Théodora Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 euh.... serait-on en train de parler de moi ? oui ! Et je te souhaite tout la motivation qu'il faut pour septembre et dans ton nouveau plan de carrière !!!
Biboulette Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 Et moi je trouve que le niveau est tellement difficile et le concours tellement sélectif que ce n'est pas les capacités à enseigner qu'il faut remettre en cause mais les modalités pour y accéder... J'ai bossé comme une dingue, j'étais AVS, j'étais admissible... et je comprends toujours pas pourquoi je ne l'ai pas eu... je ne me remets absolument pas en cause là dedans.. et je trouve ça dingue de dire ça! C'est comme partout, il y a une sélection qui est faite et ceux qui réussissent sont peut-être très forts en bachotage mais très nuls en péda etc... Salut, excuse-moi, mais je suis un peu choquée par ta phrase (que tu admets choquante). A mon sens, il faut quand même que tu analyses les raisons de ton échec et que tu te remettes en question. Je ne dis pas que tu es une mauvaise enseignante, mais il faut quand même comprendre ce qui, dans ton attitude ou dans ta façon de parler, dérange le jury. Sinon, tu risques de continuer à rater le concours. Je pense qu'à un moment donné, il faudrait éventuellement s'interroger sur le fait de savoir si l'on a réellement les capacités d'exercer cette profession... Un échec, je veux bien, surtout lorsque l'on connait la part de chance qu'il faut lors des oraux d'entretien. Deux échecs, je veux bien également... car il y a des personnes malchanceuses par nature. Mais à partir de trois échecs, c'est qu'il y a tout de même un sérieux problème, surtout si ces personnes ne passent même pas le cap de l'admissibilité. S'entêter, je veux bien, mais la fonction publique n'est pas un pourvoyeur de rêves, et je pense avant tout à l'intérêt des enfants, pas des candidats... Et bien moi, j'ai raté 3 fois l'oral et ce n'est pas moi que je remets en question mais le système. Ca fait 10 ans que je bosse en école primaire, collège, lycée donc je connais bien le terrain. A croire que je le connais trop et que c'est ce qui m'a perdue... A côté de ça, je vois des minettes cucu la praline, sans la moindre expérience de la vie ni des enfants, se payer 18 à l'oral pro puis chouiner en live quand on leur colle une classe de GS car elles n'arrivent pas à gérer côté discipline, sans parler de ceux méprisants des classes sociales défavorisées... Je veux bien dire que le recrutement n'est pas adapté. Sauf qu'à moins de le faire comprendre aux politiques, c'est ce système qui est en place. Il faut bien s'y faire, rentrer dans le moule du concours et de ce que l'on attend du candidat pour passer. Perso, je pense que c'est aussi pour ça que je l'ai eu ; mon entourage est majoritairement enseignant et j'ai toujours été à l'aise dans ce système. Effectivement, je ne sais pas si je serai une bonne enseignante. Ensuite, n'oubliez pas que vous souhaitez être fonctionnaire de l'Etat. Vous devez montrer que vous respecter les valeurs de l'Etat, que vous acceptez le système et également, que l'on pourra vous modelez à ce système. A ce niveau, je pense qu'être trop expérimenté, avoir des idées trop arrêtées, voire montrer (ou que cela se ressente) que vous ne changerez pas, que vous ne remettez pas suffisamment en question peut effrayer le jury. Dans ce que vous dites, toi et camille, c'est un peu ce que je ressens. Sur le nombre d'essais, c'est à vous de voir et je félicite ceux qui ont le cran de la passer plusieurs fois et qui finissent pas l'obtenir. Ceci dit, je pense qu'à force de recommencer, on finit par moins bien se préparer (de lassitude, risque aussi d'être cassé par les échecs successifs, voire de perdre confiance en soi et en ses capacités) et donc aller tout droit vers un échec supplémentaire. Bonjour à tous. Effectivement je partage l'avis général: le concours de PE va être