élève qui m'insulte et me "tape"

[Yaka...]

Moi, je ne peux même pas faire ça. J'ai testé encore une fois hier et le résultat a été flagrant. Ma collègue m'a dit : "je n'en veux pas ; tu t'en débrouilles" et m'a fermé la porte au nez.

Sympa la collègue !

Tu ne serais pas dans mon école? car c'est le genre de remarques ...

Mon élève dont il est question dans ce post m'a bien saoulée aujourd'hui, l'assistante sociale était chez lui, ça ne lui plaisait pas, il s'est "vengé"; et gentille Bibi que je suis, j'ai pris en plus un élève d'une collègue qui ne s'en sort plus avec, je l'ai pour quelques jours....par contre, quand c'est pour m'aider y'a personne!

Je suis trop "co..." d'un autre côté, je n'aime pas voir un collègue galérer avec un élève, donc je les aide à chaque fois; mais ce n'est aps réciproque

Je crois qu'un jour ça va vraiment me saouler, et là, faudra plus m'envoyer qui que ce soit

[Laetitia81]

Bonjour Yaka,

Je n'ai jamais posté sur ce post, car l'année dernière j'ai eu une mauvaise année, que j'ai alimenté...avec une élève difficile...

Je sais ce que c'est quand on se sent seule.

C'est pour ça, j'évite de poster sur ces sujets car encore trop douloureux.

Mais je tiens à t'envoyer tout mon soutien, même si ça ne te réconforte pas.

Cette année, une collègue a de gros soucis avec un élève, l'équipe a bougé quand elle a craqué devant nous.

Moi l'année dernière, je n'ai jamais pleuré devant mes collègues (sauf un qui m'a soutenue toute l'année, et qui m'a fait tenir le coup comme on dit.), donc ils ne savaient pas dans quel état j'étais apparemment...Bref ça n'a pas bougé.

Alors que lorsque la collègue a craqué, toute l'équipe s'est bougé.

C'est con ce que je dis, mais pourtant, ça a fait la différence.

Je t'apporte pas de solutions, car dans ces cas là, à part exclure l'élève de la classe, y a rien d'autre à faire, et les collègues n'en veulent pas.

Donc tu restes dans ta "merde" et tu te débrouilles.

Par contre, sois rancunière un peu, des fois quand on ouvre sa "gueule", ça sert.

Moi non plus, je sais pas faire mais là tes collègues abusent.

Prend ton courage à deux mains, et tape du poing !

Tu aides mais on ne t'aide pas, c'est ça le travail d'équipe ???

Courage à toi.

Mille pensées pour toi.

[Yaka...]

Par contre, sois rancunière un peu, des fois quand on ouvre sa "gueule", ça sert.

Moi non plus, je sais pas faire mais là tes collègues abusent.

Prend ton courage à deux mains, et tape du poing !

Tu aides mais on ne t'aide pas, c'est ça le travail d'équipe ???

Courage à toi.

Mille pensées pour toi.

Merci pour ton soutien

Je l'ai déjà dit à des collègues, mais malgré tout, je ne peux pas laisser une collègue galérer avec un élève.

Je sais ce que c'est que de galérer avec un élève qui a de gros troubles psychiatriques, je ne veux pas que d'autres le subissent.

Et je me dis que malgré tout, ça ne me dérange pas plus que ça de prendre des élèves des collègues, puisqu'avec moi ils se tiennent tranquilles, mais à force, ça fiat du monde dans ma classe!

[chamie]

Ca me rassure, ce que tu dis, Laetitia.

J'ai déjà vécu ça : les collègues qui se font plaindre, pour qui on est aux petits soins... alors que moi je peux être au bord du gouffre et personne ne voit rien. Je me disais que ça venait de moi, que je ne savais pas partager mes souffrances... mais je vois que je ne suis pas la seule. Ca doit être une question de caractère.

Yaka,

quand tu prends un élève dans ta classe, tu le fais pour l'élève, pas pour le/la collègue, non ?

C'est le principal.

Enfin bon, je te trouve quand même bien sympa de supporter une telle ambiance, surtout avec l'effectif que tu as dans ta classe. Je crois malheureusement que quand on est sympa, les autres ne reconnaissent pas nos efforts, mais en profitent au contraire pour en abuser, et nous charger encore la barque.

