montagny Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 Il y a 16 heures, prof désécol a dit : Oui, j'ai aussi connu ce type de tableau. Pas chaque année, toutefois. N'était-ce pas en partie le but recherché ? Car on voit mal quelle pouvait être l'utilité administrative de ce machin, sachant qu'on remplit à chaque début d'année scolaire une fiche de renseignements sur laquelle figurent déjà ces éléments... ici plus de fiche car l'ien fait des extractions d'Iprof. On ne renseigne que le niveau, l'effectif et la quotité de travail.
prof désécol Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 Il y a 1 heure, montagny a dit : ici plus de fiche car l'ien fait des extractions d'Iprof. Vu l'aisance de mon ien avec l'outil numérique pendant les deux heures de "formation" au LSU, je pense que ma circo poursuivra pendant quelques années encore l'extraction des renseignements hors d'une chemise cartonnée...
borneo Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 Il a au moins essayé. Pour ce qui concerne le nôtre à ce sujet, c'est silence radio.
prof désécol Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 il y a 2 minutes, borneo a dit : Il a au moins essayé. Pour ce qui concerne le nôtre à ce sujet, c'est silence radio. "délégué" serait plus juste...
Goëllette Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 il y a 47 minutes, prof désécol a dit : Vu l'aisance de mon ien avec l'outil numérique pendant les deux heures de "formation" au LSU, je pense que ma circo poursuivra pendant quelques années encore l'extraction des renseignements hors d'une chemise cartonnée... Ils n'ont pas de formations, les IEN ?
prof désécol Posté(e) 8 février 2017 Posté(e) 8 février 2017 il y a 24 minutes, Goëllette a dit : Ils n'ont pas de formations, les IEN ? Si, mais priorité aux formations à la bIENveillance.
Nao Posté(e) 12 février 2017 Posté(e) 12 février 2017 Le 08/02/2017 à 19:35, prof désécol a dit : Si, mais priorité aux formations à la bIENveillance. Ooooh, joli !
pepite100 Posté(e) 13 février 2017 Posté(e) 13 février 2017 Ces profs qui veulent arrêter : http://c.lalsace.fr/actualite/2017/02/13/ces-profs-qui-veulent-arreter http://c.lalsace.fr/actualite/2017/02/13/ces-profs-qui-ont-le-blues?utm_source=direct&utm_medium=newsletter&utm_campaign=a-la-une
majo22 Posté(e) 17 février 2017 Posté(e) 17 février 2017 Le 13/02/2017 à 10:44, pepite100 a dit : Ces profs qui veulent arrêter : http://c.lalsace.fr/actualite/2017/02/13/ces-profs-qui-veulent-arreter http://c.lalsace.fr/actualite/2017/02/13/ces-profs-qui-ont-le-blues?utm_source=direct&utm_medium=newsletter&utm_campaign=a-la-une On ne peut pas lire, c est payant
pepite100 Posté(e) 18 février 2017 Posté(e) 18 février 2017 Il y a 18 heures, majo22 a dit : On ne peut pas lire, c est payant Signalée dans un rapport consacré aux finances de l’Éducation nationale (1) la hausse des démissions des enseignants a récemment fait grand bruit. Entre 2012 et 2015, ces départs ont augmenté chez les stagiaires du primaire (de 1 % à 3,2 %) comme chez ceux du secondaire (de 1,1 % à 2,5 %). Depuis 2009, les démissions sont aussi en hausse, dans une moindre mesure, chez les titulaires. Elles ont augmenté de 128,38 % pour ceux du primaire et augmenté de près de 60 % chez ceux du secondaire. Au regard du nombre d’enseignants, la proportion de démissionnaires reste faible, de l’ordre de 1 ou 2 personnes sur 1000, soit bien moins qu’en Belgique, aux États-Unis ou qu’au Royaume-Uni. Toutefois, ces démissions constituent peut-être une petite partie d’une masse également croissante : tous ceux qui souhaitent quitter le métier sans trouver de porte de sortie. 