extrêmement difficile à décrocher. Jeune prof des écoles (concours obtenu en 2007), je vous livre mon avis personnel sur la question: la perspective de faire 5 années d'études sans certitude d'obtenir un poste de professeur risque de dissuader les plus fragiles économiquement (ceux qui travaillent pour financer leurs études, ceux qui sont en reconversion professionnelle...), je pense également que bcp de gens vont s'orienter vers le privé (contrairement au public, eux recrutent), enfin, sans formation j'ai bien peur que certains qui obtiendront le concours, accusent le coup fac aux difficultés du métier. Personnellement malgré des expériences au sein de l'EN (en tant qu'AE en collège), je n'avais pas mesuré la dégradation du statut de professeur, aujourd'hui j'en souffre (discuter avec des amis et s'entendre dire "t'es prof ça va t'es tjs en vacances" m'exaspère), la charge de travail est très lourde (franchement je pense être proche des 50h/s entre les prep, les réunions et la classe), les postes difficiles (j'ai été T1 sur une école à 3 classes à triple niveaux, des amies l'ont été sur 4 classes dans 3 écoles à 100km de leur domicile, sur des postes en clis sans formation et j'en passe). Bref je pense qu'il faudra être très motivé et très fort psychologiquement pour perdurer dans ce métier. Quant aux vacations, pour avoir vu leur fonctionnement au collège, c'est terrible pour ceux qui les font(pas de reconnaissance, jetés comme des kleenex...). Courage à tout le monde et en particulier à ceux qui passent le concours en septembre. Sandre. Oui, avec les amis aussi, il faut faire preuve de pédagogie. C'est toujours l'excuse des vacances qui ressort. "Mes préparations me prennent du temps " "oh arrête de te plaindre avec toutes les vacances que tu as" ; Je suis fatiguée" "Quoi, avec toutes les vacances que tu as ?" ; "Je pars quand c'est le plus cher, je ne choisis pas mes dates de congés. "Oui, enfin on ne va quand même pas te plaindre d'avoir autant de congés". Objectivement parlant, à l'heure actuelle, on a certes, plus de jours que la moyenne, mais l'écart est moins important qu'il y a 30 ou 40 ans. Et de toutes façons, c'est un métier usant. Je pense que ce n'est pas par hasard si autant de PE font des dépressions. Ta suffisance et ton arrogance sont récurrentes dans la bouche de jeunes PE admises à la 1ere et 2eme tentatives, qui se croient meilleures et plus intelligentes que les autres... On en reparlera dans 10 ans quand tu seras sous Prozac. A bon entendeur...
chamboultou Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 que de stress sur ce post, entre les remarques sur le fait que ceux qui changent d'académies viennent voler les places des uns ; que les mamans de + de 3 enfants sont des voleuses de places et profiteuses qui de surcroît retentent le concours sans espoir ; que ceux qui passent le concours sans la "vocation" depuis l'enfance sont des voleurs de places ; que les bêtes à concours qui n'ont pas "l'expérience du terrain" des suppléants sont des abrutis qui ont certes une grosse tête mais couleront dans leurs premières années de métier ; que les trentenaires sont des ratés dans leur parcours professionnel et privé ; que les jurys et les futurs collègues sont aux mieux des planqués au pire des pourris... vive la solidarité et l'échange sur un forum de partage et d'entraide ! j'espère pour la plupart ne pas vous avoir comme collègue ! et si vous en représentez bon nombre alors on s'évitera ! et je trouve les propos de beaba plutôt censés : que l'on accepte ou non les modalités du concours, il y a un moment où il faut juste s'y conformer, se mettre dans le moule, le temps des X heures des épreuves histoire de le réussir ; il sera temps après de l'analyser de l'intérieur. sur ce bonne chance aux candidats, au lieu de perdre son temps à venir se tirer dans les pattes il y a une échéance à préparer pour dans quelques semaines
