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Racisme à l'éducation nationale : dans quelle proportion ?


Faarabi10

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Dramstein, ma conception relève de l'ordre privée. Je ne suis pas naïf au point d'aborder cette question ou de douter de l'exemplarité parfaite du corps enseignant face à un jury. Ce que je pense ne sors pas de mon salon ; ensuite, comme tout le monde, j'enseigne l' "histoire-monument" du point de vue qui m'est demandé et non selon ce qui me semble être le plus juste. C'est en évoluant que l'enfant se fera sa propre idée de l'histoire personne ne devrait l'influencer...

Là encore, dramstein à défaut d'avoir un discours cohérent et honnête vous persistez dans la digression.

j'avoue qu'après avoir entendu l'histoire de Monsieur Yacouba Barry, la polémique historique semble bien dérisoire.

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Mra, entre harcèlement moral et racisme, je pense que la priorité est le racisme. On fait des interventions dans les écoles sur toutes les formes de racisme mais pas sur le harcèlement ce qui est une évidence sur laquelle on ne devrait pas s'attarder.

Pour Yacouba, je n'ai pas de nouvelles. Ce qui est marquant dans son témoignage c'est qu'il ne sombre pas dans la pleurniche, au contraire il reste fort et ne dis même pas qu'il est victime de racisme quand bien même celui-ci est criant. Le racisme a conduit cette dame à harceler Yacouba ; c'est donc contre cette cause qu'il faut lutter et non contre la conséquence du racisme qui est le harcèlement car ce raisonnement est faux ; en effet, lutter contre le harcèlement n'empêchera pas les dérives racistes.

Enfin, quand on dit que ce genre de bavures sont minoritaires, faut-il rappeler que les têtes de turc sont minoritaire à l'EN ? Bien sur qu'il y a d'autres problèmes chez nous mais nous parlons d'un problème précis et qui a tendance à être tabou !

La violence de certains enseignants sur les enfants est un problème précis et tabou aussi.

Toutes les formes de violence, racisme, discrimination, où quelles soient, quelles qu'elles soient, aussi "minoritaires" qu'elles soient... sont à combattre.

En revanche je refuse de faire des généralités (ne serait-ce pas se comporter comme ceux que l'on "combat" ?).

Bon courage à Yacouba. Je ne connaissais absolument pas son histoire.

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ben non dramstein, je ne t'accuse pas de racisme, l'ambiguité c'est quand on en peut affirmer clairement la position ou les intentions d'une personne.

aimes tu la glace? oui, non, ok, c'est clair.... a voir, ça dépend, peut-être, c'est ambigu..

il paraît évident que...pour qui? il faut préciser........il me paraît évident qu'à son époque Jules ferry...blabla.............ou il apparaissait évident à l'époque que Juels ferry...

mais j'ai tout de même saisi tes intentions et t'ai un peu titillé, on en conçoit bien que ce qui est dit clairement! lol

De plus à savoir est-ce le mot qui fait la réalité ou la réalité qui fait le mot....grand débat philosophique aussi.... ton argument ne me convaint pas du tout, :))

Si on a besoin d'inventer des concepts, c'est bien pour définir une réalité lorsqu'elle s'offre à notre esprit!

pour moi le concept de racisme est apparu quand les hommes ont pris conscience de cette réalité...depuis quand existait-elle??? l'enfant n'aime t'il ses parents que du jour où il comprend le concept d'amour, l'amoureux le jour où il dit je t'aime.... cela veut-il dire qu'avant...ils n'aimaient pas, que cet amour n'existait pas?

est-ce le fait de nommer les choses qui les font exister? reconnaître par les hommes oui? est-on victime lorsqu'on est nommé comme tel, ou reconnu pour ce qu'on était déjà?

pas convaincu qu'il n'y ait pas eu de racisme avant l'apparition de ce mot :)

les égyptiens/les hébreux, les romains/la terre entière, lol y'a la marseillaise et son sang impur...ben si ce n'est pas du racisme ça, Marie Antoinette, surnommée l'Autrichienne... y'a plein d'exemples, l'esclavage... vu que l'argument morale de l'Europe très chrétienne était la race inférieure du noir, son absence d'âme....

De même le concept de crime contre l'humanité, on a attendu la Shoah pour mettre un nom dessus! Ce type de crime existait déjà! On a attendu le point de non retour pour reconnaître cette réalité et y mettre un mot. pourquoi?

doit-on attendre des rapports, des livres comme celui au dessus (que j'ai lu et qui ouvrirait les yeux à beaucoup) pour dénoncer des situations?

dire c'est pas plus qu'ailleurs, c'est comme ça partout, je reste sur ma position, je trouve ça nul comme discours. donc on accepte, c'est normal? on ne fait rien, on n'en parle pas dans un post. et je trouve ça plus grave qu'ailleurs, on est représentant de l'état, pas commerçant du coin... on se doit de lutter contre le racisme dans notre domaine professionnel encore plus qu'ailleurs, c'est dans notre contrat de travail en quelque sorte de respecter et faire respecter les valeurs républicaines.

