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Posté(e) (modifié)

Bonsoir à toutes et à tous (et à toi bien sûr, Anne)



je venais juste, disons... apporter un autre éclairage, sur ce que d'aucuns appellent ici les "renoncements", suite au témoignange précédent de Kermarga.


Je n'ai pas renoncé à préparer le Concours, je n'ai pas renoncé à devenir Professeur des Ecoles mais j'ai été contraint d'annuler mon concours en 2014 parce qu'étant seul à pouvoir m'en occuper et à devoir m'en occuper du reste, j'ai dû prendre en charge ma mère atteinte du cancer, diagnostiquée en février dernier. Anne, avec laquelle j'ai commencé à travailler saura vous dire que le sort s'est acharné: ma mère était au bloc de Bergonié à Bordeaux le jour même de l'Écrit de Français que j'aurais dû passer à Périgueux... Terrifiant dilemme qui fut le mien et terrible matinée d'angoisse dans les couloirs de l'Hôpital, nimbée d'une petit mort abyssale en pensant à ce qui se jouait au même moment et qui m'était interdit, alors même que j'ai passé 4 mois jours et nuits à travailler pour cet instant avorté... J'ai autant pleuré de soulagement au sortir des nombreuses heures d'opération réussie de ma mère que de détresse d'avoir dû sacrifier mon rêve... Le pire en outre étant d'accepter cette dichotomie intime, comme une culpabilité de penser à soi malgré la priorité absolue de la maladie... Mais j'ai été élevé dans l'idée de devoir faire son devoir, quel qu'il soit. Aussi l'ai-je fait, avec tout l'amour que j'ai pour ma pauvre mère qui est tout ce qui ce me reste. Et c'est ce à quoi je me raccroche pour aujourd'hui essayer de recommencer.


Bref.


Ceci pour dire à mon tour que renoncer, même momentanément, est une déchirure, une blessure tant ce type de concours est plus qu'une étape raisonnée dans des études calculées, mais bel et bien une profession de foi. D'autant plus dans mon cas, comme dans celui de Kermarga, qui nous voit à 40 ans passés, tenter l'Everest du 3ème Concours...


Je vous invite ainsi, vous tous, à vous imaginer ce que je peux éprouver à présent, avec l'infaillible pensée, fut-elle parfaitement hypothétique sinon gratuite, que j'aurais pu être reçu, et qu'à l'heure de cette soirée du 10 Juillet 2014 où j'écris ce topic, j'aurais pu me dire que je suis admis comme Professeur des Ecoles, et non seul chez moi, avec l'angoisse lucide et douloureuse de savoir que tout est à refaire... A commencer qui plus est par trouver à nouveau l'argent du CNED, ce qui n'est pas la moindre des questions pour moi...


Il est ainsi très difficile de s'y remettre tant je ressens un deuil et tant une sourde peine m'assaille: si certes j'ai dû abandonner pour cet exercice 2013-14 pour les raisons familiales évoquées, il reste que de toutes façons, une très vilaine grippe m'ayant littéralement cloué au lit pendant plus de 3 semaines en Février, avant de m'en remettre pleinement (le pire hiver que j'ai passé depuis des années), j'avais accumulé de facto trop de retard pour être prêt à temps: c'était devenu de toutes façons mathématiquement impossible. Et cela aussi, il faut le digérer, l'accepter, le vivre... Tout ça, tous ces efforts, ces espoirs, tout ce travail de forçat, réduit à néant comme ça. De façon aussi ridicule que pénible, pour une raison aussi grégaire et dérisoire qu'absurde... Comme me l'a dit Anne: il était écrit que tu ne le passerais pas en 2014 mais en 2015...


Certes, seulement tout reprendre à présent est très difficile. Vraiment très difficile. Une gageure. J'en suis comme tétanisé. Le contre-coup me dit-on... Il faudrait pouvoir partir en vacances pour souffler mais comment perdre encore du temps? Or le fait de ne pas pouvoir partir empêche de se relancer immédiatement: schizophrénique et cornélien... Ca en devient même dramatique... Ce serait même du dernier drôle si ce n'était à ce point terrible à vivre...



Aussi, il ne peut pas y avoir matière à polémique: renoncer est une décision épouvantable prise sous la contrainte, comme on s'ampute un membre sans autre choix aucun. C'est même pire que cela: on s'ampute de soi. Alors que ce soit bien clair pour tout le monde. Merci.


