fararden Posté(e) 20 juin 2023 Posté(e) 20 juin 2023 3 collègues intéressés par le soutien dont un collègue toujours partant pour faire les grèves mais voudrait ramener un peu plus de sous chez lui pour que sa femme bosse moins la nuit . Une autre qui ne sait absolument rien de ce qui se passe mais veut avoir des sous piur son enfant ( séparation avec le papa qui fait plein de choses avec son fils le week-end). À chacun de prendre ses décisions et de les assumer . Faire 24h de soutien pour 168€ /mois c’est tentant c’est sur mais je me passerai l’an prochain .
RosalieM Posté(e) 20 juin 2023 Posté(e) 20 juin 2023 Oui, prendre ses décisions et les assumer. Et dans le cas des collègues dont tu parles, on comprend bien qu'ils ne seraient pas à blâmer de faire ce choix du pacte (Si tant est qu'il est admissible de blâmer quelqu'un pour ce choix). Pour ma part, c'est un temps de travail que je fais déjà (l'étude). Qui ne compte déjà pas pour ma retraite (indemnités). Que je remplacerais, éventuellement, par un travail plus intéressant et mieux payé. Sur mon lieu de travail. Je vais réfléchir avec mes collègues. Merci
B i b Posté(e) 20 juin 2023 Posté(e) 20 juin 2023 il y a une heure, RosalieM a dit : 😄😄🙄 Je croyais qu'on pouvait en discuter. Mais non. Bon courage Je ne t'empêche pas d'en discuter et je n'empêche personne de donner son avis sur ton dilemme. Je rejette ce pacte qui ne contribuera nullement à stopper le déclassement de notre profession et qui va nous diviser un peu plus. Que chacun assume ses choix.
Merrimack Posté(e) 20 juin 2023 Posté(e) 20 juin 2023 Le 18/06/2023 à 19:19, nonau a dit : Exactement ! D'ailleurs entre les études et les collègues qui basculent sur ce Pacte on va manquer de classes... Les études seront encadrées par des animateurs. Les femmes de ménage vont apprécier aussi. On va bien se marrer. Ici, elles sont encadrées par les animateurs. On n’y a plus accès depuis …quelques années. Ben tout le monde (ou presque..) s’en accommode. Bah il y a bien un parent ou deux qui me dit que ça l’ennuie que les calculs soient vérifiés sur téléphone… Mais tout le monde s’y fait. Sauf nous (apprentissages divers).
RosalieM Posté(e) 20 juin 2023 Posté(e) 20 juin 2023 il y a 7 minutes, vélo45 a dit : Fais comme tu le sens Sur cette discussion par contre, tu vas trouver beaucoup de gens contre le pacte. Perso, je ne suis pas pour non plus mais comme je le prévoyais, j'étais la seule à faire grève pour les retraites et je suis la seule à râler contre ce pacte hihi et je pense qu'ils vont tous le signer, parce qu'ils ont tous besoin d'argent. Que veux-tu, le gouvernement récupère comme il peut ......................... Merci. Je n'étais pas pour non plus. Je suis POUR une revalorisation sans condition, comme beaucoup. Mais là, je me rends compte qu'il pourrait me permettre de travailler moins pour gagner pareil. Donc ça commence à me parler, tant je "souffre" de la charge de travail depuis 2 ans.
Mirobolande Posté(e) 21 juin 2023 Posté(e) 21 juin 2023 Encore un peu d'inflation comme ça et on va en crever. Ça fait peur. Autre sujet : 1
RosalieM Posté(e) 21 juin 2023 Posté(e) 21 juin 2023 (modifié) il y a 53 minutes, vélo45 a dit : Pourquoi faites-vous les TLE? Tu ne peux pas les arrêter tout court? Quand j'ai choisi de me rapprocher de chez moi, j'ai quitté la REP+ (qui était à 30km), et j'ai donc "perdu" presque 400 euros nets par mois. C'était un choix, mais je savais que je pourrai faire l'étude, qui compenserait une petite partie (baisser de revenus n'est agréable ni facile pour personne, même avec une contrepartie géographique). Je vais en discuter avec mes collègues. Mais c'était aussi pour montrer que ce pacte pouvait être choisi pour *diminuer* son temps de travail. Ou pour certains pour être rémunéré d'un travail qu'ils effectuaient déjà (projet innovant par exemple). Même si bien sûr, on mérite autre chose. Modifié 21 juin 2023 par RosalieM
Mirobolande Posté(e) 21 juin 2023 Posté(e) 21 juin 2023 https://www.cafepedagogique.net/2023/06/20/pour-un-pacte-avec-toi-je-ferais-nimporte-quoi/?fbclid=IwAR3yzrOpx201KFcKdyCJ5yMa0WLh-4p1dVRow3G6oHeUaiQpftJu2a3Nh_M
nonau Posté(e) 21 juin 2023 Posté(e) 21 juin 2023 Vous avez vu la dernière déclaration de Bruno Lemaire notre ministre de l'économie, celui qui aura creusé le plus grand déficit de l'histoire et augmenté la dette au-delà de 100 % du PIB... Il va s'attaquer aux... arrêts maladies... C'est marrant ce timing... 1
