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Le ministère envisage d'abaisser le niveau de recrutement des professeurs des écoles


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Il y a 1 heure, montagny a dit :

Dans le primaire, je ne vois pas comment cela serait possible au niveau institutionnel.

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Il y a 2 heures, montagny a dit :

Dans le primaire, je ne vois pas comment cela serait possible au niveau institutionnel.

Je pense notamment à une journée d'observation en REP, un CE2. Deux élèves en très grande difficulté, dont une petite fille. La PE nous a dit que pour elle, en fin d'année précédente, un maintien avait été proposé par l'enseignant et souhaité par les parents... refus. 

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il y a 21 minutes, FemmeDeRochas a dit :

Je pense notamment à une journée d'observation en REP, un CE2. Deux élèves en très grande difficulté, dont une petite fille. La PE nous a dit que pour elle, en fin d'année précédente, un maintien avait été proposé par l'enseignant et souhaité par les parents... refus. 

sauf que c'est la décision du conseil des maîtres qui prévaut ; un ien ne peut rein. Seuls les parents peuvent faire appel.

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il y a 36 minutes, montagny a dit :

sauf que c'est la décision du conseil des maîtres qui prévaut ; un ien ne peut rein. Seuls les parents peuvent faire appel.

Ben écoute c'est ce que la PE nous avait dit, après je n'en sais rien, est-ce que les parents avaient un double langage (accord en apparence et appel par derrière) ? Apparemment Lilie2fr a rencontré le cas aussi.

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il y a une heure, Tchervonenkis a dit :

Exact. Mais en pratique, l'IEN n'apprécie pas ce genre de contrariété et cela a été explicitement dit dans mon département. A voir donc si pour un élève, l'enseignant est prêt à se mettre à dos l'IEN et à en subir les conséquences, sur l'avancement de carrière notamment.

En passant du primaire au secondaire, j'ai bien vu la différence. En tant que chef d'établissement personne ne vient de dire quoi que ce soit sur tes décisions.

Un IEN donnera un avis mais cela reste un avis ; en tant que directeur, quand un IEN (ce fut très très rare) dépassait ses prérogatives, je lui laissé un message l'invitant à mettre ses demandes par écrit afin que je puisse expliciter cela à tous les partenaires....à chaque fois ça en restait là.

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Si mes parents avaient écouté les profs, mes frères auraient fait CAP chaudronnerie et seraient sortis dès la 5ème. Ils ne voulaient pas apprendre les leçons d'histoire ou de français ont redoublé 2 fois avant le bac.  A chaque redoublement ils essayaient d'avoir, quand il le fallait, des bonnes notes en sciences pour avoir 10 de moyenne générale et passer au niveau supérieur. Ils sont ingénieurs ou cadres sup aujourd'hui .

Il n'y a qu'un seul prof sur tout le cursus de mon frère aîné qui a décelé son potentiel. Il avait réussi à  résoudre un problème de maths sans s'appuyer sur le cours qu'il n'avait pas appris. C'est grâce à cette prof de maths qu'il a pu passé en général. C'est un génie en maths, physiques qui a révélé son potentiel qu'à la fac puis dans une école d'ingénieur. 

Cela reste un témoignage perso mais pour moi c'est aux parents d'avoir le dernier mot. C'est leur enfant. A nous de les convaincre de l'utilité du maintien. 

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il y a une heure, électron-enchaîné a dit :

Si mes parents avaient écouté les profs, mes frères auraient fait CAP chaudronnerie et seraient sortis dès la 5ème. Ils ne voulaient pas apprendre les leçons d'histoire ou de français ont redoublé 2 fois avant le bac.  A chaque redoublement ils essayaient d'avoir, quand il le fallait, des bonnes notes en sciences pour avoir 10 de moyenne générale et passer au niveau supérieur. Ils sont ingénieurs ou cadres sup aujourd'hui .

Il n'y a qu'un seul prof sur tout le cursus de mon frère aîné qui a décelé son potentiel. Il avait réussi à  résoudre un problème de maths sans s'appuyer sur le cours qu'il n'avait pas appris. C'est grâce à cette prof de maths qu'il a pu passé en général. C'est un génie en maths, physiques qui a révélé son potentiel qu'à la fac puis dans une école d'ingénieur. 

