peaceful Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 2 minutes, Goëllette a dit : C'est bien que ce soit au clair chez vous, ce qui, apparemment, est loin d’être le cas partout. C'est sur la base du volontariat POUR VOUS ou bien pour tous les enseignants ? Parce qu'il faudra bien qu'il y ait quelqu'un devant ces enfants, même si le ministre laisse entendre qu'ils seront le moins nombreux possible. ... Je sais que les enfants seront pris en charge par un enseignant mais j'ignore d'où il vient la directrice lui donnera les info pratiques, accès à la bcd, tv, etc lui gérera tout le reste.
Goëllette Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 2 minutes, peaceful a dit : Je sais que les enfants seront pris en charge par un enseignant mais j'ignore d'où il vient la directrice lui donnera les info pratiques, accès à la bcd, tv, etc lui gérera tout le reste. Mais il est volontaire cet enseignant, ou il sera réquisitionné demain et ne le sait pas encore (TR Par exemple) ? Il sera indemnisé pour ça ? Ça me semble essentiel de savoir quelles sont les pratiques un peu partout et, surtout, de s'assurer qu'aucun collègue ne sera obligé d'effectuer cette tâche, surtout en dehors de son école.
peaceful Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 5 minutes, Goëllette a dit : Mais il est volontaire cet enseignant, ou il sera réquisitionné demain et ne le sait pas encore (TR Par exemple) ? Il sera indemnisé pour ça ? Ça me semble essentiel de savoir quelles sont les pratiques un peu partout et, surtout, de s'assurer qu'aucun collègue ne sera obligé d'effectuer cette tâche, surtout en dehors de son école. la directrice le connaît. Je n'en sais pas plus pour l'instant
Billedelune Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 Cuisine interne dans chaque école, pas de mesures communes ... C est désolant...Et Blanquer dit que ce sont les enfants qui ne risquent rien pas les enseignants... 1
giga Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 45 minutes, peaceful a dit : Il ne s'agit pas d'accueillir des élèves mais d'assurer la garderie des enfants de soignants qui travaillent à l'hôpital à côté. Ils viennent donc de n'importe quelle école ou commune. Dans ma ville, 3 écoles sont réquisitionnées pour les accueillir. Les bâtiments sont réquisitionnés, les enseignants non. C'est sur la base du volontariat et nous avons tous refusé. Nous savons que le personnel communal a été sollicité. Je verrai demain ce qu'il en est. C'est fou de voir comme l'Educ nat devient locale !! même sur un sujet aussi grave ! Ici chaque école doit accueillir ses élèves et il ne s'agit pas de garderie mais de faire classe. 1
Akouvi Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 Il y a 6 heures, nonau a dit : Sans faire d'ASA... Je n'ai pas bien compris, j'ai des enfants de moins de 16 ans, on me demande de remplir un document d'autorisation spéciale. Je croyais avoir compris qu'en ayant des enfants de moins de 16 ans et sans moyen de garde nous pouvions automatiquement télétravailler, sans autorisation d'absence. J'ai tort?
Balanina05 Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 Je viens d’avoir un mail du Dasen de Marseille. Aux équipes de direction des écoles, des collèges et des lycées. Je souhaite que, dès lundi 16 mars, à tout le moins très rapidement, vous teniez une réunion avec les enseignants de vos écoles et de vos établissements pour organiser, concrètement la continuité pédagogique. Par enseignants, il faut entendre, les professeurs, les CPE, les AED, sans oublier les AESH, et si besoin les assistants des langues. A ce titre, je rappelle que ce qui a été ordonné par le président de la République et le gouvernement, c’est la suspension de l’activité scolaire dans les établissements et non la fermeture administrativede ces lieux. Ils demeurent ouverts, donc dirigés et entretenus. Les Directeurs départementaux des services de l’Education nationale veilleront à ce que les municipalités, les conseils départementaux et le conseil régional y pourvoient. Les enseignants doivent y avoir libre accès, comme en temps normal, en particulier aux ordinateurs (en prenant les précautions hygiéniques de rigueur). Les examens (DNB et Baccalauréat), à ce jour, sont maintenus à leurs dates. Les conseils de classe doivent être organisés normalement. Mais il est évident que la continuité pédagogique à distance (avec le CNED ou par les ENT) suppose une organisation, et probablement un emploi du temps adapté. C’est pour cela que je souhaite que le corps enseignant y soit associé étroitement. C’est ce principe que j’entends souligner. Il s’agit, dans les semaines à