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lecavalier

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Et dans l'actualité, un événement qui relance la question de l'enfouissement des déchets radioactifs

 

Tu veux dire que tu n'es pas convaincu par les assurances de ces braves ingénieurs qui te garantissent sans rire la pérennité du site sur 100 000 ans, ou sur les garanties de représentation de leur employeur sur — uh, même 100 ans ?

 

Pfffff... Mauvais esprit !

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Des écolos... mouais... ou des arrivistes prêts à mettre de côté leurs idéaux pour un brin de pouvoir. Emma cosse n'aurait déjà pas dû représenter eelv en tant que secrétaire nationale, son entrée au gouvernement confirme tout le mal que je pense d'elle

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A Bure...Ses habitants doivent remercier chaque matin notre cher Ministre Emmanuel Macron qui a permis grâce à sa Loi "fourre tout" l'enfouissement des déchets radioactifs en France.

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http://www.lepoint.fr/politique/remaniement-internet-cruelle-boite-a-archives-memoire-du-reniement-11-02-2016-2017226_20.php

 

Remaniement : Internet, cruelle boîte à archives, mémoire du reniement

Charlotte Chaffanjon
 

Internet a ceci de formidable : sa mémoire est infaillible. Aussitôt la liste du nouveau gouvernement dévoilée, les déclarations des nouveaux entrants fustigeant le gouvernement de Manuel Valls – qu'ils intègrent donc – ou assumant des ambitions démesurées, forcément déçues, se sont répandues sur la Toile.

 

Ayrault : « Ne divisons pas davantage ! »

Jean-Marc Ayrault, d'abord. L'ancien Premier ministre fait son retour autour de la table du conseil des ministres dans le costume de ministre des Affaires étrangères et du Développement international. Durant sa traversée du désert, depuis son départ de Matignon le 1er avril 2014 à aujourd'hui, l'ex-maire de Nantes n'a pourtant pas mâché ses mots contre le pouvoir. Se plaignant d'abord de cette grande réforme fiscale qui ne venait pas. Fustigent ensuite la déchéance de nationalité contre les terroristes : « Si la France est en péril de paix, alors ne la divisons pas davantage ! » avait-il tweeté le 27 décembre. Mercredi, pourtant, veille de son arrivée au Quai d'Orsay, il votait l'inscription de la déchéance de nationalité dans la Constitution.

 

Cosse : « Ah, Valls, j'ai hâte »

Emmanuelle Cosse, ensuite. Elle est la prise de guerre à laquelle tenait François Hollande. La secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts a accepté le portefeuille du Logement, détenu auparavant par Cécile Duflot, une autre écolo, aujourd'hui en rupture avec l'exécutif. Il suffit de se balader sur son compte Twitter pour retrouver des perles. Le 15 septembre 2011, en pleine campagne pour la primaire du PS, alors que Manuel Valls commençait à se faire un nom sur une ligne à la fois libérale et sécuritaire, elle tweetait ironiquement : « Ah, Valls, j'ai hâte. » Beaucoup plus récemment, le 25 septembre 2015, elle postait : « À ne jamais tenir ses engagements, on ne doit plus s'étonner de ne pas être soutenu. » Et le 19 janvier 2016 ? « Déchéance de nationalité : un non-sens, une incompréhension totale. Cette proposition fait du mal à la société. »

 

"Déchéance de nationalité : un non sens, une incompréhension totale. Cette proposition fait du mal à la société." #pp3
— Emmanuelle Cosse (@emmacosse) 19 Janvier 2016

 

 Baylet : « Si je n'ai pas la Défense, ce sera la guerre »

Jean-Michel Baylet, leader historique du Parti radical de gauche, devient ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales. Juste au-dessus du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve dans l'ordre protocolaire. Une maigre consolation ? Car Baylet ne s'en cachait pas, ce qu'il voulait, c'était... la Défense. C'est ce qu'il disait en septembre 2015, rapportait Challenges : « Si je n'ai pas la Défense, ce sera la guerre. » Doit-on s'inquiéter, du coup ?

 

Placé : « Pas moins qu'une fonction de ministre »

Quant à Jean-Vincent Placé, le journaliste du Journal du dimanche Arthur Nazaret a exhumé cette interview qui date d'octobre 2011. À la question « Vous auriez déclaré ne pas vouloir être secrétaire d'État, déclarant maman va penser que je fais le courrier ? », le sénateur écolo avait répondu : « Oui, c'est vrai. D'ailleurs, la tradition française veut que, quand on a été président d'un groupe parlementaire, on n'obtienne pas moins qu'une fonction de ministre. » Ce qu'il vient d'accepter ? Le poste de... secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification.

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A l'occasion du conseil national de Les Républicains ce week-end, le tout nouveau président (du conseil national), Luc Châtel, élu de justesse devant Michel Alliot Marie, a lancé un tonitruant "Les Républicains doivent être le parti du gaz de schiste, des OGM, des biotechs".

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Ça bouge à NDDL:

 

"Notre-Dame-des-Landes : l’Etat dissimule des informations défavorables au projet"

 

 

C’est une note d’à peine deux pages mais qui fait grand bruit. Contredisant les discours officiels sur l’impossibilité d’agrandir l’actuel aéroport de Nantes Atlantique et la nécessité de le transférer vers Notre-Dame-des-Landes, ce document, révélé par Le Canard enchaîné, mercredi 17 février, a été tenu secret par le préfet de la région Pays de la Loire à qui il était destiné.