Matteo64 Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 que de stress sur ce post, entre les remarques sur le fait que ceux qui changent d'académies viennent voler les places des uns ; que les mamans de + de 3 enfants sont des voleuses de places et profiteuses qui de surcroît retentent le concours sans espoir ; que ceux qui passent le concours sans la "vocation" depuis l'enfance sont des voleurs de places ; que les bêtes à concours qui n'ont pas "l'expérience du terrain" des suppléants sont des abrutis qui ont certes une grosse tête mais couleront dans leurs premières années de métier ; que les trentenaires sont des ratés dans leur parcours professionnel et privé ; que les jurys et les futurs collègues sont aux mieux des planqués au pire des pourris... vive la solidarité et l'échange sur un forum de partage et d'entraide ! j'espère pour la plupart ne pas vous avoir comme collègue ! et si vous en représentez bon nombre alors on s'évitera ! et je trouve les propos de beaba plutôt censés : que l'on accepte ou non les modalités du concours, il y a un moment où il faut juste s'y conformer, se mettre dans le moule, le temps des X heures des épreuves histoire de le réussir ; il sera temps après de l'analyser de l'intérieur. sur ce bonne chance aux candidats, au lieu de perdre son temps à venir se tirer dans les pattes il y a une échéance à préparer pour dans quelques semaines Tu ne pouvais pas mieux répondre ! Certains propos sont consternants.
beaba_ Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 Et moi je trouve que le niveau est tellement difficile et le concours tellement sélectif que ce n'est pas les capacités à enseigner qu'il faut remettre en cause mais les modalités pour y accéder... J'ai bossé comme une dingue, j'étais AVS, j'étais admissible... et je comprends toujours pas pourquoi je ne l'ai pas eu... je ne me remets absolument pas en cause là dedans.. et je trouve ça dingue de dire ça! C'est comme partout, il y a une sélection qui est faite et ceux qui réussissent sont peut-être très forts en bachotage mais très nuls en péda etc... Salut, excuse-moi, mais je suis un peu choquée par ta phrase (que tu admets choquante). A mon sens, il faut quand même que tu analyses les raisons de ton échec et que tu te remettes en question. Je ne dis pas que tu es une mauvaise enseignante, mais il faut quand même comprendre ce qui, dans ton attitude ou dans ta façon de parler, dérange le jury. Sinon, tu risques de continuer à rater le concours. Je pense qu'à un moment donné, il faudrait éventuellement s'interroger sur le fait de savoir si l'on a réellement les capacités d'exercer cette profession... Un échec, je veux bien, surtout lorsque l'on connait la part de chance qu'il faut lors des oraux d'entretien. Deux échecs, je veux bien également... car il y a des personnes malchanceuses par nature. Mais à partir de trois échecs, c'est qu'il y a tout de même un sérieux problème, surtout si ces personnes ne passent même pas le cap de l'admissibilité. S'entêter, je veux bien, mais la fonction publique n'est pas un pourvoyeur de rêves, et je pense avant tout à l'intérêt des enfants, pas des candidats... Et bien moi, j'ai raté 3 fois l'oral et ce n'est pas moi que je remets en question mais le système. Ca fait 10 ans que je bosse en école primaire, collège, lycée donc je connais bien le terrain. A croire que je le connais trop et que c'est ce qui m'a perdue... A côté de ça, je vois des minettes cucu la praline, sans la moindre expérience de la vie ni des enfants, se payer 18 à l'oral pro puis chouiner en live quand on leur colle une classe de GS car elles n'arrivent pas à gérer côté discipline, sans parler de ceux méprisants des classes sociales défavorisées... Je veux bien dire que le recrutement n'est pas adapté. Sauf qu'à moins de le faire comprendre aux politiques, c'est ce système qui est en place. Il faut bien s'y faire, rentrer dans le moule du concours et de ce que l'on attend