venir, d’adapter la pédagogie : ce sont aux professeurs, et à ceux qui les entourent dans leur action éducative, d’être force de proposition en la matière. Nous devons innover. La réunion de lundi (ou éventuellement de mardi, elle-même certainement suivies d’autres) est largement ouverte à tous les enseignants. L’idéal est que tous y participent. Toutefois, chacun comprendra qu’on ne peut faire la même chose dans une école animée par quelques professeurs et un lycée de 250 enseignants. Y participent, ceux qui le peuvent, en tenant compte des contraintes familiales et des précautions liées à certaines fragilités de santé. La directive du gouvernement de ne pas rassembler plus de cent personnes s’applique naturellement à une telle situation. D’où la possibilité qui vous est offerte de plusieurs réunions successives sur plusieurs jours. L’équipe de direction devra déterminer les modalités du service statutaire de chaque enseignant durant cette période de suspension de l’activité scolaire sur site. Ce service demeure, même s’il n’est plus en présence physique d’élèves. A toutes fins, si des enseignants, eux-mêmes parents d’élèves, éprouvent des difficultés de garde de leurs enfants, vous pouvez utiliser une salle de l’école ou de l’établissement pour proposer une garderie, à la double condition qu’il y ait bien une surveillance des enfants qui ne devront pas dépasser le nombre de dix par salle. Il est rappelé que certaines écoles peuvent continuer leur activité : ce sont celles qui ne scolarisent pas plus de dix élèves. Je laisse aux Directeurs départementaux des services de l’Education nationale, avec les IEN, le soin de voir, cas par cas, comment cela peut se faire. Les structures comme les IME qui scolarisent des enfants en situation de handicap ou malades, ayant le plus souvent, un petit nombre d’élèves doivent continuer à fonctionner comme auparavant : il n’y a nulle autre solution pour ces élèves sur lesquels nous devons veiller avec une vigilante attention. La scolarisation en milieu pénitentiaire doit se conformer aux directives données par la Direction de cette administration relevant du Ministère de la Justice. Très important : les enfants des personnels indispensables au bon fonctionnement du système de santé (hôpitaux, mais aussi médecine de ville) doivent, dès lundi 8h, être accueillis comme d’habitude dans leur école et leur collège, pour y être scolarisés comme à l’accoutumée. Dans l’immédiat, vous veillerez à faire simple et à ne pas demander aux parents des justificatifs compliqués à fournir. La bonne foi est une règle toujours présumée en droit. Nous verrons (spécialement dans la ville de Marseille) comment, rapidement, adapter cette scolarité réservée. Si des pompiers ou des personnels de secours d’urgence, se présentent vous voudrez bien revenir au plus vite vers votre hiérarchie pour décision pérenne. Vous ferez de même pour les personnels des divers services de défense et de sécurité. Mais, dans l’immédiat, lundi, je vous demande de faire preuve d’esprit de discernement et de service public à ce propos. Soyons efficaces pour que cette continuité pédagogique soit une réalité, sans laquelle, vous l’avez compris, l’année est tout simplement en péril. C’est-à-dire soyons pragmatiques, imaginatifs, souples, en considération du lieu et du public scolarisé. Démontrons que l’unité du pays repose, pour une large part, sur la démonstration d’un service public fort, dévoué et présent. Nous sommes solidaires de tous ceux qui ont entrepris d’endiguer cette épidémie, de combattre la maladie et d’entourer les plus fragiles. Posons-nous une simple question : que puis-je faire pour autrui ? Cette question est la mise en pratique du dernier terme de notre devise républicaine. D’ores et déjà, je vous remercie pour votre mobilisation dont je vois les premiers effets. Dites aux professeurs qui ont déjà saisi ce défi, nos remerciements et nos encouragements : les miens et ceux des directeurs départementaux de l’Education nationale. Nous, et nos services respectifs, sommes, à vos côtés pour vous soutenir et vous aider. Bien cordialement Je suis directrice d’une école maternelle de 2 classes et j’ai un enfant de 11 ans. Je vais donc devoir l’amener avec moi et le faire travailler comme je peux à l’école en apportant tous ses livres ? Avec le risque qu’il se fasse contaminer. Ou est ce que l’autorisation d’absence est toujours possible ? Il y a tellement d’infos qui arrivent et qui se contredisent que je suis perdue. 1 1
bulle2 Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 Oui bizarre car nous vendredi on nous a dit et répété école strictement interdite aux enfants...
