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attribution des niveaux de classes dans une école


philo41

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Bonjour,

Je suis arrivée en Septembre dans une nouvelle école primaire.

Nous étions 2 fraîchement débarquées.

Elle pour une fermeture de classe et moi, bonifiée (de combien ? aucune idée car mari RQTH).

Elle a eu son concours 1 an avant moi, en 2006.

Je lui ai donc laissé de choix du niveau par dépit : elle a eu un GS (niveau que je connais bien) et moi un GS/CP (jamais enseigné au cycle 2 auparavant).

Beaucoup de départs d'enfants ont eu lieu dans l'école depuis septembre et je m'interroge : si une fermeture de classe est annoncé, qui saute ?

Et si la classe ne ferme pas, puis-je demander sa classe (elle est contre) puisque le niveau que j'ai ne me convient pas ?

(J'ai l'impression d'avoir un barème plus fort que le sien d'après la situation de mon mari...)

Bonne journée

Tout dépend des règles de votre mouvement : dans certains départements, ceux qui ont été "victimes" de mesure de carte scolaire sont "protégés" pour l'année d'après (histoire de ne pas "sauter" tous les ans).

Si ce cas de figure s'applique dans ton département c'est toi qui devrais partir.

Après comme cela t'a été dit, c'est le directeur qui répartit donc le bareme du mouvement n'a rien à voir la dedans ( la reconnaissance de handicap de ton mari ne rentre pas en ligne de compte)

Souvent l'ags est prise en compte par "tradition". (Elle est plus "ancienne" que toi d'ailleurs tu lui as laissé le choix déjà...)

Bien sur tu peux demander son niveau au directeur/ à la directrice mais si elle veut le garder c'est un peu compromis je dirais.

Bon courage

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Propose quelque chose de raisonnable à la collègue, au moins tu auras essayé...

Je vais essayer ...

S'il y a fermeture, c'est l'ancienneté générale des services qui entre en ligne de compte, sauf erreur. Qu'en est-il ?

Je doute que les bonifications pour le mouvement entrent en ligne de compte.

Renseigne-toi en appelant ton IA.

S'il n'y a pas fermeture, l'AGS ne compte pas. C'est le directeur qui tranche, après avis du CM. En général, il le fait dans l'intérêt de l'école et en essayant de ménager la chèvre et le chou. Quelles sont tes relations avec lui ? Avez-vous déjà discuté du problème ?

Si vraiment tu as peur de ne pas pouvoir changer, tu peux participer au mouvement.

Dans tous les cas, je trouve qu'il est un peu tôt pour t'inquiéter de tout ça.

Profite de l'instant présent, vois les côtés positifs de ta situation, apprends à apprécier ton GS-CP pour ne pas être déçue, si tu devais le conserver et être doublement satisfaite, si tu pouvais avoir la GS.

Pense aussi aux autres niveaux qui te plairaient, s'ils venaient à se libérer.

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Enfin, dans la vraie vie, moi, je ne sais pas, je ne vis pas dans la vraie vie. :devil:

Moi non plus je vis dans un monde parallèle, j'ai un poste qui sert à rien et je devrais retourner devant une classe...

Propose quelque chose de raisonnable à la collègue, au moins tu auras essayé...

Je faisais allusion à une réflexion qu'on m'a faite sur un autre sujet. Moi aussi quand je parlais de mon post qui ne sert à rien

Raconte ton poste qui ne sert à rien, je suis intéressée ... :smile:

Ben en fait je suis enseignante en hôpital de jour. Pour beaucoup de collègues je suis une bran***se et je ne sers à rien. Je serais pas là ça serait pareil, je devrais retourner devant une classe ça me ferait pas de mal (entendu la semaine dernière...). Ca fait écho au post qui parle de remettre les inspecteurs devant une classe...

J'ai pas l'impression de servir à rien. Enfin si parce qu'il faut que j'apprenne à bosser là, j'ai fait de la SEGPA très longtemps, ça n'a rien à voir. Quand je me serai améliorée je serai plus efficace.

