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Il y a 4 heures, severuspomfresh a dit :

Je me cite, je l'ai fini ! Mamma mia ! Et je viens de commander la suite : La septième lune !

Il est très bien aussi ... mais ne se déroule pas en Sardaigne !

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Je viens de finir Un animal sauvage de Dicker. Mouais... Lu en quelques jours car bien captivant et plein de rebondissements, c'est sûr. Mais à part ça... L'écriture est vraiment plate, les dialogues ne volent pas très haut. Souvent l'impression d'être dans un mauvais feuilleton... Et je n'aime pas quand il n'y a aucun personnage attachant dans un roman et là, c'est le cas. 

J'avais adoré La vérité sur l'affaire... quand il était sorti, j'ai envie de le relire pour voir si je suis toujours de cet avis. 

Lu aussi Le grand feu de Léonor de Recondo. Ce n'est pas son meilleur mais j'aime beaucoup son style. 

https://www.babelio.com/livres/Recondo-Le-Grand-Feu/1522737

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il y a 2 minutes, Lolotka a dit :

 

Lu aussi Le grand feu de Léonor de Recondo. Ce n'est pas son meilleur mais j'aime beaucoup son style. 

https://www.babelio.com/livres/Recondo-Le-Grand-Feu/1522737

Tout à fait d'accord, j'aime pourtant particulièrement cette autrice.

J'ai fini Continuer de Mauvignier. Je le recommande vivement. 

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Roissy – Tiffany Tavernier 
J’ai choisi ce livre en pensant le lire vite. Ça n’a pas été le cas. J’ai trouvé cette lecture longue et laborieuse. Le début est très poussif : on suit l’héroïne amnésique, qui vit dans Roissy, mais rien ne se passe. Il faut attendre la moitié du livre pour qu’un évènement survienne. L’intérêt remonte un peu, car on attend de savoir de quel côté la vie de cette femme va basculer.
Puis j’ai trouvé la fin trop rapide, bâclée.
Deux points positifs :
- la vie « secrète » d’un aéroport : description des gens qui y vivent, ceux qui y travaillent, et ceux qui ne font qu’y passer.
- l’évocation du fonctionnement de la mémoire suite à un traumatisme : le souvenir, la culpabilité.

Trois jours et une vie – Pierre Lemaître 
J’ai choisi ce livre sans lire la quatrième de couverture : un Pierre Lemaître que je n’avais pas lu, ça me suffisait.
Dès les première pages, j’ai eu une impression de déjà vu : le film tiré du livre est passé à la télé il y a quelques années. J’ai tout de même poursuivi ma lecture car j’ai aimé l’écriture et la description des sentiments et émotions du jeune Antoine : sa honte et sa culpabilité d’avoir tué son jeune voisin et dissimulé le corps, avant la tempête de 1999.

La liste de mes envies – Grégoire Delacourt 
J’avais résisté à  l’engouement suscité par ce livre à sa sortie, et cette semaine, je me suis dit… pourquoi pas ! Vite lu (une journée), je ne peux pas dire que je me suis ennuyée. Mais une fois le livre terminé, j’ai eu l’impression d’être « vide » : ce livre n’a éveillé en moi aucune émotion, aucune réflexion. Aucun des personnage n’est resté pour me tenir compagnie, et je n’ai as conservé l’ambiance du livre. Bof, donc !

 

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Sur les conseils d'une connaissance, je lis Je revenais des autres, de Mélissa da Costa.

Que dire ? Est-ce que cela méritait 600 pages ? C'est bien écrit, certes, j'ai envie de connaître la fin (même si je la subodore), mais c'est trop pointilleux, poussif. En un mot médical : dilaté.

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Il y a 12 heures, Ljub a dit :

Sur les conseils d'une connaissance, je lis Je revenais des autres, de Mélissa da Costa.

Que dire ? Est-ce que cela méritait 600 pages ? C'est bien écrit, certes, j'ai envie de connaître la fin (même si je la subodore), mais c'est trop pointilleux, poussif. En un mot médical : dilaté.

Ce n'est pas son meilleur ! Loin de là 

 

  • Merci 1
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Je viens de commencer Un monde à refaire, de Claire Deya. 

Hyères, 1945. C’est presque l’été, presque la paix. Après cinq années de conflit, tous n’aspirent qu’à revivre, libres. Et pourtant, sur les rives de la Méditerranée, des millions de mines laissées par les Allemands menacent d’exploser. Qui s’en souvient ? Comment trouver sa place dans ce monde que l’on ne reconnaît plus, lorsqu’on revient des camps, comme Saskia, ou du maquis, comme Fabien ? Quand on recherche au milieu du chaos, comme Vincent, la femme qu’on aime d’un amour fou, incandescent, et qui a disparu ? Pour saisir l’infime chance de retrouver Ariane, Vincent est prêt à tout, jusqu’à s’engager dans l’enfer d’une équipe de démineurs. Entre Hyères et Saint-Tropez, des résistants, des aventuriers travaillent sous haute tension avec des prisonniers allemands à nettoyer les plages des engins de mort qui piègent la riviera. C’est presque l’été, presque la paix : certains reprennent leur souffle, d’autres risquent leur peau. Sans autre choix que de réinventer leur vie. Un portrait saisissant d’une période paradoxale et méconnue, pleine de douleur, d’espérance et de secrets indicibles. Une fresque romanesque inoubliable.

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Un polar de Pulixi. Je me demande s'il n'a pas été adapté, l'histoire me dit quelque chose. 

Le chant des innocents. 

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il y a 14 minutes, Tide a dit :

Un polar de Pulixi. Je me demande s'il n'a pas été adapté, l'histoire me dit quelque chose. 

Le chant des innocents. 

Il est bien mais ce n’est pas son meilleur ! 

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J'ai commence La septième lune de Pilixi, toujours autant de plaisir à retrouver Strega, Croce et Rais.

Avant j'ai lu un livre pour les amoureux des chats et du Japon. J'ai failli verser une larme. Les Mémoires d'un chat de Hiro ARIKAWA.

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Il y a 23 heures, severuspomfresh a dit :

Il est bien mais ce n’est pas son meilleur ! 

Ne me laissera pas un souvenir impérissable. 

Commencé le beurre de Manako de Asako Yukusi. Une journaliste, une meurtrière présumée fine gourmet  et de la cuisine au beurre.

Pour l'instant, j'apprécie. Comme souvent dans la littérature japonaise, l'intrigue s'installe lentement.  On a l'eau à la bouche souvent!

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Les guerriers de l'hiver, par Olivier Norek. Un livre très documenté sur une guerre oubliée, la Guerre d'Hiver qui a opposé l'URSS à la Finlande en 1939 - 1940. Un petit pays agressé par un dictateur russe se défend courageusement, ça vous rappelle quelque chose ? On peut regretter une plume un peu sèche, le roman aurait gagné à être un peu plus épique, malgré cela c'est passionnant, on apprend beaucoup.

Et aussi, dans un autre genre : Ci-gît l'amer, guérir du ressentiment par Cynthia Fleury. Un livre essentiel pour les "hommes du ressentiment" comme moi qui ruminent et ressassent de vieilles rancœurs. N'attendez pas que l'auteure vous console, au contraire elle vous rentre dedans, il faut un moment pour accepter ce qu'elle dit mais avec un peu d'ouverture d'esprit ce livre peut aider à avancer. Elle poursuit par le ressentiment collectif, qui a engendré le fascisme, dans une brillante démonstration. Pas toujours très facile à lire, mais un livre fort et marquant.

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