bouzou49 Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 23 minutes, Blanchedecm2 a dit : Disons que, si j'ai bien compris, il y a un GROS flou. Si tu fais valoir la garde d'enfants, tu pourrais, a priori, te considérer comme dispensée de bosser. Après, il y a une SACREE différence entre celle qui a un petit et celle qui a un ado de 15 ans…. Si on extrapole, imaginons qu'on ait TOUS des enfants de moins de 15 ans, et qu'on assure TOUS le boulot depuis la maison (matos perso, connexion perso, etc.), ils pourraient nous décaler les vacances d'autant à la reprise, arguant que personne ne nous a demandé (par écrit) à bosser et qu'on a fait ça de notre propre chef... Mais rien n'est prévu par la loi, je crois. Ni pour le télétravail... J'avoue que c'est pour ça que je n'ai pas encore rempli de demande d'autorisation d'absence. Je demande à pouvoir faire du télétravail avec mon matériel perso pour pouvoir assurer une présence auprès de mes enfants, il y a une TRES GRANDE différence!!!! Je ne solliciterai pas une autorisation d'absence, car je vais travailler! Moi je n'ai pas le choix, je n'ai personne pour garder mes 2 enfants de 6 et 10 ans dont un qui a une aesh en classe.On m'a demandé de faire cette demande exceptionnelle mais j'ignore à quoi elle mène. Si je lis la circulaire du dasen il est stipulé que si d'un nombre trop important d'enseignants a besoin de rester à domicile pour les enfants le télétravail sera mis en place. Donc j'attends lundi. Pour ce qui est de décaler les vacances je ne crois pas , le tourisme a pris une grosse claque je ne pense pas qu'ils reculeront pour le moment mais peut être en juillet...
cara Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 Je viens de recevoir un mail des syndicats ils disent qu'il ne faut surtout pas venir à l'école avec nos enfants. Sinon, ils répondent aussi à ma question. Les deux parents doivent être soignants pour pouvoir bénéficier de la garde d'enfants à l'école.
Goëllette Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a une heure, peaceful a dit : la directrice le connaît. Je n'en sais pas plus pour l'instant Tiens-nous au courant. C'st important de diffuser ici ce qui se fait partout. Nous, point d'histoire d'école de regroupement ... pour le moment. Les enfants de soignants n'ayant pas d'autre possibilité seront accueillis dans leur école demain.
Balanina05 Posté(e) 15 mars 2020 Posté(e) 15 mars 2020 il y a 7 minutes, Balanina05 a dit : Je viens d’avoir un mail du Dasen de Marseille. Aux équipes de direction des écoles, des collèges et des lycées. Je souhaite que, dès lundi 16 mars, à tout le moins très rapidement, vous teniez une réunion avec les enseignants de vos écoles et de vos établissements pour organiser, concrètement la continuité pédagogique. Par enseignants, il faut entendre, les professeurs, les CPE, les AED, sans oublier les AESH, et si besoin les assistants des langues. A ce titre, je rappelle que ce qui a été ordonné par le président de la République et le gouvernement, c’est la suspension de l’activité scolaire dans les établissements et non la fermeture administrativede ces lieux. Ils demeurent ouverts, donc dirigés et entretenus. Les Directeurs départementaux des services de l’Education nationale veilleront à ce que les municipalités, les conseils départementaux et le conseil régional y pourvoient. Les enseignants doivent y avoir libre accès, comme en temps normal, en particulier aux ordinateurs (en prenant les précautions hygiéniques de rigueur). Les examens (DNB et Baccalauréat), à ce jour, sont maintenus à leurs dates. Les conseils de classe doivent être organisés normalement. Mais il est évident que la continuité pédagogique à distance (avec le CNED ou par les ENT) suppose une organisation, et probablement un emploi du temps adapté. C’est pour cela que je souhaite que le corps enseignant y soit associé étroitement. C’est ce principe que j’entends souligner. Il s’agit, dans les semaines à venir, d’adapter la pédagogie : ce sont aux professeurs, et à ceux qui les entourent dans leur action éducative, d’être force de proposition en la matière. Nous devons innover. La réunion de lundi (ou éventuellement de mardi, elle-même certainement suivies d’autres) est largement ouverte à tous les enseignants. L’idéal est que tous y participent. Toutefois, chacun comprendra qu’on ne peut faire la même chose dans une école animée par quelques professeurs et un lycée de 250 enseignants. Y participent, ceux qui le peuvent, en tenant compte des contraintes familiales et des précautions liées à certaines fragilités de santé. La directive du gouvernement de ne pas rassembler plus de cent personnes s’applique naturellement à une telle situation. D’où la possibilité qui vous est offerte de plusieurs réunions successives sur plusieurs jours. L’équipe de direction devra déterminer les modalités du service statutaire de chaque enseignant durant cette période