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2009 la dernière année du concours


HOPE4ME

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Je crois qu'il préfère les SMS :lol:

c'est vrai... alors: " Si tu veux un conseil: annule TOUTE ta réforme!"

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Dans le guide de concours session 2009 publié sur le site education.gouv.fr, on parle bien de "professeur stagiaire"...

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Dans le guide de concours session 2009 publié sur le site education.gouv.fr, on parle bien de "professeur stagiaire"...

Oui j'y avais moi même pensé, il ne peuvent pas revenir sur le statut des lauréats du concours 2009 donc les règles sont parrues au BO et alors oui peut être il y aurait 2 M2 différents : un transitoire pour les professeurs stagiaires si les iufm n'existent plus, ex PE2, et un autre pour les candidats au concours 2010.

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A mon avis on peut faire tous les pronostics qu'on voudra on tombera toujours à côté de la plaque.

En plus quand on essaye de s'imaginer ce qui va se passer, on pense toujours au pire.

Le mieux est d'attendre et d'aller voir de temps en temps sur internet pour s'informer, ne pas lâcher le morceau et travailler tout doucement pour ceux qui peuvent en été.

Voila en tout cas, moi je suis fatiguée de m'imaginer à quelle sauce on sera mangés!!!, alors j'attends!

Je pense comme toi, à force de parcourir le forum. On entend pleins de choses différentes mais rien n'est encore paru officiellement. Alors j'attends et je bosse un peu (pas pour rien j'espère...)

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Est-ce qu'on sait quand ils vont pondre une version définitive de leur drôle de salade ?

pour alimenter le débat...

http://www.rmc.fr/edito/info/49853/sarkozy-enterre-liufm/

souligné par moi

Dès 2010, les enseignants ne passeront plus par la case des Instituts Universitaires de Formation des Maîtres. Nicolas Sarkozy l’a annoncé lundi 2 juin, devant les cadres de l'éducation et de l'enseignement supérieur réunis à l'Elysée. Pour devenir enseignant, il faudra décrocher un master 2, c'est à dire un bac + 5.

Aujourd'hui : les professeurs entrent en IUFM à bac + 3, après un concours. Leur formation d'un an est ensuite partagée entre cours théorique et stage dans les classes.

Après la réforme voulue par Nicolas Sarkozy : en dernière année de master, après 4 ans et demi d'université classique, les candidats à l'enseignement passent deux concours, en janvier et en juin, entre lesquels ils sont envoyés en stage. S’ils réussissent, ils sont titularisés :devil_2: :devil_2: . La rentrée suivante, ils ont une classe, et bénéficie pendant un an du suivi d'un collègue du même établissement.

Nicolas Sarkozy supprime donc l’IUFM et allonge d'un an la formation des enseignants. En contrepartie, il promet une meilleure rémunération des débutants. Tandis que les universités se réjouissent de cette proposition du chef de l'Etat, les syndicats d’étudiants et d’enseignants sont inquiets et dénoncent « une vision gestionnaire du système éducatif », estimant qu'il s'agit « d'économiser quelque 30 000 emplois de stagiaires ».

je ne vois pas ce qui pourrait arrêter sarko .. :mad::cry:

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Est-ce qu'on sait quand ils vont pondre une version définitive de leur drôle de salade ?

pour alimenter le débat...

http://www.rmc.fr/edito/info/49853/sarkozy-enterre-liufm/

souligné par moi

Dès 2010, les enseignants ne passeront plus par la case des Instituts Universitaires de Formation des Maîtres. Nicolas Sarkozy l’a annoncé lundi 2 juin, devant les cadres de l'éducation et de l'enseignement supérieur réunis à l'Elysée. Pour devenir enseignant, il faudra décrocher un master 2, c'est à dire un bac + 5.

Aujourd'hui : les professeurs entrent en IUFM à bac + 3, après un concours. Leur formation d'un an est ensuite partagée entre cours théorique et stage dans les classes.

Après la réforme voulue par Nicolas Sarkozy : en dernière année de master, après 4 ans et demi d'université classique, les candidats à l'enseignement passent deux concours, en janvier et en juin, entre lesquels ils sont envoyés en stage. S’ils réussissent, ils sont titularisés :devil_2: :devil_2: . La rentrée suivante, ils ont une classe, et bénéficie pendant un an du suivi d'un collègue du même établissement.

