Lexdra Posté(e) 14 mai 2016 Posté(e) 14 mai 2016 Berk berk on est vraiment dans le grand monde du n"importe quoi.
cyrille1 Posté(e) 14 mai 2016 Posté(e) 14 mai 2016 A Paris, on ne peut plus faire les études : priorité aux animateurs moins bien payés et accessoirement (pour avoir parlé avec eux car ils font aussi l 'ARE) maitrisant assez mal la langue française.
Goëllette Posté(e) 15 mai 2016 Posté(e) 15 mai 2016 Ça fait longtemps que ça se passe dans bien des communes, avec la bénédiction des parents, qui préfèrent que leurs enfants jouent plutôt qu'ils aillent à l'étude, et parfois même celle des enseignants, qui ne sont plus volontaires pour les assurer. Ce contre lequel il aurait fallu se battre et qui a fait le lit de la réforme (je me souviens l'avoir abordé plusieurs fois à mes débuts sur ces forums), c'est l'entrée des CLAE dans les écoles, certes très pratique à première vue (l'enseignant de maternelle n'est pas obligé d'attendre les parents car les enfants "basculent" directement au CLAE) mais qui ont considérablement participé à brouiller les rôles de chacun au sein de l'école.
Zarko Posté(e) 21 mai 2016 Posté(e) 21 mai 2016 Inutile de refaire le débat...Tout ce merdier, nous l'avions prédit, dit et redit...Je ne pardonnerai jamais à ceux qui ont participé à cette cata
Zarko Posté(e) 21 mai 2016 Posté(e) 21 mai 2016 Le 11/5/2016 à 16:33, nonau a dit : http://www.midilibre.fr/2016/05/10/la-semaine-des-4-5-jours-n-a,1330222.php Qu'ils fassent un sondage chez les enseignants...ça doit être dantesque
pepite100 Posté(e) 21 mai 2016 Posté(e) 21 mai 2016 Rythmes scolaires : le rapport positif. Le rapport sur la mise en œuvre de la réforme des rythmes, une étude réalisée par Françoise Cartron, affiche d’emblée sa position en faveur de la réforme. Selon la sénatrice (PS), celle-ci n’a pas créé d’inégalités. « De grandes disparités préexistaient. Certaines communes possédaient un service éducatif et périscolaire lorsque d’autres en étaient totalement dépourvues ; certaines avaient des projets éducatifs locaux ou encore accompagnaient les enseignants en rémunérant des intervenants sur temps scolaire et d’autres non. » La réforme doit désormais contribuer à réduire ces inégalités, expose le document. Lequel souligne la progression de l’offre et de la fréquentation aux activités périscolaires entre la rentrée 2012 et la rentrée 2015. « Le nombre de places ouvertes est passé de moins de 1 million (982 708) à plus de 3 millions (3 058 064) sur [cette] période ». Quid des inégalités ? Les élus ne se sont pas emparés de la réforme de la même façon, ce n’est pas lié à leur étiquette politique, admet le document. Et de relever d’autres axes discriminants. Le premier est historique : on note une plus forte fréquentation des nouvelles activités périscolaires dans les communes qui ont démarré en 2013 que dans celles qui se sont lancées en 2014. Le second est établi par la caisse nationale d’allocations familiales : « Le pourcentage d’inscrits est plus conséquent dès lors que les accueils sont gratuits. » Le troisième critère est plus inattendu : selon les questionnaires recueillis sur un millier de communes, la fréquentation des enfants aux activités périscolaires est en moyenne plus forte dans les communes de moins de 2 000 habitants ainsi que dans les zones rurales.
Nao Posté(e) 21 mai 2016 Posté(e) 21 mai 2016 Donc en gros, si un PEDT a été écrit, et même s'il est appliqué de façon.... euh.... approximative, c'est tout ce qui compte. Mes filles en zone hyper rurale se tapent 45 minutes tous les soirs de TAP / garderie / insultes / bagarres /"j'te nicke, j'te fume" balancé à la dame qui essaie de surveiller ce sombre foutoir. Et quel succès ! Tous les enfants y restent. Et pourquoi ? Ben parce que les parents bossent et que beaucoup d'entre eux ne peuvent pas finir à 15h45.... On prend nos gosses en otage, et il faudrait encore trouver ça formidable. Quelle hypocrisie. 1
Mirobolande Posté(e) 22 mai 2016 Posté(e) 22 mai 2016 Les APE coûtent 175.000 euros à notre municipalité qui nous fait le "cadeau" de ne pas augmenter les impôts locaux. Je suis brigade, je tourne pas mal dans les écoles. Une collègue a 32 GS qu'elle gère sans ATSEM l'après-midi. 32 gamins! Après, les nouveaux programmes nous assènent que le jeu a une place importante en maternelle. Ah oui, on fait même garderie dans ce contexte. L'école en question va obtenir une ouverture de poste. Sans ATSEM?
Lexdra Posté(e) 22 mai 2016 Posté(e) 22 mai 2016 Pareil les TAP chez nous coûtent une fortune, nos impôts vont augmenter, les activités sont devenues payantes et à côté je réclame d'avoir mon "ATSEM" le mercredi matin pour m'aider (son contrat est établi que pour les matins de la semaine de 4 jours ...) et la réponse est "NON". On a calculé la somme que cela représente à l'année, c'est ridicule par rapport aux TAP mais je demande trop.
nonau Posté(e) 22 mai 2016 Posté(e) 22 mai 2016 Mettre l'école républicaine publique à genoux! Voilà un des objectifs de la Refondation! Quand on n'y rajoute le concept d'école inclusive sans moyen critiqué par nombre de pédopsychiatres, la fin des redoublements, des Rased, des Clis.... Ensuite ils pourront dire "vous voyez notre Ecole républicaine est un échec, il faut libéraliser! " En 95 Fillon avait dit que le problème avec les services publics en France c'est qu'ils fonctionnent (trop) bien!
nola Posté(e) 22 mai 2016 Posté(e) 22 mai 2016 Il y a 1 heure, Koba a dit : Stratégies classiques, mais visiblement, toujours efficaces... Et on ne peut pas dire qu'on n'a pas été prévenus: https://www.fichier-pdf.fr/2015/06/30/la-strategie-du-choc-naomi-klein/ 1
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