fleur7 Posté(e) 21 juin 2023 Posté(e) 21 juin 2023 Il y a 4 heures, vélo45 a dit : Ah ok! Mes collègues vont remplacer leurs études par le Pacte. Moi je ne ferai rien du pacte, mais je sais qu'il s'imposera petit à petit .............. et dans 10 ans, ils trouveront autre chose à rajouter mais jamais une hausse du salaire de base. Enfin sauf si d'ici là , le climat ou l'IA nous bouffent tout crus. Ok ok je sors Encore faut-il avoir une enveloppe suffisante. Ici les moyens attribués seront loin de couvrir le nombre d'heures qui étaient faites en études. Pareil d'ailleurs pour les stages de remise à niveau, le nombre d'heures est inférieur à ce qui se faisait dans mon école. Cela risque de créer des tensions entre les enseignants qui s'en chargeaient. Perso je ne faisais ni les études ni les sran et quand je vois comme je suis fatiguée en fin d'année et bien même si les tarifs horaires sont tentants, je ne serai pas dans la course. 2
montagny Posté(e) 23 juin 2023 Posté(e) 23 juin 2023 Pacte : c’est à nous de fixer le rythme et aux textes nationaux de définir les règles ! Les jours passent et les informations liées au Pacte évoluent toujours… Sur Le SNPDEN-UNSA souhaite d’abord saluer l'adaptation faite en lycée professionnel avec la nécessaire sécabilité du pacte que nous réclamions depuis le début. Les directions d’EPLE ont informé leurs équipes de la mise en œuvre de ce dispositif et chaque personnel peut aisément confirmer l’hostilité générale et la précipitation institutionnelle dans lesquelles ce dispositif tente de se mettre en place, rendant l’exercice particulièrement complexe. Sur la foi de ce constat et de ce vécu du terrain, le SNPDEN-UNSA dénonce une nouvelle fois les injonctions et, par endroits, les comportements autoritaristes de certains DASEN qui vont jusqu’à imposer des objectifs annuels chiffrés lors des entretiens avec les personnels de direction. C’est inacceptable et absolument contre-productif ! Le SNPDEN-UNSA propose donc la mise en place d’une déclaration RPS (tout à la fois « Risque Psycho-sociaux » et « Registre Pacte Signalement »), à compléter ICI (possibilité de témoigner anonymement et de déposer les documents probants). Ces formulaires seront alors remis à nos représentants départementaux et académiques qui sauront dénoncer les situations auprès des DASEN et Recteurs concernés. Par ailleurs, si un DASEN insiste pour mettre un objectif chiffré lors de la fixation des objectifs annuels, nous vous proposons d’apposer juste en-dessous le commentaire type : « Je regrette que l’objectif donné ne soit pas atteignable et raisonnable dans le délai imparti et compte tenu du contexte RH de mon établissement ». Le SNPDEN-UNSA encourage ses adhérents à la plus grande souplesse et à ne se fier qu’aux textes nationaux, et rien qu’aux textes nationaux. Il n’est, par exemple, écrit nulle part que la brique RCD est obligatoire avant d’accéder aux autres missions. Un pacte sans RCD est donc possible et ce malgré l’objectif prioritaire du RCD. Il n’est pas écrit non plus que l’auto-remplacement n’est pas possible. Ceci est possible depuis 2005 et cela doit le rester. Il n’est pas écrit, enfin, que les briques non consommées en juin seront reprises. Les académies inventent des règles souvent plus restrictives que bienveillantes et souples. Il convient de se rappeler qu’un diaporama local ne vaut pas règle nationale. Le SNPDEN-UNSA préconise par ailleurs de ne pas faire remonter de données avant l’été. En effet, la mise en place du pacte nécessite du temps et il n’est pas question de continuer à supporter l’impatience, voire la pression de certains qui veulent faire du chiffre. Les personnels de direction savent gérer, font ce qu'ils peuvent, et ont besoin de temps ! Si des chiffres vous sont demandés, précisez que le travail est en cours et se terminera fin septembre, et qu’il vous est donc impossible de répondre à ce stade. Le SNPDEN-UNSA invite enfin ses adhérents à prendre le recul nécessaire à cette opération. Chacun fait au mieux et avec l’exigence professionnelle qui nous caractérise ! Personne ne doit être jugé ! Tout le monde doit être accompagné et soutenu ! Pour le SNPDEN-UNSA Bruno BOBKIEWICZ Secrétaire général
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