[Laetitia81]

Ca me rassure, ce que tu dis, Laetitia.

J'ai déjà vécu ça : les collègues qui se font plaindre, pour qui on est aux petits soins... alors que moi je peux être au bord du gouffre et personne ne voit rien. Je me disais que ça venait de moi, que je ne savais pas partager mes souffrances... mais je vois que je ne suis pas la seule. Ca doit être une question de caractère.

Eh oui, de toute façon, on a son propre seuil de tolérance, certains résistent, tiennent, même s'ils sont épuisés physiquement et moralement...Alors que certains (une minorité heureusement) se mettent en arrêt maladie pour des raisons qui ma foi me paraissent inconcevables...

Chacun réagit à sa façon, face à la souffrance, la difficulté...

[K-ro13]

Ca me rassure, ce que tu dis, Laetitia.

J'ai déjà vécu ça : les collègues qui se font plaindre, pour qui on est aux petits soins... alors que moi je peux être au bord du gouffre et personne ne voit rien. Je me disais que ça venait de moi, que je ne savais pas partager mes souffrances... mais je vois que je ne suis pas la seule. Ca doit être une question de caractère.

Eh oui, de toute façon, on a son propre seuil de tolérance, certains résistent, tiennent, même s'ils sont épuisés physiquement et moralement...Alors que certains (une minorité heureusement) se mettent en arrêt maladie pour des raisons qui ma foi me paraissent inconcevables...

Chacun réagit à sa façon, face à la souffrance, la difficulté...

Et oui... dans mon école, je "croise" certaines de mes collègues qui ne mangent pas à l'école et qui se sauvent à 11h30 et 16h30. Forcément, elles ne peuvent pas voir quand ça ne va pas pour les autres. Moi j'ai resisté jusqu'à la rentrée de février, personne n'a rien vu jusqu'à ce que je me mette à pleurer devant ma directrice et la collègue qui mange avec moi et qui me demandait si ça allait (la question qui fait pleurer quand ça va vraiment pas). Depuis, les autres ont l'air plus prévenantes, mais c'est pas pour ça que ça va mieux...

Bon courage à toutes!

[chamie]

Ce n'est peut-être pas l'endroit pour en parler, mais ce soir, ça ne va pas.

J'ai quitté l'école avec les larmes aux yeux, après avoir discuté longuement avec les 2 ATSEMs (j'en ai une le matin et une autre de 14h à 15h). Je sentais qu'il y avait un malaise aujourd'hui avec elles, donc je suis allée les voir ce soir pour leur demander ce qu'elles avaient à dire, pour l'équipe éducative de demain soir. Et là, elles ont dit ce qu'elles avaient sur le coeur. Ca m'a fait mal, mais au moins, le dialogue est rétabli (il ne l'était plus avant mon arrêt ; plus personne ne me disait rien).

Bref, j'ai l'équipe éducative demain soir pour mon élève difficile.

Je dois la préparer ce soir. Et j'en suis malade d'avance. J'ai peur de craquer devant les parents.

J'ai 12 pages de notes (depuis février, je note chaque soir les "incidents" de la journée). Je dois les relire pour voir ce que je vais dire à l'équipe éducative. Mais je sens que ça va être douloureux de se dire que "tout ça" arrive dans ma classe "à moi".

Comment mener la réunion, sachant que je suis à la fois directrice et enseignante ?

J'ai peur que les parents ne croient pas ce que je vais leur raconter tellement le comportement de leur fils est terrible en classe. J'ai bien mis parfois des mots dans le cahier, mais ils n'imaginent sûrement pas l'enfer qu'on vit au quotidien, les élèves et moi-même. Il tape sans raison, jette des objets dans la classe quand il est en crise, refuse de travailler, insulte... Pour limiter les crises, j'ai fait un contrat avec lui cette semaine (il y a 4 points et on colle chaque soir pour chaque point des gommettes rouges ou vertes). Du coup, je suis plus souple avec lui... mais les ATSEMs me disent qu'il fait ce qu'il veut, qu'il est le "roi" dans la classe.