24 % souhaitent une reconversion Parmi les indicateurs, figurent des enquêtes réalisées par des syndicats auprès des personnels ainsi que les demandes de reconversion. Selon un sondage de l’UNSA, réalisé en 2013, deux enseignants sur dix ne choisiraient plus ce métier s’ils pouvaient recommencer. Une autre enquête de l’UNSA (de 2016) indique que 24 % des professeurs des écoles souhaitent une reconversion. Or, les possibilités sont réduites, et l’attention portée au sujet plus ou moins développée selon les académies. Autre indicateur, les sollicitations auprès des conseillers mobilité carrière (CMC) présents dans chaque académie depuis 2009. Selon Rémi Boyer, ces derniers ont reçu 9 700 sollicitations en 2012-2013 contre 4 500 en 2009-2010 (2). De même source, il y a six mois d’attente pour consulter un CMC dans certaines académies. Surtout, les postes « seconde carrière » promis depuis 2005 n’ont jamais été créés. Rémi Boyert a récemment créé le site « Après prof » , dédié à la mobilité externe des enseignants. Parmi les syndicats, le Snalc se montre actif sur cette question. Il vient de mettre en place « Mobi- Snalc » un dispositif d’aide à l’évolution professionnelle à la disposition de ses adhérents. Selon ce syndicat, le ministère de l’Éducation nationale refuse de plus en plus de demandes de disponibilité pour convenance personnelle. Or, selon Maxime Reppert, également responsable du SNALC et auteur d’un mémorandum sur la souffrance au travail « de plus en plus d’enseignants veulent jeter l’éponge face aux évolutions du métier ». Faute de solution, ils continuent cahin-caha à faire classe devant des élèves.
keyaga Posté(e) 21 février 2017 Posté(e) 21 février 2017 Je découvre le sujet. Reconversion pour moi également. École de commerce, job très bien payé dans grand entreprise française . Seulement ça ne fait pas tout. Je suis ravie de ma reconversion même si je touchais plus à mon embauche dans le privé qu'après 13 ans d'ancienneté dans l'EN. Je pense aussi que ce ne sera pas mon dernier job, je réfléchis, mais je profite aussi bp de ce que j'aime et apprécie dans ce métier. Je ne crache pas dessus à longueur de journée, je sais en expliquer les inconvénients à certains qui me questionnent et sont parfois étonnés puisque l'on connait bien l'image qu'a notre métier. Je sais aussi en reconnaître les avantages. Cependant le jour où mon dégoût et mes propos ne seront que râleries, indignations face des injustices terribles, revendication incessantes et ben je saurai ce qu'il me reste à faire: me prendre en main et changer de vie professionnelle. Et puisque l'argument "money" semble en obséder certains, j'ai des frères qui gagnent entre 4 et 6000 euros par mois, ouais chouette, maison au bord de la mer et j'en passe....et ben je n'échangerais pour rien au monde nos vies, franchement ! Des vies de malades...qui ne pensent qu'à leur retraite pour pouvoir profiter de la vie justement (sauf qu'un de mes frères n'en profitera jamais car son coeur a lâché à 42 ans). Au sujet de la reconversion: on était plusieurs dans notre IUFM à nous reconvertir et c'est drôle de constater que les discours des personnes ayant vécu d'autres métiers avant dans le privé n'est pas du tout le même. Alors moi je ne rigole pas qd je vois ce genre de reportage à la télé. Ce qui m'ennuie le plus ce sont les démissions; cela sous entend des gens qui souffrent parce qu'ils ne supportent pas leur métier (pour diverses raisons, et tous les métiers ne correspondnt pas à tous.). Mais cela ne concerne pas que l'EN hein....regardez autour de vous les gens malades de leur boulot, qui rêvent d'autres choses. On n'a qu'une vie (que c'est trivial!!) alors prenons-la en mains. Les mots c'est une chose. Il faut essayer. Les essais sont parfois infructueux, mais mieux vaut tenter que dépérir/pourrir/râler/etc.... Oui y'a plein de trucs qui ne vont pas dans l'EN mais franchement on a quand même moyen de passer des chouettes journées avec les élèves, même avec les collègues (sisi!!! je vous assure!! ) Enfin bref ça m'agace ce discours systématiquement négatif et sarcastique ....... 1
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