du candidat pour passer. Perso, je pense que c'est aussi pour ça que je l'ai eu ; mon entourage est majoritairement enseignant et j'ai toujours été à l'aise dans ce système. Effectivement, je ne sais pas si je serai une bonne enseignante. Ensuite, n'oubliez pas que vous souhaitez être fonctionnaire de l'Etat. Vous devez montrer que vous respecter les valeurs de l'Etat, que vous acceptez le système et également, que l'on pourra vous modelez à ce système. A ce niveau, je pense qu'être trop expérimenté, avoir des idées trop arrêtées, voire montrer (ou que cela se ressente) que vous ne changerez pas, que vous ne remettez pas suffisamment en question peut effrayer le jury. Dans ce que vous dites, toi et camille, c'est un peu ce que je ressens. Sur le nombre d'essais, c'est à vous de voir et je félicite ceux qui ont le cran de la passer plusieurs fois et qui finissent pas l'obtenir. Ceci dit, je pense qu'à force de recommencer, on finit par moins bien se préparer (de lassitude, risque aussi d'être cassé par les échecs successifs, voire de perdre confiance en soi et en ses capacités) et donc aller tout droit vers un échec supplémentaire. Bonjour à tous. Effectivement je partage l'avis général: le concours de PE va être extrêmement difficile à décrocher. Jeune prof des écoles (concours obtenu en 2007), je vous livre mon avis personnel sur la question: la perspective de faire 5 années d'études sans certitude d'obtenir un poste de professeur risque de dissuader les plus fragiles économiquement (ceux qui travaillent pour financer leurs études, ceux qui sont en reconversion professionnelle...), je pense également que bcp de gens vont s'orienter vers le privé (contrairement au public, eux recrutent), enfin, sans formation j'ai bien peur que certains qui obtiendront le concours, accusent le coup fac aux difficultés du métier. Personnellement malgré des expériences au sein de l'EN (en tant qu'AE en collège), je n'avais pas mesuré la dégradation du statut de professeur, aujourd'hui j'en souffre (discuter avec des amis et s'entendre dire "t'es prof ça va t'es tjs en vacances" m'exaspère), la charge de travail est très lourde (franchement je pense être proche des 50h/s entre les prep, les réunions et la classe), les postes difficiles (j'ai été T1 sur une école à 3 classes à triple niveaux, des amies l'ont été sur 4 classes dans 3 écoles à 100km de leur domicile, sur des postes en clis sans formation et j'en passe). Bref je pense qu'il faudra être très motivé et très fort psychologiquement pour perdurer dans ce métier. Quant aux vacations, pour avoir vu leur fonctionnement au collège, c'est terrible pour ceux qui les font(pas de reconnaissance, jetés comme des kleenex...). Courage à tout le monde et en particulier à ceux qui passent le concours en septembre. Sandre. Oui, avec les amis aussi, il faut faire preuve de pédagogie. C'est toujours l'excuse des vacances qui ressort. "Mes préparations me prennent du temps " "oh arrête de te plaindre avec toutes les vacances que tu as" ; Je suis fatiguée" "Quoi, avec toutes les vacances que tu as ?" ; "Je pars quand c'est le plus cher, je ne choisis pas mes dates de congés. "Oui, enfin on ne va quand même pas te plaindre d'avoir autant de congés". Objectivement parlant, à l'heure actuelle, on a certes, plus de jours que la moyenne, mais l'écart est moins important qu'il y a 30 ou 40 ans. Et de toutes façons, c'est un métier usant. Je pense que ce n'est pas par hasard si autant de PE font des dépressions. Ta suffisance et ton arrogance sont récurrentes dans la bouche de jeunes PE admises à la 1ere et 2eme tentatives, qui se croient meilleures et plus intelligentes que les autres... On en reparlera dans 10 ans quand tu seras sous Prozac. A bon entendeur... Arrogance ... dit celle qui ne se remet pas en question ... mais bon, comme on ne peut pas te changer ... On en reparlera quand tu en seras à ta 10e tentative au CRPE. A bon entendeur ...