Je veux bien des conseils pour l'équipe éducative. Je n'en ai vécu qu'une seule, 2 mois après avoir débuté quand j'étais T1. C'est le psychologue scolaire qui l'avait animée car j'étais jeune directrice. Mais là, c'est à moi de gérer ça.

[malice2]

Malice est-ce que tu as essayé de lui faire un "plan de travail" qu'elle ferait, dans son coin, en autonomie ?...

quitte à ce qu'elle le fasse chez la collègue... mais dans ce cas, elle n'a pas d'aide... peut-être que petit à petit elle se rendra compte qu'elle a besoin de toi... ???

Je vais essayer de mettre en place un co ntrat de vie et de comportemen scolaire avec l'aide de ma directrice. Mais suite à l'équipe d'aujourd'hui j'ai des gros doutes, en clair on m'a dit que je n'avais aucune autorité ( hors à chaque visite lors de mes stages iufm, conseillers péda et autre on m'a toujours dit que je faisais preuve d'une autorité bienveillante et que je faisais preuve de fermeté à bon escient). Vraiment ça me met en colére et en plus pour couronner le tout on me pousse à bout et on s'étonne que je ne puisse pas résister. (J'ai fini en larmes) Apparemment les problèmes ne viennent pas seuls de l'élève mais de moi....mais alors que va-t-il encore se passer d'ici la fin de l'année? Est ce que le contrat est vraiment utile, étant donné que le problème vient de mon contact avec cette élève?

Je me remets totalement en doute et je ne sias plus quoi penser?

Ce n'est peut-être pas l'endroit pour en parler, mais ce soir, ça ne va pas.

J'ai quitté l'école avec les larmes aux yeux, après avoir discuté longuement avec les 2 ATSEMs (j'en ai une le matin et une autre de 14h à 15h). Je sentais qu'il y avait un malaise aujourd'hui avec elles, donc je suis allée les voir ce soir pour leur demander ce qu'elles avaient à dire, pour l'équipe éducative de demain soir. Et là, elles ont dit ce qu'elles avaient sur le coeur. Ca m'a fait mal, mais au moins, le dialogue est rétabli (il ne l'était plus avant mon arrêt ; plus personne ne me disait rien).

Bref, j'ai l'équipe éducative demain soir pour mon élève difficile.

Je dois la préparer ce soir. Et j'en suis malade d'avance. J'ai peur de craquer devant les parents.

J'ai 12 pages de notes (depuis février, je note chaque soir les "incidents" de la journée). Je dois les relire pour voir ce que je vais dire à l'équipe éducative. Mais je sens que ça va être douloureux de se dire que "tout ça" arrive dans ma classe "à moi".

Comment mener la réunion, sachant que je suis à la fois directrice et enseignante ?

J'ai peur que les parents ne croient pas ce que je vais leur raconter tellement le comportement de leur fils est terrible en classe. J'ai bien mis parfois des mots dans le cahier, mais ils n'imaginent sûrement pas l'enfer qu'on vit au quotidien, les élèves et moi-même. Il tape sans raison, jette des objets dans la classe quand il est en crise, refuse de travailler, insulte... Pour limiter les crises, j'ai fait un contrat avec lui cette semaine (il y a 4 points et on colle chaque soir pour chaque point des gommettes rouges ou vertes). Du coup, je suis plus souple avec lui... mais les ATSEMs me disent qu'il fait ce qu'il veut, qu'il est le "roi" dans la classe.

Je veux bien des conseils pour l'équipe éducative. Je n'en ai vécu qu'une seule, 2 mois après avoir débuté quand j'étais T1. C'est le psychologue scolaire qui l'avait animée car j'étais jeune directrice. Mais là, c'est à moi de gérer ça.

Je ne sais pas trop comment te conseiller? Je me rens compte que ta situation n'est pas évidente et ton contrat ne fonctionne pas (moi c'est ce que je crains) . J'espére que d'autres pourront t'aider.

[del-12-01-10]

Malice est-ce que tu as essayé de lui faire un "plan de travail" qu'elle ferait, dans son coin, en autonomie ?...

quitte à ce qu'elle le fasse chez la collègue... mais dans ce cas, elle n'a pas d'aide... peut-être que petit à petit elle se rendra compte qu'elle a besoin de toi... ???