Cela reste un témoignage perso mais pour moi c'est aux parents d'avoir le dernier mot. C'est leur enfant. A nous de les convaincre de l'utilité du maintien. 

Le redoublement peut être une véritable chance: de nombreux enfants ont simplement besoin de plus de temps pour arriver à la zone proximale des X compétences demandées à l'école.

Il a surtout un problème social tout comme les orientations hors cursus général.

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On a quand même beaucoup plus d'exemples d'élèves actuels qui auraient pu avoir que chance en redoublant ou en partant en Bac Pro et qui se retrouvent dans une impasse à 18 ans que de médecins potentiels du temps jadis qu'on a orientés à tort en filière professionnelle !

Notre système scolaire nivelle par le bas et noie les bons élèves de familles humbles qui n'ont pas accès aux savoirs et à la culture à côté de l'école.

Il y a 11 heures, FemmeDeRochas a dit :

Maintenant, que le concours doive être plus sélectif, c'est certain. Mais dans les grandes académies franciliennes, où il n'est pas difficile, et où un "2ème concours" est organisé chaque année pour attirer des provinciaux souhaitant se donner une 2ème chance, le MEN n'arrive déjà pas à faire le plein 😮... Certains lauréats démissionnent dès l'été, ne font même pas la rentrée. 

Le concours devrait être plus sélectif SURTOUT en grammaire, orthographe, vocabulaire, conjugaison, maths et PARTOUT.

Plutôt que de départager des candidats sur des dissertations et autres mémoires fumeux sur des pédagogues et la pédagogie alors que les candidats n'ont pas encore reçu de cours.

Ainsi, on ne recruterait sans doute pas les mêmes futurs enseignants qu'actuellement, mais au moins, ils auraient les pré-requis du métier et, ensuite, pendant leur formation, on pourrait leur apprendre la pédagogie, les pédagogues, les méthodes, ... le droit de la fonction publique, et la façon de tenir une classe.

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Exemple perso aussi : en 3eme, N°2 n'avait pas les résultats pour aller en seconde générale. Le collège voulait l'orienter en bac pro. Problème, N°2 ne savait absolument pas ce qu'il voulait faire. On a donc demande un redoublement. Il a alors fallu batailler. Je me souviens encore d'une conversation au téléphone ou on m'a dit " ce n'est pas parce qu'il redoublera qu'il fera un bac général". Bref, on a obtenu le redoublement. Année qui a permis à N°2 de grandir, mûrir... 

Et, en effet, il est parti en bac pro. Bac pro qu'il a lui même choisi. Puis un BTS, puis une licence pro, puis un master. 

Le redoublement a été largement bénéfique. Mais on a dû batailler dur.

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A contrario, le fils  d'une collègue ne voulait pas aller en seconde générale mais en cap mécanique.  Âge  normal et niveau moyen bon . Impossible : il était trop bon. Ils ont du batailler pour qu'il puisse suivre cette filière.  

Ensuite il a continuer en filière professionnelle. 

 

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il y a 6 minutes, le hyasou a dit :

A contrario, le fils  d'une collègue ne voulait pas aller en seconde générale mais en cap mécanique.  Âge  normal et niveau moyen bon . Impossible : il était trop bon. Ils ont du batailler pour qu'il puisse suivre cette filière.  

Ensuite il a continuer en filière professionnelle. 

 

C'était mon cas. Pas eu besoin de batailler, j'ai fait le nécessaire pour qu'ils veuillent se débarrasser de moi .. . et j'ai fait ce que j'ai voulu

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Dans mon coin, les enfants d'artisans (plombiers, électriciens, ...), savent qu'ils gagneront mieux leur vie en s'associant avec leurs parents ou en prenant leur propre affaire qu'en faisant des études donc c'est eux qu'on retrouve dans les filières pro.

Hélas, les élèves qui n'ont pas le niveau suffisant restent dans l'indifférencié, où, au mieux, ils végètent, au pire, ils perturbent les classes.

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