de suspension de l’activité scolaire sur site. Ce service demeure, même s’il n’est plus en présence physique d’élèves. A toutes fins, si des enseignants, eux-mêmes parents d’élèves, éprouvent des difficultés de garde de leurs enfants, vous pouvez utiliser une salle de l’école ou de l’établissement pour proposer une garderie, à la double condition qu’il y ait bien une surveillance des enfants qui ne devront pas dépasser le nombre de dix par salle. Il est rappelé que certaines écoles peuvent continuer leur activité : ce sont celles qui ne scolarisent pas plus de dix élèves. Je laisse aux Directeurs départementaux des services de l’Education nationale, avec les IEN, le soin de voir, cas par cas, comment cela peut se faire. Les structures comme les IME qui scolarisent des enfants en situation de handicap ou malades, ayant le plus souvent, un petit nombre d’élèves doivent continuer à fonctionner comme auparavant : il n’y a nulle autre solution pour ces élèves sur lesquels nous devons veiller avec une vigilante attention. La scolarisation en milieu pénitentiaire doit se conformer aux directives données par la Direction de cette administration relevant du Ministère de la Justice. Très important : les enfants des personnels indispensables au bon fonctionnement du système de santé (hôpitaux, mais aussi médecine de ville) doivent, dès lundi 8h, être accueillis comme d’habitude dans leur école et leur collège, pour y être scolarisés comme à l’accoutumée. Dans l’immédiat, vous veillerez à faire simple et à ne pas demander aux parents des justificatifs compliqués à fournir. La bonne foi est une règle toujours présumée en droit. Nous verrons (spécialement dans la ville de Marseille) comment, rapidement, adapter cette scolarité réservée. Si des pompiers ou des personnels de secours d’urgence, se présentent vous voudrez bien revenir au plus vite vers votre hiérarchie pour décision pérenne. Vous ferez de même pour les personnels des divers services de défense et de sécurité. Mais, dans l’immédiat, lundi, je vous demande de faire preuve d’esprit de discernement et de service public à ce propos. Soyons efficaces pour que cette continuité pédagogique soit une réalité, sans laquelle, vous l’avez compris, l’année est tout simplement en péril. C’est-à-dire soyons pragmatiques, imaginatifs, souples, en considération du lieu et du public scolarisé. Démontrons que l’unité du pays repose, pour une large part, sur la démonstration d’un service public fort, dévoué et présent. Nous sommes solidaires de tous ceux qui ont entrepris d’endiguer cette épidémie, de combattre la maladie et d’entourer les plus fragiles. Posons-nous une simple question : que puis-je faire pour autrui ? Cette question est la mise en pratique du dernier terme de notre devise républicaine. D’ores et déjà, je vous remercie pour votre mobilisation dont je vois les premiers effets. Dites aux professeurs qui ont déjà saisi ce défi, nos remerciements et nos encouragements : les miens et ceux des directeurs départementaux de l’Education nationale. Nous, et nos services respectifs, sommes, à vos côtés pour vous soutenir et vous aider. Bien cordialement Je suis directrice d’une école maternelle de 2 classes et j’ai un enfant de 11 ans. Je vais donc devoir l’amener avec moi et le faire travailler comme je peux à l’école en apportant tous ses livres ? Avec le risque qu’il se fasse contaminer. Ou est ce que l’autorisation d’absence est toujours possible ? Il y a tellement d’infos qui arrivent et qui se contredisent que je suis perdue. J’ai ma réponse. Je vous prie de trouver ci-joint un modèle d'Autorisation Spéciale d'Absence (ASA) à utiliser dans les deux cas suivants : - personnels dont l'état de santé justifie un éloignement du milieu professionnel afin de limiter l'exposition au COVID-19, sur production d'un certificat médical ; - personnels, parents d'enfants de moins de 16 ans n'ayant pas de solution de garde adéquate (pas de justificatif). Ce dernier cas ne concerne plus les enfants de moins de 16 ans scolarisés au regard de la note de Monsieur le recteur du 14 mars. "A toutes fins, si des enseignants, eux-mêmes parents d’élèves, éprouvent des difficultés de garde de leurs enfants, vous pouvez utiliser une salle de l’école ou de l’établissement pour proposer une garderie, à la double condition qu’il y ait bien une surveillance des enfants qui ne devront pas dépasser le nombre de dix par salle." D'une manière générale, la durée de l'ASA est de 16 jours, renouvelable. Toutefois, elle sera adaptée dans les deux situations suivantes : - durée indiquée le cas échéant, sur le certificat médical ; - durée résultant du mode de garde trouvé par l'agent (exemple : l'agent sollicite une ASA un jour sur deux, en lien avec son conjoint ; l'agent sollicite une ASA de deux jours, vient travailler deux jours et sollicite une nouvelle ASA un jour).
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