Je vais essayer de mettre en place un co ntrat de vie et de comportemen scolaire avec l'aide de ma directrice. Mais suite à l'équipe d'aujourd'hui j'ai des gros doutes, en clair on m'a dit que je n'avais aucune autorité ( hors à chaque visite lors de mes stages iufm, conseillers péda et autre on m'a toujours dit que je faisais preuve d'une autorité bienveillante et que je faisais preuve de fermeté à bon escient). Vraiment ça me met en colére et en plus pour couronner le tout on me pousse à bout et on s'étonne que je ne puisse pas résister. (J'ai fini en larmes) Apparemment les problèmes ne viennent pas seuls de l'élève mais de moi....mais alors que va-t-il encore se passer d'ici la fin de l'année? Est ce que le contrat est vraiment utile, étant donné que le problème vient de mon contact avec cette élève?

Je me remets totalement en doute et je ne sias plus quoi penser?

Ce n'est peut-être pas l'endroit pour en parler, mais ce soir, ça ne va pas.

J'ai quitté l'école avec les larmes aux yeux, après avoir discuté longuement avec les 2 ATSEMs (j'en ai une le matin et une autre de 14h à 15h). Je sentais qu'il y avait un malaise aujourd'hui avec elles, donc je suis allée les voir ce soir pour leur demander ce qu'elles avaient à dire, pour l'équipe éducative de demain soir. Et là, elles ont dit ce qu'elles avaient sur le coeur. Ca m'a fait mal, mais au moins, le dialogue est rétabli (il ne l'était plus avant mon arrêt ; plus personne ne me disait rien).

Bref, j'ai l'équipe éducative demain soir pour mon élève difficile.

Je dois la préparer ce soir. Et j'en suis malade d'avance. J'ai peur de craquer devant les parents.

J'ai 12 pages de notes (depuis février, je note chaque soir les "incidents" de la journée). Je dois les relire pour voir ce que je vais dire à l'équipe éducative. Mais je sens que ça va être douloureux de se dire que "tout ça" arrive dans ma classe "à moi".

Comment mener la réunion, sachant que je suis à la fois directrice et enseignante ?

J'ai peur que les parents ne croient pas ce que je vais leur raconter tellement le comportement de leur fils est terrible en classe. J'ai bien mis parfois des mots dans le cahier, mais ils n'imaginent sûrement pas l'enfer qu'on vit au quotidien, les élèves et moi-même. Il tape sans raison, jette des objets dans la classe quand il est en crise, refuse de travailler, insulte... Pour limiter les crises, j'ai fait un contrat avec lui cette semaine (il y a 4 points et on colle chaque soir pour chaque point des gommettes rouges ou vertes). Du coup, je suis plus souple avec lui... mais les ATSEMs me disent qu'il fait ce qu'il veut, qu'il est le "roi" dans la classe.

Je veux bien des conseils pour l'équipe éducative. Je n'en ai vécu qu'une seule, 2 mois après avoir débuté quand j'étais T1. C'est le psychologue scolaire qui l'avait animée car j'étais jeune directrice. Mais là, c'est à moi de gérer ça.

Je ne sais pas trop comment te conseiller? Je me rens compte que ta situation n'est pas évidente et ton contrat ne fonctionne pas (moi c'est ce que je crains) . J'espére que d'autres pourront t'aider.

Malice, qui t'a dit que tu manquais d'autorité??????

Ne te remets pas trop en cause sachant que tes formateurs IUFM t'ont toujours dit que ça allait de ce côté là !

Et puis, dans notre école un enfant a vraiment pété les plomb dans une classe, ça ne passait plus du tout avec son instit. Pendant 2 mois, il n'est plus allé dans sa classe le directeur et moi l'avons pris (moi le lundi, le directeur le reste du temps) biensûr l'IEN/les parents étaient au courant et OK. ça a fait du bien. L'enfant est retourné dans sa classe et il sait que s'il repète les plombs, on recommencera !

Bref, ceux qui te dise que le problème viens aussi de toi ont qu'à la prendre la petite !