Modifié par Neum
Posté(e)

Meum,

Ne lâche rien mais en même temps fais retomber la pression, l'année que tu as vécue a été particulierement éprouvante, tu as du te battre et assurer et bravo : maintenant que les choses vont mieux, reprends ta préparation calmement apres avoir repris des forces ( vacances nécessaires) et tu as déjà pris beaucoup d'avance par ton travail de l'année passée : avec envie et passion on y arrive et on ressent cela en te lisant : mais pas de pression et 2015 est pour toi, je te le souhaite avec tout le courage et la force nécessaires.

Posté(e)

Bonjour Neum,

Je pense avoir reconnu la personne qui se cache derrière ce pseudonyme et je me permettrai une petite correction à votre écrit, même si j'imagine que cela doit bien vous « énerver », mais mon gros problème dans la vie est que je ne peux pas me taire. Alors voilà, il ne s'agit pas d'un sacrifice, mais juste d'un report dans le temps, c'est pénible, injuste, et déroutant certainement, mais c'est ainsi. Il faut faire avec. Juste un report, rien d'autre. Le sacrifice insinue un abandon du rêve accessible qui est le vôtre de devenir professeur des écoles, vilain mot à banir de suite. J'ai moi même une vie familiale très compliquée, qui me rend la vie extrêmement difficile, et je minimise mes mots. Je m'occupe de mon petit monde à moi également, ce petit monde qui gravite autour de moi et qui monopolise beaucoup de mon temps, m'empêchant de m'adonner par exemple à des activités qui me passionnent. Mais là, non, l'enjeu est trop important, pas question de renoncer à devenir enseignante du primaire. Je refuse catégoriquement le mot sacrifice. Je parle de dévouement, j'aime mieux, c'est plus doux et finalement cela correspond plus à ma personne. La dévotion peut être magnifique si elle ne se transforme pas en sacrifice justement. Tout cela pour dire quoi finalement, hop hop hop, on y va, on y retourne et surtout, on est content de le faire. J'ai fait le choix de ne pas m'arrêter de réviser, de ne pas prendre de vacances/repos cet été, effectivement une reprise des cours est plus difficile à gérer. Un marathon se court d'une seule traite, sans pose. J'espère que vous arriverez à « repartir ». Tout de suite, j'aurais donc envie de dire « bienvenue dans ce groupe thérapeuthique d'anciens cnédiens composé majoritairement de patients schizophréniques à la recherche d'une réponse qu'ils ne trouveront jamais du reste – pourquoi moi ? pourquoi ai-je échoué ? et de bons docteurs admis avec tous les honneurs dûs à leurs formidables résultats, eux-mêmes indispensables au bon fonctionnement de cette unité de soins spychologiques. Bravo à tous ceux qui me suivent toujours là !!!

Posté(e)

Neum, tu es Frederic ?

Quel courage d'affronter tout ça, et si tu savais comme je te comprends... Pas cette année, mais l'année dernier mes révisions ont été plus que mises à mal, tiraillement entre aider sa meilleure amie qui subit une récidive et révisions... Bref le choix est vite fait en réalité...

Maintenant dis toi une chose : tu as eu des acquis cette année avec tes révisions, donc cette année supplémentaire de préparation te sera vraiment bénéfique. Concernant le financement : tu n'as pas chez toi des objets que tu pourrais vendre via leboncoin ou un vide grenier pour te faire un peu de sous ?

Je te souhaite sincèrement de réussir en 2015 ;-)

Posté(e)

Bonjour Neum,

Je viens de lire ton message et je comprends ta "résignation". Comme tout le monde j'ai suivi via le forum du Cned ton abandon mais je pense qu'il ne faut jamais abandonner un rêve . Parfois il faut du temps pour digérer les événements plus ou moins joyeux de notre vie quotidienne, mais crois-moi le temps est un de nos principaux alliés dans ces grands moments de doute. Cette année j'ai réussi les écrits mais j'ai lamentablement échoué aux oraux et la défaite a un goût amer; surtout que pour moi aussi la quarantaine est plus que dépassée. Comme beaucoup j'ai une vie familiale accaparante et une vie professionnelle particulière à mille lieux du professorat. Malgré tout cela j'ai décidé de retenter ma chance une seconde fois. Je ne suivrai pas les cours du cned, qui cela dit m'ont été très utiles pour les écrits (j'ai seulement un bac série D) mais qui pour l'oral ne m'ont pas apporté, personnellement, ce dont j'avais besoin. Je me renseigne actuellement chez Adonis pour les oraux . Je vais essayer de me faire financer cette préparation par l'Agefice ( je suis travailleur indépendant). Voilà, je voulais juste te dire que cela vaut certainement le coup de retenter ce concours, on a déjà un peu d'avance!!!!! Personnellement, je reprendrai les révisions en Septembre car en ce moment je bosse une cinquantaine d'heure par semaine. En espérant te retrouver parmi nous à la rentrée, je te souhaite plein de courage et un bel été!