De plus penser que c'est un faible pourcentage de personnes qui sont racistes, potentiellement discriminantes (oui pour être discriminant envers les personnes issues de l'immigration faut être raciste, disciminant envers les homosexuels, il faut être homophobe...) doit rassurer pas mal d'entre vous! Je ne sais pas, savoir qu'un candidat à la présidentielle se sent obligé de surfer sur les idées du FN pour "récupérer" une partie des Français, je me dis mince, mais alors combien de Français aimeraient rééllement voter pr les idées du FN s'ilsse sentaient libres?

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OMG , la lecture de certains messages m'a donné mal à la tête, je vais très humblement aller dormir sans philosophie (un trop mauvais souvenir du lycée ce genre de verbiage ...)

Comme beaucoup très touchée par le témoignage de Yacouba et son histoire ... mais très choquée d'apprendre que je suis une raciste finie parce que je fais partie de l'éducation nationale ... et que je forme des générations de petits racistes ! (Quoi ? J'exagère légèrement ??? Mais non ... ) Quand je pense aux heures passées à faire en sorte que mes chères têtes blondes, brunes, rousses ... se respectent les uns les autres et respectent les différences ! Et pas seulement les différences de peau mais aussi celles de taille, de poids, de malformations physiques, de maladies, handicap etc ... Apprendre que finalement seul le racisme est une forme "valable" de discrimination ... comme s'il y avait une échelle de valeur dans la souffrance subie ! Je crois sincèrement que le "racisme" de certains ne provient pas de l'enseignement reçu à l'école mais plutôt souvent à la maison ... mais ce débat n'aura sans doute pas droit de citée ici puisque seuls les enseignants doivent battre leur coulpe puisque Jules Ferry blablabla ....

Sur ce je sens que les foudres vont me tomber sur la tête suite à ce message, pas trop grave puisque très certainement je ne répondrai plus ici, me contentant de lire comme très souvent ^^

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Subir du harcèlement parce qu'on est noir, ou parce qu'on est une femme divorcée, parcequ'on est obèse, parce qu'on est handicapée, parce qu'on est nain, parce qu'on est homosexuelle, ou alors parcequ'on est une femme noire naine obèse divorcée, déficiente auditive et lesbienne (le pire étant qu'elle aie en plus effectué sa scolarité en SEGPA mais heureusement pour elle, une fois adulte ça au moins ça se voit pas si elle le cache), ou pour tout autre "prétexte", ben désolée, c'est très grave, c'est contraire à la constitution et à d'autres lois françaises mises en oeuvre par des décrets et des circulaires...Et les personnes qui se rendent coupable de cet ostracisme, qu'il soit envers un supérieur hiérarchique, un adjoint, un collègue, ou plus grava, un élève, doit être dénoncé et en répondre.

C'est tout.

Je ne vois pas d'échelle de souffrance, ni de discriminations.

Je travaille sur les discriminations avec mes élèves, je n'ai aucun tabou avec eux, on décrypte autant des affiches de l'association "Le Refuge", qu'on va chanter "Banlieue" de Karim Kacel...Mettre à l'écart, c'est grave...

Je ne cherche pas LOODIE, à minimiser les faits, mais à dire qu'il faut essayer, qu'il passe le concours avec la même assurance que n'importe quel candidat, je lui souhaite bon courage.

Quant à la violence subie par les élèves, c'est un autre débat, tabou aussi, et à l'heur où on parle des rythmes de l'enfant, je pense que déjà mettre des gamins de petite section dans un bus à 7H30 le matin, retour 17H30 pour les plus chanceux (les autres y'a garderie), c'est déjà de la violence...Que de demander à des enseignants ayant 33 élèves de faire tout ce qu'on leur demande de faire avec peu de temps ni de moyens (formation, matériel...) c'est aussi de la violence. J'ai lu il y a peu un rapport sur la maltraitance en maison de retraite induite par les condition de travail impossibles des aides soignants...Ca peut expliquer des dérives aussi, parce que nous ne sommes que des êtres humains...

Ce qui est bien entendu plus grave, c'est de voir un collègue, un élève souffrir et ne pas lever le petit doigt pour l'aider.

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OMG , la lecture de certains messages m'a donné mal à la tête, je vais très humblement aller dormir sans philosophie (un trop mauvais souvenir du lycée ce genre de verbiage ...)