 

 

Ce document entache encore un peu plus la gestion du dossier. D’abord parce que sa dissimulation montre que le débat, sensible, autour de la construction de l’aéroport à Notre-Dame-des-Landes est entaché de dissimulations. Ensuite, parce que l’un des arguments pour légitimer le transfert, écologique de surcroît, n’a pas lieu d’être.

 

 

Irrité par l’utilisation de cet argument « écologique », le directeur de la Réserve naturelle du lac de Grand-Lieu, « pendant vingt-trois ans depuis sa création », Loïc Marion, a même écrit au premier ministre le 28 octobre 2015. Sa lettre, que Le Monde s’est procurée, va dans le même sens que la Dreal. « Je n’ai jamais constaté la moindre gêne des oiseaux de ce lac due aux avions utilisant l’aéroport actuel de Nantes Atlantique (…). Tout au contraire, l’abandon de Nantes Atlantique constitue une menace bien réelle pour le lac de Grand-Lieu, dans la mesure où ses périmètres de protection (réserve naturelle, site classé Natura 2000) ont été définis au plus juste près du lac, en tenant compte de la protection de fait assurée par le périmètre de protection antibruit de l’aéroport. (…) Le déplacement de l’aéroport mettrait fin à cette protection, et des élus locaux n’attendent d’ailleurs que cette issue pour pouvoir urbaniser tout ou partie de ce corridor », écrit Loïc Marion.

La possible récupération d’une partie de l’emprise territoriale de Nantes Atlantique pour étendre l’agglomération nantaise est en effet un enjeu du dossier.

 

http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/02/19/notre-dame-des-landes-l-etat-dissimule-des-informations-defavorables-au-projet-de-nouvel-aeroport_4868158_3244.html

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"Sur le site le plus radioactif de France, la corrosion de cuves « extrêmement irradiantes » inquiète"

 

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé à Areva de « renforcer la surveillance » des six évaporateurs de son usine de retraitement de Beaumont-Hague, dans le département de la Manche, en raison de cuves « extrêmement irradiantes » dont « la corrosion est plus rapide que prévu ».

Dans un communiqué publié jeudi 25 février, l’ASN a même averti qu’elle « pourrait être conduite à imposer l’arrêt de l’installation [un évaporateur] en cas de détérioration excessive ». Cet arrêt aurait pour conséquence une réduction du volume d’activité de l’usine, a précisé à l’Agence France-Presse Guillaume Bouyt, chef de la division de l’ASN à Caen.

 

http://www.lemonde.fr/energies/article/2016/02/25/la-corrosion-de-cuves-extremement-irradiantes-inquiete-l-autorite-de-surete-nucleaire_4871904_1653054.html

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"Préjudice écologique"

http://www.liberation.fr/planete/2016/03/01/prejudice-ecologique_1436831

 

 

Le diable - ou le lobby - se cache souvent dans les détails. Un amendement du gouvernement au projet de loi biodiversité, examiné mardi en commission à l’Assemblée nationale, propose d’inscrire le préjudice écologique dans le code civil. Un progrès a priori. Sauf qu’un alinéa précise : «N’est pas réparable le préjudice résultant d’une atteinte autorisée par les lois, règlements et engagements internationaux de la France.» «Cela reviendrait à rendre impossible la réparation en multipliant les conditions. Le code civil va gagner un maigre symbole, le code de l’environnement perdre beaucoup», d écrypte l’avocat Arnaud Gossement. Pour qui ce texte, s’il était adopté en l’état, s’apparenterait au «permis de polluer». «Cet amendement a été rédigé directement au Medef, puis imposé par Bercy», indique une source. Si une telle disposition avait existé, Total aurait pu l’invoquer pour ne pas payer un centime pour les préjudices causés par la marée noire de l’Erika en 1999. «Je vais vigoureusement combattre ce qui serait un recul sans précédent», indiquait la députée PS et ex-ministre de l’Ecologie Delphine Batho.

 

En cas de catastrophe écologique provoquée par une entreprise, la réparation des dégâts serait payée par l'état, c'est-à-dire les contribuables. 

Comme pour les banques après la crise de 2008: le passif est épongé par la collectivité, les bénéfices par contre restent privés.

Heureusement qu'il y a des écolos dans ce gouvernement, sinon ça serait grave ....

 

 

Modification:

"Droit de l'environnement: Que changerait la disparition du «préjudice écologique»?

DROIT Le projet de loi sur la biodiversité a failli rendre le principe « pollueur-payeur » inopérant…"

 

Si le préjudice écologique n’existait pas, Total n’aurait probablement pas été condamné après la marée noire de l’Erika à payer 200 millions d’euros pour le nettoyage des plages. Le gouvernement a retiré, mardi dans la soirée, un amendement du projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, qui réduisait la portée du « préjudice écologique », une notion apparue dans la jurisprudence française avec le procès de l’Erika en 2012. Cet amendement prévoyait notamment de ne pas demander aux pollueurs de réparer les dégâts environnementaux si ceux-ci résultaient d’activités autorisées.

http://www.20minutes.fr/planete/1798327-20160302-droit-environnement-changerait-disparition-prejudice-ecologique

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