Nicolas Sarkozy supprime donc l’IUFM et allonge d'un an la formation des enseignants. En contrepartie, il promet une meilleure rémunération des débutants. Tandis que les universités se réjouissent de cette proposition du chef de l'Etat, les syndicats d’étudiants et d’enseignants sont inquiets et dénoncent « une vision gestionnaire du système éducatif », estimant qu'il s'agit « d'économiser quelque 30 000 emplois de stagiaires ».

je ne vois pas ce qui pourrait arrêter sarko .. :mad::cry:

voici un lien qui devrait vous éclaircir!

http://www.lorraine.iufm.fr/actualite/masters.pdf

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Ah! La bonne nouvelle apparemment c'est qu'ils auraient prévu de mettre sur le même pied d'égalité les étudiants iufm et hors iufm: qu'on soit l'un ou l'autre, en cas d'admissibilité, on passe en M2. Apparemment. C'est déjà ça.

Sinon, je viens beaucoup moins sur ce forum (surtout sur ce post, en fait) et je dois dire que je me sens plus légère, je profite enfin des vacances, ça fait du bieeeen!! D'autant que rien d'officiel n'est vraiment sorti, rien ne sert donc de stresser, pour l'instant...

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Des infos plus générales, j'ignore si ça a déjà été mis ici. Ça concerne le CAPES mais la partie pour le Master nous intéresse :

Compte rendu de la rencontre de la Coordination Concours Lettres de la SMLLOO avec Mme Bénédicte Durand, conseillère de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. 21 juillet 2008, 10-12h

1° Les épreuves du nouveau CAPES

Sur les épreuves des nouveaux concours, les informations données par Mme Durand confirment, en les précisant quelque peu, celles qu’avait données M. Sherringham le 15 juin.

- L’agrégation ne connaîtrait « pas de grand changement » ; à terme, les agrégés seraient nommés exclusivement en lycée, en classes préparatoires et dans « le L des Universités ».

- Pour le nouveau Capes, « trois types d’épreuves » (voir communiqué du conseil des ministres du 2 juillet 2008) sont envisagés ; notre interlocutrice nous redit que le souhait du ministère est de réduire le nombre des épreuves selon une configuration qui serait la suivante:

•1 ou éventuellement plusieurs épreuves disciplinaires (nos arguments en faveur d’épreuves multiples ne paraissent guère entendus : dans le nouveau système, c’est dans le cadre du master plutôt que par le concours que s’évaluera la maîtrise des compétences disciplinaires. Le master sert à former, le concours ne fait que recruter)

•1 épreuve de « connaissance du système éducatif » (réclamant notamment des connaissances en droit et sociologie)

•1 épreuve « pédagogique » (« organisation et planification de l’enseignement »).

L’idée majeure qui sous-tend la réforme est qu’un concours disciplinaire ferait double emploi avec le contrôle des connaissances en master. Pour devenir enseignant, il faudra à la fois réussir un M2 et réussir le concours : c’est plutôt la réussite du M2 qui sanctionnera les compétences disciplinaires du futur enseignant : « Ce n’est pas le concours qui décide de la qualité de la formation », dit Mme Durand, ce qui signifie pour elle que le concours n’a pas vocation à évaluer la formation disciplinaire des candidats (charge réservée au master), mais plutôt leur capacité à enseigner efficacement. D’où cette autre maxime à méditer : désormais, « vous n’existez plus par le concours, vous existez par les masters ».

2° Le calendrier

Le projet en cours d’élaboration devrait être terminé dans six mois, pour entrer en vigueur en septembre 2009. En septembre, Mme Pécresse et M. Darcos annonceront une série de mesures ; notamment l’ensemble des universités devront revoir leurs maquettes de masters en vue d’habilitations à l’été 2009.

3° Nouveaux masters : « Les Universités ont la main »

Aussi étrange que cela puisse paraître, les Universités vont donc être invitées dès la rentrée à repenser complètement les maquettes des masters en fonction de la préparation aux concours, sans toutefois connaître d’emblée la maquette exacte de ces nouveaux concours. Cette dernière précision nous a été répétée : il s’agit là d’une volonté politique affichée comme telle.

Pour notre interlocutrice, les masters en sciences humaines et sociales - et également en lettres - sont trop légers par rapport à ceux des autres secteurs disciplinaires. D’où l’idée d'augmenter significativement la charge horaire avec un tronc commun de M1, renforcé en volume horaire. Quant au M2, le premier semestre serait exclusivement consacré à la préparation du concours, de sorte que le M2 sera beaucoup plus faible en terme de préparation à la recherche qu'aujourd'hui. Rien n’est dit en revanche sur le semestre 4 du master qui reste dans le flou. Il est signalé que l’écrit des concours devrait se passer dans la même période, vraisemblablement en février. La préparation de concours devrait, elle, commencer début septembre et durer six mois.

D’une façon générale, notre interlocutrice n’indique pas dans quelle mesure et selon quelles modalités pratiques les nouveaux masters pourraient concilier la formation à la recherche (nécessairement spécialisée) et la préparation des concours (nécessairement généraliste) ; pour elle, c’est aux universités qu’il reviendra d’inventer des solutions originales. La CPU, l'inspection générale et la CDIUFM sont considérées comme essentielles dans cette élaboration.