Valérie.

Posté(e) (modifié)

Bonjour,

@ mariedekork et @ Emsa40: je suis effectivement Frédéric (à me relire, ça fait très Star Wars... "No, i am your father"...)

Pour le reste, et notamment pour Marie, non, votre mail ne m'irrite pas - bien que l'inverse, si j'ai compris le courriel que vous m'aviez envoyé, ait été vrai au départ de la formation du CNED... - mais il est comporte des contre-sens au regard de ce que j'ai dit et des arrangements sinon avec le réel, du moins avec sa perception: arrêter, devoir arrêter le Concours est un renoncement. Vous pouvez utiliser tous les synonymes du monde, rien n'en changera le sens et donc la vérité: le concours 2014 et ses postes d'enseignants afférents est définitivement terminé. Clos. Pour toujours. Il n'y aura jamais plus de concours 2014. C'est fini. J'aurai - peut-être - pu être professeur des Ecoles à l'heure où je réponds ici, ce Vendredi 11 Juillet 2014, mais je ne le suis pas et je ne serais pas quoi qu'il arrive durant tout le prochain exercice 2014-2015. C'est la réalité. Arrêter le CNED a donc été un abandon, un renoncement, d'autant plus que c'est bien moi qui l'ait décidé. De mon propre chef. Aussi faut-il voir la vérité en face et ne pas y déroger, ne pas s'y soustraire. C'est inutile, vain et même dangereux. On a tôt fait de vivre dans son monde et de prendre ses chimères pour son destin...

Paradoxalement, c'est aussi ce qui devrait me "sauver": j'ai été contraint d'agir comme je l'ai fait. Aucun autre choix possible et quand bien même, au pire, de toutes façons, c'était mon devoir. Aussi bien, in fine, si, j'ai renoncé, j'ai abandonné MAIS pour de bonnes raisons, pour des raisons majeures qui devraient arriver à me persuader qu'elles me font honneur. Pour autant, n'étant qu'un homme et rien qu'un homme, malgré tous ses principes, malgré l'impérieuse nécessité qui s'est imposée à moi, ça a été un sacrifice évidemment. Bien sûr que si. Horrible vérité aussi, j'en ai voulu à la vie, j'en ai voulu à tout et à tous de devoir affronter cette épreuve - encore une - obstacle infranchissable à mon rêve en 2014. Car je n'ai plus 20 ans. J'en ai plus du double. Les années comptent désormais. Aucune d'entre elles n'est anodine. En prendre donc une "sur moi" a donc été un sacrifice. Parce qu'enfin, il faut aussi arrêter de se voiler la face: qui me dit que je vais réussir l'année prochaine, du premier coup en prime?! Si j'échoue, cette année de perdue comptera double, triple, quadruple... Et pendant ce temps-là, de quoi vivrais-je? Je suis déjà acculé à une précarité que je n'ai jamais connue et à cause de laquelle la femme que j'aimais plus que tout m'a quitté...

Pour avoir travaillé avec Anne comme je l'ai dit, des liens d'amitié et de complicité se son tissés. Elle pourrait vous dire par ailleurs tout ce que je tais ici: les 4 années qui viennent de s'écouler m'ont fait tout perdre et en prime, je suis mort... Un accident rénal, un coma, une mort pendant plus d'une minute pour au final 18 mois de convalescence et plus de travail... Et alors que je me remettais de cette terre des douleurs inextinguibles, mon père est mort enterré vivant dans l'éboulement d'une carrière lors d'une de ses recherches en archéologie fossile.... Une telle mort vous hante, croyez-le bien... Elle nous poursuit, ma mère et moi, depuis 3 ans... On comprendra donc mieux ici le choc qu'a revêtit l'annonce terrifiante du cancer de ma mère cette année et pourquoi ainsi donc, il faut a dessein bien parler de sacrifice et de renoncement la mort dans l'âme, et non pas de report, de rebond, de seconde chance etc... Ca ce sont des vues de l'esprit, des considérations philosophiques sur un possible devenir. Même pas un devenir donc, juste une hypothèse. Généreuse, volontaire, combative et donc admirable, oui, mais virtuelle. Pour autant, nous sommes bien d'accord: il vaut mieux voir la bouteille à moitié pleine qu'à moitié vide, mais pas au point de croire qu'elle est pleine... Ne rien édulcorer pour être prêt.