ManuKa Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 Moi il y a un truc que je comprends toujours pas, c'est cette façon de se trouver soit des excuses soit des raisons, qui permettent de s'enlever la responsabilité individuelle de l'échec au concours. Je veux dire par là que moi j'ai toujours passé le concours avec cette idée d'une compétition contre moi-même ! Qu'il ne sert à rien de regarder à côté ce que font les autres, si c'est mieux, si c'est moins bien, si c'est plus digne ou moins digne ! Effectivement comme il a déjà été dit ici, on passe le concours en connaissance de cause, il y a énormément de paramètres qui font que la réussite au concours est très difficile d'accès mais il faut juste l'accepter, pour pouvoir réussir. Qu'il y ait des candidats jeunes et doués dans les études mais sans expérience du métier, qu'il y ait des gens expérimentés du métier, qu'il y ait des candidats venus de loin pour tenter leur chance dans "notre" (??) académie, qu'il y ait des candidats bagarreurs, égoïstes, généreux, complices, à l'écoute, sûrs d'eux, en manque de confiance, en manque de conviction, en manque de foi ou je ne sais quoi, ou autres profils, tu veux passer le concours, tu veux réussir le concours ? ACCEPTE TOUT ÇA ! L'accepter c'est ne pas s'en plaindre bien au contraire, c'est se dire qu'il y a des règles à respecter. Bien sûr les jeunes doués en étude pourront cartonner au concours, bien sûr ils auront plus de difficulté que d'autres au départ... OU PAS ! Pourquoi enfermer et condamner ces jeunes dans une case, pourquoi n'y aurait-il pas une multitude de profils dans ces jeunes là ? Bien sûr les personnes expérimentées pourront peiner durant le concours mais devenir des professeurs très compétents très rapidement... OU PAS ! Comme déjà dit plus haut, certaines personnes sont du coup moins réceptives à cette forme "d'obéissance" requise lorsqu'on est professeur. Et quant aux candidats qui s'inscrivent sans conviction, sans foi (quelle certitude de tout cela ?), des candidats venus de loin, pourquoi les craindre, pourquoi cette facile critique vis-à-vis de personnes venues profiter des mêmes "privilèges" que nous autres... Vous voulez le concours, battez-vous contre votre propre personne, vos propres manies, vos propres défauts pour vous donner un maximum de chances d'y arriver. Arrêtez de montrer du doigt tout plein de prétextes à échouer. Et surtout acceptez l'idée que l'échec sera juste s'il arrive, que les personnes classées devant ne le doivent pas au hasard, mais qu'il y a toujours une part de vérité là dedans. J'ai raté la première fois et j'ai accepté l'échec en sachant pertinemment que je ne méritais pas de réussir. J'ai retenté en corrigeant mes manières, en y mettant toute ma volonté et j'ai réussi. Mais bien sûr c'est facile de parler lorsqu'on a réussi, pour autant j'aurais accepté mon échec. L'accepter c'est dire ok j'ai tout donné et j'ai pas de regrets, que vais-je faire ? Je retente mais si je retente à moi d'assumer un potentiel échec sans lamentations, et si je réussis enfin quelle fierté ! Accepter c'est dire aussi il y a des priorités en fonction de ma vie personnelle, je tourne la page et bravo aux admis ! Le fairplay ! Je pense que pour réussir le concours, c'est surtout un capital confiance qu'il faut faire grandir petit à petit, par le travail et les résultats durant l'année, par l'entre-aide, par la communication avec d'autres, mais c'est aussi une humilité gagnée durant l'année par les résultats négatifs, par le constat de la difficulté de l'épreuve. C'est aussi être capable de se remettre le compteur à zéro quel que soit notre situation actuelle professionnelle ou personnelle. Se dire qu'un jeune est notre égal, qu'un vieux est notre égal, qu'on part avec zéro bagage sinon celui du cœur et de la hargne intérieure, l'envie d'être fier de soi pas tant pour le résultat final que pour la bataille qu'on aura mené pour y arriver. Je pense que la force il faut la puiser dans le contact (virtuel ou réel) avec d'autres, avec leurs différences, avec leurs atouts et leurs faiblesses, s'en nourrir et les nourrir de soi pour progressivement dépasser l'idée du concours mais plutôt transformer le négatif le désagréable en instants mémorables. Je pense que pour réussir ce concours il faut paraître (et surtout être) solidaire, et naturel. Je pense aussi que tout ce que je viens de dire n'est autre que mon point de vue, alors j'ai peut-être zéro pointé sur toute la ligne mais je pensais que ça pouvait être utile de partager mon point de vue. Bon courage à vous tous !