Quant aux contenus des nouveaux masters destinés aux futurs enseignants (PLC et professeurs d’école), les universités devront aussi faire preuve d’initiative et innover ; c’est surtout aux universités elles-mêmes que reviendra la responsabilité de définir les contenus des nouveaux masters. Pour préciser quels devront être les enseignements délivrés en master à destination des futurs enseignants et en vue de la préparation des concours, le ministère définira un cahier des charges, mais sans entrer dans le détail des enseignements discipline par discipline.

Il conviendra, laisse entendre notre interlocutrice, de ne pas limiter l’enseignement à nos disciplines spécifiques : on pourra par exemple proposer aux futurs enseignants (PLC et professeurs d’école) des enseignements de psychologie, ou de pathologie du langage. La difficulté essentielle tient à la polyvalence des professeurs d’école et à l’articulation avec les masters.

Mme Durand indique qu'on peut concevoir un master enseignement, un master recherche, un master métiers du livre. A terme toutefois, il est envisagé d’abandonner la distinction actuelle entre master de recherche et master professionnel, puisque d’excellents professionnels peuvent aussi être d’excellents chercheurs.

Pour les étudiants en lettres qui continueront à préparer les concours de recrutement avant de s'inscrire en thèse, et qui suivront donc un M2 professionnel, on peut imaginer une troisième année axée sur la recherche : c'est, nous indique notre interlocutrice, ce à quoi songerait l'École normale supérieure. Elle souligne la difficulté économique que représenterait cette année supplémentaire pour les étudiants de l'université.

La conseillère insiste aussi sur l’accroissement important des effectifs qu’entraînera la réforme : finis les cours de master à 15 étudiants ; tous les futurs enseignants devant obtenir un M2, les étudiants seront beaucoup plus nombreux… si bien que certaines universités seront amenées à refuser des étudiants en master faute de place. D’où l’idée qu’une sélection à l’entrée en M1 pourrait devenir nécessaire.

Enfin, il est indiqué que tous les concours de recrutement auront désormais comme niveau exigé master : outre l’agrégation, le CAPES et le concours de professeur des écoles, les concours de PLP et de CPE auront les mêmes conditions.

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Des infos plus générales, j'ignore si ça a déjà été mis ici. Ça concerne le CAPES mais la partie pour le Master nous intéresse :
Compte rendu de la rencontre de la Coordination Concours Lettres de la SMLLOO avec Mme Bénédicte Durand, conseillère de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. 21 juillet 2008, 10-12h

1° Les épreuves du nouveau CAPES

Sur les épreuves des nouveaux concours, les informations données par Mme Durand confirment, en les précisant quelque peu, celles qu’avait données M. Sherringham le 15 juin.

- L’agrégation ne connaîtrait « pas de grand changement » ; à terme, les agrégés seraient nommés exclusivement en lycée, en classes préparatoires et dans « le L des Universités ».

- Pour le nouveau Capes, « trois types d’épreuves » (voir communiqué du conseil des ministres du 2 juillet 2008) sont envisagés ; notre interlocutrice nous redit que le souhait du ministère est de réduire le nombre des épreuves selon une configuration qui serait la suivante:

•1 ou éventuellement plusieurs épreuves disciplinaires (nos arguments en faveur d’épreuves multiples ne paraissent guère entendus : dans le nouveau système, c’est dans le cadre du master plutôt que par le concours que s’évaluera la maîtrise des compétences disciplinaires. Le master sert à former, le concours ne fait que recruter)

•1 épreuve de « connaissance du système éducatif » (réclamant notamment des connaissances en droit et sociologie)

•1 épreuve « pédagogique » (« organisation et planification de l’enseignement »).

L’idée majeure qui sous-tend la réforme est qu’un concours disciplinaire ferait double emploi avec le contrôle des connaissances en master. Pour devenir enseignant, il faudra à la fois réussir un M2 et réussir le concours : c’est plutôt la réussite du M2 qui sanctionnera les compétences disciplinaires du futur enseignant : « Ce n’est pas le concours qui décide de la qualité de la formation », dit Mme Durand, ce qui signifie pour elle que le concours n’a pas vocation à évaluer la formation disciplinaire des candidats (charge réservée au master), mais plutôt leur capacité à enseigner efficacement. D’où cette autre maxime à méditer : désormais, « vous n’existez plus par le concours, vous existez par les masters ».

2° Le calendrier

Le projet en cours d’élaboration devrait être terminé dans six mois, pour entrer en vigueur en septembre 2009. En septembre, Mme Pécresse et M. Darcos annonceront une série de mesures ; notamment l’ensemble des universités devront revoir leurs maquettes de masters en vue d’habilitations à l’été 2009.