C'est pour cet ensemble de raisons que j'ai réagi à votre réponse, mais certainement pas parce qu'elle m'aurait irrité. En aucune façon. Cependant, franchise pour franchise, il faut savoir quand se taire ou quand ne pas dire tout ce qui nous anime au moment où cela nous anime. Notamment lorsqu'on est enseignant. Ce travail, cette vie devrais-je dire, comporte un aspect "politique", au sens social et hiérarchique du terme, mais il impose aussi un devoir de réserve, de recul, pour appréhender la classe, l'école, les contextes, pour savoir et réussir à les gérer...

Pour le reste Emsa40, oui, nous avons eu la même idée: une petite vente sur Ebay ou le Bon Coin... A suivre...

Pour l'heure, et cela aussi Anne le sait, en tant que musicien (je suis batteur) et faisant à nouveau parti d'un groupe depuis 3 mois et demie juste, je vais m'octroyer quelques jours de Festival Rock à Bordeaux et de répétitions en studio, en vue d'enregistrer les premières compositions achevées. Bref, de souffler un peu. Il y a d'ailleurs lundi prochain au Cap Ferret une série de concerts nocturnes où des amis jouent (les BlackBird Hill, fabuleux duo de Blues Rock à voir sur FaceBook aussi). Il est visiblement prévu enfin - enfin! - du beau temps, avec un joli 27° à l'ombre... Je vais donc y aller, j'espère avec des amis, en profiter, vivre une belle journée et une nuit de vie, festive et ample, avant donc de reprendre les révisions. Je pense en conscience que c'est la meilleure décision à prendre ici aussi: je suis à bout...

Après, mon planning serait de:

- Terminer le français: "L'étude de la langue" que je n'ai absolument pas encore abordé

- Faire tout le programme du "Socle Commun" que Anne a eu la gentillesse de m'imprimer et de relier (sans elle, j'en aurais fait bien moins encore... Elle est merveilleuse et c'est une injustice incompréhensible qu'elle n'ait pas été admise. Incompréhensible... J'étais sûr et certain du contraire... Si tu me lis Anne, je t'embrasse très fort).

- Ensuite et dès à présent, lire le manuel sur la méthodologie à suivre pour monter le dossier pédagogique de son option.

-> D'ailleurs j'y pense ici, autre point noir qui m'a fait aussi arrêter: je m'étais trompé d'option, comme un imbécile: je suis diplômé en Arts Plastiques, Lettres, Arts Graphiques et Multimédia. J'avais donc pris "Histoire des Arts" ... Avant de comprendre, trop tard donc, qu'il ne s'agissait pas d'Histoire DE l'Art mais plutôt d'Histoire de France tout court, au travers toutes sortes d'activités créatrices... Il fallait ainsi que je prenne "Arts Visuels"!... Erreur fatale donc... Erreur pour autant désormais réparée puisqu'une candidate admise a bien voulu me donner ses cours pdf que je compte donc là aussi faire imprimer cet été: 130 pages à faire relier ensuite en manuel, pour donc immédiatement à la rentrée, commencer à préparer mon dossier pédagogique. Je pense aussi demander à quelqu'un sur le forum, ayant été lui aussi admis, de bien vouloir me donner son dossier pour voir comment il s'y est pris, ce qui a marché etc... J'espère trouver cette bonne âme...

- Après j'ai un grand ami qui va recommencer à me donner des cours de Maths, dès la fin Septembre. Là, c'est ma bête noir: je suis vraiment mauvais...

- En sus, et en suivant ce faisant les recommandations appuyées de Anne là encore, entamer aussi derrière, l'EPS, qui visiblement est un vrai traquenard à l'oral...

- Et enfin au final, faire "La connaissance du Système Educatif Français".