Comme beaucoup très touchée par le témoignage de Yacouba et son histoire ... mais très choquée d'apprendre que je suis une raciste finie parce que je fais partie de l'éducation nationale ... et que je forme des générations de petits racistes ! (Quoi ? J'exagère légèrement ??? Mais non ... ) Quand je pense aux heures passées à faire en sorte que mes chères têtes blondes, brunes, rousses ... se respectent les uns les autres et respectent les différences ! Et pas seulement les différences de peau mais aussi celles de taille, de poids, de malformations physiques, de maladies, handicap etc ... Apprendre que finalement seul le racisme est une forme "valable" de discrimination ... comme s'il y avait une échelle de valeur dans la souffrance subie ! Je crois sincèrement que le "racisme" de certains ne provient pas de l'enseignement reçu à l'école mais plutôt souvent à la maison ... mais ce débat n'aura sans doute pas droit de citée ici puisque seuls les enseignants doivent battre leur coulpe puisque Jules Ferry blablabla ....

Sur ce je sens que les foudres vont me tomber sur la tête suite à ce message, pas trop grave puisque très certainement je ne répondrai plus ici, me contentant de lire comme très souvent ^^

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Subir du harcèlement parce qu'on est noir, ou parce qu'on est une femme divorcée, parcequ'on est obèse, parce qu'on est handicapée, parce qu'on est nain, parce qu'on est homosexuelle, ou alors parcequ'on est une femme noire naine obèse divorcée, déficiente auditive et lesbienne (le pire étant qu'elle aie en plus effectué sa scolarité en SEGPA mais heureusement pour elle, une fois adulte ça au moins ça se voit pas si elle le cache), ou pour tout autre "prétexte", ben désolée, c'est très grave, c'est contraire à la constitution et à d'autres lois françaises mises en oeuvre par des décrets et des circulaires...Et les personnes qui se rendent coupable de cet ostracisme, qu'il soit envers un supérieur hiérarchique, un adjoint, un collègue, ou plus grava, un élève, doit être dénoncé et en répondre.

C'est tout.

Je ne vois pas d'échelle de souffrance, ni de discriminations.

Je travaille sur les discriminations avec mes élèves, je n'ai aucun tabou avec eux, on décrypte autant des affiches de l'association "Le Refuge", qu'on va chanter "Banlieue" de Karim Kacel...Mettre à l'écart, c'est grave...

Je ne cherche pas LOODIE, à minimiser les faits, mais à dire qu'il faut essayer, qu'il passe le concours avec la même assurance que n'importe quel candidat, je lui souhaite bon courage.

Quant à la violence subie par les élèves, c'est un autre débat, tabou aussi, et à l'heur où on parle des rythmes de l'enfant, je pense que déjà mettre des gamins de petite section dans un bus à 7H30 le matin, retour 17H30 pour les plus chanceux (les autres y'a garderie), c'est déjà de la violence...Que de demander à des enseignants ayant 33 élèves de faire tout ce qu'on leur demande de faire avec peu de temps ni de moyens (formation, matériel...) c'est aussi de la violence. J'ai lu il y a peu un rapport sur la maltraitance en maison de retraite induite par les condition de travail impossibles des aides soignants...Ca peut expliquer des dérives aussi, parce que nous ne sommes que des êtres humains...

Ce qui est bien entendu plus grave, c'est de voir un collègue, un élève souffrir et ne pas lever le petit doigt pour l'aider.

mra,

Nos messages vont dans le même sens :)

J'ai bossé en maison de retraite lors de ma première année d'école d'infirmière.

Beaucoup de mes collègues ne comprenaient pas pourquoi j'estimais que mettre une personne âgée de force sous la douche pour la laver était une forme de violence :(

Bon on digresse...mais pas tant que ça en fait.

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Bon on digresse...mais pas tant que ça en fait.

Ben oui, c'est pour ça que même si je l'ai écrit en petit, je me suis autorisée à l'crire à cet endroit là quand même.

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Subir du harcèlement parce qu'on est noir, ou parce qu'on est une femme divorcée, parcequ'on est obèse, parce qu'on est handicapée, parce qu'on est nain, parce qu'on est homosexuelle, ou alors parcequ'on est une femme noire naine obèse divorcée, déficiente auditive et lesbienne (le pire étant qu'elle aie en plus effectué sa scolarité en SEGPA mais heureusement pour elle, une fois adulte ça au moins ça se voit pas si elle le cache), ou pour tout autre "prétexte", ben désolée, c'est très grave, c'est contraire à la constitution et à d'autres lois françaises mises en oeuvre par des décrets et des circulaires...Et les personnes qui se rendent coupable de cet ostracisme, qu'il soit envers un supérieur hiérarchique, un adjoint, un collègue, ou plus grava, un élève, doit être dénoncé et en répondre.

