hamster Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Ben, côté fermetures de classe.... On doit envoyer à l'IEN nos effectifs, après dernières inscriptions et mises à jour, pour lundi 13 décembre.
mra Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Ben, côté fermetures de classe.... On doit envoyer à l'IEN nos effectifs, après dernières inscriptions et mises à jour, pour lundi 13 décembre. Ah ben dis donc, ça se fait de plus en plus tôt!
del140330 Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Nous c'était pour la mi novembre ... Sinon pour rebondir sur les message de Mufab et Mra, des directreurs (ou directrices) avec des méthodes de petit chef , il y en a malheureusement plein . Des adjoints peu enclins à respecter la législation que se doit de faire respecter le directeur également... C'est galère pour les uns et les autres mais c'est comme ça . Personnellement ce n'est pas ma conception du travail en équipe ,mais faut il encore que les personnes veuillent travailler en équipe et ne se considèrent pas comme des électrons libres au sein de l'école. Pour la première fois dans ma petite carrière de dirlette , je suis confrontée à ce problème cette année, et je dois reconnaitre que la seule solution que j'ai trouvée (avec mes autres collègues qui sont supers ) pour avancer quelque peu avec la personne concernée c'est de m'appuyer sur les textes pour demander des choses... Alors je lui demanderai certainement par moment de me remplir des petites cases , je passerai peut être à côté de sa richesse mais à force de m'en être pris plein la tronche en début d'année, j'ai plus envie de creuser.
sammy63 Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Le constat est triste. Beaucoup d'entre nous le font. Nous sommes beaucoup à être obligé d'adopter une attitude réglementaire plutôt qu'humaine. Mais comme je le lis ici, nous assumons.
dada Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Le constat est triste. Beaucoup d'entre nous le font. Nous sommes beaucoup à être obligé d'adopter une attitude réglementaire plutôt qu'humaine. Mais comme je le lis ici, nous assumons. Je dirais quand mm que l'une (attitude réglementaire) n'empêche pas l'autre ( le coté DHR) pour peu que chacun y mette du sien et à ce que je lis ici depuis le début de ce fil, nous sommes tous d'accord à ce niveau, un travail d'Equipe ( avec le E majuscule) c'est un ensemble de concessions dans les deux sens
del140330 Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Le constat est triste. Beaucoup d'entre nous le font. Nous sommes beaucoup à être obligé d'adopter une attitude réglementaire plutôt qu'humaine. Mais comme je le lis ici, nous assumons. Tellement triste qu'il fait partie des raisons qui me poussent à vouloir quitter la direction. Cette année, c'est une collègue pénible mais l'an prochain ? ? ? Plus la force morale d'assumer ça même si j'aime bien la direction. Et surtout envie de me recentrer sur l'essentiel : les élèves
Pascal Oudot Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Tellement triste qu'il fait partie des raisons qui me poussent à vouloir quitter la direction. Je crois que 80% d'entre nous se posent la question tous les ans; c'est mon cas, c'est le cas de beaucoup d'autres que je connais. Et puis... vaille que vaille nous sommes une majorité à rester, pour d'autres raisons: familles sympas, gamins attachants, école bien équipée, etc. Je suis parti à cause d'une collègue de ma précédente école, je suis redevenu adjoint -on est tranquille quand on est adjoint-, j'ai repris la direction de mon école quand la collègue est partie en retraite, poussé par les collègues, et c'est vrai que quand on sait faire on se pose moins de questions. Aujourd'hui, moi, c'est le manque de considération de mon institution qui me pousserait à partir: pas de reconnaissance, pas de traitement digne de ce nom, toujours plus d'exigences et jamais de remerciement... Corvéable à merci pour des clopinettes? Je ne sais pas vraiment pourquoi je continue. Peut-être parce que tout le monde -collègues, mairie, familles- s'attend à ce que je le fasse... Jouer au chef? Pas mon genre, pas le genre non plus de 99% des directeurs que j'ai connus en trente ans (et avec quinze ans de remplacements, j'en ai connu pas mal). La question de la répartition et du choix du niveau, je l'ai moi-même connue il y a deux ans, quand je me suis fait traiter de tous les noms suite à une fermeture de classe qui demandait un fonctionnement différent. Mon expérience professionnelle me poussait à une organisation qui rompait avec les habitudes, il m'a fallu supporter pas mal d'avanies, et j'ai été obligé de l'imposer après avoir attendu plusieurs semaines un choix qui ne venait pas. Cela arrive.
dada Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Tellement triste qu'il fait partie des raisons qui me poussent à vouloir quitter la direction. Je crois que 80% d'entre nous se posent la question tous les ans; c'est mon cas, c'est le cas de beaucoup d'autres que je connais. Et puis... vaille que vaille nous sommes une majorité à rester, pour d'autres raisons: familles sympas, gamins attachants, école bien équipée, etc. Je suis parti à cause d'une collègue de ma précédente école, je suis redevenu adjoint -on est tranquille quand on est adjoint-, j'ai repris la direction de mon école quand la collègue est partie en retraite, poussé par les collègues, et c'est vrai que quand on sait faire on se pose moins de questions. Aujourd'hui, moi, c'est le manque de considération de mon institution qui me pousserait à partir: pas de reconnaissance, pas de traitement digne de ce nom, toujours plus d'exigences et jamais de remerciement... Corvéable à merci pour des clopinettes? Je ne sais pas vraiment pourquoi je continue. Peut-être parce que tout le monde -collègues, mairie, familles- s'attend à ce que je le fasse... Jouer au chef? Pas mon genre, pas le genre non plus de 99% des directeurs que j'ai connus en trente ans (et avec quinze ans de remplacements, j'en ai connu pas mal). La question de la répartition et du choix du niveau, je l'ai moi-même connue il y a deux ans, quand je me suis fait traiter de tous les noms suite à une fermeture de classe qui demandait un fonctionnement différent. Mon expérience professionnelle me poussait à une organisation qui rompait avec les habitudes, il m'a fallu supporter pas mal d'avanies, et j'ai été obligé de l'imposer après avoir attendu plusieurs semaines un choix qui ne venait pas. Cela arrive. +1
Invité mufab Posté(e) 9 décembre 2010 Posté(e) 9 décembre 2010 Je suis parti à cause d'une collègue de ma précédente école, je suis redevenu adjoint -on est tranquille quand on est adjoint-, j'ai repris la direction de mon école quand la collègue est partie en retraite, poussé par les collègues, et c'est vrai que quand on sait faire on se pose moins de questions. Ah, le sens du sacrifice, c'est terrible quand ça vous tient !
sammy63 Posté(e) 9 décembre 2010 Posté(e) 9 décembre 2010 Ah, le sens du sacrifice, c'est terrible quand ça vous tient ! Pourquoi se sentir obligé de faire un commentaire acide quand un directeur exprime ses difficultés, parfois son mal-être qui peut déboucher sur une dépression ? Oui, la plupart des directeurs passent ou sont passés proche du fossé quand ils ne sont pas tombé dedans. Tu ne connais pas le métier car tu n'es pas directrice as-tu dis Mufab, et pourtant tu juges facilement.... Encore une fois, je crois que le respect des autres est une des meilleures pistes pour travailler ensemble, dans le respect des règles.
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