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Guerre en Ukraine


prof désécol

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il y a 7 minutes, BibUS a dit :

Les munitions à uranium appauvri ne sont pas des armes nucléaires. Comme son nom l'indique, l'uranium appauvri contient peu d'éléments radioactifs.

Selon les estimations des Nations unies,  en 2003 et 2004 les américains ont utilisé au moins 300 tonnes d’uranium appauvri en Irak, sur les villes de Bagdad, Al-Amara, Kerbala et Falloujah.  La situation actuelle dans le domaine de l’irradiation à Falloujah est pire qu’à Hiroshima et Nagasaki après les bombardements atomiques des États-Unis.

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il y a 15 minutes, BibUS a dit :

Quand bien même un énorme stock de ces munitions exploserait, cela ne pourrait générer un nuage radioactif comparable à ce qu'a produit l'explosion de l'usine de Tchernobyl qui a libéré des quantités importantes d'éléments radioactifs qui ne se sont bien évidemment pas arrêtés aux frontières. Une pollution aux métaux lourds oui mais pas de nuage radioactif qui avance vers l'Europe de l'ouest comme l'affirment les autorités et médias russes que tu relaies. 

Après les frappes russes intervenues dans la nuit du 13 au 14 mai, des rapports de panique se sont répandus dans les réseaux sociaux ukrainiens selon lesquels avec la destruction spectaculaire d’un dépôt de munitions ukro-atlantiste important près de Khmelnytsky, un grand lot de munitions de chars britanniques contenant de l’uranium appauvri, récemment amené en Ukraine avec les missiles Storm Shadow, a également été détruit dans la frappe. Depuis, la présence et la destruction d’un stock considérable de ces obus à uranium appauvri est confirmée par un rayonnement nocif en augmentation et dépassant les 20 km de l’épicentre. La situation soulève des inquiétudes quant à la propagation potentielle des radiations et des contaminations immédiates dans la région.

À la suite de cette énorme explosion, des particules d’uranium appauvri se sont en effet dispersées sur le territoire ce qui, compte tenu de l’expérience de la Yougoslavie et de l’Irak, risque d’entraîner une épidémie de cancers à moyen terme. Et si l’on en croit les premiers rapports qui circulent, il semble bien que le fond de rayonnement ait augmenté à Khmelnitsky. En outre, la région va désormais être confrontée à une catastrophe à la fois sanitaire avec le risque d’apparition de cancers multiples mais aussi écologique par la contamination des nappes phréatiques et des récoltes.

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Il y a 9 heures, Torque a dit :

Selon les estimations des Nations unies,  en 2003 et 2004 les américains ont utilisé au moins 300 tonnes d’uranium appauvri en Irak, sur les villes de Bagdad, Al-Amara, Kerbala et Falloujah.  La situation actuelle dans le domaine de l’irradiation à Falloujah est pire qu’à Hiroshima et Nagasaki après les bombardements atomiques des États-Unis.

 

Il y a 9 heures, Torque a dit :

Après les frappes russes intervenues dans la nuit du 13 au 14 mai, des rapports de panique se sont répandus dans les réseaux sociaux ukrainiens selon lesquels avec la destruction spectaculaire d’un dépôt de munitions ukro-atlantiste important près de Khmelnytsky, un grand lot de munitions de chars britanniques contenant de l’uranium appauvri, récemment amené en Ukraine avec les missiles Storm Shadow, a également été détruit dans la frappe. Depuis, la présence et la destruction d’un stock considérable de ces obus à uranium appauvri est confirmée par un rayonnement nocif en augmentation et dépassant les 20 km de l’épicentre. La situation soulève des inquiétudes quant à la propagation potentielle des radiations et des contaminations immédiates dans la région.

À la suite de cette énorme explosion, des particules d’uranium appauvri se sont en effet dispersées sur le territoire ce qui, compte tenu de l’expérience de la Yougoslavie et de l’Irak, risque d’entraîner une épidémie de cancers à moyen terme. Et si l’on en croit les premiers rapports qui circulent, il semble bien que le fond de rayonnement ait augmenté à Khmelnitsky. En outre, la région va désormais être confrontée à une catastrophe à la fois sanitaire avec le risque d’apparition de cancers multiples mais aussi écologique par la contamination des nappes phréatiques et des récoltes.

 

Quelle est la source de ses écrits ? Pourquoi ne le mentionnes-tu pas ? 

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Il y a 4 heures, BibUS a dit :

Quelle est la source de ses écrits ? Pourquoi ne le mentionnes-tu pas ? 

Je ne mentionne pas parce que j'attendais cette réaction. Chaque fois que des faits ou analyses te dérangent mais qu'ils ne sont pas réfutés par tes médias-doudous, tu t'en prends à leur source, histoire de pouvoir critiquer quelque chose tout en évitant de répondre sur le sujet. Tellement évident, tellement énorme.