3° Nouveaux masters : « Les Universités ont la main »

Aussi étrange que cela puisse paraître, les Universités vont donc être invitées dès la rentrée à repenser complètement les maquettes des masters en fonction de la préparation aux concours, sans toutefois connaître d’emblée la maquette exacte de ces nouveaux concours. Cette dernière précision nous a été répétée : il s’agit là d’une volonté politique affichée comme telle.

Pour notre interlocutrice, les masters en sciences humaines et sociales - et également en lettres - sont trop légers par rapport à ceux des autres secteurs disciplinaires. D’où l’idée d'augmenter significativement la charge horaire avec un tronc commun de M1, renforcé en volume horaire. Quant au M2, le premier semestre serait exclusivement consacré à la préparation du concours, de sorte que le M2 sera beaucoup plus faible en terme de préparation à la recherche qu'aujourd'hui. Rien n’est dit en revanche sur le semestre 4 du master qui reste dans le flou. Il est signalé que l’écrit des concours devrait se passer dans la même période, vraisemblablement en février. La préparation de concours devrait, elle, commencer début septembre et durer six mois.

D’une façon générale, notre interlocutrice n’indique pas dans quelle mesure et selon quelles modalités pratiques les nouveaux masters pourraient concilier la formation à la recherche (nécessairement spécialisée) et la préparation des concours (nécessairement généraliste) ; pour elle, c’est aux universités qu’il reviendra d’inventer des solutions originales. La CPU, l'inspection générale et la CDIUFM sont considérées comme essentielles dans cette élaboration.

Quant aux contenus des nouveaux masters destinés aux futurs enseignants (PLC et professeurs d’école), les universités devront aussi faire preuve d’initiative et innover ; c’est surtout aux universités elles-mêmes que reviendra la responsabilité de définir les contenus des nouveaux masters. Pour préciser quels devront être les enseignements délivrés en master à destination des futurs enseignants et en vue de la préparation des concours, le ministère définira un cahier des charges, mais sans entrer dans le détail des enseignements discipline par discipline.

Il conviendra, laisse entendre notre interlocutrice, de ne pas limiter l’enseignement à nos disciplines spécifiques : on pourra par exemple proposer aux futurs enseignants (PLC et professeurs d’école) des enseignements de psychologie, ou de pathologie du langage. La difficulté essentielle tient à la polyvalence des professeurs d’école et à l’articulation avec les masters.

Mme Durand indique qu'on peut concevoir un master enseignement, un master recherche, un master métiers du livre. A terme toutefois, il est envisagé d’abandonner la distinction actuelle entre master de recherche et master professionnel, puisque d’excellents professionnels peuvent aussi être d’excellents chercheurs.

Pour les étudiants en lettres qui continueront à préparer les concours de recrutement avant de s'inscrire en thèse, et qui suivront donc un M2 professionnel, on peut imaginer une troisième année axée sur la recherche : c'est, nous indique notre interlocutrice, ce à quoi songerait l'École normale supérieure. Elle souligne la difficulté économique que représenterait cette année supplémentaire pour les étudiants de l'université.

La conseillère insiste aussi sur l’accroissement important des effectifs qu’entraînera la réforme : finis les cours de master à 15 étudiants ; tous les futurs enseignants devant obtenir un M2, les étudiants seront beaucoup plus nombreux… si bien que certaines universités seront amenées à refuser des étudiants en master faute de place. D’où l’idée qu’une sélection à l’entrée en M1 pourrait devenir nécessaire.

Enfin, il est indiqué que tous les concours de recrutement auront désormais comme niveau exigé master : outre l’agrégation, le CAPES et le concours de professeur des écoles, les concours de PLP et de CPE auront les mêmes conditions.

je crois que nous sommes désormais fixer sur notre sort.. :devil_2: merci pour ce post

peux tu nous donner l'adresse du site ou trouver ce discours ?

qu'est ce que la SSMLLO ? :cry:

en faisant une recherche avec google je ne trouve rien là dessus

merci à toi de ce post, mais donnes nous les références exactes , stp, ( merci)

il faut voir cela comme une chance..en somme si on est pas admis au crpe mais admissible ..on récolte un m1, une préparation iufm pe1 et une préparation au dévbut dyu m2..avec tout ça on devrait arriver à l'avoir ce concours du crpe, non ?!

au finla ce qui compte c'est le travail pour l'avoir..après une fois fonctionnaire.. :bleh::wink:

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En tous cas, pour nous, (ceux qui passons le concours), il suffirait de passer le concours pour avoir une place en master. Non?

En tous cas, ce serait le cas pour tous les admissibles au moins!

Quelle histoire! :(

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