juju2 Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 Je ne trouve pas le nombres de postes pour le privé! Est ce que l'un d'entre vous aurez des infos??? J'aimerais passer le 2nd concours interne privé.
TooN Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 Moins il y a de places et plus ça va se tirer dans les pattes ici.. en même temps c'est normal tellement de personnes pour si peu de places (et en plus une majorité de femmes :p). Je relève deux choses : * devant un coup dur (et le nombre de postes en est un) on attaque pour trouver un responsable, même si la personne n'est pas vraiment en cause * le concours fait ressortir des mauvaises choses, je ne compte plus les 'amis' qui coupent tout contact après les résultats de l'admissibilité. C'est comme ça faut s'y faire ^^
Allislamalice Posté(e) 18 juillet 2010 Posté(e) 18 juillet 2010 que de stress sur ce post, entre les remarques sur le fait que ceux qui changent d'académies viennent voler les places des uns ; que les mamans de + de 3 enfants sont des voleuses de places et profiteuses qui de surcroît retentent le concours sans espoir ; que ceux qui passent le concours sans la "vocation" depuis l'enfance sont des voleurs de places ; que les bêtes à concours qui n'ont pas "l'expérience du terrain" des suppléants sont des abrutis qui ont certes une grosse tête mais couleront dans leurs premières années de métier ; que les trentenaires sont des ratés dans leur parcours professionnel et privé ; que les jurys et les futurs collègues sont aux mieux des planqués au pire des pourris... vive la solidarité et l'échange sur un forum de partage et d'entraide ! j'espère pour la plupart ne pas vous avoir comme collègue ! et si vous en représentez bon nombre alors on s'évitera ! et je trouve les propos de beaba plutôt censés : que l'on accepte ou non les modalités du concours, il y a un moment où il faut juste s'y conformer, se mettre dans le moule, le temps des X heures des épreuves histoire de le réussir ; il sera temps après de l'analyser de l'intérieur. sur ce bonne chance aux candidats, au lieu de perdre son temps à venir se tirer dans les pattes il y a une échéance à préparer pour dans quelques semaines Très bon résumé...
camillouchebabouche Posté(e) 19 juillet 2010 Posté(e) 19 juillet 2010 Je ne trouve pas le nombres de postes pour le privé! Est ce que l'un d'entre vous aurez des infos??? J'aimerais passer le 2nd concours interne privé. Vu l'ambiance du post, je crois qu'il faudrait en ouvrir un autre si tu veux obtenir des réponses!! Car le sujet de base est définitivement oublié je crois!!!
Britten31 Posté(e) 19 juillet 2010 Posté(e) 19 juillet 2010 Je ne trouve pas le nombres de postes pour le privé! Est ce que l'un d'entre vous aurez des infos??? J'aimerais passer le 2nd concours interne privé. Vu l'ambiance du post, je crois qu'il faudrait en ouvrir un autre si tu veux obtenir des réponses!! Car le sujet de base est définitivement oublié je crois!!! je cherche la même info....Pour plus de zen... je vous conseille Mathieu Ricard: Plaidoyer pour le bonheur, moine bouddhiste qui vous aidera à trouver la sérénité dans n'importe quelle circonstance et quelles que soient vos croyances.....
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