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il y a 2 minutes, Torque a dit :

Je ne mentionne pas parce que j'attendais cette réaction. Chaque fois que des faits ou analyses te dérangent mais qu'ils ne sont pas réfutés par tes médias-doudous, tu t'en prends à leur source, histoire de pouvoir critiquer quelque chose tout en évitant de répondre sur le sujet. Tellement évident, tellement énorme.

J'ai trouvé tout seul. Ton contenu est extrait du très mal nommé Riposte laïque. Ça change de Fdsouche mais c'est du pareil au même : un autre site d'extrême-droite qui alimente la toile en contenus à caractère haineux. Son fondateur et des contributeurs ont d'ailleurs déjà été condamnés pour cela. Quand ils n'inventent pas de toutes pièces des éléments uniquement à charge, ils s'appuient sur des éléments réels mais leur traitement est biaisé. En général, les articles sont non référencés donc leur contenu est invérifiable. Des articles non sourcés, qui naviguent donc entre manipulations et mensonges, écrits sous pseudo... Tu dis faits et analyses mais ce n'est pas du journalisme d'information, ce ne sont que des allégations. Plusieurs références de fact checking ont démonté à plusieurs reprises des articles de ce site. L'article que tu cites, je l'ai lu intégralement. Sur le fond, c'est de la pure et grossière propagande pro-Poutine. Quant à la forme, le choix des mots et expressions relève clairement d'une pratique délibérée pour discréditer et susciter le rejet. Ce que tu fais toi aussi ici avec "médias-doudous". Non, ce ne sont pas des faits et analyses, c'est de l'opinion au soutien des thèses de l'extrême-droite politique. 

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Ouf ! Te voilà donc rassuré. Tout va bien dans ton monde binaire où les gentils se rassurent des vérités officielles. Content pour toi.

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il y a 21 minutes, Torque a dit :

Ouf ! Te voilà donc rassuré. Tout va bien dans ton monde binaire où les gentils se rassurent des vérités officielles. Content pour toi.

Merci de ne pas penser et parler à ma place. 

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il y a 1 minute, BibUS a dit :

Pardon de ne pas aller lire les articles de ce média qui se complait dans la diffusion de mensonges qui l'arrangent. Pour exemple:

 

bbbb.PNG

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il y a 8 minutes, Torque a dit :

Pardon de ne pas aller lire les articles de ce média qui se complait dans la diffusion de mensonges qui l'arrangent. Pour exemple:

 

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Pardon aussi mais ce journal n'a pas annoncé la fonte des glaces en 2016. Il a informé des propos d'un scientifique (qui s'est d'ailleurs bien planté). Manifestement, l'emploi du conditionnel t'a échappé. Quant au fait de dire que ça l'arrange, on est dans la conspiration là non ?

Modifié par BibUS
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Du coup je le mets ici :

Citation

 

1 – Le contenu du dépôt explosé n’est pas connu

A l’aube du 13 mai, un drone russe provoque une spectaculaire explosion à Khmelnitski. L’administration locale ukrainienne admet qu’une « infrastructure critique » a été détruite ; tandis que Moscou évoque un « dépôt de munition des forces armées de l’Ukraine ». La version russe s’étoffe dans les jours suivants : il s’agirait de munitions fournies par l’OTAN, en l’occurrence des obus à uranium appauvri envoyés par la Grande-Bretagne. Londres s’y était engagé en mars, suscitant l’ire de Vladimir Poutine.

Le site de l’explosion correspond bien à un entrepôt d’anciennes munitions soviétiques, a pu vérifier GeoConfirmed, un collectif spécialisé dans la géolocalisation des frappes militaires. Mais ce qu’il abritait au moment de sa destruction n’a pas été rendu public. « On ne sait pas si des munitions à uranium appauvri ont été livrées, et on ne sait pas si elles étaient présentes sur ce lieu », rappelle Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et directeur du laboratoire de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).
 

2 – L’uranium appauvri est trop lourd pour former un nuage

Dès le lendemain, la rumeur prend forme. Des voix prorusses suggèrent que « quelque chose de radioactif a explosé ». Le 19 mai, le secrétaire du conseil de sécurité russe, Nikolay Patrushev, affirme que l’impact aurait « provoqué un nuage radioactif qui se dirige vers l’Europe de l’Ouest », ce que la Pologne aurait déjà pu mesurer. Le média d’Etat russe Sputnik titre « Explosion d’uranium appauvri en Ukraine : l’Europe au bord de la catastrophe environnementale » suite à une « explosion d’uranium appauvri ». L’histoire est reprise sur des sites conspirationnistes français.

