fous (je pense à Astérix et Obélix). Voilà mes questions : si j'arrive à faire une micro entreprise pendant quelques années (genre deux ans) aurais-je le droit au chômage si celle-ci périclite au bout de la troisième année ? J'ai été institutrice 15 ans et pour le moment, nous gardons le droit de partir à 57 ou 58 ans. J'aurai 50 ans cette année. Aurais-je toujours ce droit si je démissionne (et que le gouvernement ne nous change pas nos droits) ? Merci à ceux et celles qui répondront.

5% des ISSR, comme toutes les indemnités, sont retenues pour RAFP (Retraite Additionnelle de la Fonction Publique). En gros 1 euros cotisé, deux points, car l’état participe aussi au même montant. A la retraite, si moins de 5125 points, versement d'un capital. Sinon rente amortie sur 23 ans. Pour faire simple, pour 2000 euros d'ISSR dues sur 1 an, on est prélevé de 100 E, et on touchera 200 euros en capital... au moment de la retraite. Ou moins de 10 euros par AN !!! de rente. Si on la touche jusqu'à 100 ans, bénéf de… 100 euros. Non, pas par mois, bénéf total. Conclusion, il est mieux d’éviter de dépasser ce seuil de 5125 points, et toucher le capital environ 5500 euros max... Les indemnités touchées par un grand nombre de PE sont l’ISAE, l’indemnité de résidence, et les indemnités REP REP+, et surtout les ISSR de remplaçants. Un cumul peut amener à environ 650 points par an (plafonné à 20% du salaire brut). La RAFP a été créée en 2005 pour rendre en compte les indemnités pour la pension...

Bonjour à tous, chers membres enseignants du primaire. Je suis un instituteur "de campagne" retraité depuis peu. J'écris ici pour vous parler de ma dernière année de classe, dont j'ai fait le récit au jour le jour sur un journal de bord, et qui a été publié récemment. En voici la préface: "Lorsque j'ai écrit ce journal, je n'ai jamais pensé un instant qu'il serait publié un jour. Le soir de la rentrée, machinalement et parce que je DOIS écrire, j'ai raconté cette première journée à ma façon, avec mon cœur. J'ai recommencé le deuxième soir puis le troisième, le quatrième... Ceci pour insister sur le fait que ces textes traduisent mes sensations, mes sentiments au jour le jour. Ils sont à la fois totalement subjectifs et spontanés, c'est-à-dire sincères. Ils n'ont été écrits en aucun cas pour donner la moindre leçon, indiquer la moindre piste, me donner en exemple ou me mettre en valeur. Certains passages paraîtront ridicules, exagérés, moralisateurs, contradictoires, faux. Il le sont certainement comme peuvent l'être nos cris de coeur tout au long des dix mois d'une période exceptionnelle de notre existence. Ne voyez donc dans ces pages qu'un témoignage brut - brutal - de ma dernière année de classe. À travers mes émotions et le fouillis de mes sentiments, je serais ravi si vous y trouviez ici et là, brillant comme une pépite, quelque éclat de votre enfance ou de votre expérience. C'est mon vœu le plus cher." Loin de moi l'idée d'en faire la promotion au sein de ce forum ; je tiens simplement à partager avec vous ce sujet qui, me semble-t-il, est au coeur de l'actualité, car ce récit soulève une interrogation majeure quant à la place de l'instituteur au sein du système éducatif français. Si cet article a attisé votre curiosité, vous pouvez lire quelques extraits du livre ici.