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Grève du 9 janvier


jeanounette

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https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/incendie-a-la-rotonde-ce-n-est-pas-parce-que-le-president-mange-dans-un-endroit-qu-il-faut-le-bruler-1579364371

Citation

Pour Sylvain, un amoureux du quartier de Montparnasse et qui n'est pas hostile au restaurant, la manière de faire du Président a sans doute joué pour beaucoup dans cet incendie : "C'est la justice qui trouvera le responsable mais je me souviens bien quand Emmanuel Macron a dit "s'il y a un coupable, c'est moi, alors qu'on vienne me chercher. Et bien il a fui". Il ne fait pas vraiment le rapprochement entre la perturbation dans le théâtre parisien et l'incendie, "il y a une concomitance, c'est vrai, il y a une montée de tension parce que Emmanuel Macron clive", selon lui. "C'est comme Nicolas Sarkozy pour moi. Je regrette, j'aime beaucoup ce restaurant, il est sympa et les gens aussi mais bon, ça arrive ici mais c'est le Président qui l'a désigné, c'est son emblème, voilà ce que ça donne."

 

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il y a 56 minutes, Goëllette a dit :

En même temps, avant, ces périodes ne comptaient pas du tout, si je ne m'abuse. Ni dans les 25 meilleures années ni pour les 42 annuités, ce qui retardait leur départ en retraite.

Donc est-ce un argument "payant" pour les mettre en "grève" ...

Je crois que selon l'époque cela diffère. Trimestres validés mais non cotisés pour moi. Donc important pour avoir  le nombre de trimestres pour partir. Et avec les 25 meilleures années, pas de baisse de la pension si ces mois sans emploi ne comptent pas de le calcul de la pension. Ce qui ne sera plus le cas. Mais cela change tout le temps. Les droits régressent à chaque réforme.

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Il y a 3 heures, Goëllette a dit :

En même temps, avant, ces périodes ne comptaient pas du tout, si je ne m'abuse. Ni dans les 25 meilleures années ni pour les 42 annuités, ce qui retardait leur départ en retraite.

Donc est-ce un argument "payant" pour les mettre en "grève" ...

 

Je te laisse consulter le lien ci dessous 

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F31249

 

En général les journalistes de cette émission de France Inter savent de quoi ils parlent....

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Ce n'est pas leur parole que je mettais en doute mais l'impact de cette information pour mettre les gens du Privé et les chômeurs en grève.

Et je crois que la réforme va faire proportionnellement bien plus mal aux salariés ayant cotisé une carrière complète et ayant commencé à travailler tôt.

Parce que l'arnaque est là : le rapport entre ce qui a été financièrement cotisé et ce qui sera réellement touché.

 

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il y a 43 minutes, rose45 a dit :

j'adore!!!!

Depuis le taux de grévistes a chuté ! lol

D'ailleurs on ne lit toujours aucune explication des non grévistes.

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J'ai vu et je me suis dit pareil ;)

Je n'ai aucun retour des gens à qui j'ai envoyé , rien nada à part une copine qui est coach professionnelle et que j'aime beaucoup, la seule non instit de ma liste de diffusion, qui m'a dit "et bien suite à la lecture de tes articles j'ai envoyé une journée de salaire à une caisse de grévistes et vendredi j'ai dit que je faisais grève, mes collègues sont tombées de leurs chaises"

.... je suis restée scotchée....

;)

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Je viens d'envoyer mon intention ... J'essaie de motiver les irréductibles , entre ceux qui ne se sentent pas concernés, ceux qui invoquent les finances , et les bons petits moutons de l'EN qui espèrent encore avoir leur HC ... c'est bien compliqué ! 

C'est un sacrifice financier pour moi aussi .. mais qu'est ce qu'ils croient ces gens là pffffffffffffff je suis exaspérée ! 

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Parler de la « part des dépenses de retraite dans le PIB » est une ineptie économique (et humaine)

  • Jean Gadrey
Citation

L’un des enjeux public et médiatique du débat sur les retraites futures est le fameux 14 % : selon le gouvernement Macron/Philippe, il faut absolument éviter qu’à l’avenir la part des dépenses de retraite dans le PIB dépasse 14 %.

À juste titre, nombre de mes ami.e.s économistes ou syndicalistes ont fait observer qu’avec un telle règle, au moins aussi stupide et arbitraire que les critères dits de Maastricht (dont celui qui impose que le déficit public annuel ne dépasse pas 3 % du PIB), le montant moyen des retraites serait à coup sûr de plus en plus faible (relativement à la richesse économique nationale par habitant) vu que le nombre des retraités va augmenter par rapport à la population totale dans les décennies à venir. La « part de gâteau » de chaque retraité va fondre au fil des ans si le « gâteau retraites » ne peut pas dépasser 14 % du gâteau PIB alors que le nombre de convives retraités augmentera nettement plus vite que celui des convives du gâteau PIB.

INEPTIE ÉCONOMIQUE

L’argument est imparable, mais je n’ai pas vu passer une critique complémentaire pourtant fondamentale : on ne peut pas comparer le gâteau « dépenses de retraites » au gâteau PIB sans commettre une grave confusion conceptuelle entre, d’un côté, des dépenses (qu’elles soient publiques ou privées) et, de l’autre, des « valeurs ajoutées », qui sont au cœur de la définition du PIB.

Qu’est-ce que le PIB, ce fétiche monétaire qui est censé mesurer en un seul chiffre agrégé la valeur de « ce que nous produisons chaque année » ? En simplifiant légèrement, c’est la somme de toutes les valeurs ajoutées produites par toutes les entreprises et tous les organismes privés ou publics dans la sphère de l’économie monétaire. Quant à la valeur ajoutée, par exemple celle d’une entreprise, c’est la différence entre son chiffre d’affaires (tout ce qu’elle vend) et ce qu’elle dépense en « consommations intermédiaires » : matières premières, électricité et chauffage, services informatiques, etc.