Maintenant, à lire et à écouter Anne et Emsa40, j'entends bien qu'ayant déjà travaillé le concours je serais plus fort. Mais 1) Je n'ai fait que les deux-tiers du Français, que la moitié des Maths + juste un résumé des programmes et du socle des connaissances. Rien d'autre... Et 2) je ne me souviens déjà plus de grand chose... Donc il faut aussi que je revois tout ce que j'ai fait et vite donc. D'où mes angoisses actuelles... Cela étant, j'espère que cette seconde inscription et cette "avance" va enfin me permettre, contrairement à cette année, de faire des devoirs et de travailler avec les tuteurs....

Bref, voilà le plan, tout le plan, rien que le plan... Une folie, n'est-ce-pas? Sourire... Il me revient subitement la fameuse formule d'Hannibal:

"- J'aime quand un plan se déroule sans accroc..."

J'arrête là pour aujourd'hui, il serait plus que temps... Navré de la démesure de ce topic...

Frédéric alias Neum

Ré-édit: il est 18h45 ce Vendredi 11 Juillet 2014 et je viens de recevoir un mail promotionnel du CNED: 80€ de réduction pour la formation complète au CRPE (c'est-à-dire pour plus de 500€ de cours).

Modifié par Neum
Posté(e)

Et " intégriste sur le français " !!!! bon, bon, j'avais compris pour tout dire. :secret:

Salut Marie,

(tu me contrains à adopter temporairement un ton plus affecté ^^)

Je comprends ce qui t'interpelle, cet emploi de "sur" dans son acception abstraite relative débouche sur une syntaxe inhabituelle : il eut été plus classique d'écrire "intégriste au sujet du français".

Mais :angel_not:

- Il n'est pas grammaticalement incorrect, "intégriste" ayant ici une valeur adjectivale. Remplace-le par "intraitable", tu verras que la tournure te semblera moins saugrenue.

- Stylistiquement, cette construction un peu argotique me permet de rester en cohérence avec l'équilibre établi entre l'impact négatif qu'on trouve dans "intégriste" et le trop-plein de sérieux qu'on pourrait attribuer à mon souci pointilleux du français. En associant ces deux termes, j'induis une dimension parodique qui vient dédramatiser le propos, et un connecteur plus académique eût déstabilisé cette équation en faveur du second de ceux-là.

(avec votre permission, très chère, je vais à présent quitter le monde merveilleux du Bon Usage pour regagner celui des gens normaux :D)

Posté(e)

Ami(e)s Cnédiens,

il semblerait que le forum du Cned soit définitivement fermé... EN tout cas, chez moi, le Moodle n'apparaît plus dans ma page d'accueil.

Ce qui veut dire que tout se passe ICI maintenant (+ Ning) !

Ce seul sujet risque fort d'être contraignant à la longue, j'ai bien peur que nos contributions ne se perdent donc dans la nature de ce forum sans fin (fond ?) ! A moins que nous ne créions un forum parallèle spécial membres du Cned 2014-2015 ?! Des hackers partants parmi vous ?? ;-)

Aurélien

Posté(e)

Bonjour,

On accède encore aux forums par l'adresse directe (ou par les mails de suivi de message) mais c'est vrai que le lien a disparu de la plateforme CNED.

Posté(e)

Ouf, tout n'est pas perdu...

Merci pour ces précisions.

Posté(e)

Bonjour à tous...

Un temps de silence après l'annonce des résultats qui ne m'ont pas surpris puisque j'avais royalement raté mon oral de CSE/EPS (un vrai calvaire) mais qui sont tout de même toujours durs à avaler. Donc conclusion je remet cela l'année prochaine mais je ne sais pas encore si mes ressources me permettront de reprendre les cours du CNED.

Je sais déjà ce que je dois retravailler et surtout les erreurs de gestion du planning à ne pas répéter.

Je suis arrivée épuisée aux oraux et tout cela m'a valu une perte immense de mes moyens. Cette année je pense que je ferai bien différemment. Plus question de bosser tard le soir et très tôt le matin. Enfin, je dis cela mais il va falloir que je gère quand même avec le travail, les enfants, le mari et les activités annexes....

Sinon bien sur je n'oublie pas de féliciter tous ceux qui ont réussi cette belle aventure et j'espère que ceux qui ont échoué n'abandonneront pas leurs rêves en chemin !

Je me réjouie de vous lire ici dans tous les cas !

Blandine.

Posté(e)

Voilà, pour moi l'accès à la formation moodle du cned (et aux forums associés) est imposible depuis aujourd'hui!!!

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