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Un grand bravo pour le travail en hôpital : ça ne doit pas être évident moralement tous les jous.

Réponse de L'IA via les syndicats : c'est moi qui saute. Elle est 1 an plus agée et 1 an de plus dans les services.

J'ai eu la "bonne" idée de déplacer mon fils de 4 ans avec moi (influencée par mes collègues...) et il a été un peu secoué, quelle co***, je m'en veux :'(

Bref, je pense que si on achète ou construit dans l'année, je mets mon fils dans l'école à côté de la maison et surtout, je participe au mouvement.

Je suis très déçue : à cheval sur les 2 cycles avec 2 niveaux (ce qui n'est pas le cas des autres), je dois me partager, même pour les récrés et je n'ai pas le sentiment d'appartenir à un groupe ce qui n'était pas du tout le cas dans les autres école.

Je suis juste terriblement peinée pour mon loulou.

Merci de vos réponses précédentes et bonne continuation à tous.

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Parce qu'en hôpital de jour, tu n'es pas face à des élèves ? :noelblush:

Tu les croises où, ces "collègues" ? Arrange-toi pour ne plus y aller ou change d'horaires !

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Un grand bravo pour le travail en hôpital : ça ne doit pas être évident moralement tous les jous.

Réponse de L'IA via les syndicats : c'est moi qui saute. Elle est 1 an plus agée et 1 an de plus dans les services.

J'ai eu la "bonne" idée de déplacer mon fils de 4 ans avec moi (influencée par mes collègues...) et il a été un peu secoué, quelle co***, je m'en veux :'(

Bref, je pense que si on achète ou construit dans l'année, je mets mon fils dans l'école à côté de la maison et surtout, je participe au mouvement.

Je suis très déçue : à cheval sur les 2 cycles avec 2 niveaux (ce qui n'est pas le cas des autres), je dois me partager, même pour les récrés et je n'ai pas le sentiment d'appartenir à un groupe ce qui n'était pas du tout le cas dans les autres école.

Je suis juste terriblement peinée pour mon loulou.

Merci de vos réponses précédentes et bonne continuation à tous.

Que tu sois déçue, c'est compréhensible, et ta collègue l'aurait été aussi, si ça avait été elle qui sautait.

Maintenant, je réitère mon conseil : Profite de l'instant présent et recherche les bons côtés des choses, de ton niveau de classe.

Et pour l'an prochain : des écoles, il y en a plein, des niveaux de classe aussi.

Essaie aussi de ne pas trop d'accrocher à un niveau, sinon, tu risques de souvent être malheureuse.

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Parce qu'en hôpital de jour, tu n'es pas face à des élèves ? :noelblush:

Tu les croises où, ces "collègues" ? Arrange-toi pour ne plus y aller ou change d'horaires !

Je suis face à des élèves mais par deux ou trois et surtout en individuel.

Mes collègues où je suis (infirmières psy et éduc) ne disent pas ça. Ce sont des collègues qui sont en primaire, en maternelle et qui croient que c'est facile.

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Un grand bravo pour le travail en hôpital : ça ne doit pas être évident moralement tous les jous.

Réponse de L'IA via les syndicats : c'est moi qui saute. Elle est 1 an plus agée et 1 an de plus dans les services.

J'ai eu la "bonne" idée de déplacer mon fils de 4 ans avec moi (influencée par mes collègues...) et il a été un peu secoué, quelle co***, je m'en veux :'(

Bref, je pense que si on achète ou construit dans l'année, je mets mon fils dans l'école à côté de la maison et surtout, je participe au mouvement.

Je suis très déçue : à cheval sur les 2 cycles avec 2 niveaux (ce qui n'est pas le cas des autres), je dois me partager, même pour les récrés et je n'ai pas le sentiment d'appartenir à un groupe ce qui n'était pas du tout le cas dans les autres école.

Je suis juste terriblement peinée pour mon loulou.

Merci de vos réponses précédentes et bonne continuation à tous.