J’avais déjà attiré l’attention sur cette confusion entre dépenses et valeur ajoutée dans un billet publié il y a un an sous le titre « Macron recalé à l’épreuve d’économie du Bac : parler de la « part des dépenses dans le PIB » est une ineptie ! ». Ce billet débutait ainsi :

« Je cite Emmanuel Macron : « Nous dépensons en fonctionnement et en investissement pour notre sphère publique plus de la moitié de ce que nous produisons chaque année. ». Je ne sais pas si Macron énonce délibérément une « fake news » pour enfumer ceux qui l’écoutent, ou s’il y croit vraiment. Mais le système de formation et de déformation des élites est tel qu’on ne peut même pas exclure qu’on lui ait enseigné cette ânerie à l’ENA et qu’il la répète en boucle en même temps que ses petites phrases sur « le pognon de dingue ». Fin de citation de mon billet du 6 janvier 2019.

Pour mieux saisir la différence DE NATURE entre les dépenses et les valeurs ajoutées, j’avais pris le cas des entreprises du commerce (voir mon billet), et donné les exemples suivants :

Les dépenses publiques (administrations publiques diverses, services publics, Sécu) équivalent à 56,5 % du PIB en 2017.

Les dépenses de consommation finale des ménages en 2017 étaient de 1191 milliards, soit 52 % du PIB.

Le chiffre d’affaires du commerce (détail + gros) était en 2015 de 1404 milliards, soit 64 % du PIB de 2015.

Les dépenses de « consommation intermédiaire » des entreprises non financières en 2017 étaient de 1689 milliards, soit 74 % du PIB.

Dans tout ce qui précède, prendre le PIB, une somme de valeurs ajoutées, comme point de comparaison pour des montants (de dépenses, de chiffres d’affaires, de consommation, etc.) qui n’ont rien à voir avec des valeurs ajoutées, c’est introduire une grande confusion. C’est sans aucun doute l’objectif de certains, mais il faut le dénoncer. Macron dirait-il que les entreprises privées « dépensent 74 % de ce que nous produisons chaque année » ? Vous connaissez la réponse, et pourtant ce ne serait pas moins absurde que ce qu’il raconte sur les dépenses publiques (et aujourd’hui sur les retraites).

Si l’on veut estimer la part de l’État et des administrations publiques nationales ou locales dans le PIB, il faut au moins consulter les comptes nationaux, qui sont faits pour cela. Que nous disent-ils ? Que la valeur ajoutée de l’ensemble des administrations publiques (dont font partie l’enseignement, les hôpitaux publics, la justice, la Sécu, la police, les services publics locaux divers, etc.), c’est-à-dire leur contribution à « ce que nous produisons chaque année », est de 375 milliards d’euros en 2017 pour un PIB de 2292 milliards, soit 16,4 % du PIB ! (source Insee, comptes de la Nation 2017). Qui plus est, cette part n’a pas augmenté depuis le début des années 1980, contrairement à ce qu’on nous serine constamment.

RETOUR AUX DÉPENSES DE RETRAITES

Mais alors, quelles relations y a-t-il entre les dépenses de retraites et le PIB si les premières ne sont en aucun cas une « part » du second ? Il n’y a aucune relation directe. La seule « contribution au PIB » que l’on peut rattacher aux retraites est la valeur ajoutée des organismes publics ou privés qui collectent les recettes et versent les pensions. Et, de ce point de vue, la meilleure façon de « réduire la part de PIB liée aux retraites » est de privilégier la retraite par répartition, dont les organismes ont des coûts de fonctionnement nettement plus bas que ceux des assurances privées et autres fonds de pension !

Pour le reste, il faut en finir avec le calage des dépenses publiques sur le PIB (y compris pour des raisons écologiques que j’avais évoquées ailleurs) et se battre pour un calage sur des besoins sociaux démocratiquement définis. La retraite c’est, selon toutes les enquêtes, une période de la vie qui devrait être particulièrement heureuse. Pour Amandine Lama (institut IPSOS, dans Le Monde du 21 décembre), « c’est un moment pour les autres et pour soi qui est extrêmement important… Le fait de rester plus longtemps au travail met en péril l’idée de profiter de sa vie ». D’en profiter autrement en tout cas, et souvent mieux. C’est de cela, et non du PIB, qu’il faudrait partir pour évaluer collectivement des niveaux de retraites justes et dignes.

https://blogs.alternatives-economiques.fr/gadrey/2019/12/29/parler-de-la-part-des-depenses-de-retraite-dans-le-pib-est-une-ineptie-economique-et-humaine

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Un manifestant même cagoulé ferait ça à un flic il serait déjà devant les juges !!! Ils se rendent comptent des sentiments d'injustice et de haine qu'ils provoquent les MACRON BOYS et leurs milices ??? Et en réponse à ces actions-là, c'est n'importe quel policier, dont toutes celles et ceux qui font leur boulot honnêtement et dans un véritable esprit de service public, qui est susceptible de trinquer !!!

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J'ai vu une vidéo hier ou avant hier d'un policier sur BFM qui s'opposait à ces comportements , qui accusait le gouvernement de se servir de la police pour museler le mouvement, qui expliquait que ce gouvernement ne tenait justement que grâce à la police. Que si les policiers décidaient d'entrer effectivement dans la contestation le gouvernement tombait. Ca fait du bien d'entendre ces propos, maintenant j'aimerais savoir combien ils sont à penser ainsi, jusqu'à quand ils vont garder leurs œillères. 

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