C'est tout.

Je ne vois pas d'échelle de souffrance, ni de discriminations.

Je travaille sur les discriminations avec mes élèves, je n'ai aucun tabou avec eux, on décrypte autant des affiches de l'association "Le Refuge", qu'on va chanter "Banlieue" de Karim Kacel...Mettre à l'écart, c'est grave...

Je ne cherche pas LOODIE, à minimiser les faits, mais à dire qu'il faut essayer, qu'il passe le concours avec la même assurance que n'importe quel candidat, je lui souhaite bon courage.

Quant à la violence subie par les élèves, c'est un autre débat, tabou aussi, et à l'heur où on parle des rythmes de l'enfant, je pense que déjà mettre des gamins de petite section dans un bus à 7H30 le matin, retour 17H30 pour les plus chanceux (les autres y'a garderie), c'est déjà de la violence...Que de demander à des enseignants ayant 33 élèves de faire tout ce qu'on leur demande de faire avec peu de temps ni de moyens (formation, matériel...) c'est aussi de la violence. J'ai lu il y a peu un rapport sur la maltraitance en maison de retraite induite par les condition de travail impossibles des aides soignants...Ca peut expliquer des dérives aussi, parce que nous ne sommes que des êtres humains...

Ce qui est bien entendu plus grave, c'est de voir un collègue, un élève souffrir et ne pas lever le petit doigt pour l'aider.

Autre digression : Merci Mra pour me faire réécouter Karim Kacel !!! QU'est-ce que j'ai pu l'écouter il y a une vingtaine d'années... :applause:

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OMG , la lecture de certains messages m'a donné mal à la tête, je vais très humblement aller dormir sans philosophie (un trop mauvais souvenir du lycée ce genre de verbiage ...)

Personne ne t'a accusé de racisme. Évoquer systématiquement l'argument de la généralité des accusations dès que l'on évoque le racisme est une moyen de détourner le sujet et de générer, finalement, une diversion car personne n'a établi cette généralité : c'est soulever un problème qui n'existe pas ! Pour l'EN et le racisme, je ne vais pas développer la thèse car il n'est pas dans mes habitudes de chercher à convaincre qui que ce soit. Chacun doit se faire sa propre vision du monde à partir de sa petite tête et ne pas répéter comme un âne ce qu'il entend.

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J'entends bien ... mais cette phrase : Cependant, je ne me suis pas suffisamment intéressé au racisme à l'EN pourtant je sais que cette institution est le berceau du racisme m'a particulièrement interloquée !! Pour moi le berceau c'est lié à la naissance, donc en gros l'éducation nationale a "créé" le racisme ??? Nous formons la petite graine du racisme dans l'esprit des enfants ?? Pourtant les programmes 2008 en Cycle 3 sont très clairs :

CE2

- Identifier quelques droits des enfants et pouvoir les illustrer par des exemples :

. être égaux en droits (filles, garçons, quelle que soit leur origine ou celle de leurs parents) ;

. pouvoir vivre en famille ;

. avoir une identité : un nom, un prénom, une nationalité ;

. être correctement nourri et soigné.

- Connaître la définition de discrimination : « le fait de traiter différemment une personne ou un groupe en raison de son origine, de sa nationalité, de sa race, de son sexe, de sa religion, d’un handicap…».

- Connaître la définition de discriminer :

« empêcher quelqu’un d’avoir les mêmes droits que les autres ».

- Reconnaître une situation de discrimination.

CM1

- Identifier quelques droits des enfants, en retenir quelques-uns :

. droit à l’éducation et aux loisirs ;

. droit à la protection contre toutes les formes de violence ;

. droit à l'expression et à l'écoute sur les questions qui les concernent ;

. droit à ne pas être exploité ;

. droit à une justice adaptée à leur âge ;

. droit, en temps de guerre, à être protégé et à ne pas devenir soldat.

- Connaître le rôle du Défenseur des droits.

- Connaître le rôle de l’Unicef (Le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance).

- Citer et illustrer quelques cas simples de discriminations : l’âge, l’origine, l’apparence physique, le sexe, le handicap, la situation de famille, le patronyme.

CM2

- Identifier quelques droits fondamentaux de l’homme et en débattre : droit de vote, droit de réunion, droit de se déplacer, droit au travail, droit à la santé, droit de grève…

- Savoir que l’on peut avoir recours au Défenseur des droits si on est victime de discrimination.

- Citer et illustrer quelques cas concrets de discriminations en fonction des opinions politiques, des opinions religieuses, de l’appartenance à un groupe humain particulier (nation, région, ethnie…).

Comment une institution qui serai le berceau du racisme pourrai demander à ses fonctionnaires de mener ce genre de prévention auprès des enfants ??

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