Tu ne peux pas la mettre qqs jours dans une autre classe?

Est-ce que tes collègues te soutiennent?

il y avait qui à l'Eq Educaive?

Et les parents, ils en pensent quoi?

courage ma belle !

Chamie la position directrice/enseignante n'est vraiment pas facile.

J'avais une collègue dans cette situation du coup j'étais allée avec elle pour qu'elle ne soit pas seule. Je n'avais pas beaucoup paticipé mais ça l'avait beaucoup rassurée, elle se sentait soutenu et puis je jouais le rôle de "tampon" je reformulais les dire des 2 côtés... je pense que ça avait bien fait baisser les "tensions".

Demandes à une collègue avec qui tu t'entends bien de jouer ce rôle, si tu penses que ça peut t'aider, te rassurer...

[chamie]

CA dépend ce que l'on appelle "ne pas fonctionner".

Le 4e point du contrat est : "je reste assis à ma table et je fais un travail". Pour moi, l'objectif est qu'il reste assis, même si c'est pour faire un puzzle (les puzzles font partie du cahier de travail individuel de chaque élève).

Mais les ATSEMs me renvoient qu'il n'a pas à choisir ce qu'il veut faire, qu'il doit être avec son groupe et faire ce qu'on lui demande. Oui, sauf que si j'exige ça de lui, je vais passer mon temps à le "cadrer" et je ne travaillerai plus avec les autres. Je préfère qu'il fasse un puzzle, si ça peut permettre qu'il reste assis. Donc, pour moi, le contrat fonctionne dans ce cas.

Je ne suis peut-être pas bien claire, là.

[chamie]

My6907,

je n'avais pas vu ton message.

J'allais poser la même question à Malice. Qui a dit que le problème venait d'elle ?

En ce qui me concerne, je sais que c'est exactement ce que pensent mes collègues et les ATSEMs : le problème vient de moi et de la relation que j'ai avec cet élève. Il faudrait le cadrer davantage, ne rien laisser passer et patati et patata.

Sauf que j'ai essayé de faire ça lundi matin (à mon retour, suite à mon arrêt maladie) et ça été super difficile pour moi et pour l'élève. Il a fini par pêter un câble parce que j'étais tout le temps sur son dos, et il a tout envoyé valdinguer à travers la classe.

Je veux bien être ferme, mais stresser toute la classe (et moi-même) pour finir par avoir une crise de nerfs de l'élève en question, je ne vois pas l'intérêt.

Enfin bon, tout ça pour dire que Malice, je te comprends. C'est difficile à vivre, de telles accusations, et si les gens pensent ça, ils n'ont qu'à proposer des solutions (autre que celle qui consiste à mettre l'instit en arrêt, bien sûr).

My6907,

pour ce qui est d'avoir un soutien mes collègues, c'est impensable. Elles sont 2, elles critiquent, mais elles ne viendraient pas à l'équipe éducative (ou alors, si elles viennent, ce sera pour aller dans le sens d'une accusation, pour dire que tout est de ma faute). Par contre, il y aura le maître G et lui, il est vraiment super. Je sais qu'il me soutiendra, tout en apportant son regard d'enseignant spécialisé.

[malice2]

Pour vous répondre c'est la maîtresse E qui est venue dans la classe et qui estime que je n'ai pas d'autorité. Ensuite, pendant l'équipe heureusement que la directrice et collégue était là et me soutenait car je crois que je serai sortie sinon et les auraient laissé se débrouiller. La maîtresse E a fini par me demander pourquoi cette élève me touche si particuliérement? Peut être parce qu'elle me renvoie ce que j'ai vécu (selon ces dire)? Hors on ne se connait pas et ce n'est absolument me toucher mais plutôt me mettre tellement en colére que je craque.

En ce qui concerne la mettre dans une autre classe impossible (elle souhaite absolument, cette élèv e retourner en CE1, donc nous irions dans son sens. En comme c'est une petite école je gére le cycle 3.

Je vais donc voir pour un "contrat de comportement et de travail" mais alors sans y croire de trop et on verra.....

J'édite: les personnes présentent: la directrice, la famille d'accueil, l'éducatrice, une assistante sociale, la maîtresse E et moi même.