Mais les impressionnantes images de l’explosion sont trompeuses. « La radioactivité est invisible, donc ce n’est pas elle qui forme le champignon. C’est la matière qui est touchée à l’impact », corrige Emmanuelle Galichet, maîtresse de conférences en sciences et technologies nucléaires au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM). L’idée même d’un nuage radioactif créé par de l’uranium appauvri est contraire aux lois de la physique, rappelle-t-elle : cet élément n’est pas fissible, et ne peut donc pas donner naissance à une réaction nucléaire.

3 – Aucun pic de radioactivité en Europe

Enfin, qu’en est-il du pic de radioactivité enregistré par un appareil de mesure polonais ? « Du grand n’importe quoi ! », balaye M. Chareyron. L’infox russe s’appuie sur une augmentation, bien réelle, du niveau de bismuth 214, un produit de la désintégration de l’uranium naturel, mais pas de l’uranium appauvri. Le niveau de concentration du bismuth 214 fluctue par ailleurs naturellement. « On en mesure régulièrement quand il pleut, car il y a du gaz radioactif dans l’atmosphère, le radon, qui est alors rabattu à la surface », explique le spécialiste. L’agence polonaise du nucléaire a confirmé que cette hausse n’avait rien d’anormale.

En Europe de l’Ouest, dix jours après l’explosion, aucune balise de détection n’a repéré d’anomalie. « Les pays européens l’auraient signalé tout de suite », assure Emmanuelle Galichet. Ces derniers sont en effet très vigilants depuis la catastrophe de Tchernobyl et sa dissimulation par l’URSS. Ainsi, en 2020, la Finlande, la Suède et la Norvège avaient communiqué sur des niveaux inhabituels de radioactivité d’origine humaine, attribués à la Russie. En 2021, une association française avait signalé du sable saharien porteur de césium 137. En mai 2023, rien.

Seule exception, une augmentation « significative » de la radioactivité ambiante près de Khmelnistski, nuance M. Chareyron. Mais elle a été repérée quelques jours avant l’explosion, et pas là où le vent aurait dû la porter. Sa cause est inconnue. Il peut s’agir d’une fluctuation naturelle, comme le suggèrent les responsables ukrainiens qu’il a interrogés. « Mais dans un contexte de doute comme celui-ci, cela vaut la peine d’avoir des mesures plus précises. »

D’authentiques dangers pour la santé au niveau local

Car si la menace d’un nouveau « nuage de Tchernobyl » n’est pas sérieuse, la situation en Ukraine présente tout de même, au niveau local, des risques pour l’environnement et la santé. Dès l’annonce de la livraison d’armes à uranium appauvri à Kiev, plusieurs associations avaient dénoncé la décision britannique, comme l’ONG Campaign for Nuclear Disarmament, qui assurait que c’était « la dernière chose dont les Ukrainiens ont besoin ».

Certes, la radioactivité de l’uranium appauvri est inférieure de 40 % par rapport à l’uranium naturel, et les rayons alpha qu’il émet ne peuvent franchir la peau. Mais il peut s’enflammer, par exemple en détruisant un char. « Cela crée de la dispersion, que les personnes sur place peuvent inhaler, ou qui rentre dans la chaîne alimentaire par la contamination des animaux d’élevage, des sols ou des nappes phréatiques », énumère Patrice Bouveret. Avec des risques d’accélérer certaines tumeurs, notamment du poumon et des reins.

Enfin, même si rien ne dit que des missiles promis par Londres étaient présents sur le site de Khmelnitski, « l’explosion de dépôts de munition présente forcément des risques pour la santé, car des métaux lourds se retrouvent en suspension, avec ou sans uranium appauvri », complète Bruno Chareyron.

 

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2023/05/24/guerre-en-ukraine-le-nuage-radioactif-de-khmelnitski-nouvel-enfumage-du-kremlin_6174662_4355770.html

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il y a 2 minutes, BibUS a dit :

Pardon aussi mais ce journal n'a pas annoncé la fonte des glaces en 2016. Il a informé des propos d'un scientifique (qui s'est d'ailleurs bien planté). Manifestement, l'emploi du conditionnel t'a échappé. Quant au fait de dire que ça l'arrange, on est dans la conspiration là non ?

Ce journal a relayé de faux propos, c'est bien ce que je dis.

Et oui ça l'arrange. Quand on est dérangé par un propos on ne le relaie pas sans y apporter des réserves ou une contradiction.

C'est du même niveau que la propagande officielle sur le soi-disant vaccin Pfizer, copieusement relayée partout, je dirais presque avec gourmandise.

Aucun média-doudou n'évoque cette forfaiture maintenant que l'on sait qu'il ne protégeait ni du virus ni de la contagion et que les effets secondaires sont de plus en plus palpables.

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