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Mais avant de conquérir gloire et fortune avec ma méthode, je propose d'offrir une ou deux heures de cours pour démontrer son intérêt et même la perfectionner. Si vous connaissez des parents intéressés sur Paris. :) !

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@luccia vous n'avez donc jamais rencontré un 3/4 ans qui sait lire? Dommage. J'espère que si cela arrive vous le conforterez dans cette voie et que vous amenerez les autres élèves vers son niveau... plutôt que l'inverse.

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Le grand rêve de la droite sarkosiste était de libéraliser l'école. Dans sa conception extrême, cette libéralisation aurait permis à n'importe qui d'ouvrir une école, comme tout le monde à le droit d'ouvrir un magasin de farces et attrapes. Et des Cloé Belaparte, on en aurait eu à la pelle, avec leur stratégie de communication-à-la-con : on prend une photo d'Einstein, on le barbouille un peu, on trouve un slogan genre ; "ma méthode à moi permettra à votre enfant d'apprendre à lire dès 3 ans", on casse du sucre sur le dos de l'Education Nationale où le niveau serait bas, où l'on ne saurait pas développer le potentiel de chaque enfant, et on obtient une belle escroquerie.

Tout le monde peut ouvrir une école, à condition d'avoir le bac, ou de nommer un directeur pédagogique qui a le bac. La loi est faite comme ça depuis des lustres, et Sarkozy n'y a absolument rien changé.

Bien sûr, cette école ne reçoit aucun financement public, mais c'est le cas pour toute création d'école hors-contrat. Que les enseignants aient tous le bac, ou tous un doctorat en sciences de l'éducation, elle ne bénéficiera d'aucun financement.

Prêter à Sarkzy la volonté de mettre en place un chèque éducation, ça n'a pas de sens, puisqu'il était au pouvoir et qu'il ne l'a pas fait. S'il était pour, il n'avait qu'à le faire. Or il ne l'a pas fait. Ca aurait été une mesure de liberté, à la place il a supprimé la formation des enseignants comme tous les régimes autoritaires avant lui.

J'ai bien dit que Sarko rêvait de le faire, et effectivement, il ne l'a pas fait. Par contre, comme tu l'as dit, il a supprimé la formation des enseignants, mais aussi bien allégé la carte scolaire afin de faciliter le choix des parents. Et souvenez-vous, il voulait publier les résultats de chaque école, afin de les mettre en concurrence. Là, tout le monde a gueulé, et finalement il a reculé. Je suis sûr aussi que l'idée du chèque-éducation était dans les cartons et qu'il attendait un deuxième quinquennat pour finaliser la libéralisation de l'école, histoire de ménager l'opinion publique qui avait déjà été choquée par les mesures précédentes. Et si Sarko était resté 10 ans au pouvoir, c'est certain qu'on y aurait eu droit, et ce chèque-éducation, au nom de la liberté de choix, aurait pu servir à financer la résidence secondaire de Cloé Belaparte.

Un livre intéressant qui en dit long :

http://www.main-basse-sur-ecole-publique.com/

Le chèque éducation n'est pas censé représenter la libéralisation de l'école. Ca correspond plutôt à un financement du privé hors-contrat, qui pourrait même être conditionné par des contre-parties autres qu'un contrat dans ses formes existantes. Les écoles de l'éducation nationale ne sont pas censés être concernées directement, seulement indirectement par le départ de certains de ses élèves et enseignants vers d'autres projets.

La liberté de choix, c'est aussi la liberté de choix pour les enseignants d'aller dans des écoles qui correpondent à leur sensibilité, ou de choisir de privilégier le salaire pour les uns ou les conditions de travail pour les autres.

L'essentiel n'est pas dans le principe mais dans le cadrage et les limites du dispositif, pour que l'école publique ou privée sous-contrat ne soit pas concernées par des pratiques manageriales, et pour que les financements n'aillent pas dans des structures à but lucratif.

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Si vous lisez dans le bon ordre, vous verrez que je ne parlais pas des cours avant que la conversation dégénère/ne dégénère. Avec ou sans ne explétif, au choix

ET pourquoi ne pas répondre aux questions posées ... ici et dans l'autre post ?

Et on va répondre pour en discuter avec qui ?

Tout ce qu'elle raconte montre bien qu'elle n'a aucune connaissance du fonctionnement et des apprentissages d'un enfant d'âge maternel, ni sur l'apprentissage de la lecture, mais qui se permet d'être bourrée de certitudes. Je veux bien parler, mais il n'y a rien en face...

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Si vous lisez dans le bon ordre, vous verrez que je ne parlais pas des cours avant que la conversation dégénère/ne dégénère. Avec ou sans ne explétif, au choix

Ca va, on sait lire. La tonalité du blabla (en italique ou pas, au choix) pour les cours montre à qui on a affaire. On sait aussi lire ça.

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Si vous lisez dans le bon ordre, vous verrez que je ne parlais pas des cours avant que la conversation dégénère/ne dégénère. Avec ou sans ne explétif, au choix

Ca va, on sait lire. La tonalité du blabla (en italique ou pas, au choix) pour les cours montre à qui on a affaire. On sait aussi lire ça.

Oui mais il faut reconnaître que Cloé n'a parlé de ses cours que pour dire qu'elle avait une expérience. Et puis c'est pas ici qu'elle peut faire sa pub non? Sinon elle serait allée dans la partie "parents", je pense.

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On apprend déjà à lire dès la maternelle. Commence par apprendre ce qu'est "apprendre à lire" et ce qu'est "la maternelle". Après tu lanceras des pétitions.

Et puisque tu aimes l'action, rappelle-toi que "se former" ne peut intrinsèquement être qu'une forme d'action. Donc c'est bien une action que je te propose, à toi de voir si tu fais vraiment partie de ceux qui "veulent agir"...

  • J'adhère 1
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On apprend déjà à lire dès la maternelle. Commence par apprendre ce qu'est "apprendre à lire" et ce qu'est "la maternelle". Après tu lanceras des pétitions.

Et puisque tu aimes l'action, rappelle-toi que "se former" ne peut intrinsèquement être qu'une forme d'action. Donc c'est bien une action que je te propose, à toi de voir si tu fais vraiment partie de ceux qui "veulent agir"...

En plus, elle ne répond toujours pas à nos questions ....

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