Que tu sois déçue, c'est compréhensible, et ta collègue l'aurait été aussi, si ça avait été elle qui sautait.

Maintenant, je réitère mon conseil : Profite de l'instant présent et recherche les bons côtés des choses, de ton niveau de classe.

Et pour l'an prochain : des écoles, il y en a plein, des niveaux de classe aussi.

Essaie aussi de ne pas trop d'accrocher à un niveau, sinon, tu risques de souvent être malheureuse.

Je te comprends pleinement et c'est vrai que c'est une situation difficile, surtout quand on a fait preuve de bonne volonté et que l'on a envie de s'investir. Ton loulou le prendra différemment avec un an de plus et s'adaptera d'autant plus que tu lui diras ce qui est positif dans la chose.

Le mouvement a des aspects dégeus en apparence mais ça permet d'éviter des déviances.

Sur un autre fil je parlais des postes à profil, ça c'est dangereux...

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Parce qu'en hôpital de jour, tu n'es pas face à des élèves ? :noelblush:

Tu les croises où, ces "collègues" ? Arrange-toi pour ne plus y aller ou change d'horaires !

Je suis face à des élèves mais par deux ou trois et surtout en individuel.

Mes collègues où je suis (infirmières psy et éduc) ne disent pas ça. Ce sont des collègues qui sont en primaire, en maternelle et qui croient que c'est facile.

Mais tu les croises encore, ces "collègues" de mater et élémentaire ?

En général, les élèves qui vont en hôpital de jour ne sont pas les plus faciles. Je ne t'envie pas.

Ce qui est anormal, c'est l'intégration à tout prix de tous les enfants dans les classes banales, qui a abouti à nombre de situations de classe invivable et une régression de ces élèves par rapport à des scolarisations dans des lieux spécialisés et adaptés.

Mais ça ne veut pas dire qu'enseigner dans ces lieux spécialisés et adaptés est une partie de plaisir.

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Parce qu'en hôpital de jour, tu n'es pas face à des élèves ? :noelblush:

Tu les croises où, ces "collègues" ? Arrange-toi pour ne plus y aller ou change d'horaires !

Je suis face à des élèves mais par deux ou trois et surtout en individuel.

Mes collègues où je suis (infirmières psy et éduc) ne disent pas ça. Ce sont des collègues qui sont en primaire, en maternelle et qui croient que c'est facile.

Euh... pour avoir croisé un jour la route d'un enfant qui est ensuite parti en HDJ je ne dirais JAMAIS que c'est facile

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Ce qui est anormal, c'est l'intégration à tout prix de tous les enfants dans les classes banales, qui a abouti à nombre de situations de classe invivable et une régression de ces élèves par rapport à des scolarisations dans des lieux spécialisés et adaptés.

Mais ça ne veut pas dire qu'enseigner dans ces lieux spécialisés et adaptés est une partie de plaisir.

Très bien dit. C'est ce que tout le monde pense, mais que personne n'ose dire. On se retrouve à gérer des classes de 25 à 30 élèves, avec en plus un enfant avec des problèmes de santé mentale graves, qu'on nous impose sous couvert d'intégration d'élèves en "situation de handicap".

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Ce qui est anormal, c'est l'intégration à tout prix de tous les enfants dans les classes banales, qui a abouti à nombre de situations de classe invivable et une régression de ces élèves par rapport à des scolarisations dans des lieux spécialisés et adaptés.

Mais ça ne veut pas dire qu'enseigner dans ces lieux spécialisés et adaptés est une partie de plaisir.

Très bien dit. C'est ce que tout le monde pense, mais que personne n'ose dire. On se retrouve à gérer des classes de 25 à 30 élèves, avec en plus un enfant avec des problèmes de santé mentale graves, qu'on nous impose sous couvert d'intégration d'élèves en "situation de handicap".

J'ai déjà entendu un inspecteur dire à propos d'un élève ultra-violent: "Là, on touche aux limites de l'intégration." et tant pis pour ceux que ça a choqué.

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